Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 septembre 1922 30 septembre 1922
Description : 1922/09/30 (T22,N2167). 1922/09/30 (T22,N2167).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252465d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
1 MINISTÈRE
ApekInEs IDICS
i ÉTRANGÈRES
N° 2167
Samedi 30 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque..
SOMMAIRE
PHESSE ALLEMANOE. - L'abdication de Cons-
P tantin (Frankturter Zeitùng).
Pr> £ Ss M,IÉRlCAINE. - Les Etats-Unis et la
%ciété des nations (Chicago Daily Trir-
burie)
tin V\\a prAjSE- — L'abdication de Constan-
n V Tovnbee dans Manchester
Ileutre: - la question de la zone
neutre (Jlorning Post, Daily Telegraph,
bai]H Chronicle, Westminster Gazette).
^esse ITNLIFNNF, Une interview de Gela-
I ledclin AArif bey (Tribuna.).
POLITIQUE GENERALE
LE PROCHE ORIENT
~i RPVOLUTMN GRECQUE. - L'AB-
MANI,,, DU ROI CONSTANTIN. - PRESSE ALLE-
,têt'or .- la Frankfurter Zeitung la
révolution militaire qui vient d'éclater en
rece est Un mOUvement. dont le but serait
rèce
d'essayer de 00nserver la T~r essayer conserver la Tlirace à la
ple roi Co nstantin était aimé dans le peu-
pot, 1, dans l'armée. Son nom était
qlJe 1 Un eomme Pour l autie la garantie
c?? '^s iêves iiatioliaux seraient réalisés,
ces r,ivPs Qui dataient du dernier Paléolo-
gue Constanti n XIII et fai lé 1
et faisaient prévoir
V^ne trée- (ju m aorzième Constantin par la
croYal1 - r dans Constantinople, ou, disait la
cavance POpulaire il devait mourir deux
s aPrès.
roi Constantin a été surtout en 1,11 ttc «
h^'lité cle la
Cependant pour ce de l.a France.
cett e rév ce qui EST de la Franc.
t'enfin la ~!UhO? ne semble Pas lui avoir
la situation^! facile. Kemal Pacha
Parait Suèrp porté à céder comme cela
gences, ésentations de la France, Ses eXI-
a\iv représentit; T la Fpance- Ses exi*
Serin déjàerltl()Illlées hier, ne viennent
s doute as de hli-même mais du repré-
Sent *11 de ^nla TnZT'le k"»«liste à Constan-
tin ]>p,[ent quand même qu'An-
gora ne se contentera pas des assurances
de l'Entente mais qu'elle exgera d'opérer
-même la restitution de la Thrace. La
réserve dp Kemal n'~est pas seule-
1,é8ard Kemal n'est pas seule-
egard d oqUee par sa propre défiance à
0e11t1\le8, e:uass,urances des puissances occi-
dental es, elle l'est é rernent aussi par l'at-
e s«s offici
suite e U victoire s gonflés d'orgueil à la
Par j
Par le et peut-être également
* d Angora animé de
sentiments analogues. Tant que les Grecs
resteront en Thrace avec de forts contin-
gents de troupes, les nationalistes turcs res-
sentiront ce fait comme une provocation et
douteront en même temps que l'Entente
réussisse à obtenir des Grecs leur retraite
derrière la Maritza. Il va sans dire que cette
attente de Kemal, dont on soupçonne bien
le sens, produit à Paris un certain malaise.
La bonne volonté de Kemal était en effet
jusqu'à un certain degré l'hypothèse sur la-
quelle la France avait fondé sa politique
contre l'Angleterre. Au lieu de cela, le télé-
graphe apprend que des troupes kemalistes
ont pénétré en plusieurs endroits dans la
zone neutre et que l'envoyé kemaliste à
Gonstantinople abreuve le haut commis-
saire anglais d'assurances fallacieuses. En
tout cas les choses n'iront pas vite, tant
que l'Entente ne se sera pas entendue avec
Kemal Pacha sur les conditions dans les-
quelles il prendra part à la conférence.
Mais cet état d'incertitude est précisément
des plus dangereux, car il augmente la ten-
sion étirée des conditions favorables à
l'éclosion de nouveaux conflits armés. En
effet, les menaces des leaders kemalistes de
franchir les Détroits et d'aller occuper la
Thrace et Constantinople même sur le con
sentement de l'Entente ont beau être plus
facilement exprimées que réalisées, il n'est
pas moins vrai qu'une révolte turque, fo-
mentée par les kemalistes à Constantinople
et en Thrace, et qui prendrait de plus le
caractère effroyable d'une guerre de reli-
gion, ne serait pas moins redoutable que
l'explosion d'une nouvelle guerre.
Mais même si Kemal Pacha suit les
ronseils de la France et rappelle de la zone
neutre ses cavaliers, se déclarant prêt à
participer à une conférence, il n'en reste pas
moins la question de savoir si l'Entente est
dans la situation de pouvoir rendre aux
Turcs la Thrace jusqu'à la Maritza.
La Grèce serait prête à lutter jusqu'au bout
plutôt que d'abandonner ce territoire.
La nomination du général Papoulas, l'an-
cien généralissime d'Anatolie dont les con-
seils ne furent point suivis pour le malheur
de la Grèce, au poste de commandant en chef
en Thrace montre que la Grèce y est sérieu-
sement décidée. C'est sous cet angle qu'il
faudra peut-être aussi considérer le mouve-
ment qui vient de se produire dans l'armée
et dans les milieux qui la touchent. Déjà
depuis quelque temps, on a pu observer en
Grèce le même phénomène que celui qui a
tant fait parler de lui en Italie et y acquis
une importance politique si considérable,
mais qui apparaît plus ou moins dans tous
les pays ayant pris part à la guerre. Ce qui,
en Italie s'appelle le fiasco et en Tchéco-
slovaquie les légionnaires, a reçu en
Grèce le nom d'épistrates. Ce sont des
armées combattantes, des réservistes. Ils ne
se contentent pas comme en Allemagne de
célébrer des fêtes de régiments, ils cher-
chent à avoir une influence active sur la
politique et ils sont dirigés par les officiers
de l'armée. Qu'adviendra-t-il de ce mouve-
ment, maintenant que le roi a abdiqué, c'est
ce qu'il est impossible de prévoir pour l'ins-
tant ?
Le retour de Venizelos est impossible ; on pré-
voit une dictature militaire.
Si la Grèce, comme la révolution des
Epistrates le montre, ne veut pas se sou-
mettre de bon gré, l'Entente va se retrouver
dans une imipasse. Elle ne peut pas arra-
cher de force aux Grecs qui ne furent que
des exécuteurs de la volonté de l'Entente et
ont sacrifié le sang de milliers de leurs en-
fants ce que ceux-ci croieront devoir gar-
der.
FRANKFURTER ZEITUNG, 28.9, soir.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « Les
répercussions internationales seront peu im-
portantes ». - Ce qu'il y de certain,
c'est que cette deuxième chute de Constan-
tin et l'avènement en Grèce d'un nouveau
régime quelconque n'affecteront que très peu
la situation internationale. Il est possible
cependant, que la Grèce gagne quelques pe-
tits avantages au change. On peut admettre,
en effet, que Constantin ait pour successeur
un homme plus habile que lui et il y a cer-
taines mesures qu'un homme habile accé-
dant au trône grec dans les circonstances
actuelles pourrait prendre dans l'intérêt de
son pays. Il commencerait par faire la part
du feu en Anatolie et dans la Thrace. Puis
il menacerait les grandes puissances de
laisser aller à vau-l'eau le navire de l'Etat
grec à moins qu'elles ne consentent à le
lester en donnant à la Grèce Chypre et le
Dodécanèse.
Un homme d'Etat grec résolu pourrait in-
contestablement exercer sur les puissances
une pression de ce genre, car elles se sont
engagées vis-à-vis de Mustapha Kemal à
renvoyer les Grecs de la Thrace et que pour-
raient-elles faire, avec Les baïonnettes tur-
ques dans les reins, si le mulet grec se
couche en travers du chemin et refuse de
bouger
Si les Grecs s'obstinent ainsi les puis-
sances devront ou bien exercer sur eux une
contrainte matérielle (blocus maritime,etc.),
ou bien permettre aux kemalistes de fran-
chir les Détroits et d'aller régler l'affaire
eux-mêmes en Thrace. Un nouveau gouver-
nement grec pourrait tirer parti de cette
situation et obliger les trois puissances à
se retirer des îles grecques qu'elles détien-
nent injustement aujourd'hui.
Il est vraiment difficile de voir comment
un gouvernement grec quel qu'il soit pour-
rait, sans recevoir une compensation de ce
genre pour les pertes de tout ce que la
ApekInEs IDICS
i ÉTRANGÈRES
N° 2167
Samedi 30 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque..
SOMMAIRE
PHESSE ALLEMANOE. - L'abdication de Cons-
P tantin (Frankturter Zeitùng).
Pr> £ Ss M,IÉRlCAINE. - Les Etats-Unis et la
%ciété des nations (Chicago Daily Trir-
burie)
tin V\\a prAjSE- — L'abdication de Constan-
n V Tovnbee dans Manchester
Ileutre: - la question de la zone
neutre (Jlorning Post, Daily Telegraph,
bai]H Chronicle, Westminster Gazette).
^esse ITNLIFNNF, Une interview de Gela-
I ledclin AArif bey (Tribuna.).
POLITIQUE GENERALE
LE PROCHE ORIENT
~i RPVOLUTMN GRECQUE. - L'AB-
MANI,,, DU ROI CONSTANTIN. - PRESSE ALLE-
,têt'or .- la Frankfurter Zeitung la
révolution militaire qui vient d'éclater en
rece est Un mOUvement. dont le but serait
rèce
d'essayer de 00nserver la T~r
ple roi Co nstantin était aimé dans le peu-
pot, 1, dans l'armée. Son nom était
qlJe 1 Un eomme Pour l autie la garantie
c?? '^s iêves iiatioliaux seraient réalisés,
ces r,ivPs Qui dataient du dernier Paléolo-
gue Constanti n XIII et fai lé 1
et faisaient prévoir
V^ne trée- (ju m aorzième Constantin par la
croYal1 - r dans Constantinople, ou, disait la
cavance POpulaire il devait mourir deux
s aPrès.
roi Constantin a été surtout en 1,11 ttc «
h^'lité cle la
Cependant pour ce de l.a France.
cett e rév ce qui EST de la Franc.
t'enfin la ~!UhO? ne semble Pas lui avoir
la situation^! facile. Kemal Pacha
Parait Suèrp porté à céder comme cela
gences, ésentations de la France, Ses eXI-
a\iv représentit; T la Fpance- Ses exi*
Serin déjàerltl()Illlées hier, ne viennent
s doute as de hli-même mais du repré-
Sent *11 de ^nla TnZT'le k"»«liste à Constan-
tin ]>p,[ent quand même qu'An-
gora ne se contentera pas des assurances
de l'Entente mais qu'elle exgera d'opérer
-même la restitution de la Thrace. La
réserve dp Kemal n'~est pas seule-
1,é8ard Kemal n'est pas seule-
egard d oqUee par sa propre défiance à
0e11t1\le8, e:uass,urances des puissances occi-
dental es, elle l'est é rernent aussi par l'at-
e s«s offici
suite e U victoire s gonflés d'orgueil à la
Par j
Par le et peut-être également
* d Angora animé de
sentiments analogues. Tant que les Grecs
resteront en Thrace avec de forts contin-
gents de troupes, les nationalistes turcs res-
sentiront ce fait comme une provocation et
douteront en même temps que l'Entente
réussisse à obtenir des Grecs leur retraite
derrière la Maritza. Il va sans dire que cette
attente de Kemal, dont on soupçonne bien
le sens, produit à Paris un certain malaise.
La bonne volonté de Kemal était en effet
jusqu'à un certain degré l'hypothèse sur la-
quelle la France avait fondé sa politique
contre l'Angleterre. Au lieu de cela, le télé-
graphe apprend que des troupes kemalistes
ont pénétré en plusieurs endroits dans la
zone neutre et que l'envoyé kemaliste à
Gonstantinople abreuve le haut commis-
saire anglais d'assurances fallacieuses. En
tout cas les choses n'iront pas vite, tant
que l'Entente ne se sera pas entendue avec
Kemal Pacha sur les conditions dans les-
quelles il prendra part à la conférence.
Mais cet état d'incertitude est précisément
des plus dangereux, car il augmente la ten-
sion étirée des conditions favorables à
l'éclosion de nouveaux conflits armés. En
effet, les menaces des leaders kemalistes de
franchir les Détroits et d'aller occuper la
Thrace et Constantinople même sur le con
sentement de l'Entente ont beau être plus
facilement exprimées que réalisées, il n'est
pas moins vrai qu'une révolte turque, fo-
mentée par les kemalistes à Constantinople
et en Thrace, et qui prendrait de plus le
caractère effroyable d'une guerre de reli-
gion, ne serait pas moins redoutable que
l'explosion d'une nouvelle guerre.
Mais même si Kemal Pacha suit les
ronseils de la France et rappelle de la zone
neutre ses cavaliers, se déclarant prêt à
participer à une conférence, il n'en reste pas
moins la question de savoir si l'Entente est
dans la situation de pouvoir rendre aux
Turcs la Thrace jusqu'à la Maritza.
La Grèce serait prête à lutter jusqu'au bout
plutôt que d'abandonner ce territoire.
La nomination du général Papoulas, l'an-
cien généralissime d'Anatolie dont les con-
seils ne furent point suivis pour le malheur
de la Grèce, au poste de commandant en chef
en Thrace montre que la Grèce y est sérieu-
sement décidée. C'est sous cet angle qu'il
faudra peut-être aussi considérer le mouve-
ment qui vient de se produire dans l'armée
et dans les milieux qui la touchent. Déjà
depuis quelque temps, on a pu observer en
Grèce le même phénomène que celui qui a
tant fait parler de lui en Italie et y acquis
une importance politique si considérable,
mais qui apparaît plus ou moins dans tous
les pays ayant pris part à la guerre. Ce qui,
en Italie s'appelle le fiasco et en Tchéco-
slovaquie les légionnaires, a reçu en
Grèce le nom d'épistrates. Ce sont des
armées combattantes, des réservistes. Ils ne
se contentent pas comme en Allemagne de
célébrer des fêtes de régiments, ils cher-
chent à avoir une influence active sur la
politique et ils sont dirigés par les officiers
de l'armée. Qu'adviendra-t-il de ce mouve-
ment, maintenant que le roi a abdiqué, c'est
ce qu'il est impossible de prévoir pour l'ins-
tant ?
Le retour de Venizelos est impossible ; on pré-
voit une dictature militaire.
Si la Grèce, comme la révolution des
Epistrates le montre, ne veut pas se sou-
mettre de bon gré, l'Entente va se retrouver
dans une imipasse. Elle ne peut pas arra-
cher de force aux Grecs qui ne furent que
des exécuteurs de la volonté de l'Entente et
ont sacrifié le sang de milliers de leurs en-
fants ce que ceux-ci croieront devoir gar-
der.
FRANKFURTER ZEITUNG, 28.9, soir.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « Les
répercussions internationales seront peu im-
portantes ». - Ce qu'il y de certain,
c'est que cette deuxième chute de Constan-
tin et l'avènement en Grèce d'un nouveau
régime quelconque n'affecteront que très peu
la situation internationale. Il est possible
cependant, que la Grèce gagne quelques pe-
tits avantages au change. On peut admettre,
en effet, que Constantin ait pour successeur
un homme plus habile que lui et il y a cer-
taines mesures qu'un homme habile accé-
dant au trône grec dans les circonstances
actuelles pourrait prendre dans l'intérêt de
son pays. Il commencerait par faire la part
du feu en Anatolie et dans la Thrace. Puis
il menacerait les grandes puissances de
laisser aller à vau-l'eau le navire de l'Etat
grec à moins qu'elles ne consentent à le
lester en donnant à la Grèce Chypre et le
Dodécanèse.
Un homme d'Etat grec résolu pourrait in-
contestablement exercer sur les puissances
une pression de ce genre, car elles se sont
engagées vis-à-vis de Mustapha Kemal à
renvoyer les Grecs de la Thrace et que pour-
raient-elles faire, avec Les baïonnettes tur-
ques dans les reins, si le mulet grec se
couche en travers du chemin et refuse de
bouger
Si les Grecs s'obstinent ainsi les puis-
sances devront ou bien exercer sur eux une
contrainte matérielle (blocus maritime,etc.),
ou bien permettre aux kemalistes de fran-
chir les Détroits et d'aller régler l'affaire
eux-mêmes en Thrace. Un nouveau gouver-
nement grec pourrait tirer parti de cette
situation et obliger les trois puissances à
se retirer des îles grecques qu'elles détien-
nent injustement aujourd'hui.
Il est vraiment difficile de voir comment
un gouvernement grec quel qu'il soit pour-
rait, sans recevoir une compensation de ce
genre pour les pertes de tout ce que la
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6252465d/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6252465d/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6252465d/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6252465d/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6252465d
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6252465d
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6252465d/f1.image × Aide