Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 octobre 1922 30 octobre 1922
Description : 1922/10/30 (T22,N2192). 1922/10/30 (T22,N2192).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252490g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
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ldINISTÈRE
ID IE S
kpe A 1h ETRANGERES
AFF AIllES' ÊTRAN GÈRES
N° 2192
Lundi 30 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
sommaire
PRESS Les réparations : l'Ai-
eUlagueet. la Politique d'exécution (Ger-
Inallia) gages et le contrôle (Frank-
ÎUrter y p^lun0) ; la participation fran-
raIS" !nc*ustrie allemande (Dr Wil-
helm pni allemande. (Dr 1."
t: m Feldmann dans Vôssische Zei-
1 'Un0) l" traité italo-russe (Berliner
kôTsen Cou
p
PRESSE, t L.
- bériaM/^1CAlNE' - Les Etats-Unis et Li-
; ,la (New torh Evening Post). - La
sP:cUlation -sur le mark allemand
p U'ot/uiin,-, yt, on Pusll
^NGLATSE Le Proche Orient : l'at-
titude (je il Bulgarie (DaHy Telegraph) ;
le §0Uvern ! v ,
e gOuvernement d'Angora et les soviets
ïly Tele ; la Russie et
les Ùé\iou"is i(Morning post).
PRESSE ESPAGNOLE. - : les
- — TLes réparations : les
cabinet de M. Banhou (Sol). -Le
ablnet T-,nar Law et l'Entente cordiale
p~ (A Il - ., caet l'Entente co,rdia,le
E La crise gouvernemen-
K, tali""e (Tribtna, Secolo, Giornale
tSf Jle italiennp }i*r ribuna, Secolo, Giornale
ttalia r °niere della Sera, Corriere
^ttalia r■*--elta dei Popolo).
Po L 'rrIQUE GENERALE
t'ALEs RÉPARATIONS
.^SG^ pT LA POLITIQUE
ittt 1 - Parmi les tendances di-
(le ~t Inlon PUblique sur la situation
\Olt Cet! e ,et extt"rieure de l'Allemagne, on
qi,e !alllSer dans la preSSe
eh mainant la P°lltique
hnécm? °n fle maintenant la « politique
XVirthSerait m u s'effondre et que le
a ^oiiive,
ep«h«» •
V ou,f de sa science. On
°s le« Preuve » de ses as-
'l'QI] r-i Ï|>C à quoi '*i 2eiltant,s ? de la presse
f'l (t'vec ',t qUoI on ne manque pas d'ajou-
M ,e oUn , 'd'
^M\ L'p^ cor : Pourquoi ne le dé-
,lllieick' Pt Us autorité responsable
es r:s'Q, cr?
si » On *h<*ch€ aussi des preu-
~& (j.~ d e()'-n"llunicatio-ns fait,es au
~'VVe^L(i6lib,'Tnti1Unicaiions fait,es au
^t. pf'lv a s confidentielles du
ou, @ LIlt. Et l'on conclut froidement :
b Yull's t
10 Ts Prédit cette fin. »
~9,21, l'All 'Ia,Cr ne a fait,
1921 VAn 1 Allemagne a tfait
€l8ante Ques pour convaincre
ses anciens ennemis de sa bonne volonté —
efforts inouïs jusqu'à présent dans l'his-
toire, qui avaient pour but constant de
créer une atmosphère telle qu'on ne nous
demandât rien d'impossible. Et l'atmosphère
a changé ! De Londres on alla à Cannes et
à Gônes avec bien des stations intermédiai-
res. Cette idée se fait jour de tout côté que
l'on ne peut continuer la « politique des
sanctions et des assignations » ; des deux
côtés on essaie — alors que jusqu'ici l'Alle-
magne seule le faisait — de fixer la fron-
tière réelle de la capacité de prestation de
l'Allemagne.
Et cet effort est comme l'indication que
l'on poursuit opiniâtrement, la politique si
décriée que l'on instaura au 10 mai 1921.
Non pas l'exécution à tout prix, mais
l'exécution jusqu'à la limite du possible.
Que si maintenant le chancelier du Reich
juge le jour venu de déclarer que l'Allema-
gne ne peut plus assumer d'engagements
sans les plus graves dommages pour son
existence économique et politique, l'Allema-
gne a du moins à son actif qu'elle a apporté
au monde la preuve de sa volonté loyale,
preuve qui s'exprime dans les chiffres des
prestations déjà fournies.
La conclusion de la politique d'exécution
manque encore. La commission des répara-
tions qui va arriver à Berlin ces jours-ci
va devoir l'écrire et elle considérera peut-
être les choses d'une façon plus juste et
plus franche que les journaux allemands de
droite n'ont accoutumé de le faire.
GERMANIA, 26.10, soir.
LES GAGES ET LE CONTROLE. —
LES PROPOSITIONS FRANÇAISES ET LE NOUVEAU
CABINET BRITANNIQUE. — OPINION ALLEMANDE. —
La politique française travaille avec une
grande habileté. Au début, avec le projet
Barthou, la presse française demandait en-
core des « gages ». Mais ceux-ci ont. été
abandonnés par le cabinet français. Gom-
ment. doit-on expliquer cette modération
(relative) subite de la politique de Poincaré?
En Angleterre, la crise ministérielle est
arrivée, et il est devenu clair qu'un cabinet
conservateur succéderait au cabinet de
coallition Lloyd George-Chamberlain. Il
fallait donc adopter une autre tacti-
que. Il fallait éviter tout d'abord la lutte
avec les nouveaux gouvernants de Lon-
dres, d'autant que l'on conservait l'es-
poir d'obtenir sans grand effort une
partie de ce que l'on demandait : le con-
trôle. Des conservateurs ont une autre
vision du monde que les libéraux. Ils sont
partisans du principe d'autorité, ils incli-
nent donc à penser aussi dans les relations
internationales que dans certains cas on
obtient plus avec la contrainte qu'en forti-
fiant les éléments internes de la notion en-
visagée., C'est pourquoi la politique fran-
çaise pouvait espérer que sa demande de
contrôle effectif qui s'était heurtée à l'op-
position du cabinet Lloyd George-Chamber-
lain ne rencontrerait pas grandes difficul-
tés de la part des milieux conservateurs
dirigeants. Cette espérance n'a pas encore
été remplie, peut-être parce que l'esprit
du conservatisme n'a pas encore eu le
temps ou la possibilité de se faire
jour dans la politique de réparation de l'An-
gleterre. Mais la situation reste très dan-
gereuse pour nous, bien qu'on ne puisse
s'attendre à de grands changements dans
l'attitude de l'Angleterre avant les élec-
tions, car ces changements donneraient
matière à campagne, aux partis d'opposi-
tion.
FRANKFURTER ZEITUNG,
27.10, soir.
OPINION ESPAGNOLE. — Les propositions de
M. Barthou sont-elles le premier pas sé-
rieux fait par la France pour porter le pro-
blème des réparations sur le terrain politi-
que, en mettant à profit l'incertitude qu'ins-
pirera à la politique anglaise la crise gou-
vernementale ? Il serait aventuré de ré-
pondre à cette question. Il est très possible
que le projet de M. Barthou vise plus mo-
destement à toucher quelque chose sur les
réparations dues par l'Allemagne Ln si-
- <-J - - - ---
tuation financière de la France est effrayan-
te. Le rapport de M. Bokanowski, député
de Paris, dit que, si la France continue
d'émettre des emprunts pour couvrir son
déficit, « le pays succombera sous le poids
ou se verra forcé de répudier ses obliga-
tions ». Le budget pour l'exercice prochain
accuse un déficit de plus de huit milliards,
et le déficit réel sera à son avis très supé-
rieur à celui qui est envisagé. Il faut ren-
forcer les recettes et faire des économies.
Mais contre le premier remède se dresse le
capitalisme ; contre le second, la bureau-
cratie. Le moyen de rencontrer moins de
résistance consiste à continuer d'attendre
les réparations allemandes.
SOL, 26.10.
LA PARTICIPATION FRANÇAISE A
L'INDUSTRIE ALLEMANDE. — LES DÉCLA-
RATIONS DE M. PAUL REYNAUD. — De Paris :
Selon toute apparence, Reynaud est ar-
rivé à persuader la majorité de la Cham-
bre que ni les paiements d'argent ni les
prestations en nature ne pouvaient être en-
visagés, tant que le mark reste aussi bas,
et que la France ne put non plus. compter
ni sur un règlement international des det-
tes ni sur un emprunt international, ni en-
fin sur le contrôle des finances allemandes.
L'orateur affirma, en repoussant vivement
des remarques de Poincaré, que la France
avait le devoir de reconnaître ouvertement
ldINISTÈRE
ID IE S
kpe A 1h ETRANGERES
AFF AIllES' ÊTRAN GÈRES
N° 2192
Lundi 30 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
sommaire
PRESS Les réparations : l'Ai-
eUlagueet. la Politique d'exécution (Ger-
Inallia) gages et le contrôle (Frank-
ÎUrter y p^lun0) ; la participation fran-
raIS" !nc*ustrie allemande (Dr Wil-
helm pni allemande. (Dr 1."
t: m Feldmann dans Vôssische Zei-
1 'Un0) l" traité italo-russe (Berliner
kôTsen Cou
p
PRESSE, t L.
- bériaM/^1CAlNE' - Les Etats-Unis et Li-
; ,la (New torh Evening Post). - La
sP:cUlation -sur le mark allemand
p U'ot/uiin,-, yt, on Pusll
^NGLATSE Le Proche Orient : l'at-
titude (je il Bulgarie (DaHy Telegraph) ;
le §0Uvern ! v ,
e gOuvernement d'Angora et les soviets
ïly Tele ; la Russie et
les Ùé\iou"is i(Morning post).
PRESSE ESPAGNOLE. - : les
- — TLes réparations : les
cabinet de M. Banhou (Sol). -Le
ablnet T-,nar Law et l'Entente cordiale
p~ (A Il - ., caet l'Entente co,rdia,le
E La crise gouvernemen-
K, tali""e (Tribtna, Secolo, Giornale
tSf Jle italiennp }i*r ribuna, Secolo, Giornale
ttalia r °niere della Sera, Corriere
^ttalia r■*--elta dei Popolo).
Po L 'rrIQUE GENERALE
t'ALEs RÉPARATIONS
.^SG^ pT LA POLITIQUE
ittt 1 - Parmi les tendances di-
(le ~t Inlon PUblique sur la situation
\Olt Cet! e ,et extt"rieure de l'Allemagne, on
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XVirthSerait m u s'effondre et que le
a ^oiiive,
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V ou,f de sa science. On
°s le« Preuve » de ses as-
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^M\ L'p^ cor : Pourquoi ne le dé-
,lllieick' Pt Us autorité responsable
es r:s'Q, cr?
si » On *h<*ch€ aussi des preu-
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^t. pf'lv a s confidentielles du
ou, @ LIlt. Et l'on conclut froidement :
b Yull's t
10 Ts Prédit cette fin. »
~9,21, l'All 'Ia,Cr ne a fait,
1921 VAn 1 Allemagne a tfait
€l8ante Ques pour convaincre
ses anciens ennemis de sa bonne volonté —
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demandât rien d'impossible. Et l'atmosphère
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res. Cette idée se fait jour de tout côté que
l'on ne peut continuer la « politique des
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l'Allemagne.
Et cet effort est comme l'indication que
l'on poursuit opiniâtrement, la politique si
décriée que l'on instaura au 10 mai 1921.
Non pas l'exécution à tout prix, mais
l'exécution jusqu'à la limite du possible.
Que si maintenant le chancelier du Reich
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gne ne peut plus assumer d'engagements
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La conclusion de la politique d'exécution
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va devoir l'écrire et elle considérera peut-
être les choses d'une façon plus juste et
plus franche que les journaux allemands de
droite n'ont accoutumé de le faire.
GERMANIA, 26.10, soir.
LES GAGES ET LE CONTROLE. —
LES PROPOSITIONS FRANÇAISES ET LE NOUVEAU
CABINET BRITANNIQUE. — OPINION ALLEMANDE. —
La politique française travaille avec une
grande habileté. Au début, avec le projet
Barthou, la presse française demandait en-
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En Angleterre, la crise ministérielle est
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l'attitude de l'Angleterre avant les élec-
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FRANKFURTER ZEITUNG,
27.10, soir.
OPINION ESPAGNOLE. — Les propositions de
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LA PARTICIPATION FRANÇAISE A
L'INDUSTRIE ALLEMANDE. — LES DÉCLA-
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ni sur un règlement international des det-
tes ni sur un emprunt international, ni en-
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