Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 octobre 1922 24 octobre 1922
Description : 1922/10/24 (T22,N2187). 1922/10/24 (T22,N2187).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524855
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
jy* -
1 "STÈRE
DIES
PFAIRES I!l'I1.ANGÈRES
IN" 2187
Mardi 24 octobre 1922.
BnIletin. Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
°MMAIRE
^$SE ALJ
toire - Les Tableaux d'his-
01.re de GUillaume II : l'édition fran-
("ais l (IaTnbu-Ige, ^achrichten, Kreuz-
zeilung)* - Les réParations : le projet
4l'i tannique et le projet français (Kreuz-
eltung, Germania V ossische Zeitung).
- l'a dérniss ion du cabinet Lloyd
rge 'fOv?eitun9, Zeit) ; M. Bonar
lf a.:v et les reParatioins (Werner von
b von
b ■W F AMÉRICAINE - T
d ^ohibitinr^ - Les résultats de la loi
i Daily News). -
ùe VOya8e de M. Clemenceau aux Etats-
t LV Etate"
RESSE AN'GLAISE 1
!~ri~ Les réparations : le
projet b ,ta ,
britaw 1<^le et le projet français
C¡lrnes). - Le Proche Orient : un arti-
cle du général Townshend (Pall arti-
?!e du génvanl i
h Ja*ette). T°wnshend (Pall Mail
t-r^ ITALIENNE. r T- La démission du cabi-
not Lloyd George (COrrlere délia Sera ;
~~cchi dans Tribuna ; stampa).
POLITIQUE GENERALE
X|^MES
El RESPONSABILITÉS
tts DE LA GUERRE
I&Î^TAbiLEpAa, UX D'HISTOIRE DE GUIL-
N LIÉDITI ON FRANÇAISE.
fairp. i FRANÇAISE. -
'L AMANDE - En dehors du fait que
VIRE? °céder une t l^luction française des
^ble* dhistoi ecrits Patr l empereur
er>coriC lts Par l'empereur
Se j ?tr°duction qui va consciemment à
"lec espnt de cet ouvrage ne ca-
Wirip /nt'ematir>T gl.es d.e droit de la li-
i e Piia re avec ]<* Ù Î B^es de droit de la li-
'eUse e ^°incnj>A • e' lélucubration colé-
r'avaif PcirCWé r'IP ique une telle accu-
seulement d'injures dont on
totte juson';f1 l'habitude dans les re-
* d-iplorn Illiqlles, mais de falsifi,catio,ns
s> qu'il mais de falsifications
lrisi.,,,
tl est lrïlPossible de passer
!lUx d'h' , n peut avoir sur les Ta-
^e l'on V°lldra ÎI0 * empereur l'opinion
re qu- s n'en sont pas moins
f °rs de tout subjecti-
> £ > seuiZGm S1 fOUrnit à tout homme
its
litl. que Un e "Ilernble (le matériaux fondés
h VtiVe mais encore éclaircit de fa-
p*nt 'iesIH)nsahii-! esprit diroit la ques-
montrant Il absurdité d~ la guerre, en
il de la guerre, en
il })()l}SUb'11't sUrdité du rnenson ae de la
t de soi mensonge de la
vre de sOi "e l A:Jl.emagne. Néanmoins,
01 Cîu'il esï.t ^swire de poursui-
t ses d- Quand Poin-
the la du dimanche, qui
ensonge ^uis Gênes, a ac-
illé Ilge SUr mensonge, nous
avons dit ce que nous en pensions, mais
nous n'avons pas pris au sérieux ces mani-
festations d'une psychose de guerre mala-
dive. Cette fois, il s'agit de combattre dès le
début une nouvelle campagne pour propa-
ger dans le monde, par le moyen d'Havas
et de la librairie française et avec les res-
sources de l'Etat français, le mensonge de
la responsabilité allemande. Une des preu-
ves de la façon dont Poincaré part en
guerre contre les Tableaux de l'empereur,
c'est sa critique qualifiant de manœuvre
mensongère le fait que ni le Livre rouge
autrichien ni les documents publiés par
Kautsky n'y sont contenus. C'est le con-
traire qui est vrai, car les Tableaux de
l'empereur se bornent précisément à des
données de faits, et d'ailleurs un débutant
en politique devrait savoir que le socialiste
indépendant Karl Kautsky a rétracté ex-
pressément ses accusations contre le ré-
gime impérial allemand responsable de la
guerre, après avoir cherché en vain dans
les archives du ministère des Affaires étran-
gères allemand des preuves de la responsa-
bilité de l'Allemagne.
Pour ce qui est du plaidoyer de Poincaré
pour lord Grey, inutile de s'attacher à le ré-
futer, maintenant que des diplomates et des
ministères plénipotentiaires, des ambassa-
deurs de pays neutres et alliés ont fourni
à satiété les preuves de l'activité provoca-
trice de ce principal responsable de la
guerre. Un enfant ne se laisserait pas pren-
dre à l'histoire de Poincaré disant que Jules
Cambon et lord Grey n'ont échangé que des
correspondances d'esprit pacifique et que
les plans des états-majors alliés n'ont eu
qu'un caractère défensif. Le service fran-
çais de trois ans, bien qu'il n'ait été voté
qu'en 1913, a été, malgré toutes les tenta-
tives de dénégations de Poincaré, promis en
1912 à Pétersbourg. Ce serait, en outre,
apporter de l'eau à la fontaine que de vou-
loir réfuter les affirmations suivant les-
quelles la visite de Poincaré en Russie en
janvier 1914 n'aurait servi que des buts pa-
cifiques. Quand Poincaré affirme que des
conventions franco-belges pour le cas de la
mobilisation n'ont pas existé, nous nous
contenterons de rappeler que les archives
de Bruxelles, dont l'Allemagne a pu prendre
connaissance en 1914, font la pleine lumière
sur un plan anglo-belge pour le cas d'une
invasion allemande et sur le fait que la
France avait été mise au courant de ces
conventions par l'Angleterre. En dehors
des injures de la fin, Poincaré nous sert
à nouveau, dans la dernière partie de sa
préface, la légende suivant laquelle l'Alle-
magne a franchi la première la frontière
française. Nous attachons plus de foi aux
rapports d'officiers allemands et nous cons-
tatons que, malgré l'ordre relatif à la zone
de 10 kilomètres, ordre envisagé comme
manœuvre d'opinion, des patrouilles de ca-
valerie française n'avaient pas négligé de
se présenter en-deçà des poteaux-frontières,
avant-gardes des désirs belliqueux celtes.
HAMBURGER NACHRICHTEN,
20,10, matin.
- Les grossières injures de Poincaré au
kaiser ne font que découvrir sa mauvaise
conscience et cela ne vaut pas la peine de
s'y arrêter. Il faut cependant rectifier quel-
ques erreurs. Poincaré convient que, dès
l'année 1912, un échange de vues avait eu
lieu entre la France et l'Angleterre mais
avec un caractère purement défensif. Tou-
tes les alliances, en général, n'ont qu'un
caractère défensif et c'est une absurdité de
prétendre qu'il fallait s'attendre alors à une
offensive de l'Allemagne. Il y a plus loin une
autre erreur historique, à savoir que la
France n'aurait introduit qu'après l'Alle-
magne le service de trois ans, alors que
l'Allemagne avait encore le service de deux
ans au début de la guerre. L'accroissement
de l'armée allemande ne s'est fait qu'avec
la guerre, lorsqu'on se fut aperçu trop tard
de l'encerclement de l'Allemagne par l'En-
tente.
KREUZ-ZEITUNG, 20.10, matin.
—— ———
LES RÉPARATIONS
LE PROJET BRITANNIQUE ET LE PRO-
JET FRANÇAIS. - PRESSE ALLEMANDE. -
Nous sommes à la veille d'une nouvelle
crise des réparations. Le gouvernement
Wirth, qui emploie toute son activité à pro-
téger la République, aura bientôt à répon-
dre catégoriquement à cette question : veut-
il donner suite à ces nouvelles absurdités
sous une forme ou sous une autre ? L'effon-
drement de la politique d'exécution, notoire
depuis longtemps, mais que l'on s'est effor-
cé de masquer chez nous en s'oocupant le
moins possible de la question des répara-
tions, ne peut plus être dissimulé! L'Allema-
gne devra dire un non catégorique, ou bien
elle a cessé d'exister comme Etat indépen-
dant. Si le gouvernement allemand vit tou-
jours dans l'espoir que nos ennemis vont ar-
river à une conception plus saine de notre
détresse, il va éprouver à nouveau une très
grave désillusion. La situation aggravée par
la politique d'exécution a encore empiré de-
puis les derniers événements du Proche
Orient et le changement de cabinet en An-
gleterre.
KREUZ-ZEITUNG, 21.10.
Le projet de réparations de Barthou mon-
tre tien l'absence de plan de la politique
française des réparations, politique pleine
de contradictions évidentes. On peut donc
se poser logiquement la question de savoir
si la France tient réellement à obtenir une
1 "STÈRE
DIES
PFAIRES I!l'I1.ANGÈRES
IN" 2187
Mardi 24 octobre 1922.
BnIletin. Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
°MMAIRE
^$SE ALJ
toire - Les Tableaux d'his-
01.re de GUillaume II : l'édition fran-
("ais l (IaTnbu-Ige, ^achrichten, Kreuz-
zeilung)* - Les réParations : le projet
4l'i tannique et le projet français (Kreuz-
eltung, Germania V ossische Zeitung).
- l'a dérniss ion du cabinet Lloyd
rge 'fOv?eitun9, Zeit) ; M. Bonar
lf a.:v et les reParatioins (Werner von
b von
b ■W F AMÉRICAINE - T
d ^ohibitinr^ - Les résultats de la loi
i Daily News). -
ùe VOya8e de M. Clemenceau aux Etats-
t LV Etate"
RESSE AN'GLAISE 1
!~ri~ Les réparations : le
projet b ,ta ,
britaw 1<^le et le projet français
C¡lrnes). - Le Proche Orient : un arti-
cle du général Townshend (Pall arti-
?!e du génvanl i
h Ja*ette). T°wnshend (Pall Mail
t-r^ ITALIENNE. r T- La démission du cabi-
not Lloyd George (COrrlere délia Sera ;
~~cchi dans Tribuna ; stampa).
POLITIQUE GENERALE
X|^MES
El RESPONSABILITÉS
tts DE LA GUERRE
I&Î^TAbiLEpAa, UX D'HISTOIRE DE GUIL-
N LIÉDITI ON FRANÇAISE.
fairp. i FRANÇAISE. -
'L AMANDE - En dehors du fait que
VIRE? °céder une t l^luction française des
^ble* dhistoi ecrits Patr l empereur
er>coriC lts Par l'empereur
Se j ?tr°duction qui va consciemment à
"lec espnt de cet ouvrage ne ca-
Wirip /nt'ematir>T gl.es d.e droit de la li-
i e Piia re avec ]<* Ù Î B^es de droit de la li-
'eUse e ^°incnj>A • e' lélucubration colé-
r'avaif PcirCWé r'IP ique une telle accu-
seulement d'injures dont on
totte juson';f1 l'habitude dans les re-
* d-iplorn Illiqlles, mais de falsifi,catio,ns
s> qu'il mais de falsifications
lrisi.,,,
tl est lrïlPossible de passer
!lUx d'h' , n peut avoir sur les Ta-
^e l'on V°lldra ÎI0 * empereur l'opinion
re qu- s n'en sont pas moins
f °rs de tout subjecti-
> £ > seuiZGm S1 fOUrnit à tout homme
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litl. que Un e "Ilernble (le matériaux fondés
h VtiVe mais encore éclaircit de fa-
p*nt 'iesIH)nsahii-! esprit diroit la ques-
montrant Il absurdité d~ la guerre, en
il de la guerre, en
il })()l}SUb'11't sUrdité du rnenson ae de la
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01 Cîu'il esï.t ^swire de poursui-
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the la du dimanche, qui
ensonge ^uis Gênes, a ac-
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avons dit ce que nous en pensions, mais
nous n'avons pas pris au sérieux ces mani-
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dive. Cette fois, il s'agit de combattre dès le
début une nouvelle campagne pour propa-
ger dans le monde, par le moyen d'Havas
et de la librairie française et avec les res-
sources de l'Etat français, le mensonge de
la responsabilité allemande. Une des preu-
ves de la façon dont Poincaré part en
guerre contre les Tableaux de l'empereur,
c'est sa critique qualifiant de manœuvre
mensongère le fait que ni le Livre rouge
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Kautsky n'y sont contenus. C'est le con-
traire qui est vrai, car les Tableaux de
l'empereur se bornent précisément à des
données de faits, et d'ailleurs un débutant
en politique devrait savoir que le socialiste
indépendant Karl Kautsky a rétracté ex-
pressément ses accusations contre le ré-
gime impérial allemand responsable de la
guerre, après avoir cherché en vain dans
les archives du ministère des Affaires étran-
gères allemand des preuves de la responsa-
bilité de l'Allemagne.
Pour ce qui est du plaidoyer de Poincaré
pour lord Grey, inutile de s'attacher à le ré-
futer, maintenant que des diplomates et des
ministères plénipotentiaires, des ambassa-
deurs de pays neutres et alliés ont fourni
à satiété les preuves de l'activité provoca-
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Cambon et lord Grey n'ont échangé que des
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qu'un caractère défensif. Le service fran-
çais de trois ans, bien qu'il n'ait été voté
qu'en 1913, a été, malgré toutes les tenta-
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1912 à Pétersbourg. Ce serait, en outre,
apporter de l'eau à la fontaine que de vou-
loir réfuter les affirmations suivant les-
quelles la visite de Poincaré en Russie en
janvier 1914 n'aurait servi que des buts pa-
cifiques. Quand Poincaré affirme que des
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mobilisation n'ont pas existé, nous nous
contenterons de rappeler que les archives
de Bruxelles, dont l'Allemagne a pu prendre
connaissance en 1914, font la pleine lumière
sur un plan anglo-belge pour le cas d'une
invasion allemande et sur le fait que la
France avait été mise au courant de ces
conventions par l'Angleterre. En dehors
des injures de la fin, Poincaré nous sert
à nouveau, dans la dernière partie de sa
préface, la légende suivant laquelle l'Alle-
magne a franchi la première la frontière
française. Nous attachons plus de foi aux
rapports d'officiers allemands et nous cons-
tatons que, malgré l'ordre relatif à la zone
de 10 kilomètres, ordre envisagé comme
manœuvre d'opinion, des patrouilles de ca-
valerie française n'avaient pas négligé de
se présenter en-deçà des poteaux-frontières,
avant-gardes des désirs belliqueux celtes.
HAMBURGER NACHRICHTEN,
20,10, matin.
- Les grossières injures de Poincaré au
kaiser ne font que découvrir sa mauvaise
conscience et cela ne vaut pas la peine de
s'y arrêter. Il faut cependant rectifier quel-
ques erreurs. Poincaré convient que, dès
l'année 1912, un échange de vues avait eu
lieu entre la France et l'Angleterre mais
avec un caractère purement défensif. Tou-
tes les alliances, en général, n'ont qu'un
caractère défensif et c'est une absurdité de
prétendre qu'il fallait s'attendre alors à une
offensive de l'Allemagne. Il y a plus loin une
autre erreur historique, à savoir que la
France n'aurait introduit qu'après l'Alle-
magne le service de trois ans, alors que
l'Allemagne avait encore le service de deux
ans au début de la guerre. L'accroissement
de l'armée allemande ne s'est fait qu'avec
la guerre, lorsqu'on se fut aperçu trop tard
de l'encerclement de l'Allemagne par l'En-
tente.
KREUZ-ZEITUNG, 20.10, matin.
—— ———
LES RÉPARATIONS
LE PROJET BRITANNIQUE ET LE PRO-
JET FRANÇAIS. - PRESSE ALLEMANDE. -
Nous sommes à la veille d'une nouvelle
crise des réparations. Le gouvernement
Wirth, qui emploie toute son activité à pro-
téger la République, aura bientôt à répon-
dre catégoriquement à cette question : veut-
il donner suite à ces nouvelles absurdités
sous une forme ou sous une autre ? L'effon-
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depuis longtemps, mais que l'on s'est effor-
cé de masquer chez nous en s'oocupant le
moins possible de la question des répara-
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gne devra dire un non catégorique, ou bien
elle a cessé d'exister comme Etat indépen-
dant. Si le gouvernement allemand vit tou-
jours dans l'espoir que nos ennemis vont ar-
river à une conception plus saine de notre
détresse, il va éprouver à nouveau une très
grave désillusion. La situation aggravée par
la politique d'exécution a encore empiré de-
puis les derniers événements du Proche
Orient et le changement de cabinet en An-
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KREUZ-ZEITUNG, 21.10.
Le projet de réparations de Barthou mon-
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française des réparations, politique pleine
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