Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 septembre 1922 20 septembre 1922
Description : 1922/09/20 (T22,N2158). 1922/09/20 (T22,N2158).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252456f
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MlNlSTÈRfcV
DEs
IAIRES ÊTRAN GÈRES
N° 2158
Mercredi. 20 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales, ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
I sommaire
~St.- '———'———————
LLC NI Lès conséquences de
la victfhe. turque {Rheinisch-W estfd-
lisehe y Cl Fremden-
blatt Hamburger Frcinden-
.IEHlC.-\INE, ~7 Les négociations ger-
Les n~é~iociat,ioii.s ge,i--
mano-bfvi&„n es (Chicago Daily Xetrs,
Uor[ci(
\£~!O;E F---Les conséquences de
VIctoire turque (Morrting Post.
Tinte* n
'«■Ht ^Telegraph). de
POLITIQUE GENERALE
¡¡ Le: PRO CHE ORIENT
^EMANDE. - L ATTITUDE
| ALI-1É8. 0rient, la- France ne
,
envers l'Angleterre,
? /Welle v' Uu'd Pas fait triompher son
lit de dans la question des répara-
I (J,. lïioiv, S que comme le laissent en-
n el, nouvelles de'Paris, on
aiTiv.e » un «compromis entre Lon-
TX)ur i aiPrès lequel l'Allemagne
• alliés en Orient. Dans
de I'Allgleterre ferait-elle le
concp S°ns dans ce compromis,
■ i VléPendnKeauc°up du succès des né-
rluli°iis déi « slgnalées de Poincaré avec
11^ndre fi 0rbie' c'est-à-dire. si Paris
Ir¡ : dans la question turque aussi à en-
r, la Pptj, 6 Entente tout entière ou en
l "fll11:e "al'IP !ranÇais, malgré les di-
ï le es entr 6 Paris et la Petite Entente
Jtla Politirm °nei\tale.
!¡tlld lIde de l'Italie J'oue également un
i'lnî rôle d question à cause de
àh, ut au latente contre la Yougoslavie.
cause iTlettpp en doute forte-
k; aUor* a.nawiaquestion d'Orient, son
de la effectuée avec osten-
iOIl Gênes 0? après" Si les Français
1Ssent et après. Si les Français
P a gagner les Yougoslaves à
fi ententde vue dans la guestion d'Orient,
^îente pourr- sans "hou te se réaliser
'IiculIté entre Rome et. Belgrade, SI
l'èCf\ Peut se dédommacrer sur la
^es avant Uln fle Rome et de
IfllSfs e, des avantages qui lui ont été
setltinients h ■ COlnrne Paris, Rome
1p. Se tin, el't-" très qui sont
f, -1, 0 'éfessée pour
1
aliste8 qti une hostilité contre la
la Puis-
i %'4 Se ooncupp^ des °°ntl>e la puis-
alie Ralkans. à la"
f Ilpe tU11 volontiers une
e ail
](\ som R». lasitu
.T¡ulet s'tu-Itt i'O'n n'est Pas ,si favo-
to erre que le prétendent les
communiqués optimistes de Londres. Rai-
son de plus pour que nous autres, Alle-
mands, n'attendions rien de bon de Paris et
de Bruxelles dans la question des répara-
tions ; comme dans certaines affaires précé-
dentes, l'Angleterre, maintenant que la
crise orientale la gêne plus que jamais,
cherchera un dernier expédiant en Allema-
gne. Que cet expédient conduise au reli-
quat de notre encaisse métallique ou dans
la Rhur, cela revient au même. En tout
cas, les dernières nouvelles de Paris et de
Londres indiquent déjà un nouveau revi.
rement significatif de l'Angleterre.
RHELVISCH-WESTFAELISCHE ZEITUNG
18.9, soir.
L'AIDE FRANÇAISE AUX KÉMALISTES. — De
Paris : Les livraisons de l'industrie de
guerre française aux kémalistes sont en-
rapport étroit avec le traité signé par Fran-
klin-Bouillon. Même ce « rapprochement de
la France avec la Turquie nouvelle » a
trouvé ses apôtres. Ce sont les généraux
qui écrivent dans les journaux influents
pour éclairer la France sur ses « devoirs »
militaires, les stratèges dont l'idée essen-
tielle est que de puissants armements peu-
vent seuls maintenir la paix. La victoire
turque plonge ces militaristes dans une joie
extatique. Ils vantent l'excellente fabrica-
tion des usines du Rhône, qui ont envoyé
sur le front turc leurs canons de 75 perfec-
tionnas, leurs canons Déport ainsi que des
mitrailleuses et des fusils automatiques
Les livraisons ont été payées par le groupe
financier de l' « Union Parisienne », dont
les intérêts ont été largement ménagés
dans l'accord Franklin-Bouillon. Ce ne sont
pas seulement les canons français, mais
les conseils de généraux français comme
Franchet d'Esperey qui ont fait remporter
aux Turcs leur écrasante victoire. Dans les
organes de la grosse industrie retentit
l'hymne de l'art militaire français. S'armer,
être prêt — voilà tout.
i HAMBURGER FREUDEARIATT,
18.9, soir.
LES INTÉRÊTS DE L'ALLEMAGNE. -Des inté-
rêts allemands sont en jeu dans la lutte
pour Constantinople et l'Asie Mineure : on
doit songer d'abord au commerce et à la
navigation, mais il faut songer aussi à la
civilisation. C'est pourquoi notre impuis-
sance diplomatique est encore plus pénible
à notre cœur que notre impuissance mili-
taire. Mais elle ne doit pas nous empêcher
de prendre position en face des événements
de cette contrée. Les sentiments de sym-
pathie ou d'antipathie doivent se taire. Na-
turellement ils existent et la majorité des
Allemands semble même disposée à suivre
la campagne victorieuse des Turcs avec
une sympathie dont l'ardeur dépasse celle
qui se manifeste toujours lorsque triom-
phent l'amour-propre national et l'héroïsme.
Mais les sympathies ne mènent à rien en
politique. Ils s'agit essentiellement de sa-
voir si les Turcs ou les Grecs régneront
à Constantinople. Cette question peut être
tranchée a priori en faveur des Turcs, car
Constantinople a été, est encore et doit
être la tête de pont naturelle et historique
de l'empire asiatique qu'on n'a pu leur en-
lever. Matis l'attitude des grandes puis-
sances, surtout de l'Angleterre et de la
France, a une importance plus grande en
cette' affaire. Nous devons toujours nous
représenter que la victoire turque est un
succès de la France. Si l'Angleterre fait
un effort pour arrêter la marche des
Turcs, elle se tourne en même temps contre
la France, bourreau de l'Allemagne. Mais
il faut mettre en doute que le peuple an-
glais ait la force et la volonté de faire ac-
tuellement une grande guerre en Orient.
Et ce serait une grande guerre si le pro-
gramme de Reuter devait être réalisé, une
guerre dont les dimensions dépasseraient
de beaucoup celles de la guerre de Crimée
que l'Angleterre a faite il y a 70 ans comme
amie des Turcs. En ce cas il faudrait s'at-
tendre à ce que la Russie, avec laquelle
Kemal Pwlia s'est mis d'accord depuis
longtemps, entrât dans la lutte contre les
puissances capitalistes d'Occident.
HAMBl'RC, ER FREMDENBLA TT,
18.9 soir.
PRESSE ANGLAISE. — LA POLITIQUE DE
M. LLOYD GEORGE. — Sous le titre « Percé à
jour », la Morning Post fait le procès de la
politique de M. Lloyd George, à qui elle at-
tribue la responsabilité de la situation ac-
tuelle, avec les dangers qui en découlent
pour la paix du monde :
M. Lloyd George ne s'en tirera pas en
s'enfonçant plus profondément dans l'or-
nière. Ce serait agir à la manière d'un Lu-
dendorff et le monde en a assez des Luden-
dorff.
Alors, que peut, faire M. Lloyd George. Il
ne se livrera peut-être pas de bataille pour
la possession des Détroits. Mais les Turcs
peuvent se tourner d'un autre côté. Il y a
Mossoul, par exempte. Il y a aussi la Trans-
jordanie, où l'on ne constate pas, depuis
l'affaire de la concession Rutenberg, un en-
thousiasme débordant pour M. Lloyd
George. Toujours est-il que les Turcs ont
maintenant l'occasion de se rendre très dé-
sagréables à la Grande-Bretagne. Et la
question se pose pour les conservateurs.
de savoir s'il leur est. possible de servir
plus longtemps sous un premier ministre
dont l'hostilité pour les Turcs est aussi pro-
noncée que l'est, son indulgence à l'égard
des Allemands. La guerre avait prouvé
déjà, et les événements de la dernière
quinzaine sont venus confirmer ce fait, que
DEs
IAIRES ÊTRAN GÈRES
N° 2158
Mercredi. 20 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales, ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
I sommaire
~St.- '———'———————
LLC NI Lès conséquences de
la victfhe. turque {Rheinisch-W estfd-
lisehe y Cl Fremden-
blatt Hamburger Frcinden-
.IEHlC.-\INE, ~7 Les négociations ger-
Les n~é~iociat,ioii.s ge,i--
mano-bfvi&„n es (Chicago Daily Xetrs,
Uor[ci(
\£~!O;E F---Les conséquences de
VIctoire turque (Morrting Post.
Tinte* n
'«■Ht ^Telegraph). de
POLITIQUE GENERALE
¡¡ Le: PRO CHE ORIENT
^EMANDE. - L ATTITUDE
| ALI-1É8. 0rient, la- France ne
,
envers l'Angleterre,
? /Welle v' Uu'd Pas fait triompher son
lit de dans la question des répara-
I (J,. lïioiv, S que comme le laissent en-
n el, nouvelles de'Paris, on
aiTiv.e » un «compromis entre Lon-
TX)ur i aiPrès lequel l'Allemagne
• alliés en Orient. Dans
de I'Allgleterre ferait-elle le
concp S°ns dans ce compromis,
■ i VléPendnKeauc°up du succès des né-
rluli°iis déi « slgnalées de Poincaré avec
11^ndre fi 0rbie' c'est-à-dire. si Paris
Ir¡ : dans la question turque aussi à en-
r, la Pptj, 6 Entente tout entière ou en
l "fll11:e "al'IP !ranÇais, malgré les di-
ï le es entr 6 Paris et la Petite Entente
Jtla Politirm °nei\tale.
!¡tlld lIde de l'Italie J'oue également un
i'lnî rôle d question à cause de
àh, ut au latente contre la Yougoslavie.
cause iTlettpp en doute forte-
k; aUor* a.nawiaquestion d'Orient, son
de la effectuée avec osten-
iOIl Gênes 0? après" Si les Français
1Ssent et après. Si les Français
P a gagner les Yougoslaves à
fi ententde vue dans la guestion d'Orient,
^îente pourr- sans "hou te se réaliser
'IiculIté entre Rome et. Belgrade, SI
l'èCf\ Peut se dédommacrer sur la
^es avant Uln fle Rome et de
IfllSfs e, des avantages qui lui ont été
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1p. Se tin, el't-" très qui sont
f, -1, 0 'éfessée pour
1
aliste8 qti une hostilité contre la
la Puis-
i %'4 Se ooncupp^ des °°ntl>e la puis-
alie Ralkans. à la"
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.T¡ulet s'tu-Itt i'O'n n'est Pas ,si favo-
to erre que le prétendent les
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son de plus pour que nous autres, Alle-
mands, n'attendions rien de bon de Paris et
de Bruxelles dans la question des répara-
tions ; comme dans certaines affaires précé-
dentes, l'Angleterre, maintenant que la
crise orientale la gêne plus que jamais,
cherchera un dernier expédiant en Allema-
gne. Que cet expédient conduise au reli-
quat de notre encaisse métallique ou dans
la Rhur, cela revient au même. En tout
cas, les dernières nouvelles de Paris et de
Londres indiquent déjà un nouveau revi.
rement significatif de l'Angleterre.
RHELVISCH-WESTFAELISCHE ZEITUNG
18.9, soir.
L'AIDE FRANÇAISE AUX KÉMALISTES. — De
Paris : Les livraisons de l'industrie de
guerre française aux kémalistes sont en-
rapport étroit avec le traité signé par Fran-
klin-Bouillon. Même ce « rapprochement de
la France avec la Turquie nouvelle » a
trouvé ses apôtres. Ce sont les généraux
qui écrivent dans les journaux influents
pour éclairer la France sur ses « devoirs »
militaires, les stratèges dont l'idée essen-
tielle est que de puissants armements peu-
vent seuls maintenir la paix. La victoire
turque plonge ces militaristes dans une joie
extatique. Ils vantent l'excellente fabrica-
tion des usines du Rhône, qui ont envoyé
sur le front turc leurs canons de 75 perfec-
tionnas, leurs canons Déport ainsi que des
mitrailleuses et des fusils automatiques
Les livraisons ont été payées par le groupe
financier de l' « Union Parisienne », dont
les intérêts ont été largement ménagés
dans l'accord Franklin-Bouillon. Ce ne sont
pas seulement les canons français, mais
les conseils de généraux français comme
Franchet d'Esperey qui ont fait remporter
aux Turcs leur écrasante victoire. Dans les
organes de la grosse industrie retentit
l'hymne de l'art militaire français. S'armer,
être prêt — voilà tout.
i HAMBURGER FREUDEARIATT,
18.9, soir.
LES INTÉRÊTS DE L'ALLEMAGNE. -Des inté-
rêts allemands sont en jeu dans la lutte
pour Constantinople et l'Asie Mineure : on
doit songer d'abord au commerce et à la
navigation, mais il faut songer aussi à la
civilisation. C'est pourquoi notre impuis-
sance diplomatique est encore plus pénible
à notre cœur que notre impuissance mili-
taire. Mais elle ne doit pas nous empêcher
de prendre position en face des événements
de cette contrée. Les sentiments de sym-
pathie ou d'antipathie doivent se taire. Na-
turellement ils existent et la majorité des
Allemands semble même disposée à suivre
la campagne victorieuse des Turcs avec
une sympathie dont l'ardeur dépasse celle
qui se manifeste toujours lorsque triom-
phent l'amour-propre national et l'héroïsme.
Mais les sympathies ne mènent à rien en
politique. Ils s'agit essentiellement de sa-
voir si les Turcs ou les Grecs régneront
à Constantinople. Cette question peut être
tranchée a priori en faveur des Turcs, car
Constantinople a été, est encore et doit
être la tête de pont naturelle et historique
de l'empire asiatique qu'on n'a pu leur en-
lever. Matis l'attitude des grandes puis-
sances, surtout de l'Angleterre et de la
France, a une importance plus grande en
cette' affaire. Nous devons toujours nous
représenter que la victoire turque est un
succès de la France. Si l'Angleterre fait
un effort pour arrêter la marche des
Turcs, elle se tourne en même temps contre
la France, bourreau de l'Allemagne. Mais
il faut mettre en doute que le peuple an-
glais ait la force et la volonté de faire ac-
tuellement une grande guerre en Orient.
Et ce serait une grande guerre si le pro-
gramme de Reuter devait être réalisé, une
guerre dont les dimensions dépasseraient
de beaucoup celles de la guerre de Crimée
que l'Angleterre a faite il y a 70 ans comme
amie des Turcs. En ce cas il faudrait s'at-
tendre à ce que la Russie, avec laquelle
Kemal Pwlia s'est mis d'accord depuis
longtemps, entrât dans la lutte contre les
puissances capitalistes d'Occident.
HAMBl'RC, ER FREMDENBLA TT,
18.9 soir.
PRESSE ANGLAISE. — LA POLITIQUE DE
M. LLOYD GEORGE. — Sous le titre « Percé à
jour », la Morning Post fait le procès de la
politique de M. Lloyd George, à qui elle at-
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tuelle, avec les dangers qui en découlent
pour la paix du monde :
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Alors, que peut, faire M. Lloyd George. Il
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la possession des Détroits. Mais les Turcs
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l'affaire de la concession Rutenberg, un en-
thousiasme débordant pour M. Lloyd
George. Toujours est-il que les Turcs ont
maintenant l'occasion de se rendre très dé-
sagréables à la Grande-Bretagne. Et la
question se pose pour les conservateurs.
de savoir s'il leur est. possible de servir
plus longtemps sous un premier ministre
dont l'hostilité pour les Turcs est aussi pro-
noncée que l'est, son indulgence à l'égard
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