Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 octobre 1922 11 octobre 1922
Description : 1922/10/11 (T22,N2176). 1922/10/11 (T22,N2176).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252474c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
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D F, 8
*PpMaEs I!TRANGÈRES
1
N° 2176
Mercredi Il Octobre 1922
-
Bulletin , Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
- (
Pftion Un ^S(:ours du pasteur K'orell
Dation: un discours du pasteur Korell
au Congd'ès du IH:lIti démocrate (Frank-
farter Zeitung). - L'accord Krassine-
lJrqUhan : la I10n-ratification de l'ac-
cord par les SOvJels (Max Jordan dans
Berliner Tageblatt).
La question des Dé-
j| tl'OiU !U' m. °m- Kew York Herald).
! York I-Ierald).
accord de Paris du
PRESSE «OL«SE L accord de Paris du
7 Octobre (Manchester Guardian, Daily
Telc9ram' - La crise .orientale et les
apports anglo-it.aliens (Daily Tele-
grQPh). 1. Les déclarations de M. Lloyd
George Q la délégation travailliste (Mor-
rù)Uj pQs - L'accord Krassine-Urqu-
hat.^ , L accord Krassine-Urqu-
non~l a^^c'sitLon de l'accord par
les oVlels (DailU Express, Daily News).
p ESSE rrALlENNE T Bavière et le sépara-
tislhe (Roberto Cantalnpo dans Resto
del Carlino). ° Cantallipo dans Resto
POLITIQUE GENERALE
----
lE PROCHE ORIENT
L'ACCORD DE PARî IS OCTOBRE ) .— SOUS
1) DE PARIS (7 OCTOBRE).- SOUS
^ENTI 0ri de ]yj T. 0 la France. - L'in-
fyis fi.°ctQbre FrDnklin-Bouillon ». — De
M.p ^!ncaré : En apprèciantl l'attitude
ce rt t du -.
Ce qu', e du gouvernement"françaIs
°'Ve,c l'AnrfW^Uesti°n de la colla-
ûSyé f' il est très im-
c aîitr^ itenir comrt du choix fait comme
des kernalistes de M. Fran-
d,?^ori qUi'ûnénnuïïiat0Ur de cet accord
t Ut\ , qui elitit les accorde antérieurs
rt alliése^tre eux. /1" Franklin-Bouillon
jeunes déput-és au Parlement
l' n'êhu au Parlement
q'An.!10f aIt connu jusqu'à son ex-
1:5 a qUe Pour son arrivisme et
par la réputation qu'il s'était faite d'hom-
me d'affaires malin.
»
La plupart des hommes politiques sérieux
et honnêtes de la France désapprouvèrent
l'accord d'Angora au moment où il fut con-
clu. M. Poincaré lui-même, qui faisait par-
tie alors de l'opposition, fut un de ceux qui
protestèrent le plus énergiquement contre
cet accord. Et cependant ce fut M. Franklin-
Bouillon que M. Poincaré obligea les An-
glais à accepter comme interprèle de la
note adressée aux Turcs par les alliés.
Il est probable que M. Poincaré obéissait
en cette affaire non pas au désir d'humi-
lier l'Angleterre, mais à des considérations
de politique purement intérieures. On parle
— à bon escient, paraît-il — d'un projet con-
sistant à opposer aux prochaines élections,
à l'un des ennemis les plus acharnés de
M. Poincaré, M. André Tardieu, jadis le
bras droit de M. Clemenceau, une liste dans
laquelle figurerait M. Franklin-Bouillon.
Dans le jeu complexe de la politique inté-
rieure française, même l'appui de M. Fran-
klin-Bouillon pourra être utile à M. Poin-
caré et au bloc national aux prochaines
élections.
A Moudania, M. Franklin-Bouillon a
réussi à obtenir du général britannique, sur
la foi de sa haute mission interalliée, l'au-
torisation de participer aux délibérations. Il
profita, de cet acte de courtoisie pour annon-
cer aux Turcs que la France, quoi qu'il
advînt, ne se joindrait pais. à l'Angleterre
pour résister à leurs exigences par la force
des armes, et que les troupes françaises
seraient retirées de Gallipoli, comme elles
l'avaient été de Tchanak, s'ils jugeaient bon
d'attaquer. Les Turcs, ainsi qu'il était de
leur devoir dans ces conditions, après s'être
montrés tout disposés à accepter les con-
cessions raisonnables des alliés, demandè-
rent. dès lors que la Thrace leur fût remise
avant la signature de la paix. M. Franklin-
Bouillon, de l'aveu de la plus grande partie
de la presse française, ne se .contenta pas de
souscrire immédiatement à cette demande
- si même il ne l'avait pas inspirée - mais
persuada même les généraux représentant
son pays et l'Italie d'en faire autant. Telle
est l'unique cause de la crise qui s'est pro-
duite ces derniers jours. — (Du correspon-
dant spécial.)
MANCHESTER GUARDIAN, 9.10.
LE RÔLE DE LORD CURZON. — Sous le titre :
« Lord Curzon et le premier ministre fran-
çais ». — De Paris, 8 octobre : Plus d'un
journal donne à entendre ici que dans les
rapports qu'il a envoyés de Paris, lord Cur-
zon aurait signifié que si les décisions
prises n'avaient pas l'approbation d-3 ses
collègues, il se verrait dans la né-ess té
d'examiner à son retour à Londres s'il
pourrait maintenir son concours au cabinet.
L'interprétation donnée au résultat de ses
efforts est qu'en éclaircissant l'atmosphère
diei Paris., chargée de nuages par la teneur
des dépêches de Constantinople, il a forte-
mient déçu certains ministres britanniques
désireux de vider une bonne fois leur que-
relle avec les Turcs.
D'après une opinion que l'on entend sou-
vent exprimer ici, une transactibn aurait
été réalisée ici au cours des trois séances
tenues au Quai d'Orsay. Qu'il s'agisse
d'une transaction ou d'un accord, le fait est
que lord Curzon rapporte de ses six heures
de conversation la paix et l'honneur. Il
était venu à Paris pour faire échec à l'ac-
tivité attribuée à M. Fralnklin-Bouillon et
qui pouvait avoir pour effet, si on n'y met-
tait bon ordre, de provoquer une collision
entre les troupes turques et britanniques
On croit savoir que sur ce point M. Poin-
caré a pu démentir l'allégation suivant la-
quelle l'activité de M. Franklin-Bouillon se
sentit exercée dans le sens soupçonné en
Angleterre. On nous affirme même que les
Turcs n'ont pas cherché à occuper la Thrace
orientale avant la conférence de la paix
Quoi qu'il en soit, les décisions d'hier les
empêcheront de pénétrer dans une région
sur laquelle ils ont les yeux fixés depuis
leur victoire sur les Grecs en Asie Mi-
neure.
D'autre part. l'accord Curzon-Poinçaré assure
la protection des minorités en donnant aux
500.000 chrétiens de la Thrace orientale et aux
700.000 chrétiens de Constantinople le temps de
partir avant que les Turcs n'entrent en posses-
sion de ces territoires. De ce point de vue en-
core la consultation entre lord Curzon et
M. Poincaré était nécessaire.
L'opinion officielle britannique est qu'il a
été trouvé une formule raisonnable et que
si elle est acceptée on peut être assuré
qu'un règlement interviendra. Cette formule
accorde aux Turcs dans un délai raisonna-
ble tout ce qu'ils sont fondés à demander et
si on l'applique convenablement, le danger
d'une incursion précipitée d'ans la Thrace
orientale sera évité. Le grand point acquis
réside dans l'occasion donnée aux popula-
tions chrétiennes de partir. Il est à noter
aussi que la note alliée a reçu une nouvelle
confirmation et que sir Charles Harington
aura désormais pour le guider des instruc-
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N° 2176
Mercredi Il Octobre 1922
-
Bulletin , Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
- (
Pftion Un ^S(:ours du pasteur K'orell
Dation: un discours du pasteur Korell
au Congd'ès du IH:lIti démocrate (Frank-
farter Zeitung). - L'accord Krassine-
lJrqUhan : la I10n-ratification de l'ac-
cord par les SOvJels (Max Jordan dans
Berliner Tageblatt).
La question des Dé-
j| tl'OiU !U' m. °m- Kew York Herald).
! York I-Ierald).
accord de Paris du
PRESSE «OL«SE L accord de Paris du
7 Octobre (Manchester Guardian, Daily
Telc9ram' - La crise .orientale et les
apports anglo-it.aliens (Daily Tele-
grQPh). 1. Les déclarations de M. Lloyd
George Q la délégation travailliste (Mor-
rù)Uj pQs - L'accord Krassine-Urqu-
hat.^ , L accord Krassine-Urqu-
non~l a^^c'sitLon de l'accord par
les oVlels (DailU Express, Daily News).
p ESSE rrALlENNE T Bavière et le sépara-
tislhe (Roberto Cantalnpo dans Resto
del Carlino). ° Cantallipo dans Resto
POLITIQUE GENERALE
----
lE PROCHE ORIENT
L'ACCORD DE PARî IS OCTOBRE ) .— SOUS
1) DE PARIS (7 OCTOBRE).- SOUS
^ENTI 0ri de ]yj T. 0 la France. - L'in-
fyis fi.°ctQbre FrDnklin-Bouillon ». — De
M.p ^!ncaré : En apprèciantl l'attitude
ce rt t du -.
Ce qu', e du gouvernement"françaIs
°'Ve,c l'AnrfW^Uesti°n de la colla-
ûSyé f' il est très im-
c aîitr^ itenir comrt du choix fait comme
des kernalistes de M. Fran-
d,?^ori qUi'ûnénnuïïiat0Ur de cet accord
t Ut\ , qui elitit les accorde antérieurs
rt alliése^tre eux. /1" Franklin-Bouillon
jeunes déput-és au Parlement
l' n'êhu au Parlement
q'An.!10f aIt connu jusqu'à son ex-
1:5 a qUe Pour son arrivisme et
par la réputation qu'il s'était faite d'hom-
me d'affaires malin.
»
La plupart des hommes politiques sérieux
et honnêtes de la France désapprouvèrent
l'accord d'Angora au moment où il fut con-
clu. M. Poincaré lui-même, qui faisait par-
tie alors de l'opposition, fut un de ceux qui
protestèrent le plus énergiquement contre
cet accord. Et cependant ce fut M. Franklin-
Bouillon que M. Poincaré obligea les An-
glais à accepter comme interprèle de la
note adressée aux Turcs par les alliés.
Il est probable que M. Poincaré obéissait
en cette affaire non pas au désir d'humi-
lier l'Angleterre, mais à des considérations
de politique purement intérieures. On parle
— à bon escient, paraît-il — d'un projet con-
sistant à opposer aux prochaines élections,
à l'un des ennemis les plus acharnés de
M. Poincaré, M. André Tardieu, jadis le
bras droit de M. Clemenceau, une liste dans
laquelle figurerait M. Franklin-Bouillon.
Dans le jeu complexe de la politique inté-
rieure française, même l'appui de M. Fran-
klin-Bouillon pourra être utile à M. Poin-
caré et au bloc national aux prochaines
élections.
A Moudania, M. Franklin-Bouillon a
réussi à obtenir du général britannique, sur
la foi de sa haute mission interalliée, l'au-
torisation de participer aux délibérations. Il
profita, de cet acte de courtoisie pour annon-
cer aux Turcs que la France, quoi qu'il
advînt, ne se joindrait pais. à l'Angleterre
pour résister à leurs exigences par la force
des armes, et que les troupes françaises
seraient retirées de Gallipoli, comme elles
l'avaient été de Tchanak, s'ils jugeaient bon
d'attaquer. Les Turcs, ainsi qu'il était de
leur devoir dans ces conditions, après s'être
montrés tout disposés à accepter les con-
cessions raisonnables des alliés, demandè-
rent. dès lors que la Thrace leur fût remise
avant la signature de la paix. M. Franklin-
Bouillon, de l'aveu de la plus grande partie
de la presse française, ne se .contenta pas de
souscrire immédiatement à cette demande
- si même il ne l'avait pas inspirée - mais
persuada même les généraux représentant
son pays et l'Italie d'en faire autant. Telle
est l'unique cause de la crise qui s'est pro-
duite ces derniers jours. — (Du correspon-
dant spécial.)
MANCHESTER GUARDIAN, 9.10.
LE RÔLE DE LORD CURZON. — Sous le titre :
« Lord Curzon et le premier ministre fran-
çais ». — De Paris, 8 octobre : Plus d'un
journal donne à entendre ici que dans les
rapports qu'il a envoyés de Paris, lord Cur-
zon aurait signifié que si les décisions
prises n'avaient pas l'approbation d-3 ses
collègues, il se verrait dans la né-ess té
d'examiner à son retour à Londres s'il
pourrait maintenir son concours au cabinet.
L'interprétation donnée au résultat de ses
efforts est qu'en éclaircissant l'atmosphère
diei Paris., chargée de nuages par la teneur
des dépêches de Constantinople, il a forte-
mient déçu certains ministres britanniques
désireux de vider une bonne fois leur que-
relle avec les Turcs.
D'après une opinion que l'on entend sou-
vent exprimer ici, une transactibn aurait
été réalisée ici au cours des trois séances
tenues au Quai d'Orsay. Qu'il s'agisse
d'une transaction ou d'un accord, le fait est
que lord Curzon rapporte de ses six heures
de conversation la paix et l'honneur. Il
était venu à Paris pour faire échec à l'ac-
tivité attribuée à M. Fralnklin-Bouillon et
qui pouvait avoir pour effet, si on n'y met-
tait bon ordre, de provoquer une collision
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On croit savoir que sur ce point M. Poin-
caré a pu démentir l'allégation suivant la-
quelle l'activité de M. Franklin-Bouillon se
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Angleterre. On nous affirme même que les
Turcs n'ont pas cherché à occuper la Thrace
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Quoi qu'il en soit, les décisions d'hier les
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leur victoire sur les Grecs en Asie Mi-
neure.
D'autre part. l'accord Curzon-Poinçaré assure
la protection des minorités en donnant aux
500.000 chrétiens de la Thrace orientale et aux
700.000 chrétiens de Constantinople le temps de
partir avant que les Turcs n'entrent en posses-
sion de ces territoires. De ce point de vue en-
core la consultation entre lord Curzon et
M. Poincaré était nécessaire.
L'opinion officielle britannique est qu'il a
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si elle est acceptée on peut être assuré
qu'un règlement interviendra. Cette formule
accorde aux Turcs dans un délai raisonna-
ble tout ce qu'ils sont fondés à demander et
si on l'applique convenablement, le danger
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