Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 septembre 1922 21 septembre 1922
Description : 1922/09/21 (T22,N2159). 1922/09/21 (T22,N2159).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252457v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
1 ^MSTfcRE
DES
LA|RES^TRAINGÈRES
h: ---
N° 2159
Jeudi 21 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
bet~p ^EMAXIje- - L'accord germano-
belge (Forwarts). - Les conséquences
dei victoire turque (Theodor Wolff
dans Berliner Ta!Jeblatt, Frankfurter
Zeitung\ F/'anA- ~T-
''HKS.sk JLISE* Lcs conséquences de la
vrctnip 4 de la
r,que (Da.ilU .Y Mes, Daily Mail,
raux Chronicle, Morning Post et jour-
ï);illx *)ers)- — L'agitation dans l'Inde
L OVfji, S,alesn")-
iv•- t b l
"BELGE. L accord germano-belge
f~~ -~'PC~).
lJ^sE NNE. - Les conséquences de la
vict0jr V turque) (Ejxiçg^ Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
GERMANO-BELGE — PRESSB.
Ju°int llnpt - L aecord marque ceirtaine-
(1Ial1. 1.:tne\ détente sensible dans notre si-
'■ion PYt er*eure' du moins la question
l, ,°s 't,épar~tIOnsi dans les mois à venir, ne
, l"rieure ^^Pcndue comme une épée de
lu^oci(\s Sljf la politique intérieure et ex-
^emagne. Nous ne pouvons,
éc Vr" que ce que nous'avons
~cla~ i1.1, que l'l\péterce ,que nous av;ons
'SiL, aUSsitôt. après la décision de la com-
^^sion fl rcparations : une solution
ble et durable du problème suppose une
SlOn f d
revisiOJ1 on amentale des réparations im-
j^sées trnugi"ie, et.à cet. effet la réu-
, u°n, si n„ ., dune c.omé-
rerie, (>ssible cette année, d'une confé-
lei>e internationale semble ab-
OOUS ent npeSSaire' Sous "cette réserve
■ 8 aPl>roi]v~°inS 1 accord conclu à Lc/ndres
m Cornptons ?u aura au moins pour effet
of St, une certaine me-
l 'c- Xouo „nllrrîfs convaincus que de norn-
breux n sommes convaineus que de nom-
QCcu-èiTli llheux. riands et. étrangers ont
la. nouv avec vn sentiment de soulagement
H
n°UvQii0 du de la mission de M.
q s 8lin a L
que Cette nous savons
lie, A'IJ Il',est pas crénérale,
HelIX ^i'arisW .f l'étranger. Les mi-
DLÎSTL'IELS français en
■PPaOrI^» '!^ SE SEN et O? Mef;us dans leur es'
a Couper u r> déçus dans leur es-
nier a&Sa'Jt Don,! et tenteront un der-
Pas 1rs aut Pour que la Belcrique n,,-Ipp~rollve
aotit ! fllQro. t. b
~m rtes. \inia glo~alîemandes qui lui
^em Cl'le ces Wfn.pt n°ns esPérons ferme-
"®"*1 devant le
• sen* CimwdaJ iîa èchoueront devant le
» de la Belgique.
échec pour constitue aussi
p" e soi que 1,..
un «J?, !lie D6S« S les Partisans d'une 'po-
"Sit eses'
1 t'lteurs d~sc,,~P-Di r en Allemagne, pour les
llli<ÏZUeUrs lonaux-allemands et commu-
nistes qui se réjouissaient déjà d'une bonne
pèche en eau trouble grâce à la misère du
prochain hiver. Mais puisqu'ils n'ont pas
réussi à saboter la mission Havenstein
avant son accomplissement, ils réussiront
encore moins à la compromettre après la
réalisation de l'accord. Il est non pour M.
Stinnes devenu un peu orgueilleux de cons-
tater une fois que le cabinet MI "irt,h n'est pas
si « indigne de crédit » que l'avait supposé
son maladroit secrétaire Lensch et que cer-
taines signatures officielles sont « escomp-
tables » même si elles ont t\té données sans
son approbation ou même contre sa volonté.
VORWAERTS, 19.9, matin.
PRESSE RELGE. - Les Allemands ont donc,
ainsi que nous le faisions prévoir hier,
obtenu tout ce qu'ils désiraient à Londres,
et n'ont pas dû recourir aux bons offices
de la Hollande.
De son côté, la Banque d'Angleterre
semble avoir fait tout le nécessaire — ainsi
que nous l'avions fait prévoir — pour parer
à toute objection de la part de la France.
C'est la raison pour laquelle les Bons du
Trésor allemands, au lieu de venir à
échéance dans 12 ou 18 mois, viennent à
échoir endéans les 6 mois fixés par la com-
mission des réparations.
De plus, il ne s'agit plus uniquement,
cette fois, de Bons échus au 15 août et au
15 septembre, mais de tous les Bons du
15 août au 15 décembre, dévolus à la Bel-
gique en 1922, c'est-à-dire d'une somme de
270 millions de marks-or.
Tous ces Bons ont, quoique; les dépêches
n'en disent rien, reçu, outre Pavai de là
Banque de l'Empire, celui de la Banque
d'Angleterre. C'est-à-dire que ces Bons, dès
que l'Allemagne nous les aura remis, pour-
ront être immédiatement, escomptés, et cela
d'autant plus facilement que les échéances
ne dépassent pas le 15 juin - toujours en
vertu du délai de six mois accordé à l'Al-
lemagne le 31 août.
L'ensemble des garanties offertes par le
Beich est. donc satisfaisant. Il est vraisem-
blable que la combinaison, qui devra être
communiquée à la France, puisquelle pos-
sède hypothèque sur tous les biens alle-
mands, est de nature à satisfaire le gou-
vernement de M. Poincaré.
Ces garanties, notamment celles offertes
pair l'Allemagne à l'Angleterre, seraient,
parait-il, uniquement d'ordre économique.
Il convient, à cet effet, de dissiper une
erreur très répandue dans le public. On
croit que la garantie de la Reichsbank est
sans aucune valeur, à cause de la formi-
dable émission de papier à laquelle cet éta-
blissement se livre journellement. Dans les
milieux d'affaires, oui estime que la signa-
ture de la Reichsbank est encore l'une des
meilleures de l'Empire, à cause de l'en-
caisse or qu'elle possède, et surtout à cause
de la part importante des devises étran-
gères — livres, dollars, francs suisses, etc.
— qu'elle prélève sur toutes les opérations
que les Allemands concluent avec l'étran-
ger. C'est la raison pour laquelle la Banque
d'Angleterre a pu, théoriquement, avaliser
la signature de M. Havenstein.
Mais, ainsi quel nous avons eu soin de
le faire observer à maintes reprises, c'est
évidemment une raison d'ordre politique
qui a poussé la Banque d'Angleterre à ava-
liser la signature du président de la
Reichsbank et surtout à régler la question
des réparations jusqu'au 15 janvier pro-
chain.
L'Angleterre ne peut, sous peine de per-
dre tout le fruit de sa victoire sur les Turcs,
permettre aux nationalistes turcs de re-
constituer l'Empire ottoman. Or, ainsi
qu'on le constatera d'après les dépêches re-
latives à la question d'Orient, on semble
marcher tout droit à la guerre là-bas. La
Grande-Bretagne envoie toutes les troupes
disponibles et même une partie de sa flotte
de l'Atlantique, en Orient.
Pour réussir, ou, tout au moins, tenter
la chance avec quelque probabilité de suc-
cès, l'Angleterre laJ dû, au préalable se dé-
barrasser de la question des réparations.
Elle l'a fait, pour cette année, en avan-
çant les 270 millions de marks-or, néces-
saires aux Allemands. Du coup, elle con-
damne la France à l'immobilité vis-à-vis de
l'Allemagne
Mais le gouvernement français joué par
le gouvernement britannique, répond du
tac au tac et, par son attitude dans la ques-
tion d'Orient, met l'Angleterre en échec aux
Dardanelles, tout comme l'Angleterre a mis
la France: en échec sur le Rhin. — A. M.
XXe SIECLE, 20.9.
———- -——
LE PROCHE ORIENT
PRESSE ALLEMANDE. - Sans aucun
doute l'Angleterre est battue sur les champs
de bataille d'Asie Mineure et les victoires
du nationalisme turc constituent un im-
mense péril pour la domination anglaise
Actuellement l'Angleterre est même pres-
que isolée, car en Italie comme en Amé-
rique on ne semble nullement disposé à
collaborer à des mesures belliqueuses.
C'est clair : l'Angleterre est acculée à une
impasse. Mais, comme on l'a dit ici dès le
début, la presse française, emportée par la
joie du dommage subi par son alliée, sou-
ligne un peu trop vite son avantage. Pour
la France aussi la situation deviendrait
critique si les Turcs persistaient à récla-
DES
LA|RES^TRAINGÈRES
h: ---
N° 2159
Jeudi 21 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
bet~p ^EMAXIje- - L'accord germano-
belge (Forwarts). - Les conséquences
dei victoire turque (Theodor Wolff
dans Berliner Ta!Jeblatt, Frankfurter
Zeitung\ F/'anA- ~T-
''HKS.sk JLISE* Lcs conséquences de la
vrctnip 4 de la
r,que (Da.ilU .Y Mes, Daily Mail,
raux Chronicle, Morning Post et jour-
ï);illx *)ers)- — L'agitation dans l'Inde
L OVfji, S,alesn")-
iv•- t b l
"BELGE. L accord germano-belge
f~~ -~'PC~).
lJ^sE NNE. - Les conséquences de la
vict0jr V turque) (Ejxiçg^ Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
GERMANO-BELGE — PRESSB.
Ju°int llnpt - L aecord marque ceirtaine-
(1Ial1. 1.:tne\ détente sensible dans notre si-
'■ion PYt er*eure' du moins la question
l, ,°s 't,épar~tIOnsi dans les mois à venir, ne
, l"rieure ^^Pcndue comme une épée de
lu^oci(\s Sljf la politique intérieure et ex-
^emagne. Nous ne pouvons,
éc Vr" que ce que nous'avons
~cla~ i1.1, que l'l\péterce ,que nous av;ons
'SiL, aUSsitôt. après la décision de la com-
^^sion fl rcparations : une solution
ble et durable du problème suppose une
SlOn f d
revisiOJ1 on amentale des réparations im-
j^sées trnugi"ie, et.à cet. effet la réu-
, u°n, si n„ ., dune c.omé-
rerie, (>ssible cette année, d'une confé-
lei>e internationale semble ab-
OOUS ent npeSSaire' Sous "cette réserve
■ 8 aPl>roi]v~°inS 1 accord conclu à Lc/ndres
m Cornptons ?u aura au moins pour effet
of St, une certaine me-
l 'c- Xouo „nllrrîfs convaincus que de norn-
breux n sommes convaineus que de nom-
QCcu-èiTli llheux. riands et. étrangers ont
la. nouv avec vn sentiment de soulagement
H
n°UvQii0 du de la mission de M.
q s 8lin a L
que Cette nous savons
lie, A'IJ Il',est pas crénérale,
HelIX ^i'arisW .f l'étranger. Les mi-
DLÎSTL'IELS français en
■PPaOrI^» '!^ SE SEN et O? Mef;us dans leur es'
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nier a&Sa'Jt Don,! et tenteront un der-
Pas 1rs aut Pour que la Belcrique n,,-Ipp~rollve
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~m rtes. \inia glo~alîemandes qui lui
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p" e soi que 1,..
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"Sit eses'
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pèche en eau trouble grâce à la misère du
prochain hiver. Mais puisqu'ils n'ont pas
réussi à saboter la mission Havenstein
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encore moins à la compromettre après la
réalisation de l'accord. Il est non pour M.
Stinnes devenu un peu orgueilleux de cons-
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si « indigne de crédit » que l'avait supposé
son maladroit secrétaire Lensch et que cer-
taines signatures officielles sont « escomp-
tables » même si elles ont t\té données sans
son approbation ou même contre sa volonté.
VORWAERTS, 19.9, matin.
PRESSE RELGE. - Les Allemands ont donc,
ainsi que nous le faisions prévoir hier,
obtenu tout ce qu'ils désiraient à Londres,
et n'ont pas dû recourir aux bons offices
de la Hollande.
De son côté, la Banque d'Angleterre
semble avoir fait tout le nécessaire — ainsi
que nous l'avions fait prévoir — pour parer
à toute objection de la part de la France.
C'est la raison pour laquelle les Bons du
Trésor allemands, au lieu de venir à
échéance dans 12 ou 18 mois, viennent à
échoir endéans les 6 mois fixés par la com-
mission des réparations.
De plus, il ne s'agit plus uniquement,
cette fois, de Bons échus au 15 août et au
15 septembre, mais de tous les Bons du
15 août au 15 décembre, dévolus à la Bel-
gique en 1922, c'est-à-dire d'une somme de
270 millions de marks-or.
Tous ces Bons ont, quoique; les dépêches
n'en disent rien, reçu, outre Pavai de là
Banque de l'Empire, celui de la Banque
d'Angleterre. C'est-à-dire que ces Bons, dès
que l'Allemagne nous les aura remis, pour-
ront être immédiatement, escomptés, et cela
d'autant plus facilement que les échéances
ne dépassent pas le 15 juin - toujours en
vertu du délai de six mois accordé à l'Al-
lemagne le 31 août.
L'ensemble des garanties offertes par le
Beich est. donc satisfaisant. Il est vraisem-
blable que la combinaison, qui devra être
communiquée à la France, puisquelle pos-
sède hypothèque sur tous les biens alle-
mands, est de nature à satisfaire le gou-
vernement de M. Poincaré.
Ces garanties, notamment celles offertes
pair l'Allemagne à l'Angleterre, seraient,
parait-il, uniquement d'ordre économique.
Il convient, à cet effet, de dissiper une
erreur très répandue dans le public. On
croit que la garantie de la Reichsbank est
sans aucune valeur, à cause de la formi-
dable émission de papier à laquelle cet éta-
blissement se livre journellement. Dans les
milieux d'affaires, oui estime que la signa-
ture de la Reichsbank est encore l'une des
meilleures de l'Empire, à cause de l'en-
caisse or qu'elle possède, et surtout à cause
de la part importante des devises étran-
gères — livres, dollars, francs suisses, etc.
— qu'elle prélève sur toutes les opérations
que les Allemands concluent avec l'étran-
ger. C'est la raison pour laquelle la Banque
d'Angleterre a pu, théoriquement, avaliser
la signature de M. Havenstein.
Mais, ainsi quel nous avons eu soin de
le faire observer à maintes reprises, c'est
évidemment une raison d'ordre politique
qui a poussé la Banque d'Angleterre à ava-
liser la signature du président de la
Reichsbank et surtout à régler la question
des réparations jusqu'au 15 janvier pro-
chain.
L'Angleterre ne peut, sous peine de per-
dre tout le fruit de sa victoire sur les Turcs,
permettre aux nationalistes turcs de re-
constituer l'Empire ottoman. Or, ainsi
qu'on le constatera d'après les dépêches re-
latives à la question d'Orient, on semble
marcher tout droit à la guerre là-bas. La
Grande-Bretagne envoie toutes les troupes
disponibles et même une partie de sa flotte
de l'Atlantique, en Orient.
Pour réussir, ou, tout au moins, tenter
la chance avec quelque probabilité de suc-
cès, l'Angleterre laJ dû, au préalable se dé-
barrasser de la question des réparations.
Elle l'a fait, pour cette année, en avan-
çant les 270 millions de marks-or, néces-
saires aux Allemands. Du coup, elle con-
damne la France à l'immobilité vis-à-vis de
l'Allemagne
Mais le gouvernement français joué par
le gouvernement britannique, répond du
tac au tac et, par son attitude dans la ques-
tion d'Orient, met l'Angleterre en échec aux
Dardanelles, tout comme l'Angleterre a mis
la France: en échec sur le Rhin. — A. M.
XXe SIECLE, 20.9.
———- -——
LE PROCHE ORIENT
PRESSE ALLEMANDE. - Sans aucun
doute l'Angleterre est battue sur les champs
de bataille d'Asie Mineure et les victoires
du nationalisme turc constituent un im-
mense péril pour la domination anglaise
Actuellement l'Angleterre est même pres-
que isolée, car en Italie comme en Amé-
rique on ne semble nullement disposé à
collaborer à des mesures belliqueuses.
C'est clair : l'Angleterre est acculée à une
impasse. Mais, comme on l'a dit ici dès le
début, la presse française, emportée par la
joie du dommage subi par son alliée, sou-
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