Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 septembre 1922 14 septembre 1922
Description : 1922/09/14 (T22,N2153). 1922/09/14 (T22,N2153).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252451c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
M 1Mb i
< DES
FFAIRES ~ÉTRAGERES
————
," 't
\° 2153
Jeudi 14 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'arrêt des négocia-
tions germano-belges (Vorwärts, Th.
Wolff dans Berliner Tageblatt). — « La
victoire turco-française » (Münchner
Neueste Nachrichten).
PRESSE AMÉRICAINE. - L'Autriche et l'Italie
(New York Tribune). — Les projets de
conférence orientale à Venise (New
York Tribune). — La question des
dettes (Washington Post).
PRESSE ANGLAISE. — La Société des nations
et le désarmement (Morning Post). —
La station militaire en Orient (lieute-
nant-colonel Repington dans Daily Te-
legraph). — L'attitude de la Serbie
(Daily Telegraph). — La situation en
Mésopotamie (Times). — Les prochai-
nes élections en Australie (Observer).
PRESSE ITALIENNE. — Les conséquences po-
litiques de la victoire turque (Corriere
della Sera). — Déclarations de Fethi bey
et de Galeddin bey (Tribuna).
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
LE DESARMEMENT - « LA COLOMBE ET
L'ARCHE ». - A Propos de l'intention qu'aurait
M. Lloyd p George de St rendre a Genève, la
Morning post exprime l'opinion qu'il ne déplai-
rait pas à beaucoup d'Anglais, si le premier mi-
nistre donne suite à ce projet, de le voir rester là-
bas. C'est un cadeau que l'Angleterre ferait bien
volontiers au reste du monde. Il est difficile
cependant, étant donné l'état de guerre qui règne
depuis si longtemps en Anatolie et les possibi-
lités inquiétantes que présente la victoire kéma-
liste, de se représenter NI. Lloyd George à Ge-
nève dans le rôle de la colombe portant dans son
bec le traditionnel rameau d'olivier.
r>ll.,r,.) 1-
Quand le premier ministre arrivera de-
vant l'arehe, la première chose qu'il sera
invité à faire sera de se prononcer sur un
projet de désarmement tout nouveau bre-
veté par lord Robert Cecil. Tel que nous le
comprenons, ce projet comporte la réunion
d'une conférence internationale en vue
d'étendre d'accord naval de Washington
aux puissances non signataires. Cette con-
férence serait suivie, au cas où elle serait
couronnée de succès, d'une autre oonfé-
rence chargée d'examiner un projet de dé-
sarmement terrestre. Les arguments qui
militent contre ces propositions ont été pré-
entés avec une force considérable par
M. de Jouvenel, de porte-parole de la
France, qui s'est appliqué à démontrer qu'il
fallait avant tout des garanties, et que les
garanties internationales ainsi obtenues
-
créeraient par elles-mêmes le sentiment de
sécurité qui amènerait nécessairement la
réduction des armements. En d'autres ter-
mes le désarmement ne peut avoir d'effi-
cacité qu'avec une politique sage. La con-
férence de Washington a réussi parce que
les hommes d'Etat qui y participaient
étaient vraiment désireux d'aboutir à un
accord. Mais un programme aussi ambi-
tieux que celui qui a été présenté à Ge-
nève, et qui se rapporte à une région aussi
bouleversée et aussi volcanique que l'Eu-
rope, est une tout autre affaire. Il est à
craindre qu'en concentrant leurs efforts
sur ces projets universels, les hommes
d'Etat ne négligent certaines tâches moins
impressionnantes qui demandent à être
accomplies, cependant, si l'on veuit que soit
maintenue la paix du monde. Aurions-nous,
par exemple, l'état troublé qui règne dans
le Proche Orient, si les hommes d'état réu-
nis à Paris, au lieu de perdre un temps pré-
cieux à élaborer le pacte du docteur Wilson,
s'étaient occupés avant tout de conclure
promptement. la paix avec la Turquie? D'au-
tre part nous ne serions pas en bonne voie,
probablement, d'obtenir le désarmement,
si la Grande-Bretagne avait maintenu le
pacte avec la France, bien que les Etats-
Unis se fussent désintéressés de la ques-
tion ? Ce qu'il faut au monde ce sont des
hommes d'Etat, et non pas des pactes ; une
diplomatie prudente et non pas des pro-
jets de désarmement ; de la constance et
de la prévoyance et non pas de l'éloquence.
— (Ed.)
MORNING POST, 13.9.
-09> ———
LES RÉPARATIONS
LES NEGOCIATIONS GERMANO-BEL-
GES. — L'ARRÊT DES NÉGOCIATIONS. — Les mi-
lieux financiers cherchent à exploiter l'ar-
rêt provisoire des négociations germano-
belges, mais la baisse du mark provoquée
par eux n'est pas justifiée.
En réalité, la situation est la suivante :
pas plus en Belgique qu'en France ou en
Angleterre on ne parle de rupture des né-
gociations. Il est compréhensible que le
gouvernement belge n'ait pas eu immédia-
tement le désir de proroger la date d'échéan-
ce des bons du Trésor au delà de celle fixée
par la commission des réparations. Il est
naturel aussi qu'il profite de l'arrêt qui en
est résulté pour recueillir les impressions
personnelles de ses délégués. Il n'est même
pas impossible que ce contact personnel
ait une influence favorable sur les prochai-
nes décisions du gouvernement belge.
Dans l'intervalle, le problème restera à
l'étude. Le fait que les secrétaires d'Etat Fis-
cher et Bergmann se sont rendus à Paris,
au siège de la commission des réparations,
prouve que l'on va faire une nouvelle étape
vers la solution du problème. Si l'on n'ad-
met pas que la récente décision de la com-
mission des réparations ait le caractère
d'un ultimatum — et cette dernière inter-
prétation est impossible puisqu'on a laissé
un certain délai à la Belgique pour étudier
la question — on peut espérer que le gou-
vernement belge posera à la commission
des réparations certaines questions et que
de la réponse obtenue par lui dépendra la
forme sous laquelle il passera des possibi-
lités de compromis révélées par les négo-
ciations de Berlin aux décisions définitives.
Etant donnée la gravité de la question, on
peut admettre que le gouvernement alle-
mand ne considère pas la substitution des
bons du Trésor aux versements en or
comme un moratorium déguisé. Il serait
donc absurde de supposer que, de l'autre
côté, on ne comprenne pas son souci d'assu-
rer sur des bases plus saines le rembour-
sement des bons en retardant leur échéan-
ce. De froids calculateurs comme les Belges
ne manqueront certainement pas de recon-
naître qu'il s'agit moins dans cette question
de s'en tenir d'une manière administrative
à un déM fixé hâtivement que de régler
aussi efficacement que possible le rembour-
sement. Il n'y a donc pas le moindre motif
de perdre la tête à cause de l'arrêt provi-
soire des négociations germano-belges.
VORWAERTS, 12.9, matin.
LA SITUATION GÉNÉRALE EN ALLEMAGNE. —
Les Belges se sont montrés beaucoup
plus obstinés qu'on ne pouvait s'y attendre.
Il n'y a pas de doute que derrière tout cela,
il y a, pressant dans ses avertissements, le
gouvernement français. Mais les Belges
peuvent encore renouer les fils. C'est une
circonstance défavorable que l'Angleterre
soit entraînée par la défaite grecque dans
de nouvelles difficultés et peut-être tentée
de chercher, en Europe, un terrain d'accord
avec la France. Nous sommes habitués à
ces coups-du sort oriental, car chaque fois
que les Anglais semblent quelque peu dis-
posés à faire quelque chose pour l'Allema-
gne, le Croissant leur tombe sur les bras.
On affirme qu'il y a eu, à un déjeuner, un
échange de mots désagréables entre le dé-
légué belge Bemelmans et Hugo Stinnes et
que cet incident n'a pas précisément rendu
les Belges plus conciliants. Stinnes. dont
l'extraordinaire, et peut-être générale apti-
tude aux affaires doit être admirée, a-t-il
pour ce qui est purement politique et diplo-
matique la pleine objectivité ? Ce n'est pas
l'avis de tous ceux qui ne dépendent pas de
lui ; mais la réponse de Bruxelles n'a cer-
tainement pas été provoquée par un pareil
incident.
L'accord Stinnes-Lubersac ne doit pas être
conçu comme un moyen de rapprochement avec
la France. Peut-être pourrait-on tenter quelque
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Jeudi 14 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'arrêt des négocia-
tions germano-belges (Vorwärts, Th.
Wolff dans Berliner Tageblatt). — « La
victoire turco-française » (Münchner
Neueste Nachrichten).
PRESSE AMÉRICAINE. - L'Autriche et l'Italie
(New York Tribune). — Les projets de
conférence orientale à Venise (New
York Tribune). — La question des
dettes (Washington Post).
PRESSE ANGLAISE. — La Société des nations
et le désarmement (Morning Post). —
La station militaire en Orient (lieute-
nant-colonel Repington dans Daily Te-
legraph). — L'attitude de la Serbie
(Daily Telegraph). — La situation en
Mésopotamie (Times). — Les prochai-
nes élections en Australie (Observer).
PRESSE ITALIENNE. — Les conséquences po-
litiques de la victoire turque (Corriere
della Sera). — Déclarations de Fethi bey
et de Galeddin bey (Tribuna).
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
LE DESARMEMENT - « LA COLOMBE ET
L'ARCHE ». - A Propos de l'intention qu'aurait
M. Lloyd p George de St rendre a Genève, la
Morning post exprime l'opinion qu'il ne déplai-
rait pas à beaucoup d'Anglais, si le premier mi-
nistre donne suite à ce projet, de le voir rester là-
bas. C'est un cadeau que l'Angleterre ferait bien
volontiers au reste du monde. Il est difficile
cependant, étant donné l'état de guerre qui règne
depuis si longtemps en Anatolie et les possibi-
lités inquiétantes que présente la victoire kéma-
liste, de se représenter NI. Lloyd George à Ge-
nève dans le rôle de la colombe portant dans son
bec le traditionnel rameau d'olivier.
r>ll.,r,.) 1-
Quand le premier ministre arrivera de-
vant l'arehe, la première chose qu'il sera
invité à faire sera de se prononcer sur un
projet de désarmement tout nouveau bre-
veté par lord Robert Cecil. Tel que nous le
comprenons, ce projet comporte la réunion
d'une conférence internationale en vue
d'étendre d'accord naval de Washington
aux puissances non signataires. Cette con-
férence serait suivie, au cas où elle serait
couronnée de succès, d'une autre oonfé-
rence chargée d'examiner un projet de dé-
sarmement terrestre. Les arguments qui
militent contre ces propositions ont été pré-
entés avec une force considérable par
M. de Jouvenel, de porte-parole de la
France, qui s'est appliqué à démontrer qu'il
fallait avant tout des garanties, et que les
garanties internationales ainsi obtenues
-
créeraient par elles-mêmes le sentiment de
sécurité qui amènerait nécessairement la
réduction des armements. En d'autres ter-
mes le désarmement ne peut avoir d'effi-
cacité qu'avec une politique sage. La con-
férence de Washington a réussi parce que
les hommes d'Etat qui y participaient
étaient vraiment désireux d'aboutir à un
accord. Mais un programme aussi ambi-
tieux que celui qui a été présenté à Ge-
nève, et qui se rapporte à une région aussi
bouleversée et aussi volcanique que l'Eu-
rope, est une tout autre affaire. Il est à
craindre qu'en concentrant leurs efforts
sur ces projets universels, les hommes
d'Etat ne négligent certaines tâches moins
impressionnantes qui demandent à être
accomplies, cependant, si l'on veuit que soit
maintenue la paix du monde. Aurions-nous,
par exemple, l'état troublé qui règne dans
le Proche Orient, si les hommes d'état réu-
nis à Paris, au lieu de perdre un temps pré-
cieux à élaborer le pacte du docteur Wilson,
s'étaient occupés avant tout de conclure
promptement. la paix avec la Turquie? D'au-
tre part nous ne serions pas en bonne voie,
probablement, d'obtenir le désarmement,
si la Grande-Bretagne avait maintenu le
pacte avec la France, bien que les Etats-
Unis se fussent désintéressés de la ques-
tion ? Ce qu'il faut au monde ce sont des
hommes d'Etat, et non pas des pactes ; une
diplomatie prudente et non pas des pro-
jets de désarmement ; de la constance et
de la prévoyance et non pas de l'éloquence.
— (Ed.)
MORNING POST, 13.9.
-09> ———
LES RÉPARATIONS
LES NEGOCIATIONS GERMANO-BEL-
GES. — L'ARRÊT DES NÉGOCIATIONS. — Les mi-
lieux financiers cherchent à exploiter l'ar-
rêt provisoire des négociations germano-
belges, mais la baisse du mark provoquée
par eux n'est pas justifiée.
En réalité, la situation est la suivante :
pas plus en Belgique qu'en France ou en
Angleterre on ne parle de rupture des né-
gociations. Il est compréhensible que le
gouvernement belge n'ait pas eu immédia-
tement le désir de proroger la date d'échéan-
ce des bons du Trésor au delà de celle fixée
par la commission des réparations. Il est
naturel aussi qu'il profite de l'arrêt qui en
est résulté pour recueillir les impressions
personnelles de ses délégués. Il n'est même
pas impossible que ce contact personnel
ait une influence favorable sur les prochai-
nes décisions du gouvernement belge.
Dans l'intervalle, le problème restera à
l'étude. Le fait que les secrétaires d'Etat Fis-
cher et Bergmann se sont rendus à Paris,
au siège de la commission des réparations,
prouve que l'on va faire une nouvelle étape
vers la solution du problème. Si l'on n'ad-
met pas que la récente décision de la com-
mission des réparations ait le caractère
d'un ultimatum — et cette dernière inter-
prétation est impossible puisqu'on a laissé
un certain délai à la Belgique pour étudier
la question — on peut espérer que le gou-
vernement belge posera à la commission
des réparations certaines questions et que
de la réponse obtenue par lui dépendra la
forme sous laquelle il passera des possibi-
lités de compromis révélées par les négo-
ciations de Berlin aux décisions définitives.
Etant donnée la gravité de la question, on
peut admettre que le gouvernement alle-
mand ne considère pas la substitution des
bons du Trésor aux versements en or
comme un moratorium déguisé. Il serait
donc absurde de supposer que, de l'autre
côté, on ne comprenne pas son souci d'assu-
rer sur des bases plus saines le rembour-
sement des bons en retardant leur échéan-
ce. De froids calculateurs comme les Belges
ne manqueront certainement pas de recon-
naître qu'il s'agit moins dans cette question
de s'en tenir d'une manière administrative
à un déM fixé hâtivement que de régler
aussi efficacement que possible le rembour-
sement. Il n'y a donc pas le moindre motif
de perdre la tête à cause de l'arrêt provi-
soire des négociations germano-belges.
VORWAERTS, 12.9, matin.
LA SITUATION GÉNÉRALE EN ALLEMAGNE. —
Les Belges se sont montrés beaucoup
plus obstinés qu'on ne pouvait s'y attendre.
Il n'y a pas de doute que derrière tout cela,
il y a, pressant dans ses avertissements, le
gouvernement français. Mais les Belges
peuvent encore renouer les fils. C'est une
circonstance défavorable que l'Angleterre
soit entraînée par la défaite grecque dans
de nouvelles difficultés et peut-être tentée
de chercher, en Europe, un terrain d'accord
avec la France. Nous sommes habitués à
ces coups-du sort oriental, car chaque fois
que les Anglais semblent quelque peu dis-
posés à faire quelque chose pour l'Allema-
gne, le Croissant leur tombe sur les bras.
On affirme qu'il y a eu, à un déjeuner, un
échange de mots désagréables entre le dé-
légué belge Bemelmans et Hugo Stinnes et
que cet incident n'a pas précisément rendu
les Belges plus conciliants. Stinnes. dont
l'extraordinaire, et peut-être générale apti-
tude aux affaires doit être admirée, a-t-il
pour ce qui est purement politique et diplo-
matique la pleine objectivité ? Ce n'est pas
l'avis de tous ceux qui ne dépendent pas de
lui ; mais la réponse de Bruxelles n'a cer-
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