Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 septembre 1922 27 septembre 1922
Description : 1922/09/27 (T22,N2164). 1922/09/27 (T22,N2164).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524625
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2164
----
Mercredi 27 septembre 1922
a
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
* alu:MAS[>E- — La Société des na-
li : lu résolution de la commission
de sarmement du 21 septembre
t (DP utsche Allgemeine Zeitung) ; l'ad-
ission de l'Allemagne (Berliner Tage-
blatt, Vossisclie Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les conséquences de
m-victoire turque (Chicago Daily News,
as Post). — L'accord Stinnes
i Lubersac T(Woria).
PHEssE anclaïsk. — Le Proche Orient : l'ac-
- card de Paris du 23 septembre (Times) ;
la protection des minorités (John Clay-
fis Ti5 Daily Telegraph). - Les dê-
es américains et les élections
partielles (Times).
p "SSE espagnole. — La Société des nations
et le désarmement (Epoca).
POLITIQUE GENERALE
La SOCIÉTÉ DES NATIONS
^S^fMEMENT ET REPARATIONS. -
ME TI0N DE LA COMMISSION DE DÉSARME-
MEN DU 9I SEPTEMBRE. — Pour l'Allemagne,
qui est J 'nc*Pal souffre-douileur, qui a à
sUpporte Pl'lnClpal SOU ffre-doulleUlr, qUI a a
les «( tentatives de solution » es-
sayêes i! 'U a présent cette discussion lui
a Appris k'fn (^es clloses' importantes. Le
rePi,ésentn 1 c*e la France a réitéré le plai-
reu:r qUl, en pareiHe occasion, est rigou-
~~serr~~) Pfeserit il Il'orateur de la France :
La France lle lutte que pour son droit, la
Videsre pi-,1106 restée jusqu'ici les mains
te et elle a env,ers ses alliés plus de det-
tes qu'élu 11 en r>eut payer. Dans cette as-
semblée A.. peut payer. Daœ cette as-
au on ne s'est pas encore
Iler, u cornpte r , que c'est uniquement la
aute de ia POlitique Poincaré si la France
®e trouVe a f
fonCé eL"ellem-ent si profondément en-
dan« i & difficultés financières. D'ail-
eXacte de Jouv?61 a caractérisé de manière
j^acte l'anarr-le financière de l'Europe, où
^que pa
Pres; et ses prix et son argent pro-
pres et qui , pas d'avcér e~ x -
nJ"lrrié le approuvera pas d'avoir ex-
ais dans l'èr nou's voiir entrer désor-
];„e s solutions ? Mais lors-
Q.11 ajoute rmr Pleine solution doit se réa-
liser dans ie cadre des traités internatio-
dans le cadre des traités internatio-
Vp®ailles, 0n en maintenant le traité de
llons ne on VOlt Ja que iJ'èr,e des solu-
la France a p(),S s'OUvrir aVec la volonté de
tio ne vapas s'ouvrir avec la volonté de
la p JailCe mémo p,res, cette séance de la
e1:\t qU'en %n. de 1 Société des nations.
C'est qu'en allltenant ce point de vue on
commet la deuxième des absurdités qui do-
minent ce projet. Lorsque le représentant
anglais Fisher a.déclaré que les divergences
entre l'Angleterre et la France ne concer-
naient que la méthode à suivre, il a carac-
térisé les divergences où l'Angleterre a tou-
jours cédé devant l'erreur.
Lorsqu'il a ajouté que l'on devait, certes,
respecter les traités mais que si l'on confiait
la question des réparations au conseil de la
Société des nations, cela signifiait qu'il fal-
lait tout de même s'écarter un peu du traité
de Versailles, puisque celui-ci avait chargé
de cette question la commission des répara-
tions ; c'a été là une constatation sans doute
réjouissante, mais qui n'est pas de nature
à faire naître des espoirs. Le représentant
de la Belgique entreprit de défendre la troi-
sième absurdité que comportait le projet en
précisant une phrase de la résolution fran-
çaise d'après laquelle les gouvernements
devraient inviter la Société des nations à
élaborer le problème des réparations, c'est-
à-dire que seuls les gouvernements alliés
auraient qualité pour ce faire. Le Suiisse
Motta eut le mérite de protester énergique-
ment contre l'exclusion de l'Allemagne qui
venait d'être ainsi demandée. Un conflit se
produisit avec de Jouvenel, qui ne voulait
pas permettre que l'on élargît sa résolution.
Le représentant anglais posa, ce qui était
évident, que l'Allemagne était intéressée, au
règlement de la question. Il restera au délé-
gué suisse le mérite d'avoir proclamé bra-
vement devant le monde la nécessité de la
collaboration de l'Allemagne dans les rangs
des grandes puissances. La victoire est à la
conception franco-belge.
Ainsi donc cette décision, d'après laquelle
les puissances signataires passeraient aus-
si vite que possible à une solution d'ensem-
ble du problème des dettes et des répara-
tions, et d'après laquelle le conseil de la So-
ciété des nations, si les gouvernements al-
liés l'y invitent, pourrait fournir une utile
collaboration, cette décision comporte de
graves défauts originels.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG, 23.9.
PRESSE ESPAGNOLE. — Le délégué français.
M. de Jouvenel, a déclaré que Son pays
était disposé à une revision de la question
des réparations. C'est une application pra-
tique de la thèse qu'il défend maintenant :
le désarmement moral plutôt que matériel.
Réellement, il n'y aura pas de paix pos-
sible, de paix sans inquiétudes, tant que
les aspirations de revanche ne seront pas
éteintes parmi les vaincus et tant que par-
mi les vainqueurs l'impétuosité de la vic-
toire ne sera pas modérée. Telle est, en
effet, la bonne doctrine : désarmement mo-
ral.
EPOCA [de Madrid]), 22.9.
L'ADMISSION DE L'ALLEMAGNE. —
LES DÉCLARATIONS DE M. MOTTA (21 SEPTEM-
BRE). — Le délégué de la Suisse, M. Mot-
ta, a exprimé hier. le désir que l'Alle-
magne entrât dans la Société des nations
et il a regretté que l'opinion ne fût pas en
Allemagne favorable à la Société des na-
tions. Le délégué français, M. de Jouvenel,
a répondu avec l'arrogance qui caractérise
le nationalisme français, et il a administré
un blâme à M. Motta sur un ton irrité et
mordant. Il fit comprendre ce qui suit avec
toute la netteté désirable : C'est nous qui
sommes ici les maîtres et les opinions ou
les souhaits des neutres ne nous concer-
nent pas. Il est intéressant, de remarquer
que le compte rendu, d'après lequel le
discours de Motta aurait été accueilli par
des applaudissements véhéments, marque
également la fin du discours de M. de
Jouvenel : « Vigoureux applaudissements ».
M. Motta, à qui l'on doit être reconnais-
sant de ses bonnes intentions, aura sans
doute compris, à écouter le discours de
l'impérialiste français, la raison pour la-
quelle l'opinion allemande n'est pas favo-
rable à une adhésion à une semblable « So-
ciété des nations ». L'impérialiste français
considère cette Société des nations comme
une officine vaquant à ses affaires, et puis-
que la Société des nations se laisse aller
à ce rôle indigne et n il jusqu'ici vaqué
qu'aux affaires de la France avec un bel
empressement, l'opinion publique alleman-
de est à plein droit presque entièrement
opposée à une adhésion à cette institution.
Cette opposition ne peut que croître quand
nous voyons avec quelle provocante arro-
gance se comporte M. de Jouvenel. Et que
l'on ne vienne pas nous objecter que le
représentant de la France a contribué à
la discussion tendant à faire avancer le
problème des réparations, car il est évident
que l'impérialiste français en essayant
d'obtenir de l'Angleterre l'annulation de ses
dettes ne se laisse induire que par le souci
de son propre intérêt.
BERLINER TAGEBLATT. 22.9, soir.
— De Genève, 22 septembre : L'impres-
sion produite par la séance d'hier de la
troisième commission sur la question des
réparations et celle des dettes interalliées
n'est pas uniforme dans les milieux des dé-
légations de la Société des nations. On peut.,
comme dans la plupart des parlements,
distinguer à peu près deux groupes la
droite étant formée des Français et des dé-
légations qui se rallient à eux sans ré-
serves, tandis que les Anglais forment avec
quelques neutres le centre et que certains
dominions anglais sont à gauche avec quel-
ques petits Etats. Cette gauche est sans
doute très satisfaite du vote de la résolution
de M de Jouvenel, mais elle approuve le
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2164
----
Mercredi 27 septembre 1922
a
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
* alu:MAS[>E- — La Société des na-
li : lu résolution de la commission
de sarmement du 21 septembre
t (DP utsche Allgemeine Zeitung) ; l'ad-
ission de l'Allemagne (Berliner Tage-
blatt, Vossisclie Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les conséquences de
m-victoire turque (Chicago Daily News,
as Post). — L'accord Stinnes
i Lubersac T(Woria).
PHEssE anclaïsk. — Le Proche Orient : l'ac-
- card de Paris du 23 septembre (Times) ;
la protection des minorités (John Clay-
fis Ti5 Daily Telegraph). - Les dê-
es américains et les élections
partielles (Times).
p "SSE espagnole. — La Société des nations
et le désarmement (Epoca).
POLITIQUE GENERALE
La SOCIÉTÉ DES NATIONS
^S^fMEMENT ET REPARATIONS. -
ME TI0N DE LA COMMISSION DE DÉSARME-
MEN DU 9I SEPTEMBRE. — Pour l'Allemagne,
qui est J 'nc*Pal souffre-douileur, qui a à
sUpporte Pl'lnClpal SOU ffre-doulleUlr, qUI a a
les «( tentatives de solution » es-
sayêes i! 'U a présent cette discussion lui
a Appris k'fn (^es clloses' importantes. Le
rePi,ésentn 1 c*e la France a réitéré le plai-
reu:r qUl, en pareiHe occasion, est rigou-
~~serr~~) Pfeserit il Il'orateur de la France :
La France lle lutte que pour son droit, la
Videsre pi-,1106 restée jusqu'ici les mains
te et elle a env,ers ses alliés plus de det-
tes qu'élu 11 en r>eut payer. Dans cette as-
semblée A.. peut payer. Daœ cette as-
au on ne s'est pas encore
Iler, u cornpte r , que c'est uniquement la
aute de ia POlitique Poincaré si la France
®e trouVe a f
fonCé eL"ellem-ent si profondément en-
dan« i & difficultés financières. D'ail-
eXacte de Jouv?61 a caractérisé de manière
j^acte l'anarr-le financière de l'Europe, où
^que pa
Pres; et ses prix et son argent pro-
pres et qui , pas d'avcér e~ x -
nJ"lrrié le approuvera pas d'avoir ex-
ais dans l'èr nou's voiir entrer désor-
];„e s solutions ? Mais lors-
Q.11 ajoute rmr Pleine solution doit se réa-
liser dans ie cadre des traités internatio-
dans le cadre des traités internatio-
Vp®ailles, 0n en maintenant le traité de
llons ne on VOlt Ja que iJ'èr,e des solu-
la France a p(),S s'OUvrir aVec la volonté de
tio ne vapas s'ouvrir avec la volonté de
la p JailCe mémo p,res, cette séance de la
e1:\t qU'en %n. de 1 Société des nations.
C'est qu'en allltenant ce point de vue on
commet la deuxième des absurdités qui do-
minent ce projet. Lorsque le représentant
anglais Fisher a.déclaré que les divergences
entre l'Angleterre et la France ne concer-
naient que la méthode à suivre, il a carac-
térisé les divergences où l'Angleterre a tou-
jours cédé devant l'erreur.
Lorsqu'il a ajouté que l'on devait, certes,
respecter les traités mais que si l'on confiait
la question des réparations au conseil de la
Société des nations, cela signifiait qu'il fal-
lait tout de même s'écarter un peu du traité
de Versailles, puisque celui-ci avait chargé
de cette question la commission des répara-
tions ; c'a été là une constatation sans doute
réjouissante, mais qui n'est pas de nature
à faire naître des espoirs. Le représentant
de la Belgique entreprit de défendre la troi-
sième absurdité que comportait le projet en
précisant une phrase de la résolution fran-
çaise d'après laquelle les gouvernements
devraient inviter la Société des nations à
élaborer le problème des réparations, c'est-
à-dire que seuls les gouvernements alliés
auraient qualité pour ce faire. Le Suiisse
Motta eut le mérite de protester énergique-
ment contre l'exclusion de l'Allemagne qui
venait d'être ainsi demandée. Un conflit se
produisit avec de Jouvenel, qui ne voulait
pas permettre que l'on élargît sa résolution.
Le représentant anglais posa, ce qui était
évident, que l'Allemagne était intéressée, au
règlement de la question. Il restera au délé-
gué suisse le mérite d'avoir proclamé bra-
vement devant le monde la nécessité de la
collaboration de l'Allemagne dans les rangs
des grandes puissances. La victoire est à la
conception franco-belge.
Ainsi donc cette décision, d'après laquelle
les puissances signataires passeraient aus-
si vite que possible à une solution d'ensem-
ble du problème des dettes et des répara-
tions, et d'après laquelle le conseil de la So-
ciété des nations, si les gouvernements al-
liés l'y invitent, pourrait fournir une utile
collaboration, cette décision comporte de
graves défauts originels.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG, 23.9.
PRESSE ESPAGNOLE. — Le délégué français.
M. de Jouvenel, a déclaré que Son pays
était disposé à une revision de la question
des réparations. C'est une application pra-
tique de la thèse qu'il défend maintenant :
le désarmement moral plutôt que matériel.
Réellement, il n'y aura pas de paix pos-
sible, de paix sans inquiétudes, tant que
les aspirations de revanche ne seront pas
éteintes parmi les vaincus et tant que par-
mi les vainqueurs l'impétuosité de la vic-
toire ne sera pas modérée. Telle est, en
effet, la bonne doctrine : désarmement mo-
ral.
EPOCA [de Madrid]), 22.9.
L'ADMISSION DE L'ALLEMAGNE. —
LES DÉCLARATIONS DE M. MOTTA (21 SEPTEM-
BRE). — Le délégué de la Suisse, M. Mot-
ta, a exprimé hier. le désir que l'Alle-
magne entrât dans la Société des nations
et il a regretté que l'opinion ne fût pas en
Allemagne favorable à la Société des na-
tions. Le délégué français, M. de Jouvenel,
a répondu avec l'arrogance qui caractérise
le nationalisme français, et il a administré
un blâme à M. Motta sur un ton irrité et
mordant. Il fit comprendre ce qui suit avec
toute la netteté désirable : C'est nous qui
sommes ici les maîtres et les opinions ou
les souhaits des neutres ne nous concer-
nent pas. Il est intéressant, de remarquer
que le compte rendu, d'après lequel le
discours de Motta aurait été accueilli par
des applaudissements véhéments, marque
également la fin du discours de M. de
Jouvenel : « Vigoureux applaudissements ».
M. Motta, à qui l'on doit être reconnais-
sant de ses bonnes intentions, aura sans
doute compris, à écouter le discours de
l'impérialiste français, la raison pour la-
quelle l'opinion allemande n'est pas favo-
rable à une adhésion à une semblable « So-
ciété des nations ». L'impérialiste français
considère cette Société des nations comme
une officine vaquant à ses affaires, et puis-
que la Société des nations se laisse aller
à ce rôle indigne et n il jusqu'ici vaqué
qu'aux affaires de la France avec un bel
empressement, l'opinion publique alleman-
de est à plein droit presque entièrement
opposée à une adhésion à cette institution.
Cette opposition ne peut que croître quand
nous voyons avec quelle provocante arro-
gance se comporte M. de Jouvenel. Et que
l'on ne vienne pas nous objecter que le
représentant de la France a contribué à
la discussion tendant à faire avancer le
problème des réparations, car il est évident
que l'impérialiste français en essayant
d'obtenir de l'Angleterre l'annulation de ses
dettes ne se laisse induire que par le souci
de son propre intérêt.
BERLINER TAGEBLATT. 22.9, soir.
— De Genève, 22 septembre : L'impres-
sion produite par la séance d'hier de la
troisième commission sur la question des
réparations et celle des dettes interalliées
n'est pas uniforme dans les milieux des dé-
légations de la Société des nations. On peut.,
comme dans la plupart des parlements,
distinguer à peu près deux groupes la
droite étant formée des Français et des dé-
légations qui se rallient à eux sans ré-
serves, tandis que les Anglais forment avec
quelques neutres le centre et que certains
dominions anglais sont à gauche avec quel-
ques petits Etats. Cette gauche est sans
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