Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 septembre 1922 19 septembre 1922
Description : 1922/09/19 (T22,N2157). 1922/09/19 (T22,N2157).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524551
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2157
Mardi 19 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE AFFEMANDE.- La France et. les repa-
rations (.\lii nchner Neueste Nachrich-
ten). t ^S conséquence de la victoire
turque (Odyssells dans Deutsche Allgc-
meine Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - Les conséquences de
la victoire turque (New York Times). -
L'union économioque austro-italienne
(Chicago Daily Tribune). - Le cente-
naire de l'indépendance brésilienne
(Chicago Daily Tribune).
PRESSE ANGLAISE. Le désarmement (Daily
Telegraph). - Les conséquences de la
victoire turque WllilU Telc{fI'aph, ,l, A.
Spender dans Westminster Gazette). -
L'achat du journal The People (Morning
Post).
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
LE DESARMEMENT, - LES thèses FRAN-
ÇAISE ET ANGLAISE. - De Genève, 17 sep-
tembre : La question de principe qui se pose
doivent préceder le désarmement ou si les
deux Choses peuvent "le ôtre simult a née s. M. de
Jouvenel s'est déclaré partisan de la pre-
mière de ces solution, lord Robert Cecil de
la se conde et la plus grande partie de la
seance a été occupée par les feux d'artifice
tirés par ces deux orateurs.
L 01(! Robe L Cecil est une des figures les
familières dans ces reunions de ta
Société, tandis que .\1. de Jouvenel a fait
ses débuts sur la scène de (;enève au cours
de la ^ion de «enève au cours
de Paris, a fr journal Le Matin.
de Paris, il a très rapivement acquis la
reputation d'être un orateur clair et excel
tent, tout en montrant. qu'il possède, à un
ses -- b€aUfioup t>iu élevé que la plupart de
ses compatriotes, l'esprit de compromis,
sans lequel les travaux de la politique de-
viennent imposibles. Il est regrettable, ce-
pendant, que dans ce débat sur le désarme-
un Français. sw ^saJme-
ment les protagonistes soient un Anglais et
un çl (", "lrrileMent lirogressif, est, eli rêsu-
mé, que si l'on n'est pas disposé à accepter
cer complètement à l'idée de autant renon-
cer cmplètement à l'idée de désarmement.
Lord Robert Cecil déclara que la proposi-
tion de M. de Jouvenel revenait à dire que
le traité de garantie doit être proportionné
à l'importance du désarmement, que, par
exemple, si quatre puissances se ralliaient
à un traité de garantie réciproque, l'impor-
tance du désarmement, devait être propor-
tionnée à l'importance de la garantie offerte
par l'action de ces quatre puissances. Si une
cinquième puissance venait, se joindre aux
quatre premières, une nouvelle réduction
s'opérerait, et ainsi de suite. Cette mé-
thode, à son avis, ne pourrait être appliquée
dans la pratique, parce qu'aucune puis-
sance ne peut prévoir, d'année en année, de
quelles forces elle aura besoin Le comité,
d'après sir Robert Cecil, devrait poser
comme principe qu'il ne peut y avoir de
garantie sans désarmement. M. de Jouve-
nel déclara que son plus cher désir était de
se trouver d'accord avec lord Robert Cecil,
mais qu'il lui était absolument impossible
de comprendre quelles objections il pouvait
y avoir à une garantie progressive et à un
désarmement progressif. Lord Robert Ceci
semblait désirer l'adhésion de tous les
Etats à un traité général, mais ce' n'était
pas là le seul moyen de procéder et il de-
vrait assurément être possible de commen-
cer avec des traités partiels et un désar-
mement partiel. A cela lord Robert Cecil
répliqua qu'il s'en était toujours tenu au
principe que le désarmement et les garan-
ties qui en décolleraient devraient être gé-
néraux et universellement applicables. Fi-
nalement lord Robert Cecil dit qu'il lui sem-
blait possible d'aboutir à un accord avec
M. de Jouvenel, si la question était ren-
voyée au comité de rédaction, proposition
à laquelle la commission, lasse de ce débat
stérile, se rallia aussitôt. - (Du correspon-
dant particulier.)
D.ULY TKLFJTUA PII. 18.9.
—— ———
LES RÉPARATIONS
LA FRANCE ET LES REPARATIONS. —
Quelle est la place de Poincaré ? Derrière
les fanfaronnades de l'Agence Havas et du
Temps, qui déclare que le mécanisme du
traité de Versailles est en marche et qu'au-
cune manœuvre ne pourra l'arrêter, ou der-
rière les affirmations de 1Intransigeant qui
prétend avec audace qu'un revirement ex-
traordinaire s'est produit à Paris ? L'indus-
trie française qui, sous l'empire de la né-
cessité et sans aucune inclination senti-
mentale vers les intérêts allemands, tra-
vaille encore une fois si activement à
l'union avec les chefs de l'industrie alle-
mande, s'est, engagée sur une voie qui sem-
ble en apparence très éloignée de celle que
suit la politique officielle de la France.
Nous disons en apparence, car nous som-
mes d'avis qu'au fond ces efforts révèlent
seulement le désir d'arracher à l'Allemagne,
par une voie différente et mieuxi accessi-
ble, les réparations, qui lui ont été impo-
sées. C'est pourquoi le gouvernement fran-
çais soutient entièrement les chefs de l'in-
dustrie.
La Journée Industrielle demande que M. Lou-
cheur retourne aux Régions libérées ; d'autre
part M. Tardieu reproche à M. Poincaré de
rechercher une alliance franco-allemande. Si la
commission des réparations ajourne l'échéance
allemande du 15 septembre, M. Poincaré aura le
choix entre deux solutions :
Ou il agira séparément contre l'Allema-
gne, ce qui lui sera difficile à cause de
l'opinion de la C D. R., ou il se montrera
plus faible que ne le faisaient prévoir ses
déclarations et ses menaces antérieures.
Quel parti prendra-t-il ? L'industrie fran-
çaise qui entre en scène subitement avec
tant d'autorité a sans doute l'intention d'ai-
der le président du Conseil aux abois à
se tirer d'affaire par une solution nouvelle
tout en renforçant son prestige ébranlé. La
méthode change, mais non le but !
MUENCHNER NEUESTE NACHRIGHTEN,
15.9.
———
LE PROCHE ORIENT
„ LES CONSEQUENCES DE LA VICTOIRE
TURQUE. — PRESSE ALLEMANDE. — L'Alle-
magne ne peut intervenir d'une manière
active dans ces événements, mais elle n'est
pas sans ressentir les effets de la victoire
turque. Au contraire, comme ancienne ca-
marade de combat et d'infortune, elle se sent
profondément solidaire de la Turquie et de
son sort. Traités en esclaves sans volonté
par les mêmes vainqueurs parjures et aveu-
gles dans leur cupidité, constamment ou-
tragés dans leur honneur national, privés
des conditions de vie les plus élémentaires,
les deux peuples ont subi en commun un
sort inouï. Non seulement la victoire tur-
que ouvre la première brèche irrémédiable
dans le monde de l'Entente, mais encore
elle pose tout le problème oriental, dont on
ne s'est pas encore bien représenté en Alle-
magne la gravité, l'ampleur et l'importance
pour notre propre destinée.
Que cette situation soit d'abord très dan-
gereuse pour nous comme pour tout le con-
tinent, on ne saurait en douter. Par suite de
sa défaite grecque, l'Angleterre se trouve
encore une fois en présence du problème du
maintien de son hégémonie mondiale
qu'elle croyait avoir si glorieusement résolu
pour toujours en 1914 et en 1918. Elle
trouve en face d'elle un ennemi à qui elle
ne peut opposer aucune force militaire équi-
valente. La presse anglaise montre par son
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2157
Mardi 19 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE AFFEMANDE.- La France et. les repa-
rations (.\lii nchner Neueste Nachrich-
ten). t ^S conséquence de la victoire
turque (Odyssells dans Deutsche Allgc-
meine Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - Les conséquences de
la victoire turque (New York Times). -
L'union économioque austro-italienne
(Chicago Daily Tribune). - Le cente-
naire de l'indépendance brésilienne
(Chicago Daily Tribune).
PRESSE ANGLAISE. Le désarmement (Daily
Telegraph). - Les conséquences de la
victoire turque WllilU Telc{fI'aph, ,l, A.
Spender dans Westminster Gazette). -
L'achat du journal The People (Morning
Post).
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
LE DESARMEMENT, - LES thèses FRAN-
ÇAISE ET ANGLAISE. - De Genève, 17 sep-
tembre : La question de principe qui se pose
doivent préceder le désarmement ou si les
deux Choses peuvent "le ôtre simult a née s. M. de
Jouvenel s'est déclaré partisan de la pre-
mière de ces solution, lord Robert Cecil de
la se conde et la plus grande partie de la
seance a été occupée par les feux d'artifice
tirés par ces deux orateurs.
L 01(! Robe L Cecil est une des figures les
familières dans ces reunions de ta
Société, tandis que .\1. de Jouvenel a fait
ses débuts sur la scène de (;enève au cours
de la ^ion de «enève au cours
de Paris, a fr journal Le Matin.
de Paris, il a très rapivement acquis la
reputation d'être un orateur clair et excel
tent, tout en montrant. qu'il possède, à un
ses -- b€aUfioup t>iu élevé que la plupart de
ses compatriotes, l'esprit de compromis,
sans lequel les travaux de la politique de-
viennent imposibles. Il est regrettable, ce-
pendant, que dans ce débat sur le désarme-
un Français. sw ^saJme-
ment les protagonistes soient un Anglais et
un çl (", "lrrileMent lirogressif, est, eli rêsu-
mé, que si l'on n'est pas disposé à accepter
cer complètement à l'idée de autant renon-
cer cmplètement à l'idée de désarmement.
Lord Robert Cecil déclara que la proposi-
tion de M. de Jouvenel revenait à dire que
le traité de garantie doit être proportionné
à l'importance du désarmement, que, par
exemple, si quatre puissances se ralliaient
à un traité de garantie réciproque, l'impor-
tance du désarmement, devait être propor-
tionnée à l'importance de la garantie offerte
par l'action de ces quatre puissances. Si une
cinquième puissance venait, se joindre aux
quatre premières, une nouvelle réduction
s'opérerait, et ainsi de suite. Cette mé-
thode, à son avis, ne pourrait être appliquée
dans la pratique, parce qu'aucune puis-
sance ne peut prévoir, d'année en année, de
quelles forces elle aura besoin Le comité,
d'après sir Robert Cecil, devrait poser
comme principe qu'il ne peut y avoir de
garantie sans désarmement. M. de Jouve-
nel déclara que son plus cher désir était de
se trouver d'accord avec lord Robert Cecil,
mais qu'il lui était absolument impossible
de comprendre quelles objections il pouvait
y avoir à une garantie progressive et à un
désarmement progressif. Lord Robert Ceci
semblait désirer l'adhésion de tous les
Etats à un traité général, mais ce' n'était
pas là le seul moyen de procéder et il de-
vrait assurément être possible de commen-
cer avec des traités partiels et un désar-
mement partiel. A cela lord Robert Cecil
répliqua qu'il s'en était toujours tenu au
principe que le désarmement et les garan-
ties qui en décolleraient devraient être gé-
néraux et universellement applicables. Fi-
nalement lord Robert Cecil dit qu'il lui sem-
blait possible d'aboutir à un accord avec
M. de Jouvenel, si la question était ren-
voyée au comité de rédaction, proposition
à laquelle la commission, lasse de ce débat
stérile, se rallia aussitôt. - (Du correspon-
dant particulier.)
D.ULY TKLFJTUA PII. 18.9.
—— ———
LES RÉPARATIONS
LA FRANCE ET LES REPARATIONS. —
Quelle est la place de Poincaré ? Derrière
les fanfaronnades de l'Agence Havas et du
Temps, qui déclare que le mécanisme du
traité de Versailles est en marche et qu'au-
cune manœuvre ne pourra l'arrêter, ou der-
rière les affirmations de 1Intransigeant qui
prétend avec audace qu'un revirement ex-
traordinaire s'est produit à Paris ? L'indus-
trie française qui, sous l'empire de la né-
cessité et sans aucune inclination senti-
mentale vers les intérêts allemands, tra-
vaille encore une fois si activement à
l'union avec les chefs de l'industrie alle-
mande, s'est, engagée sur une voie qui sem-
ble en apparence très éloignée de celle que
suit la politique officielle de la France.
Nous disons en apparence, car nous som-
mes d'avis qu'au fond ces efforts révèlent
seulement le désir d'arracher à l'Allemagne,
par une voie différente et mieuxi accessi-
ble, les réparations, qui lui ont été impo-
sées. C'est pourquoi le gouvernement fran-
çais soutient entièrement les chefs de l'in-
dustrie.
La Journée Industrielle demande que M. Lou-
cheur retourne aux Régions libérées ; d'autre
part M. Tardieu reproche à M. Poincaré de
rechercher une alliance franco-allemande. Si la
commission des réparations ajourne l'échéance
allemande du 15 septembre, M. Poincaré aura le
choix entre deux solutions :
Ou il agira séparément contre l'Allema-
gne, ce qui lui sera difficile à cause de
l'opinion de la C D. R., ou il se montrera
plus faible que ne le faisaient prévoir ses
déclarations et ses menaces antérieures.
Quel parti prendra-t-il ? L'industrie fran-
çaise qui entre en scène subitement avec
tant d'autorité a sans doute l'intention d'ai-
der le président du Conseil aux abois à
se tirer d'affaire par une solution nouvelle
tout en renforçant son prestige ébranlé. La
méthode change, mais non le but !
MUENCHNER NEUESTE NACHRIGHTEN,
15.9.
———
LE PROCHE ORIENT
„ LES CONSEQUENCES DE LA VICTOIRE
TURQUE. — PRESSE ALLEMANDE. — L'Alle-
magne ne peut intervenir d'une manière
active dans ces événements, mais elle n'est
pas sans ressentir les effets de la victoire
turque. Au contraire, comme ancienne ca-
marade de combat et d'infortune, elle se sent
profondément solidaire de la Turquie et de
son sort. Traités en esclaves sans volonté
par les mêmes vainqueurs parjures et aveu-
gles dans leur cupidité, constamment ou-
tragés dans leur honneur national, privés
des conditions de vie les plus élémentaires,
les deux peuples ont subi en commun un
sort inouï. Non seulement la victoire tur-
que ouvre la première brèche irrémédiable
dans le monde de l'Entente, mais encore
elle pose tout le problème oriental, dont on
ne s'est pas encore bien représenté en Alle-
magne la gravité, l'ampleur et l'importance
pour notre propre destinée.
Que cette situation soit d'abord très dan-
gereuse pour nous comme pour tout le con-
tinent, on ne saurait en douter. Par suite de
sa défaite grecque, l'Angleterre se trouve
encore une fois en présence du problème du
maintien de son hégémonie mondiale
qu'elle croyait avoir si glorieusement résolu
pour toujours en 1914 et en 1918. Elle
trouve en face d'elle un ennemi à qui elle
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