Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 octobre 1922 25 octobre 1922
Description : 1922/10/25 (T22,N2188). 1922/10/25 (T22,N2188).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252486k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
- &fINISTtn E
tti, DES
^J^ANGÈRES
N° 2188
Mercredi 25 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
Sommaire
~M~. J T
Pa£ss£ - Les réparations : les
projet de contrôle (Hamburger Frem-
denblatt). - La crise ministédelle bri-
denlatt).- La crise ministérielle bri-
tannique. (Frankfürter Zeitung, Ger-
tnartia).
PntSSE ANGLAISE. - Le cabinet Bonar Law
et l'Entente COrdiale (Observer, Daily
Telegraph). - La Grande-Bretagne et le
iiation11i
nationalisme oriental (Times). té
V ^^LAND\lcp t
HOLLANDAISE. - La crise films -
elle brItannique (Jlaasbode, Telegraph,
•> Oerneen Handelsblad Nieuwe Rotter-
d Urnsche r Courant).
CIENERALE
-
F*AmCe^G1ANDE'BRETAGNE
tt
C'OPDlp An LAW ET LEN-
,%w al)0Uitir -, Ce qui importe le plus
£.'r:¡. aboulhr à Un rèuIemen.t avec la
Prane. C'est la question la plus grosse et
t'Out le domaine de
6°tre £ JultklUie nat^in ïf6 et ^Périale. La
"ee r«iU ,, °W'er une fn
°oePter la logique des
et la li>j,er,, Pour toutes entre
,^ïtre faut 'pourtant se dé-
!;l^r-h ?Us le ,r
• ent qui vient de som-
en VUSa®,, Poser lotion franchement.
l**' 611® moi® 41ftn enf°re' C6tte attitude au-
'laie a!§uë, ie ?ne courte période de
ne CDurte période, de
,,'^nce A,j0llrd'hiri GV ei' de l'Entente cor-
r,¡'h ClJourd'h' d L
la-le c~il Hl, il est trop tard. La
France et cela se comprend, est en proie à
l'exaltation du triopmphe, son cerveau actif
I r JI n VIsant des arran-
à *e '!\!'iI ou°eUX qu'on lui propose.
II aut a^11 y 'lit Un retour non seulement
d'une LI 'COC, e ÈO, ~'ffe'ctiv ~e, mai6 une en-
e sin00péliation une en-
grv J;e t deux peuples, faute
èSnera entre eux une hostilité
d/q re^ois est aujourd'hui plus
.\ll'C1.I 1] 'fefois. C
(] sir^j, Parti^ a"
/11\ el' Urie' aUcun gOuvernement ne peut
lé %i Dr ut IL' rliptllre, avant qu'on ait tenté
~- d'oblenir un règlement
Mnl s convaincus
cjcetl t e lettre de M. Bonar Law, bien
qu'elle prête à de fausses interprétations, a
été écrite dans cet esprit.
L'épreuve décisive se présentera, 8IU cours
des quelques semaines qui vont suivre, sous
la forme de la question des réparations.
Nous ne pouvons rien faire pour l'Allema-
gne en ce moment sans nous chamailler
avec la France d'une façon qui ne peut avoir
pour effet que d'empoisonner l'Entente.
Nous ne pouvons rien faire pour l'Allema-
gne contre la France ; nous ne pouvons que
prolonger le chaos actuel. Il se peut que
nous fassions davantage pour stabiliser le
centre du continent et pour contribuer à la
reconstruction générale de l'Europe en tra-
vaillant avec la France et par son entre-
mise. Si ce dernier effort ne nous apporte
aucune perspective heureuse de ce côté, il
nous faudra reprendre notre liberté d'action.
C'est là, si nous le comprenons bien, ce
que voulait préciser M. Bonar Law dans
sa lettre. C'est la lourde responsabilité qui
incombe désormais à lord Curzon en sa
qualité de ministre des Affaires étrangères.
Avec lord Derby comme collègue, et après
l'avertissement public donné par le nou-
veau premier ministre, nous pouvons comp-
ter sur lord Curzon pour épuiser toutes
les ressources de la conciliation, mais il
faudra qu'il fasse preuve de fermeté en in-
vitant la France à choisir.
Nous nous permettons de suggérer à
lord Curzon que le succès des négociations
ne peut être assuré que d'une seule façon.
Il faut incontestablement qu'il y ait une
nouvelle Entente, embrassant toutes les
questions, envisageant comme un seul tout,
l'Orient et les réparations, ou l'Entente ces-
sera d'exister. Cette Entente devra être
fondée sur des avantages réciproques. D'un
côté, l'accord devra assurer définitivement
la sécurité et le rétablissement de la
France, mais de l'autre et dans une même
mesure La stabilité de l'Empire britannique
et le travail pour notre population ouvrière.
L'alternative n'est pas de nous désintéres-
ser de l'Europe, dans le sens trop préci-
pitamment attribué, il y a quinze jours, à
M. Bonar Law. Ce n'est pas ainsi que se
présente la question. Si après tous les
efforts que nous aurons tentés en vue d'un
accord sincère et complet avec la France,
nous n'arrivions pas à nous entendre avec
elle, il ne pourrait y avoir aucune raison
pour que nous ne nous entendissions pas
tout aussi bien avec la Russie, la Turquie
et l'Italie. Si nous le voulons bien, nous
avons plus à offrir à ces trois puissances
que ne peut leur donner aucun autre pays,
et nous pourrons conclure avec elles de
meilleurs arrangements au point de vue des
minorités chrétiennes. S'il le faut, nous de-
vrons poursuivre fermement et sans dévier
la réorganisation de l'Eurqpe en commen-
çant par l'autre bout. Mais toute la nation,
pour peu qu'elle puisse obtenir de nos voi-
sins une réciprocité satisfaisante, est en-
core prête à dire : La France d'abord !
OBSERVER, 22.10.
- Le correspondant du Daily Telegraph
à Paris signale les questions que pose à
l'opinion française l'arrivée aux affaires du
nouveau cabinet britannique :
De Paris, 23,10. — Une question dont on
s'occupe ici est de savoir si la note Balfour
sur les dettes de guerre interalliées a dis-
paru en même temps que M. Lloyd George.
Les Français ont leur plan à cet égard, mais
personne ne semble le connaître très bien.
On supposait que la remise projetée des
dettes de guerre entraînerait une réduction
de la créance française sur l'Allemagne,
mais M. Poincaré dans une de ses interven-
tions lors du débat de la semaine dernière
à la Chambre, sur la politique extérieure et
générale déclara nettement que la France
ne consentirait à aucune « réduction direc-
te » de sa créance. La France attache un
grand prix à la conférence de Bruxelles, à
laquelle cette question sera discutée, et elle
est déçue de voir que, l'on n'a rien fait pour
fixer la date de cette réunion. On parle
même ici à mots couverts de certaines tenta-
tives qui seraient faites en vue d'empêcher la
conférence de se réunir. Ce vif désir de con-
férences et la déception éprouvée lorsque
celles-ci sont ajournées témoignent d'un
nouvel esprit en matière de négociations in-
ternationales. Evidemment les voies pure-
ment diplomatiques par lesquelles il a fallu
conduire ces négociations ne jouissent plus
de la même faveur qu'après la conférence
de Cannes. Avec les élections britanniques,
d'une part, et la conférence sur l'Orient de
l'autre, il est manifeste qu'il ne peut pas
encore être question de fixer dès à présent
la date de la réunion de Bruxelles. Mais
quand la conférence se réunira, si elle se
réunit jamais, la France désire que la ques-
tion du contrôle des finances allemandes ait
été réglée à l'avance ; il convient, en effet,
à son avis que la commission des répara-
tions applique ces mesures de contrôle sans
plus attendre,et cela quelle que soit l'échelle
de paiements imposée à l'Allemagne pour
les années à venir. 1
On relève aussi de timides conjectures au
sujet de ce que sera la politique orientale du
nouveau gouvernement britannique Mais
on suppose que si lord Curzon reste au mi-
nistère des Affaires étrangères, les décisions
prises antérieurement seront maintenues
Un point sur lequel on ne fait preuve d'une
grande curiosité est de savoir sur quelle
base se renouvellera l'Entente dans les Bal-
tti, DES
^J^ANGÈRES
N° 2188
Mercredi 25 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
Sommaire
~M~. J T
Pa£ss£ - Les réparations : les
projet de contrôle (Hamburger Frem-
denblatt). - La crise ministédelle bri-
denlatt).- La crise ministérielle bri-
tannique. (Frankfürter Zeitung, Ger-
tnartia).
PntSSE ANGLAISE. - Le cabinet Bonar Law
et l'Entente COrdiale (Observer, Daily
Telegraph). - La Grande-Bretagne et le
iiation11i
nationalisme oriental (Times). té
V ^^LAND\lcp t
HOLLANDAISE. - La crise films -
elle brItannique (Jlaasbode, Telegraph,
•> Oerneen Handelsblad Nieuwe Rotter-
d Urnsche r Courant).
CIENERALE
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,%w al)0Uitir -, Ce qui importe le plus
£.'r:¡. aboulhr à Un rèuIemen.t avec la
Prane. C'est la question la plus grosse et
t'Out le domaine de
6°tre £ JultklUie nat^in ïf6 et ^Périale. La
"ee r
°oePter la logique des
et la li>j,er,, Pour toutes entre
,^ïtre faut 'pourtant se dé-
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l**' 611® moi® 41ftn enf°re' C6tte attitude au-
'laie a!§uë, ie ?ne courte période de
ne CDurte période, de
,,'^nce A,j0llrd'hiri GV ei' de l'Entente cor-
r,¡'h ClJourd'h' d L
la-le c~il Hl, il est trop tard. La
France et cela se comprend, est en proie à
l'exaltation du triopmphe, son cerveau actif
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à *e '!\!'iI ou°eUX qu'on lui propose.
II aut a^11 y 'lit Un retour non seulement
d'une LI 'COC, e ÈO, ~'ffe'ctiv ~e, mai6 une en-
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grv J;e t deux peuples, faute
èSnera entre eux une hostilité
d/q re^ois est aujourd'hui plus
.\ll'C1.I 1] 'fefois. C
(] sir^j, Parti^ a"
/11\ el' Urie' aUcun gOuvernement ne peut
lé %i Dr ut IL' rliptllre, avant qu'on ait tenté
~- d'oblenir un règlement
Mnl s convaincus
cjcetl t e lettre de M. Bonar Law, bien
qu'elle prête à de fausses interprétations, a
été écrite dans cet esprit.
L'épreuve décisive se présentera, 8IU cours
des quelques semaines qui vont suivre, sous
la forme de la question des réparations.
Nous ne pouvons rien faire pour l'Allema-
gne en ce moment sans nous chamailler
avec la France d'une façon qui ne peut avoir
pour effet que d'empoisonner l'Entente.
Nous ne pouvons rien faire pour l'Allema-
gne contre la France ; nous ne pouvons que
prolonger le chaos actuel. Il se peut que
nous fassions davantage pour stabiliser le
centre du continent et pour contribuer à la
reconstruction générale de l'Europe en tra-
vaillant avec la France et par son entre-
mise. Si ce dernier effort ne nous apporte
aucune perspective heureuse de ce côté, il
nous faudra reprendre notre liberté d'action.
C'est là, si nous le comprenons bien, ce
que voulait préciser M. Bonar Law dans
sa lettre. C'est la lourde responsabilité qui
incombe désormais à lord Curzon en sa
qualité de ministre des Affaires étrangères.
Avec lord Derby comme collègue, et après
l'avertissement public donné par le nou-
veau premier ministre, nous pouvons comp-
ter sur lord Curzon pour épuiser toutes
les ressources de la conciliation, mais il
faudra qu'il fasse preuve de fermeté en in-
vitant la France à choisir.
Nous nous permettons de suggérer à
lord Curzon que le succès des négociations
ne peut être assuré que d'une seule façon.
Il faut incontestablement qu'il y ait une
nouvelle Entente, embrassant toutes les
questions, envisageant comme un seul tout,
l'Orient et les réparations, ou l'Entente ces-
sera d'exister. Cette Entente devra être
fondée sur des avantages réciproques. D'un
côté, l'accord devra assurer définitivement
la sécurité et le rétablissement de la
France, mais de l'autre et dans une même
mesure La stabilité de l'Empire britannique
et le travail pour notre population ouvrière.
L'alternative n'est pas de nous désintéres-
ser de l'Europe, dans le sens trop préci-
pitamment attribué, il y a quinze jours, à
M. Bonar Law. Ce n'est pas ainsi que se
présente la question. Si après tous les
efforts que nous aurons tentés en vue d'un
accord sincère et complet avec la France,
nous n'arrivions pas à nous entendre avec
elle, il ne pourrait y avoir aucune raison
pour que nous ne nous entendissions pas
tout aussi bien avec la Russie, la Turquie
et l'Italie. Si nous le voulons bien, nous
avons plus à offrir à ces trois puissances
que ne peut leur donner aucun autre pays,
et nous pourrons conclure avec elles de
meilleurs arrangements au point de vue des
minorités chrétiennes. S'il le faut, nous de-
vrons poursuivre fermement et sans dévier
la réorganisation de l'Eurqpe en commen-
çant par l'autre bout. Mais toute la nation,
pour peu qu'elle puisse obtenir de nos voi-
sins une réciprocité satisfaisante, est en-
core prête à dire : La France d'abord !
OBSERVER, 22.10.
- Le correspondant du Daily Telegraph
à Paris signale les questions que pose à
l'opinion française l'arrivée aux affaires du
nouveau cabinet britannique :
De Paris, 23,10. — Une question dont on
s'occupe ici est de savoir si la note Balfour
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générale déclara nettement que la France
ne consentirait à aucune « réduction direc-
te » de sa créance. La France attache un
grand prix à la conférence de Bruxelles, à
laquelle cette question sera discutée, et elle
est déçue de voir que, l'on n'a rien fait pour
fixer la date de cette réunion. On parle
même ici à mots couverts de certaines tenta-
tives qui seraient faites en vue d'empêcher la
conférence de se réunir. Ce vif désir de con-
férences et la déception éprouvée lorsque
celles-ci sont ajournées témoignent d'un
nouvel esprit en matière de négociations in-
ternationales. Evidemment les voies pure-
ment diplomatiques par lesquelles il a fallu
conduire ces négociations ne jouissent plus
de la même faveur qu'après la conférence
de Cannes. Avec les élections britanniques,
d'une part, et la conférence sur l'Orient de
l'autre, il est manifeste qu'il ne peut pas
encore être question de fixer dès à présent
la date de la réunion de Bruxelles. Mais
quand la conférence se réunira, si elle se
réunit jamais, la France désire que la ques-
tion du contrôle des finances allemandes ait
été réglée à l'avance ; il convient, en effet,
à son avis que la commission des répara-
tions applique ces mesures de contrôle sans
plus attendre,et cela quelle que soit l'échelle
de paiements imposée à l'Allemagne pour
les années à venir. 1
On relève aussi de timides conjectures au
sujet de ce que sera la politique orientale du
nouveau gouvernement britannique Mais
on suppose que si lord Curzon reste au mi-
nistère des Affaires étrangères, les décisions
prises antérieurement seront maintenues
Un point sur lequel on ne fait preuve d'une
grande curiosité est de savoir sur quelle
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