Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 novembre 1922 01 novembre 1922
Description : 1922/11/01 (T22,N2194)-1922/11/02. 1922/11/01 (T22,N2194)-1922/11/02.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524929
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
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~'m'£ PI.A ~N G Ê R E S
? 2194
Mercredi 1er - Jeudi 2 novembre 1922.
pietin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
t SOMMAIRE
-
SSTi ALI.EMJ\.NDE, -, Déclarations de M.
x Brunswick : possibilités.
condition S d'un rapprochement écono-
■P^que fran ^'allemand (Hannoverscher
urier).
,SE A,MÉRICAlNE. — Les Etats-Unis et
EUrope: déclarations du sénateur Ca-
raway (New YOT!£ Times, World, New
Or/¡, Tri hl-, Ue) ; déclarations du séna-
Î Wiiij
eur W illian MjcKinley (New l'ork
Ines).
E ANGLAISE. - La Grande-Bretagne et
offensive grecque d'Asie Mineure : une
Hrestion à r
t'* on à l'adresse de M. gouvernement
W& ning (Morning Post Daily Tele-
~iste Wnu orning PosK Daihj Tele.
)JEtGE. - Le gou-vernernént fasciste
dépendance belge).
ITALIENNE. '- Le gouvernement fas-
~te (Corère délia Sera, STampa, Tri-
~a). ., 1 n-
BlIlQDE GENERALE
t ANCE ET ALLEMAGNE
Tiolîs DE M. STRESEMANN
CR (29 OCTOBRE), - POSSIBI-
ONDITIONS D'UN RAPPROCHEMENT ÉCO-
NOR ne Brunswick 30 octobre :
"allllol,,d Stirdes-Lubersac, l'ora-
~de i'aq2 o„ ^tïnrîe s-Lub er s ac, l'ora-
e qu'il ny a pas de raison de
rl car nous payons les mar-
HBBrUvrées avec du papier-monnaie
:par là nojis accroissons l'infla-
M~F le rapproClhem.ent économique4
B H E an-dest Pe-ut-être le seul moyen
arlehir de la pression des sanc-
t~~M~~ ce POint de vue l'accord est
d'Une frande importance poli-
HBpchir 7fs points de vue, il me
11 prétendait autrefois
tMM ~i~~e et notre impérialis-
Salent tort et que l'on accoride-
e nous nous révélerions
Qr' aujourd'hui que pour
fOts les IrÍinistres de France
■K nous POUr nous prier de re-
e n'est Pas Vers les socialistes
lJ¡er,tt,. Irlais vers Stinnes" Lors-
DtiVers Stinnes.. Lors-
llet. z, on s'écria en
Allemagne : « Que dira l'étranger de ce
rappel au vieux militariste ? Lorsque ces
navires arrivèrent en Amérique du Sud, ils
furent joyeusement accueillis. Lorsque le
Ludendorff arriva à Buenos-Aires, il fut
reçu par le président argentin, et ce dernier
demanda qu'à l'arrivée du Tirpitz on le
prévînt à temps afin qu'il pût entrer dans
la capitale à bord du navire pour honorer
le créateur de la flotte allemande.
La France doit modifier sa politique si
elle veut l'entente.
Voici une base acceptable : l'Allemagne
effectue des livraisons, mais on l'affranchit
malUs la même mesure des charges de l'oc-
cupation, et en même temps on commence
des négociations pour ramener la dette de
guerre de l'Allemagne à une partie très ré-
duite de la somme fantastique exigée. Voi-
là les directives que nous indiquons à la
France.
HANNOVERSCHER KURIER, 30.10.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
LA GRANDE-BRETAGNE ET L'OFFEN-
SIVE GRECQUE. — Sous le titre : « UNE
QUESTION A L'ADRESSE DE M. LLOYD GEORGE JI,
— Par quatre fois en ces quelques dernières
semaines, nous avons demandé à M. Lloyd
George de démentir ou d'expliquer jei::
faits suivants :
En février-mars 1921, il a été tenu à
Londres une réunion du Conseil suprême.
A cette conférence les alliés, vivement ae-
sireux de réglér les' questions du Proche
Orient, ont fait à la Turquie, comme à la
Grèce, des offres importantes. Il n'est pas
nécessaire d'entrer dans des détails, mais
Li nous suffira de constater que l'objet
principal de la conférence était d'accommo-
der les différends entre la Turquie et la
Grèce et de « trouver une formule » accep-
table pour l'un et l'autre de ces pays.
Nous avons dit, et nous le répétons, que
par l'entremise de ses secrétaires particu-
liers, M. Lloyd George avisa secrètement
le représentant de la Grèce à Londres que
de la part de la Grande-Bretagne, une of-
fensive grecque n'aurait à craindre ni blâ-
me ni désapprobation.
Tels sont les faits, ou tout nu moins ce
que nous croyons être les faits. Aussi pen-
sons-nous être fondés à demander ':.
M. Lloyd George une explication.
Nous demandons pour la cinquième fois
cette explication à l'ancien premier minis-
tre. Si nous nous trompons sur les faits
en question, nous subirons sans nous plain-
dre le tonnerre et les éclairs du courroux
de M. Lloyd George. En revanche, si les
faits, tels due nous les exposons, sont
exacts. l'ancien premier ministre doit une
explication au public, à ses collègues du
cabinet et aux alliés.
MORNING POST, 31.10.
LA POLITIQUE AMÉRICAINE
LES ETATS-UNIS ET L'EUROPE. —
DÉCLARATIONS DU SÉNATEUR CARAWAY (AR-
KANSAS). — De Washington : Le sénateur
Caraway (Arkansas) qui revient d'Europe
où il a assisté, en qualité, de délégué des
Etats-Unis, au congrès interparlementaire,
a été interivievé par un correspondant du
New York Times. « La France, a dit le sé-
nateur, est devenue l'enfant gâté de l'Eu-
rope ; on Va. trop adulée, »
« J'ai vu beaucoup de choses là-bas et j'ai
pris bonne note de ce que j'ai vu. La situa-
tion n'est point satisfaisante, il faut abso-
lument que l'on fasse un effort pour recons-
truire et stabiliser l'industrie, sinon nous
devrons un jour retourner en Europe, avec
nos hommes d'Etat ou avec notre armée
et notre flotte.
J'ai été vivement impressionné des criti-
ques qui sont portées contre les Etats-Unis
par les hommes politiques d'Europe. C'est
ce qui a, tout d'abord, retenu mon attention.
Sitôt qu'une difficulté se produit, c'est nous
que l'on rend responsables et l'on peut dire
que pour les politiciens d'Europe le jeu
qui consiste à adresser des reproches à
l'Amérique est devenu un passe-temps fa-
vori. Je crois que le moment est venu de
parler à l'Europe en toute franchise et de
faire comprendre à ses hommes d'Etat que
nous sommes las d'entendre leurs criti-
ques. Leur campagne de propagande con-
tre nous, en effet, est à ce point formidable
que les peuples en arrivent à ajouter foi
à tout ce que leur racontent leurs hommes
politiques. Il appartient à notre gouverne-
ment de faire savoir aux nations européen-
nes que ces mensonges doivent cesser, au
nom de l'amitié et de la justice. Disons-leur
qu'ill faut qu'ils démobilisent leurs armées,
qu'ils équilibrent leurs budgets, qu'ils es-
saient de payer leurs dettes et qu'ils se con-
sacrent avec plus d'ardeur à 1a. reconstruc-
tion de leurs pays dont la situation est si
lamentable. « Je viens en Amérique pour
dire la vérité ! » dit Clemenceau. Parfait,
mais imitoms-le ! La France ? Je crois que
les revendications de la France en ce qui
concerne les réparations sont justifiées et
j'estime que l'Allemagne devrait payer ;
mais il faudrait avant tout fixer le montant
de la dette, et assurer à l'Allemagne des
indications sur la méthode de paiement. La
France, voyez-vous, est un peu. comme
l'enfant gâté de l'Europe. Voilà la grosse
difficulté ! Elle a été adulée. On lui a dit
-
- {-
~'m'£ PI.A ~N G Ê R E S
? 2194
Mercredi 1er - Jeudi 2 novembre 1922.
pietin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
t SOMMAIRE
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SSTi ALI.EMJ\.NDE, -, Déclarations de M.
x Brunswick : possibilités.
condition S d'un rapprochement écono-
■P^que fran ^'allemand (Hannoverscher
urier).
,SE A,MÉRICAlNE. — Les Etats-Unis et
EUrope: déclarations du sénateur Ca-
raway (New YOT!£ Times, World, New
Or/¡, Tri hl-, Ue) ; déclarations du séna-
Î Wiiij
eur W illian MjcKinley (New l'ork
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E ANGLAISE. - La Grande-Bretagne et
offensive grecque d'Asie Mineure : une
Hrestion à r
t'* on à l'adresse de M. gouvernement
W& ning (Morning Post Daily Tele-
~iste Wnu orning PosK Daihj Tele.
)JEtGE. - Le gou-vernernént fasciste
dépendance belge).
ITALIENNE. '- Le gouvernement fas-
~te (Corère délia Sera, STampa, Tri-
~a). ., 1 n-
BlIlQDE GENERALE
t ANCE ET ALLEMAGNE
Tiolîs DE M. STRESEMANN
CR (29 OCTOBRE), - POSSIBI-
ONDITIONS D'UN RAPPROCHEMENT ÉCO-
NOR ne Brunswick 30 octobre :
"allllol,,d Stirdes-Lubersac, l'ora-
~de i'aq2 o„ ^tïnrîe s-Lub er s ac, l'ora-
e qu'il ny a pas de raison de
rl car nous payons les mar-
HBBrUvrées avec du papier-monnaie
:par là nojis accroissons l'infla-
M~F le rapproClhem.ent économique4
B H E an-dest Pe-ut-être le seul moyen
arlehir de la pression des sanc-
t~~M~~ ce POint de vue l'accord est
d'Une frande importance poli-
HBpchir 7fs points de vue, il me
11 prétendait autrefois
tMM ~i~~e et notre impérialis-
Salent tort et que l'on accoride-
e nous nous révélerions
Qr' aujourd'hui que pour
fOts les IrÍinistres de France
■K nous POUr nous prier de re-
e n'est Pas Vers les socialistes
lJ¡er,tt,. Irlais vers Stinnes" Lors-
DtiVers Stinnes.. Lors-
llet. z, on s'écria en
Allemagne : « Que dira l'étranger de ce
rappel au vieux militariste ? Lorsque ces
navires arrivèrent en Amérique du Sud, ils
furent joyeusement accueillis. Lorsque le
Ludendorff arriva à Buenos-Aires, il fut
reçu par le président argentin, et ce dernier
demanda qu'à l'arrivée du Tirpitz on le
prévînt à temps afin qu'il pût entrer dans
la capitale à bord du navire pour honorer
le créateur de la flotte allemande.
La France doit modifier sa politique si
elle veut l'entente.
Voici une base acceptable : l'Allemagne
effectue des livraisons, mais on l'affranchit
malUs la même mesure des charges de l'oc-
cupation, et en même temps on commence
des négociations pour ramener la dette de
guerre de l'Allemagne à une partie très ré-
duite de la somme fantastique exigée. Voi-
là les directives que nous indiquons à la
France.
HANNOVERSCHER KURIER, 30.10.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
LA GRANDE-BRETAGNE ET L'OFFEN-
SIVE GRECQUE. — Sous le titre : « UNE
QUESTION A L'ADRESSE DE M. LLOYD GEORGE JI,
— Par quatre fois en ces quelques dernières
semaines, nous avons demandé à M. Lloyd
George de démentir ou d'expliquer jei::
faits suivants :
En février-mars 1921, il a été tenu à
Londres une réunion du Conseil suprême.
A cette conférence les alliés, vivement ae-
sireux de réglér les' questions du Proche
Orient, ont fait à la Turquie, comme à la
Grèce, des offres importantes. Il n'est pas
nécessaire d'entrer dans des détails, mais
Li nous suffira de constater que l'objet
principal de la conférence était d'accommo-
der les différends entre la Turquie et la
Grèce et de « trouver une formule » accep-
table pour l'un et l'autre de ces pays.
Nous avons dit, et nous le répétons, que
par l'entremise de ses secrétaires particu-
liers, M. Lloyd George avisa secrètement
le représentant de la Grèce à Londres que
de la part de la Grande-Bretagne, une of-
fensive grecque n'aurait à craindre ni blâ-
me ni désapprobation.
Tels sont les faits, ou tout nu moins ce
que nous croyons être les faits. Aussi pen-
sons-nous être fondés à demander ':.
M. Lloyd George une explication.
Nous demandons pour la cinquième fois
cette explication à l'ancien premier minis-
tre. Si nous nous trompons sur les faits
en question, nous subirons sans nous plain-
dre le tonnerre et les éclairs du courroux
de M. Lloyd George. En revanche, si les
faits, tels due nous les exposons, sont
exacts. l'ancien premier ministre doit une
explication au public, à ses collègues du
cabinet et aux alliés.
MORNING POST, 31.10.
LA POLITIQUE AMÉRICAINE
LES ETATS-UNIS ET L'EUROPE. —
DÉCLARATIONS DU SÉNATEUR CARAWAY (AR-
KANSAS). — De Washington : Le sénateur
Caraway (Arkansas) qui revient d'Europe
où il a assisté, en qualité, de délégué des
Etats-Unis, au congrès interparlementaire,
a été interivievé par un correspondant du
New York Times. « La France, a dit le sé-
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« J'ai vu beaucoup de choses là-bas et j'ai
pris bonne note de ce que j'ai vu. La situa-
tion n'est point satisfaisante, il faut abso-
lument que l'on fasse un effort pour recons-
truire et stabiliser l'industrie, sinon nous
devrons un jour retourner en Europe, avec
nos hommes d'Etat ou avec notre armée
et notre flotte.
J'ai été vivement impressionné des criti-
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par les hommes politiques d'Europe. C'est
ce qui a, tout d'abord, retenu mon attention.
Sitôt qu'une difficulté se produit, c'est nous
que l'on rend responsables et l'on peut dire
que pour les politiciens d'Europe le jeu
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l'Amérique est devenu un passe-temps fa-
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à tout ce que leur racontent leurs hommes
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qu'ill faut qu'ils démobilisent leurs armées,
qu'ils équilibrent leurs budgets, qu'ils es-
saient de payer leurs dettes et qu'ils se con-
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dire la vérité ! » dit Clemenceau. Parfait,
mais imitoms-le ! La France ? Je crois que
les revendications de la France en ce qui
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