Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 novembre 1922 22 novembre 1922
Description : 1922/11/22 (T22,N2210). 1922/11/22 (T22,N2210).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252508q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
ICTÈRE
^ANGÈRES
PlAInES DEs
No 2210
Mercredi 22 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
~,,
SOMMAIRE von
?°iûbep0!'— La publication von
rnberg (Coch-e). - Le discours de
poincni e à liai Chambre des Députés.
Pranc IlOV'E"JDQ>re (Kreuz-Z.eitung). - La
£ ranCe es Turcs (Jakob Frank dans
er/iner r,orsen-Courier). — L'Allema-
~e et t
^Ung) Usanne [Deutsche Allgemeine
Bru. LAI SE. "7 Avant la conférence de
r~ch~ Chronicle, Times). —
Le IGebe Orient : l'accord franco-bri-
i arîniqUe (Dailg Telegraph, New States-
^an)- g,} u de mouvements militaires
lr v gr(*s (wr)na4ily Maill
SS£ ÎCto
de SLovaQuE. - Le testament
PreLgUe). Pereur Charles (Gazette de
',-----
POLITIQUE GENERALE
Ve -
Responsabilités
,~~ DE LA GUERRE
'l, elir¡, llQs ATION VON ROMBERG [Cf.
et 2169, et Bull. périodique
i B allemande, no 248]. - UNE OPI-
V-,-IN' - Sous le titre : « Ré-
e Q. Seru* e d'une troinperie ). -
r e vOn omberg : Die Fälschun-
des russischer 0ran9ebuches [<« Les
^liei. î!10118Ke-
1~li Çui eut au complet l'échange °de
^«juillet au 2août
®entants du gouverne-
à p °r^1Q et le ministre Saso-
lite 2168 et n° 2169], il est
Niei^W lin enrichissement de son
suivj , Mais le lecteur moyen
~I't S Sliivi les choses de près est com-
•iv' K induit !Q ®rew par la présen-
'0r> el le oom, enla*re de l'ouvrage :
avec un esprit de système de l'ouvrage:
H ^pu ^^me qui n'est pas ma-
e dllh ce Complètement les points
v" «lu. question des responsabili-
!tl' Qttrib
t
M~' coU LIvre Orange des erreurs qui
|J h ri 9f Jr uPPression d'un passage
[V: Il [J 3Uilw n du conflit dans une dé-
iVi es rifUr la circulaire allemande
sur 1-a circulaire allenian-de
,;,v de es C'rreurs certainement in-
2? V AinSi z)6 POrtée comme de graves
riih]?^ ce i 6 mot ■ dans une dépêche de Saso-
it rnot « gu-LPre contre ).a Serbie »
: «€Yn-Pcdition », et Rombert écrit
en note que cela montre la différence entre la
conception russe et la conception autrichienne
de l'incident.
Qu'est-ce que le lecteur doit conclure de
là ? La remarque n'a de sens que s'il faut
éveiller l'impression que l'Autriche-Hongrie
n'a songé qu'à une expédition à but de dé-
monstration et que le Livre Orange lui at-
tribue à tort un projet de guerre. C'est spé-
culer effrontément sur l'information insuffi-
sante et la mauvaise mémoire du grand pu-
blic. Outre qu'au moment de la composition
du Livre Orange, l'Autriche avait déjà dé-
claré la guerre à la Serbie et ouvert les
hostilités, on sait par la lettre de François-
Joseph à Guillaume II du 5 juillet (1er vo-
lume du recueil Kautsky, p. 19-22) que, dès
le début, l'Autriche visait à « isoler et di-
minuer la Serbie », ce qui ne pouvait se
faire sans guerre. Le même projet résulte
du procès-verbal du conseil des ministres à
Vienne du 7 juillet 1914. (Livre Rouge autri-
chien de 1919).
Ainsi il est impossible de soulager l'édi-
teur du reproche d'avoir trompé consciem-
ment ses lecteurs.
Mais il en va ainsi à travers tout l'ou-
vrage. Il contient à peine une seule note au
texte du Livre Orange qui l'élucide correc-
tement. Ou bien il parle de falsification là
où il n'y a qu'une restitution incorrecte, qui
peut souvent résulter du fait que le Livre
Orange de 1914 avait eu une autre traduc-
tion que l'édition utilisée par M. von Rom-
berg. Ou bien il suppose à des omissions
un dessein réfléchi pour lequel il n'y a nulle
preuve. Il y a pourtant un chapitre où il y
a lieu à discussion : il s'agit de quelques
dépêches de l'ambassadeur Isvolski et de
leur importance. — Eduard Bernstein.
GLOCKE [hedbomad.], 20.11.
- #7 -
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE M. POINCARE A LA
CHAMBRE DES DÉPUTÉS, LE 17 NOVEMBRE. -
PRESSE ALLEMANDE. — La pensée dirigeante
de sa politique est et reste l'anéantisse-
ment de l'Allemagne. Si auparavant la
France peut tirer de l'Allemagne le plus
d'avantages possibles, c'est d'autant mieux.
C'est d'une pierre faire deux coups. Mais ce-
la n'ira pas si aisément. La chute du franc
constitue un avertissement, au moins pour
maints Français. Poincaré repousse le pro-
jet d'une participation de l'industrie fran-
çaise dans les entreprises allemandes. Hier,
il parla notamment du projet Rechberg qui
voudrait sacrifier, comme on le sait, un
tiers du capital-actions de l'industrie alle-
mande aux alliés. Il semble, d'après la
mauvaise traduction de son discours, que
Poincaré estime insuffisante cette fusion
de l'industrie allemande avec l'industrie al-
liée. Il donne la préférence aux gages éco-
miques. M. A. Rechberg, qui s'occupait déjà
de ces projets, comme on le sait, pendant
la guerre (par eux il croyait pouvoir réali-
ser la paix), devra trouver autre chose pour
intéresser le monde à sa personne.
Ce qui ressort nettement du discours de
M. Poincaré, c'est que la réalisation d'un
projet international de ce genre, destiné à
provoquer à bref délai la ruine de l'indus-
trie allemande, n'empêcherait pas M. Poin-
caré de poursuivre à côté sa politique de
force. Jamais en effet il ne sacrifiera les
grands objectifs de sa politique européenne
à des accords privés.
Le discours de Poincaré est cette fois
d'une importance particulière parce qu'il
donne le ton pour la conférence de Bru-
xelles qui doit se réunir en décembre. Ain-
si, il semble que l'attitude de Poincaré con-
damne la conférence de Bruxelles à l'inu-
tilité. Ou bien elle réalisera la fin de l'Al-
lemagne si Poincaré arrive à gagner la
France à son système. Mais le plan fran-
çais est évident. Depuis le jour où pour la
dernière fois il négocia avec Lloyd George,
Poincaré n'a pas cédé d'un pas. L'espoir
d'une amélioration de la situation qui nous
fut si souvent promise par les milieux de la
politique d'exécution a été complètement
déçu. Nous-autres, qui ne sommes pas par-
tisans (l'lune politique d'abandon, nous ne
sommes pas surpris par le discours de
Poincaré et nous voyons simplement s'af-
firmer davantage la nécessité de rompre
enfin avec la politique pratiquée jusqu'ici.
— G. F.
KREUZ-ZEITUNG, 18.11, soir.
AVANT LA CONFERENCE DE BRUXEL-
LES. — PRESSE ANGLAISE. — La Daily Chro-
nicle souligne que M. Goodenough, de la Bar-
clay's Bank, est d'accord en substance avec les
experts étrangers consultés par le gouvernement
allemand.
La solvabilité de l'Allemagne est néces-
saire à la stabilité du crédit mondial, à la
prospérité de l'Allemagne et au paiement
des réparations dues à la France. On ne
pourra rien faire, aussi longtemps que la
valeur du mark n'aura pas été fixée. Mais
M. Goodenough, contrairement à l'avis du
comité international des banquiers, estime
que le montant des indemnités allemandes
doit demeurer provisoirement à son chiffre
actuel, sous réserve des conclusions aux-
quelles aboutira le comité de surveillance.
Les marks-or, que l'Allemagne détient en-
core, permettront dans une large mesure de
stabiliser sa devise, à une parité de change
très basse, et quand son crédit se relèvera
il lui sera possible d'émettre des emprunts
dont le montant servira à assurer le paie-
ment des réparations aux alliés.
^ANGÈRES
PlAInES DEs
No 2210
Mercredi 22 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
~,,
SOMMAIRE von
?°iûbep0!'— La publication von
rnberg (Coch-e). - Le discours de
poincni e à liai Chambre des Députés.
Pranc IlOV'E"JDQ>re (Kreuz-Z.eitung). - La
£ ranCe es Turcs (Jakob Frank dans
er/iner r,orsen-Courier). — L'Allema-
~e et t
^Ung) Usanne [Deutsche Allgemeine
Bru. LAI SE. "7 Avant la conférence de
r~ch~ Chronicle, Times). —
Le IGebe Orient : l'accord franco-bri-
i arîniqUe (Dailg Telegraph, New States-
^an)- g,} u de mouvements militaires
lr v gr(*s (wr)na4ily Maill
SS£ ÎCto
de SLovaQuE. - Le testament
PreLgUe). Pereur Charles (Gazette de
',-----
POLITIQUE GENERALE
Ve -
Responsabilités
,~~ DE LA GUERRE
'l, elir¡, llQs ATION VON ROMBERG [Cf.
et 2169, et Bull. périodique
i B allemande, no 248]. - UNE OPI-
V-,-IN' - Sous le titre : « Ré-
e Q. Seru* e d'une troinperie ). -
r e vOn omberg : Die Fälschun-
des russischer 0ran9ebuches [<« Les
^liei. î!10118
1~li Çui eut au complet l'échange °de
^«juillet au 2août
®entants du gouverne-
à p °r^1Q et le ministre Saso-
lite 2168 et n° 2169], il est
Niei^W lin enrichissement de son
suivj , Mais le lecteur moyen
~I't S Sliivi les choses de près est com-
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avec un esprit de système de l'ouvrage:
H ^pu ^^me qui n'est pas ma-
e dllh ce Complètement les points
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M~' coU LIvre Orange des erreurs qui
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,;,v de es C'rreurs certainement in-
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en note que cela montre la différence entre la
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Qu'est-ce que le lecteur doit conclure de
là ? La remarque n'a de sens que s'il faut
éveiller l'impression que l'Autriche-Hongrie
n'a songé qu'à une expédition à but de dé-
monstration et que le Livre Orange lui at-
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culer effrontément sur l'information insuffi-
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blic. Outre qu'au moment de la composition
du Livre Orange, l'Autriche avait déjà dé-
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le début, l'Autriche visait à « isoler et di-
minuer la Serbie », ce qui ne pouvait se
faire sans guerre. Le même projet résulte
du procès-verbal du conseil des ministres à
Vienne du 7 juillet 1914. (Livre Rouge autri-
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Ainsi il est impossible de soulager l'édi-
teur du reproche d'avoir trompé consciem-
ment ses lecteurs.
Mais il en va ainsi à travers tout l'ou-
vrage. Il contient à peine une seule note au
texte du Livre Orange qui l'élucide correc-
tement. Ou bien il parle de falsification là
où il n'y a qu'une restitution incorrecte, qui
peut souvent résulter du fait que le Livre
Orange de 1914 avait eu une autre traduc-
tion que l'édition utilisée par M. von Rom-
berg. Ou bien il suppose à des omissions
un dessein réfléchi pour lequel il n'y a nulle
preuve. Il y a pourtant un chapitre où il y
a lieu à discussion : il s'agit de quelques
dépêches de l'ambassadeur Isvolski et de
leur importance. — Eduard Bernstein.
GLOCKE [hedbomad.], 20.11.
- #7 -
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE M. POINCARE A LA
CHAMBRE DES DÉPUTÉS, LE 17 NOVEMBRE. -
PRESSE ALLEMANDE. — La pensée dirigeante
de sa politique est et reste l'anéantisse-
ment de l'Allemagne. Si auparavant la
France peut tirer de l'Allemagne le plus
d'avantages possibles, c'est d'autant mieux.
C'est d'une pierre faire deux coups. Mais ce-
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constitue un avertissement, au moins pour
maints Français. Poincaré repousse le pro-
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çaise dans les entreprises allemandes. Hier,
il parla notamment du projet Rechberg qui
voudrait sacrifier, comme on le sait, un
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mande aux alliés. Il semble, d'après la
mauvaise traduction de son discours, que
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de ces projets, comme on le sait, pendant
la guerre (par eux il croyait pouvoir réali-
ser la paix), devra trouver autre chose pour
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grands objectifs de sa politique européenne
à des accords privés.
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France à son système. Mais le plan fran-
çais est évident. Depuis le jour où pour la
dernière fois il négocia avec Lloyd George,
Poincaré n'a pas cédé d'un pas. L'espoir
d'une amélioration de la situation qui nous
fut si souvent promise par les milieux de la
politique d'exécution a été complètement
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sommes pas surpris par le discours de
Poincaré et nous voyons simplement s'af-
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enfin avec la politique pratiquée jusqu'ici.
— G. F.
KREUZ-ZEITUNG, 18.11, soir.
AVANT LA CONFERENCE DE BRUXEL-
LES. — PRESSE ANGLAISE. — La Daily Chro-
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clay's Bank, est d'accord en substance avec les
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Les marks-or, que l'Allemagne détient en-
core, permettront dans une large mesure de
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très basse, et quand son crédit se relèvera
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