Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 septembre 1922 22 septembre 1922
Description : 1922/09/22 (T22,N2160). 1922/09/22 (T22,N2160).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524588
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
"MINt~,
DES
FAIN E8
----
N° 2160
Vendredi 22 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^°ciéUE^1ANDE" - Les réparations et la
été des nations : la proposition de
ford Robert Cecil (Vossische Zeitung).
- L'accord germaIio-belae (Frankfurter
Zeitung) b
PnESSE AMÉIUCAINE. - La collaboration de
M, Caillaux auWOfW (World). —Le
v°yage de M Clemenceau (New York
Tnnes, - Çl York Tribune, World). -
Les T\r"M, ues déclarations de M. Ki-
Plino la pol.ïtique américaine
(il, Orld).
PfiESSE Ax AISE" - Le désarmement (Daily
1\~WS). - Les conséquences de la vic-
toire tn r^Ue (sir Valentine Chirol dans
t bailt, News; DaiUj Chronicle, Daily Te-
le9raph)
I POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
r LES i. REpARATIONS ET LA SOCIETE.
A PCONASY111014 DE LORD ROBERT CECIL. —
p' propOSItIOn de lord Robert Cecil n'est
p as absni ment inattendue ; la presse an-
glaise a eXprimé récemment à plusieurs re-
rises l'idée de Porter la question des répa-
,()ris (leIt la S. D. N. et l'on sait que
re projet de LloYd George de se rendre à
ssembiép de Genève a été rapproché d'in-
tentions analogues, bien qu'elles ne fussent
pas les seules, L'assentiment donné par la
htance au prokt de faire examiner le pro-
''lônie des r ;aratl0ns par la Conférence de
q.enève. est beaucoup plus surprenant et
une unportance in^erria^onale peut-être
plus grande ~mationale peut-être
nace 3e ra-PPelle encore la résistance te-
riac", et Un 5l§eante opposée par M. Poin-
t , Une ~e question des ré-
^arQUons i!?Ulslc>n , de la question des ré-
Ple mot la. P^'rence de Gênes ; ce
i interdit et les Français
étaient e ntent-s lorsqu'on était forcé de
Prononcer h;i s débats assez acadé-
Jï^ues des commissions économiques et
nancières A ce moment le mot d'ordre
lle arIS étaIt: le prOblème des réparations
S exa
~s n examiné qu'ent.re alliés. La So-
t notions n'est ;pas plus un congrès
[ q le la conférence de Gênes; et main-
tenant le gouvernement français lui permet
de discuter sur les réparations, il veut
même exposer un projet particulier pour
résoudre ce problème qui lui semblait être
auparavant une affaire personnelle des al-
liés. Poincaré pense donc aujourd'hui à ce
sujet autrement qu'il y a six mois — ou
c'est la France qui pense autrement.
Le délégué français à la Société des na-
tions qui a approuvé et soutenu au nom de
son pays la proposition de Cecil est M. de
Jouvenel, un sénateur qui, dans un dis-
cours sensationnel prononcé au Sénat peu
après la rupture des négociations du Co-
mité des banquiers à Paris, défendit une
politique française orientée vers l'entente et
la reconstitution et non vers la violence et
la destruction, et cria à M. Poincaré : « Pro-
noncez enfin la parole libératrice que l'Eu-
rope attend. » M. de Jouvenel s'est montré
hier à Genève lereprésentant de cette orien-
tation de la politique française et c'est
un symptôme important qu'il ait pu, comme
délégué du gouvernement français, inviter
la S. D. N. à examiner le problème des ré-
parations. Nous ne voulons pas fonder im-
médiatement de trop grandes espérances
sur cet examen ; la question des répara-
tions et dés dettes interalliées présentera
à Genève les mêmes difficultés qu'ailleurs
et ne pourra pas non plus y être résolue
du jour au lendemain. Mais que M. de
Jouvenel ait été à Genève le porte-parole de
la France et qu'il ait exposé un programme
de « désarmement moral » et d'entente in-
ternationale, cela prouve que la politique
représentée par lui gagne actuellement du
terrain en France. La Vossische Zeitung a
déjà fait allusion récemment à ce « revi-
rement » qui commence et auquel l'accord
Stinnes-Lubersac a fortement contribué.
Sans doute l'Allemagne. et l'Europe ne sont
pas encore sûres des effets de cette évo-
lution ; mais les événements d'hier à Ge-
nève mettent en pleine lumière cette évo-
lution même.— Dr E. St.
VOSS/SCHE ZEITUNG, 20.9, matin.
LE DESARMEMENT. — Sous le titre :
« QUE LA SOCIÉTÉ DES NATIONS DÉCIDE ». -
Les Daily News approuvent le mémoran-
dum adressé par lord Robert Cecil à la So-
ciété des nations, au sujet du désarmement,
et déclarent que la Société ne peut être que
d'une utilité minime tant qu'elle n'aura pas
qualité pour s'occuper d'une question qui
constitue le principal obstacle à la paix :
Nous croyons que lord Robert Cecil a
choisi le bon moment pour faire cette expé-
rience. Depuis la publication de la note
Balfour, si regrettable sous certains rap-
ports et si mal accueillie en Amérique sur.
le moment, il semble s'être affirmé peu à
peu un sentiment nouveau de l'unité des
divers problèmes se rapportant aux dettes,
ainsi qu'une compréhension plus nette de
cette vérité que l'Europe sera en danger
tant que ces problèmes n'auront pas reçu
de solution. Aussi se manifeste-t-il aujour-
d'hui un esprit plus accommodant lorsqu'il
s'agit d'aborder les difficultés qu'ils présen-
tent. Il est significatif, si le fait est exact,
que la France se montre disposée à consen-
tir à la proposition de charger la Société
de l'étude complète de ces problèmes, qui
touchent de si près à ses intérêts. Serait-
elle disposée à aller plus loin et, en accep-
tant la conclusion logique de la situation à
s'en remettre à la Société du soin de pro-
noncer un jugement définitif ? Ce serait à
notre avis la mesure la plus sage qu'aurait
prise la France depuis l'armistice. Quant à
M. Poincaré, il s'est tellement trompé dans
ses promesses et dans ses calculs, qu'au
point de vue de sa situation politique per-
sonnelle nous ne pouvons concevoir un
moyen plus facile de la rétablir. — (Ed.)
DAILY NEWS, 21.9
——— ———-
LES RÉPARATIONS
L'ACCORD GERMANO-BELGE. — Grâce
à la mission de M. Havenstein à Londres l'ac-
cord est réalisé entre l'Allemagne et la Belgique
Nous sommes'ainsi libérés du souci des -
réparations, quant, aux paiements en espè-
ces, pour le reste de l'année. C'est un avan-
tage satisfaisant. Mais la crise des répara-
tions subsiste à l'état latent. La demande
allemande de moratorium n'a pas reçu sa-
tisfaction et l'accord actuel constitue seu-
lement un expédient pénible pour sortir de
la situation très périlleuse créée par l'im-
possibilité pour les alliés de prendre une
décision en présence de la proclamation de
l'insolvabilité allemande. On ne pourra
parler de solution de la crise des répara-
tions tant que le moratorium ne nous aura
pas été accordé à des conditions accepta-
bles et que le chiffre total des réparations
n'aura pas été ramené à des proportions
raisonnables. Jusqu'à ce moment nous se-
rons dans l'incertitude et dans l'insécurité
et notre volonté de relèvement sera para-
lysée.
En quoi consiste l'aide anglaise, on ne
le sait pas encore et ce n'est pas d'une
importance capitale. Ce qui est essentiel
c'est l'heureuse circonstance que l'Angle-
terre a considéré comme opportun d'inter-
venir pour éviter une nouvelle crise des
réparations sous une forme aggravée.
L'Angleterre a montré ainsi d'une manière
DES
FAIN E8
----
N° 2160
Vendredi 22 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^°ciéUE^1ANDE" - Les réparations et la
été des nations : la proposition de
ford Robert Cecil (Vossische Zeitung).
- L'accord germaIio-belae (Frankfurter
Zeitung) b
PnESSE AMÉIUCAINE. - La collaboration de
M, Caillaux auWOfW (World). —Le
v°yage de M Clemenceau (New York
Tnnes, - Çl York Tribune, World). -
Les T\r"M, ues déclarations de M. Ki-
Plino la pol.ïtique américaine
(il, Orld).
PfiESSE Ax AISE" - Le désarmement (Daily
1\~WS). - Les conséquences de la vic-
toire tn r^Ue (sir Valentine Chirol dans
t bailt, News; DaiUj Chronicle, Daily Te-
le9raph)
I POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
r LES i. REpARATIONS ET LA SOCIETE.
A PCONASY111014 DE LORD ROBERT CECIL. —
p' propOSItIOn de lord Robert Cecil n'est
p as absni ment inattendue ; la presse an-
glaise a eXprimé récemment à plusieurs re-
rises l'idée de Porter la question des répa-
,()ris (leIt la S. D. N. et l'on sait que
re projet de LloYd George de se rendre à
ssembiép de Genève a été rapproché d'in-
tentions analogues, bien qu'elles ne fussent
pas les seules, L'assentiment donné par la
htance au prokt de faire examiner le pro-
''lônie des r ;aratl0ns par la Conférence de
q.enève. est beaucoup plus surprenant et
une unportance in^erria^onale peut-être
plus grande ~mationale peut-être
nace 3e ra-PPelle encore la résistance te-
riac", et Un 5l§eante opposée par M. Poin-
t , Une ~e question des ré-
^arQUons i!?Ulslc>n , de la question des ré-
Ple mot la. P^'rence de Gênes ; ce
i interdit et les Français
étaient e ntent-s lorsqu'on était forcé de
Prononcer h;i s débats assez acadé-
Jï^ues des commissions économiques et
nancières A ce moment le mot d'ordre
lle arIS étaIt: le prOblème des réparations
S exa
~s n examiné qu'ent.re alliés. La So-
t notions n'est ;pas plus un congrès
[ q le la conférence de Gênes; et main-
tenant le gouvernement français lui permet
de discuter sur les réparations, il veut
même exposer un projet particulier pour
résoudre ce problème qui lui semblait être
auparavant une affaire personnelle des al-
liés. Poincaré pense donc aujourd'hui à ce
sujet autrement qu'il y a six mois — ou
c'est la France qui pense autrement.
Le délégué français à la Société des na-
tions qui a approuvé et soutenu au nom de
son pays la proposition de Cecil est M. de
Jouvenel, un sénateur qui, dans un dis-
cours sensationnel prononcé au Sénat peu
après la rupture des négociations du Co-
mité des banquiers à Paris, défendit une
politique française orientée vers l'entente et
la reconstitution et non vers la violence et
la destruction, et cria à M. Poincaré : « Pro-
noncez enfin la parole libératrice que l'Eu-
rope attend. » M. de Jouvenel s'est montré
hier à Genève lereprésentant de cette orien-
tation de la politique française et c'est
un symptôme important qu'il ait pu, comme
délégué du gouvernement français, inviter
la S. D. N. à examiner le problème des ré-
parations. Nous ne voulons pas fonder im-
médiatement de trop grandes espérances
sur cet examen ; la question des répara-
tions et dés dettes interalliées présentera
à Genève les mêmes difficultés qu'ailleurs
et ne pourra pas non plus y être résolue
du jour au lendemain. Mais que M. de
Jouvenel ait été à Genève le porte-parole de
la France et qu'il ait exposé un programme
de « désarmement moral » et d'entente in-
ternationale, cela prouve que la politique
représentée par lui gagne actuellement du
terrain en France. La Vossische Zeitung a
déjà fait allusion récemment à ce « revi-
rement » qui commence et auquel l'accord
Stinnes-Lubersac a fortement contribué.
Sans doute l'Allemagne. et l'Europe ne sont
pas encore sûres des effets de cette évo-
lution ; mais les événements d'hier à Ge-
nève mettent en pleine lumière cette évo-
lution même.— Dr E. St.
VOSS/SCHE ZEITUNG, 20.9, matin.
LE DESARMEMENT. — Sous le titre :
« QUE LA SOCIÉTÉ DES NATIONS DÉCIDE ». -
Les Daily News approuvent le mémoran-
dum adressé par lord Robert Cecil à la So-
ciété des nations, au sujet du désarmement,
et déclarent que la Société ne peut être que
d'une utilité minime tant qu'elle n'aura pas
qualité pour s'occuper d'une question qui
constitue le principal obstacle à la paix :
Nous croyons que lord Robert Cecil a
choisi le bon moment pour faire cette expé-
rience. Depuis la publication de la note
Balfour, si regrettable sous certains rap-
ports et si mal accueillie en Amérique sur.
le moment, il semble s'être affirmé peu à
peu un sentiment nouveau de l'unité des
divers problèmes se rapportant aux dettes,
ainsi qu'une compréhension plus nette de
cette vérité que l'Europe sera en danger
tant que ces problèmes n'auront pas reçu
de solution. Aussi se manifeste-t-il aujour-
d'hui un esprit plus accommodant lorsqu'il
s'agit d'aborder les difficultés qu'ils présen-
tent. Il est significatif, si le fait est exact,
que la France se montre disposée à consen-
tir à la proposition de charger la Société
de l'étude complète de ces problèmes, qui
touchent de si près à ses intérêts. Serait-
elle disposée à aller plus loin et, en accep-
tant la conclusion logique de la situation à
s'en remettre à la Société du soin de pro-
noncer un jugement définitif ? Ce serait à
notre avis la mesure la plus sage qu'aurait
prise la France depuis l'armistice. Quant à
M. Poincaré, il s'est tellement trompé dans
ses promesses et dans ses calculs, qu'au
point de vue de sa situation politique per-
sonnelle nous ne pouvons concevoir un
moyen plus facile de la rétablir. — (Ed.)
DAILY NEWS, 21.9
——— ———-
LES RÉPARATIONS
L'ACCORD GERMANO-BELGE. — Grâce
à la mission de M. Havenstein à Londres l'ac-
cord est réalisé entre l'Allemagne et la Belgique
Nous sommes'ainsi libérés du souci des -
réparations, quant, aux paiements en espè-
ces, pour le reste de l'année. C'est un avan-
tage satisfaisant. Mais la crise des répara-
tions subsiste à l'état latent. La demande
allemande de moratorium n'a pas reçu sa-
tisfaction et l'accord actuel constitue seu-
lement un expédient pénible pour sortir de
la situation très périlleuse créée par l'im-
possibilité pour les alliés de prendre une
décision en présence de la proclamation de
l'insolvabilité allemande. On ne pourra
parler de solution de la crise des répara-
tions tant que le moratorium ne nous aura
pas été accordé à des conditions accepta-
bles et que le chiffre total des réparations
n'aura pas été ramené à des proportions
raisonnables. Jusqu'à ce moment nous se-
rons dans l'incertitude et dans l'insécurité
et notre volonté de relèvement sera para-
lysée.
En quoi consiste l'aide anglaise, on ne
le sait pas encore et ce n'est pas d'une
importance capitale. Ce qui est essentiel
c'est l'heureuse circonstance que l'Angle-
terre a considéré comme opportun d'inter-
venir pour éviter une nouvelle crise des
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