Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 04 octobre 1922 04 octobre 1922
Description : 1922/10/04 (T22,N2170). 1922/10/04 (T22,N2170).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252468n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
f Ministère
DES
AFPAIaES ÊTRANGÈRES
Il -
N" 2170
Mercredi 4 octobre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
-
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, integrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La Grèce et la Thrace
(Fm rr,t,r
PRESSE ANGLAISE. - La politique britanni-
QUE et kt française dans le Proche
Ori (Daily Chronicle, Manchester
rt)Ul ^(lan' failli Xews, Morning Post,
Sunday Times). — Les entretiens de
\i„n ,an'. a (Daily Mail). — La révolution
rrlw. Ue ,le rôle de M. Venizelos et de
sir n611 Zaharoff .(DaÜy Herald).
P^SSF ITAI'IENNE' - « Le danger vénizé-
Liste et la crise orienta,le » (Corriere
.) Vital1' 0Y Le problème autrichien et
*" i J Itahe (,Tribuna).
Politique GENERALE
LE PROCHE ORIENT
AV î? LEs NEGOCIATIONS DE PAIX.
- u
BRITANNIQUE ET LA FRANÇAISE.
"'I les titres l( Oui a travaillé pour la
P^ix ? La Volitique française en Orient. »
-^funtpn11' que la menace de guerre
Mence à S ®-Vano'uir, tous les fauteurs de
'sicordo, vrv ^c^aran't que si elle disparaît
indi orüce à leurs efforts. Il est donc
18Pensable d«e Proclamer la vérité.
4 Rénér a f 81r F. Maurice, soldat capable
1 a des griefs personnels à
re Valoir! COntre f'e premier ministre, en-
voie ~ernii Contre le premier ministre, en-
PIe depio quelque femps de Constantino-
des d^nAClies dont il ressort que par
lâfiq Idrn irable rnodérafion sir Charles Ha-
SA" a preSe'l'Vé le gouvernement contre
ses extrérni S nous auraient précipi-
r dans S gUerre.
l,a V,erIt'
La vérité est des plus simples.
-
défection des Français et
1 se 8 Cr?ée,s I)ar certaines factions
en Anerl u creee.s par c81rtaines a,c, Ions
faire év eterre, emtil pensait pouvoir nous
f~ évacuer TChanak en employant con-
tnoils dee rvethi odes d'intimidation. Il eut
n ~s. p..
flItration Par Conséquent, au procédé de l'in-
filtration auquel le gOuvernement sincère-
d'a l'é8istan e a la puix, ne pouvait opposer
Distance sans encourir le reproche
Il .est "'cé les hostilités.
Il est n>ani ? este ^ue S1 cette infiltration
retranchrslsté et si les Turcs avaient pu se
ne h er dans leurs Positions, il leur eût
ji, e gêner lia. navigation dans les
LF: n s attaquer vraiment Tchanak
vi® KOLe Dît
Virent t inTNÉRAL ^ariNGTON. - Le gou-
arlTlflto nt par conséquent, au général
^0r*, à nQ11 près le langage suivant :
voui0nsPreserver la paix, mais
trlok. Soi1 r ons pas que la défense de Tcha-
t4k.~ oit endue impossible ou futile.
« Vous êtes mieux placé que personne
pour juger quand l'infiltration aura atteint la
limite à laquelle il deviendra nécessaire d'y
mettre un terme immédiat. Faites pour le
mieux. Nous vous couvrirons. »
C'est la seule base sur laquelle repose la
légende suivant laquelle sir Charles Haring-
ton serait plus modéré que le gouverne-
ment. S'il a réussi à convaincre Kemal que
son bluff n'avait aucune chance de réussir,
c'est uniquement par suite de la fermeté
dont faisait preuve le gouvernement.
Occupons-nous maintenant des Français
et des journalistes anglais, leurs dupes, qui
ont fait tout ce qu'ils ont pu pour venir en
aide à Kemal et pour créer des embarras
au gouvernement dans ce qu'on est obligé
de considérer comme une des plus grandes
crises de notre histoire, si nous avons sin-
cèrement le désir de maintenir la liberté
des Détroits.
Nos adversaires nous crient sur tous les
tons : « Nous vous avons préservés de la
guerre. M. Lloyd George est un extrémiste.
Et nous avons maintenu la paix en lui sau-
vant la face. »
C'est travestir la vérité.
L'APPUI PRETÉ AU TURC. — Ce qu'ils ont
fait en réalité, c'est de rendre à peu près
certain le retour des Turcs en Turace. Et
en cela ils ont eu l'appui — qu'en dirait
Gladstone ! — de ceux qui s'intitulent IlIÏÍbé-
raux indépendants, mais dont les leaders
actuels n'ont négligé, dans le passé, aucune
occasion d'intriguer contre les articles de la
foi libérale des masses, leaders dont le li-
béralisme est pour ainsi dire étouffé par
les préoccupations d'une mesquine ven-
detta personnelle.
Il convient toutefois d'affranchir M. As-
quith de ce reproche. Il se rappelle trop
bien ces journées terribles de 1914, où la
Turquie a pris traîtreusement le parti de
l'ennemi, et il n'a pas dit un seul mot, pen-
dant la crise récente, qui pM rendre plus
difficile au gouvernement la tâche de mettre
à exécution une politique qui est en même
temps la sienne.
L'ÉCHEC DES FAUTEURS DE GUERRE. — A
part Je retour des Turcs en Thrace, les at-
taques des adversaires du gouvernement
ont échoué sur toute la ligne. Ils n'ont pas
réussi à faire naître la guerre qui aurait été
inévitable si on leur avait cédé. Ils n'ont
pas réussi à empêcher le gouvernement de
poursuivre la seule politique capable de
maintenir la paix. C'était autant de gagné.
Mais la paix se trouvait menacée encore
par les encouragements prodigués à Ke-
mal. par quelques prétendus libéraux, par
certains groupes factieux de la presse et
d'une façon générale par tous ceux dont l'a-
nimosité contre M. Lloyd George est si
forte, qu'elle en fait les dupes de la propa-
gande française.
Le danger auquel nous avons été exposés
est si grave qu'il est nécessaire de s'en
expliquer franchement. Nous espérons que
l'Entente continuera. Mais elle ne saurait
continuer sur la base actuelle qui fait subir,
périodiquement, à notre pays de la part de
la presse parisienne une sorte de chantage
et qui consiste apparemment à exiger que
la politique britannique soit traînée à la
remorque de la politique française dans le
Proche Orient, politique qui indique une
partie aussi considérable du corps électoral
français que du nôtre.
Je dis traînée à la remorque de la poli-
tique française, en pensant au commentaire
de lord Salisbury, le leader des Diehards,
sur la lettre monstrueuse de lord Grey,
nous exhortant à ne pas mous rendre cou-
pables d'une « action séparée ».
« Je ne veux pas dire par là, écrivait lord
Salisbury, que notre politique doive se su-
bordonner complètement à la politique de
la France. »
Jamais, depuis l'époque de Charles II, la
dignité de la politique anglaise n'a été à un
tel point ravalée. Ce n'est pas étonnant que
la presse française prenne des libertés à
notre égard. Si l'Entente doit continuer, il
faut que ce soit sur un pied d'égalité. Il faut
que les Français consentent des sacrifices
à l'amitié tout comme nous.
Mais laissant de côté la Thrace, où no-
tre politique a cédé à celle de la France,
passons à la question des Dardanelles, où
elle a très justement refusé de céder.
LE DANGER DE TCHANAK. — Que serait-il ar-
rivé si nous nous étions retirés de Tchanak,
comme on nous exhortait de le faire en dé-
naturant les faits de mille manières et en
ayant recours à tous les artifices connus
dont on peut se servir pour « travailler »
l'opinion publique.
Il est reconnu que les troupes turques
postées sur la rive asiatique des Détroits
auraient pu empêcher les transports d'y
circuler. Les Turcs auraient été absolument
maîtres de la situation. Peut-être aurions-
nous été obligés de nous battre pour retirer
nos troupes de Constantinople.
LE MYSTÈRE DE L'ATTITUDE FRANÇAISE. —
Pourquoi, demandera-t-on, la France en in-
sistant pour obtenir l'évacuation de Tcha-
nak et l'élimination du facteur de la puis-
sance maritime anglaise qui en eût résulté,
était-elle à un tel point désireuse de se jeter
et de nous jeter nous-mêmes dans la gueule
de ce nouveau lion turc ? Ce n'est pas fa-
cile à comprendre, mais le fait subsiste
qu'elle s'est retirée de la Cilicie devant quel-
ques milliers de Turcs et qu'elle s'est, retirée
de Tchanak et d'Ismidt. en nous laissant
seuls pour tenir tête à 10.000 Turcs peut-
être.
Le fait subsiste qu'elle se considérait
comme obligée de ne combattre en aucun
DES
AFPAIaES ÊTRANGÈRES
Il -
N" 2170
Mercredi 4 octobre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
-
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, integrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La Grèce et la Thrace
(Fm rr,t,r
PRESSE ANGLAISE. - La politique britanni-
QUE et kt française dans le Proche
Ori (Daily Chronicle, Manchester
rt)Ul ^(lan' failli Xews, Morning Post,
Sunday Times). — Les entretiens de
\i„n ,an'. a (Daily Mail). — La révolution
rrlw. Ue ,le rôle de M. Venizelos et de
sir n611 Zaharoff .(DaÜy Herald).
P^SSF ITAI'IENNE' - « Le danger vénizé-
Liste et la crise orienta,le » (Corriere
.) Vital1' 0Y Le problème autrichien et
*" i J Itahe (,Tribuna).
Politique GENERALE
LE PROCHE ORIENT
AV î? LEs NEGOCIATIONS DE PAIX.
- u
BRITANNIQUE ET LA FRANÇAISE.
"'I les titres l( Oui a travaillé pour la
P^ix ? La Volitique française en Orient. »
-^funtpn11' que la menace de guerre
Mence à S ®-Vano'uir, tous les fauteurs de
'sicordo, vrv ^c^aran't que si elle disparaît
indi orüce à leurs efforts. Il est donc
18Pensable d«e Proclamer la vérité.
4 Rénér a f 81r F. Maurice, soldat capable
1 a des griefs personnels à
re Valoir! COntre f'e premier ministre, en-
voie ~ernii Contre le premier ministre, en-
PIe depio quelque femps de Constantino-
des d^nAClies dont il ressort que par
lâfiq Idrn irable rnodérafion sir Charles Ha-
SA" a preSe'l'Vé le gouvernement contre
ses extrérni S nous auraient précipi-
r dans S gUerre.
l,a V,erIt'
La vérité est des plus simples.
-
défection des Français et
1 se 8 Cr?ée,s I)ar certaines factions
en Anerl u creee.s par c81rtaines a,c, Ions
faire év eterre, emtil pensait pouvoir nous
f~ évacuer TChanak en employant con-
tnoils dee rvethi odes d'intimidation. Il eut
n ~s. p..
flItration Par Conséquent, au procédé de l'in-
filtration auquel le gOuvernement sincère-
d'a l'é8istan e a la puix, ne pouvait opposer
Distance sans encourir le reproche
Il .est "'cé les hostilités.
Il est n>ani ? este ^ue S1 cette infiltration
retranchrslsté et si les Turcs avaient pu se
ne h er dans leurs Positions, il leur eût
ji, e gêner lia. navigation dans les
LF: n s attaquer vraiment Tchanak
vi® KOLe Dît
Virent t inTNÉRAL ^ariNGTON. - Le gou-
arlTlflto nt par conséquent, au général
^0r*, à nQ11 près le langage suivant :
voui0nsPreserver la paix, mais
trlok. Soi1 r ons pas que la défense de Tcha-
t4k.~ oit endue impossible ou futile.
« Vous êtes mieux placé que personne
pour juger quand l'infiltration aura atteint la
limite à laquelle il deviendra nécessaire d'y
mettre un terme immédiat. Faites pour le
mieux. Nous vous couvrirons. »
C'est la seule base sur laquelle repose la
légende suivant laquelle sir Charles Haring-
ton serait plus modéré que le gouverne-
ment. S'il a réussi à convaincre Kemal que
son bluff n'avait aucune chance de réussir,
c'est uniquement par suite de la fermeté
dont faisait preuve le gouvernement.
Occupons-nous maintenant des Français
et des journalistes anglais, leurs dupes, qui
ont fait tout ce qu'ils ont pu pour venir en
aide à Kemal et pour créer des embarras
au gouvernement dans ce qu'on est obligé
de considérer comme une des plus grandes
crises de notre histoire, si nous avons sin-
cèrement le désir de maintenir la liberté
des Détroits.
Nos adversaires nous crient sur tous les
tons : « Nous vous avons préservés de la
guerre. M. Lloyd George est un extrémiste.
Et nous avons maintenu la paix en lui sau-
vant la face. »
C'est travestir la vérité.
L'APPUI PRETÉ AU TURC. — Ce qu'ils ont
fait en réalité, c'est de rendre à peu près
certain le retour des Turcs en Turace. Et
en cela ils ont eu l'appui — qu'en dirait
Gladstone ! — de ceux qui s'intitulent IlIÏÍbé-
raux indépendants, mais dont les leaders
actuels n'ont négligé, dans le passé, aucune
occasion d'intriguer contre les articles de la
foi libérale des masses, leaders dont le li-
béralisme est pour ainsi dire étouffé par
les préoccupations d'une mesquine ven-
detta personnelle.
Il convient toutefois d'affranchir M. As-
quith de ce reproche. Il se rappelle trop
bien ces journées terribles de 1914, où la
Turquie a pris traîtreusement le parti de
l'ennemi, et il n'a pas dit un seul mot, pen-
dant la crise récente, qui pM rendre plus
difficile au gouvernement la tâche de mettre
à exécution une politique qui est en même
temps la sienne.
L'ÉCHEC DES FAUTEURS DE GUERRE. — A
part Je retour des Turcs en Thrace, les at-
taques des adversaires du gouvernement
ont échoué sur toute la ligne. Ils n'ont pas
réussi à faire naître la guerre qui aurait été
inévitable si on leur avait cédé. Ils n'ont
pas réussi à empêcher le gouvernement de
poursuivre la seule politique capable de
maintenir la paix. C'était autant de gagné.
Mais la paix se trouvait menacée encore
par les encouragements prodigués à Ke-
mal. par quelques prétendus libéraux, par
certains groupes factieux de la presse et
d'une façon générale par tous ceux dont l'a-
nimosité contre M. Lloyd George est si
forte, qu'elle en fait les dupes de la propa-
gande française.
Le danger auquel nous avons été exposés
est si grave qu'il est nécessaire de s'en
expliquer franchement. Nous espérons que
l'Entente continuera. Mais elle ne saurait
continuer sur la base actuelle qui fait subir,
périodiquement, à notre pays de la part de
la presse parisienne une sorte de chantage
et qui consiste apparemment à exiger que
la politique britannique soit traînée à la
remorque de la politique française dans le
Proche Orient, politique qui indique une
partie aussi considérable du corps électoral
français que du nôtre.
Je dis traînée à la remorque de la poli-
tique française, en pensant au commentaire
de lord Salisbury, le leader des Diehards,
sur la lettre monstrueuse de lord Grey,
nous exhortant à ne pas mous rendre cou-
pables d'une « action séparée ».
« Je ne veux pas dire par là, écrivait lord
Salisbury, que notre politique doive se su-
bordonner complètement à la politique de
la France. »
Jamais, depuis l'époque de Charles II, la
dignité de la politique anglaise n'a été à un
tel point ravalée. Ce n'est pas étonnant que
la presse française prenne des libertés à
notre égard. Si l'Entente doit continuer, il
faut que ce soit sur un pied d'égalité. Il faut
que les Français consentent des sacrifices
à l'amitié tout comme nous.
Mais laissant de côté la Thrace, où no-
tre politique a cédé à celle de la France,
passons à la question des Dardanelles, où
elle a très justement refusé de céder.
LE DANGER DE TCHANAK. — Que serait-il ar-
rivé si nous nous étions retirés de Tchanak,
comme on nous exhortait de le faire en dé-
naturant les faits de mille manières et en
ayant recours à tous les artifices connus
dont on peut se servir pour « travailler »
l'opinion publique.
Il est reconnu que les troupes turques
postées sur la rive asiatique des Détroits
auraient pu empêcher les transports d'y
circuler. Les Turcs auraient été absolument
maîtres de la situation. Peut-être aurions-
nous été obligés de nous battre pour retirer
nos troupes de Constantinople.
LE MYSTÈRE DE L'ATTITUDE FRANÇAISE. —
Pourquoi, demandera-t-on, la France en in-
sistant pour obtenir l'évacuation de Tcha-
nak et l'élimination du facteur de la puis-
sance maritime anglaise qui en eût résulté,
était-elle à un tel point désireuse de se jeter
et de nous jeter nous-mêmes dans la gueule
de ce nouveau lion turc ? Ce n'est pas fa-
cile à comprendre, mais le fait subsiste
qu'elle s'est retirée de la Cilicie devant quel-
ques milliers de Turcs et qu'elle s'est, retirée
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