Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 septembre 1922 29 septembre 1922
Description : 1922/09/29 (T22,N2166). 1922/09/29 (T22,N2166).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524640
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
ministère
DES
LFFAIaEs ÉTRANGÈRES
N° 2166
Vendredi 29 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère 0
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. — L'accord Stinnes-de
LubfSQe (Maximilian Harden dans Zu-
kunfi) ; Un discours de M. Stresemann à
U. le 24 septembre (Zéit).
Pf(~
PI!Esse ANr,ISE" - La, révolution grecque
(Dai/y Telegraph, Daity Mail, Daily
Chronicle l Times Westminster Gazette,
DaHU He;cûdj. -' La question de la zone
neutre (Times, Morning Post). - La
û Prnnn e et les kemalistes en Syrie (Daily
A:etr(1/oru Post). Le commerce des pé-
ploIes russes (DaU!] Telegraph).
23 — L'accord de Paris du
3 septembre (Epoca, Ordine Nuovo).
POLITIQUE GENERALE
LE PROCHE ORIENT
L'A
SI\t ~ORD DE PARIS DU 23 SEPTEM-
\"0": fSSE ITALIENNE. - La note en-
yée samnf1 soir a Mustapha Kemal par
les trois (T nations o.ccidentalee jueti-
,eri°tre nP, • es nations occidentales justi-
fr n es^ en aucune fa-
(:Otl l Vile les journaux anglais et
cals pour S en Convaincre, un triomphe
a pu éviter s en 'convaincre, un rlOmp
{l 'Ptornatiniiû POur l'Italie. Le comte Sforza
ve > ntalie fût exclue des con-
,.(t ] on S '] , , ..1' r
il n'a pas pu éviter le danger
accord franco-bntannique dans la Mé-
J.err'anée rir.len ale' îlul lèse tous les inté-
(e Lltni;e 3
rêts (le l'ltae clans la mer italienne par
e elle ce. D la Rouma-
a et 'icI.. ,"-"il sant admettre la Rouma-
e et la Yrknr, ° ,a'Vie a la conférence, le
et le gouvernement
U erriernent 1 ^anÇ&is et le gouvernement
anglais ont avancé les pions de leur jeu:
(2iin , , 8 SOnt l ^u'a en réserve notre
gouvern es plans qu'a en réserve notre
sUr l" he:nen¡ DOUr cette suprême partie
sur ^^échiniiiPr> oriental ? L'exclusion de la
Prance ef^ pomt, car elle permet-
alii i vAngleterre ? de séparer
ks tS Vu eiïlanck des Russes, de rompre les
Ces les Peuples asiatiques, d'empê-
Un rnouvf len'; de libération du joug
pt iîn^ue et ? ^nçais. La Petite Entente
laire® ou i 6n^ être les intermédiaires
C \.l l'es 0
tair e-S OU Involontaires du nouvel ac-
J°n t;a^alaic q, ^U1'renforcerait la do-
l.Ie et ':' (dSe dans la Péninsule arabi-
(,. en Mes t
que et en Mésnnrflt amie> la domination fran-
çaise engoslavie' e la TChécoslovaquie, de la You-
1 l'If al'e n'a rCOslovactuie, de la You-
\.lra à. défendre dans
le DU Ys arabes nI en Mésopotamie, depuis
que le dernier accord de Londres a ouvert
ces régions à notre travail et à notre indus-
trie, mais elle en a de très graves à proté-
ger en Méditerranée et dans l'Orient euro-
péen.
La soudaine anglophobie qui se mani-
feste en Italie, s'exacerbe dans les journaux
et se fait entendre en sourdine dans les
notes diplomatiques, est aussi sotte que l'an-
glophilie de ces derniers mois. Nous qui
avons toujours combattu la politique an-
glaise en Orient et avons posé les condi-
tions nécessaires à un accord durable italo-
britannique, nous nous demandons aujour-
d'hui ce que pourrait nous donner la France,
vers laquelle se tournent les journaux et les
partis italiens ?
La tentative de nous exclure des pour-
parlers pour Tanger et de dénationaliser
nos émigrants en Tunisie n'était pas et n'est
pas anglaise, elle est française. C'est la
France qui a placé dans notre flanc dans
l'Adriatique la Yougoslavie, qui a conspiré
contre la liberté de Fiume et l'indépendance
du Monténégro. Le gouvernement de Paris
a-t-il donc déclaré qu'il n'entraverait plus
notre expansion méditerranéenne ? A-t-il
donc abandonné la Petite Entente ? Se
montre-t-il disposé à partager avec nous les
privilèges obtenus à Angora par Franklin-
Bouillon ?
Notre aide à la France contre l'Angle-
terre, qui n'a pas été négociée et qui risque
de ne pas nous être payée, peut hâter l'ac-
cord franco-anglais que nous pouvons à
bon droit redouter. L'Italie devrait faire
en Méditerranée une politique personnelle,
en se servant du besoin qu'a l'Angleterre
d'un équilibre des puissances dans cette
mer, et se mettant à la tête des Etats rive-
rains, de l'Espagne iL la Grèce, l'Italie de-
vrait protéger la liberté des peuples médi-
terranéens. Ce programme pourrait coïnci-
der avec le programme britannique, aucune
de ces trois puissances n'ayant un intérêt
opposé aux intérêts anglais en Arabie et
ayant toutes les trois, comme l'Angleterre,
besoin d'un équilibre méditerranéen. Le pi-
vot de l'empire britannique est en Mésopo-
tamie; l'Angleterre n'a donc plus besoin
d'un empire direct sur l'Europe et la Médi-
terranée, elle a seulement besoin que cette
mer et ce continent ne soient pas au pou-
voir d'une seule puissance impériale en
Asie et en Afrique; la politique anglaise est
en Europe une politique d'équilibre.
La Turquie a le droit de récupérer en
Asie Mineure et dans les Balkans les ter-
ritoires que lui avait enlevés un traité ini-
que ; mais nous pourrions défendre ce droit
avec plus de profit pour nous si nous
n'étions pas liés à la France qui a déjà
été grassement payée de son appui par les
Turcs.
Attendons la réponse de Kemal pour voir
quel sera le programme turc: si vraiment,
comme une information de ce matin le don-
nerait à croire, le gouvernement d'Angora,
craignant un accord franco-anglais à ses
dépens, repousse certaines des clauses et
des garanties formulées par l'Entente et de-
mande l'admission des Russes à la Confé-
rence, il faudra que nous appuyions Angora.
C'est seulement avec une Turquie qui ne
sera asservie ni aux Français, ni aux An-
glais, qu'un complet accord est possible pour
nous. Si les Turcs au contraire se font les
auxiliaires de la puissance française comme
ils l'ont été un temps de la puissance bri-
tannique, notre intérêt sera de soutenir une
politique d'équilibre dans la Méditerranée.
EPOCA [de Rome], 27.9.
- La Turquie insistera pour régner seule
à Constantinople. Elle possède un allié na-
turel dans les Balkans : la Bulgarie, dé-
membrée à Neuilly. Un bloc turco-bulgare
serait un danger permanent pour la Petite
Entente. La Serbie et la Roumanie s'appuie-
raient sur la Grèce pour s'opposer au bloc
des vainqueurs. D'où le danger permanent
d'une nouvelle guerre balkanique qui ne
resterait pas plus limitée aux Balkans qu'en
1912-13.
Dans ce conflit futur la Turquie sera obli-
gée de s'appuyer contre l'assassin anglais
et l'intrigant français sur la seule grande
puissance non capitaliste du monde: la
Russie des soviets.
La Russie a notifié son intention d'inter-
venir dans le règlement de la question de
Constantinople. Kemal Pacha de son côté a
déclaré qu'il ne prendrait pas part à une
conférence où la Russie ne serait pas invi-
tée. Etranglée par l'Angleterre, menacée
d'abandon par la France qui la tient pour
un simple instrument, la Turquie se trouve
naturellement poussée vers aü Russie des
soviets. Ainsi se résout la contradiction ap-
parente du fait que, dans sa lutte contre
l'Angleterre, Kemal Pacha a été à la fois le
protecteur de l'impérialisme français et l'al-
lié de la Russie rouge.
ORDINE NUOVO [communiste], 27.9.
LA REVOLUTION GRECQUE. — L'AB
DICATION DE CONSTANTIN. — Le Daily Tele-
graph, 28.9, evoque, dans son éditorial, le
rôle joué par Constantin durant la guerre,
les intrigues nouées entre Athènes et Ber-
lin. « Seule l'influence de M. Venizelos a
empêché le souverain d'entraîner son pays
dans le camp allemand. » Au milieu de la
confusion des affaires de Grèce, le recours à
M. Venizelos s'impose. Les promoteurs du
mouvement révolutionnaire ne paraissent
pas avoir été des vénizélistes ; ils ont cher-
ché avant tout à s'opposer à la rétrocession
de la Thrace à la Turquie :
DES
LFFAIaEs ÉTRANGÈRES
N° 2166
Vendredi 29 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère 0
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. — L'accord Stinnes-de
LubfSQe (Maximilian Harden dans Zu-
kunfi) ; Un discours de M. Stresemann à
U. le 24 septembre (Zéit).
Pf(~
PI!Esse ANr,ISE" - La, révolution grecque
(Dai/y Telegraph, Daity Mail, Daily
Chronicle l Times Westminster Gazette,
DaHU He;cûdj. -' La question de la zone
neutre (Times, Morning Post). - La
û Prnnn e et les kemalistes en Syrie (Daily
A:etr(1/oru Post). Le commerce des pé-
ploIes russes (DaU!] Telegraph).
23 — L'accord de Paris du
3 septembre (Epoca, Ordine Nuovo).
POLITIQUE GENERALE
LE PROCHE ORIENT
L'A
SI\t ~ORD DE PARIS DU 23 SEPTEM-
\"0": fSSE ITALIENNE. - La note en-
yée samnf1 soir a Mustapha Kemal par
les trois (T nations o.ccidentalee jueti-
,eri°tre nP, • es nations occidentales justi-
fr n es^ en aucune fa-
(:Otl l Vile les journaux anglais et
cals pour S en Convaincre, un triomphe
a pu éviter s en 'convaincre, un rlOmp
{l 'Ptornatiniiû POur l'Italie. Le comte Sforza
ve > ntalie fût exclue des con-
,.(t ] on S '] , , ..1' r
il n'a pas pu éviter le danger
accord franco-bntannique dans la Mé-
J.err'anée rir.len ale' îlul lèse tous les inté-
(e Lltni;e 3
rêts (le l'ltae clans la mer italienne par
e elle ce. D la Rouma-
a et 'icI.. ,"-"il sant admettre la Rouma-
e et la Yrknr, ° ,a'Vie a la conférence, le
et le gouvernement
U erriernent 1 ^anÇ&is et le gouvernement
anglais ont avancé les pions de leur jeu:
(2iin , , 8 SOnt l ^u'a en réserve notre
gouvern es plans qu'a en réserve notre
sUr l" he:nen¡ DOUr cette suprême partie
sur ^^échiniiiPr> oriental ? L'exclusion de la
Prance ef^ pomt, car elle permet-
alii i vAngleterre ? de séparer
ks tS Vu eiïlanck des Russes, de rompre les
Ces les Peuples asiatiques, d'empê-
Un rnouvf len'; de libération du joug
pt iîn^ue et ? ^nçais. La Petite Entente
laire® ou i 6n^ être les intermédiaires
C \.l l'es 0
tair e-S OU Involontaires du nouvel ac-
J°n t;a^alaic q, ^U1'renforcerait la do-
l.Ie et ':' (dSe dans la Péninsule arabi-
(,. en Mes t
que et en Mésnnrflt amie> la domination fran-
çaise en
1 l'If al'e n'a rCOslovactuie, de la You-
\.lra à. défendre dans
le DU Ys arabes nI en Mésopotamie, depuis
que le dernier accord de Londres a ouvert
ces régions à notre travail et à notre indus-
trie, mais elle en a de très graves à proté-
ger en Méditerranée et dans l'Orient euro-
péen.
La soudaine anglophobie qui se mani-
feste en Italie, s'exacerbe dans les journaux
et se fait entendre en sourdine dans les
notes diplomatiques, est aussi sotte que l'an-
glophilie de ces derniers mois. Nous qui
avons toujours combattu la politique an-
glaise en Orient et avons posé les condi-
tions nécessaires à un accord durable italo-
britannique, nous nous demandons aujour-
d'hui ce que pourrait nous donner la France,
vers laquelle se tournent les journaux et les
partis italiens ?
La tentative de nous exclure des pour-
parlers pour Tanger et de dénationaliser
nos émigrants en Tunisie n'était pas et n'est
pas anglaise, elle est française. C'est la
France qui a placé dans notre flanc dans
l'Adriatique la Yougoslavie, qui a conspiré
contre la liberté de Fiume et l'indépendance
du Monténégro. Le gouvernement de Paris
a-t-il donc déclaré qu'il n'entraverait plus
notre expansion méditerranéenne ? A-t-il
donc abandonné la Petite Entente ? Se
montre-t-il disposé à partager avec nous les
privilèges obtenus à Angora par Franklin-
Bouillon ?
Notre aide à la France contre l'Angle-
terre, qui n'a pas été négociée et qui risque
de ne pas nous être payée, peut hâter l'ac-
cord franco-anglais que nous pouvons à
bon droit redouter. L'Italie devrait faire
en Méditerranée une politique personnelle,
en se servant du besoin qu'a l'Angleterre
d'un équilibre des puissances dans cette
mer, et se mettant à la tête des Etats rive-
rains, de l'Espagne iL la Grèce, l'Italie de-
vrait protéger la liberté des peuples médi-
terranéens. Ce programme pourrait coïnci-
der avec le programme britannique, aucune
de ces trois puissances n'ayant un intérêt
opposé aux intérêts anglais en Arabie et
ayant toutes les trois, comme l'Angleterre,
besoin d'un équilibre méditerranéen. Le pi-
vot de l'empire britannique est en Mésopo-
tamie; l'Angleterre n'a donc plus besoin
d'un empire direct sur l'Europe et la Médi-
terranée, elle a seulement besoin que cette
mer et ce continent ne soient pas au pou-
voir d'une seule puissance impériale en
Asie et en Afrique; la politique anglaise est
en Europe une politique d'équilibre.
La Turquie a le droit de récupérer en
Asie Mineure et dans les Balkans les ter-
ritoires que lui avait enlevés un traité ini-
que ; mais nous pourrions défendre ce droit
avec plus de profit pour nous si nous
n'étions pas liés à la France qui a déjà
été grassement payée de son appui par les
Turcs.
Attendons la réponse de Kemal pour voir
quel sera le programme turc: si vraiment,
comme une information de ce matin le don-
nerait à croire, le gouvernement d'Angora,
craignant un accord franco-anglais à ses
dépens, repousse certaines des clauses et
des garanties formulées par l'Entente et de-
mande l'admission des Russes à la Confé-
rence, il faudra que nous appuyions Angora.
C'est seulement avec une Turquie qui ne
sera asservie ni aux Français, ni aux An-
glais, qu'un complet accord est possible pour
nous. Si les Turcs au contraire se font les
auxiliaires de la puissance française comme
ils l'ont été un temps de la puissance bri-
tannique, notre intérêt sera de soutenir une
politique d'équilibre dans la Méditerranée.
EPOCA [de Rome], 27.9.
- La Turquie insistera pour régner seule
à Constantinople. Elle possède un allié na-
turel dans les Balkans : la Bulgarie, dé-
membrée à Neuilly. Un bloc turco-bulgare
serait un danger permanent pour la Petite
Entente. La Serbie et la Roumanie s'appuie-
raient sur la Grèce pour s'opposer au bloc
des vainqueurs. D'où le danger permanent
d'une nouvelle guerre balkanique qui ne
resterait pas plus limitée aux Balkans qu'en
1912-13.
Dans ce conflit futur la Turquie sera obli-
gée de s'appuyer contre l'assassin anglais
et l'intrigant français sur la seule grande
puissance non capitaliste du monde: la
Russie des soviets.
La Russie a notifié son intention d'inter-
venir dans le règlement de la question de
Constantinople. Kemal Pacha de son côté a
déclaré qu'il ne prendrait pas part à une
conférence où la Russie ne serait pas invi-
tée. Etranglée par l'Angleterre, menacée
d'abandon par la France qui la tient pour
un simple instrument, la Turquie se trouve
naturellement poussée vers aü Russie des
soviets. Ainsi se résout la contradiction ap-
parente du fait que, dans sa lutte contre
l'Angleterre, Kemal Pacha a été à la fois le
protecteur de l'impérialisme français et l'al-
lié de la Russie rouge.
ORDINE NUOVO [communiste], 27.9.
LA REVOLUTION GRECQUE. — L'AB
DICATION DE CONSTANTIN. — Le Daily Tele-
graph, 28.9, evoque, dans son éditorial, le
rôle joué par Constantin durant la guerre,
les intrigues nouées entre Athènes et Ber-
lin. « Seule l'influence de M. Venizelos a
empêché le souverain d'entraîner son pays
dans le camp allemand. » Au milieu de la
confusion des affaires de Grèce, le recours à
M. Venizelos s'impose. Les promoteurs du
mouvement révolutionnaire ne paraissent
pas avoir été des vénizélistes ; ils ont cher-
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