Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 septembre 1922 12 septembre 1922
Description : 1922/09/12 (T22,N2151). 1922/09/12 (T22,N2151).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524499
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/04/2013
MINISTÈRE
ï DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
l -
N° 2151
Mardi 12 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
———
PRESSE ALLEMANDE. — La défaite grec-
que et la France (Taegliche Rundschau-,
Odysseus dans Deutsche Allgemeine
Zeitung ; Neue Badische Landeszei-
tung).
PRESSE ANGLAISE. — La troisième assemblée
1. de la Société des nations (Observer).
- La défaite grecque (Sunday Times ;
Sunday Express ; Observer ; J. A.
Spender dans Westminster Gazette).
PRESSE ITALIENNE. — La défaite grecque et
t liai conférence de Venise (Tribu nu.
| ! Mondo).
r
POLITIQUE GENERALE
1
1
1 LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
9 LA TROISIEME ASSEMBLEE. — « LA
1- ÎLANCE I'ELT-ELLE ,l\ESTER A L'ÉCART ? » —
Itmis un article très important sur la So-
ciété des nations, l'Observer rappelle la
peu-oie suivante de M. Lloyd George : « La
Société est un rouage essentiel du méca-
,.:.- 1 -
i~i~e ue la civilisation. Si elle réussit, la
civilisation sera sauvée. Si elle échoue — et
je parle en connaissance de cause — la civi-
lisation est vouée à la destruction. » Il cons-
tate les inferventions utiles de la Société
dans le passé, mais réclame, pour qu'elle
puisse arriver à son plein développement,
admission de la Russie et de l'Allemagne,
et compte sur l'adhésion éventuelle de
l'Amérique.
U « Mais avant que les arguments en fa-
6 la Imrtieilmlion de l'Amérique puis-
sent être présentés avec toute la force dési-
rable, il est un peuple, plus proche du
siège du mal, dont il reste à obtenir l'adhé-
sion à une organisation mondiale nouvelle.
; La France est bien membre de la Société
des nations et quelques-uns de ses hom-
mes d'Etat, les plus distingués ont même
participé à ses débats. Mais il serait oiseux
de prétendre qu'elle ait encore acquis au-
cune conviction de la valeur morale ou de
la capacité bienfaisante de cette institu-
tion. La France s'en tient à l'ordre ancien, à
l'idée atavique de ce qui constitue la « sé-
ante. » Disposant de la plus puissante
force armée du monde de l'après-guerre et
d'un système économique particulièrement
indépendant de toute autre, elle compte sur
son armement et sur sa diplomatie pour
garantir ses destinées. L'expérience l'a inti-
mement convaincue de la justesse de cette
philosophie, et quand nous venons lui de-
mander d'avoir confiance en d'autres métho-
des et en des garanties plus profondes, elle
peut répondre, non sans apparence de rai-
son, qu'elle ne remarque guère autour d'elle
d'exemples très tentants à suivre.
Aucune des grandes puissances, assuré-
ment, ne peut prétendre que son attitude
envers la Société des nations s'inspire
d'une haute moralité. Cependant nous de-
vons persister dans l'effort d'amener la
France à accepter la contre-partie morale de
sa prépondérance militaire, à faire servir à
la cause de la réconciliation et de la re-
construction son influence politique et l'in-
fluence plus grande encore de sa culture, et
à donner enfin à l'humanité la possibilité
de manger son pain dans la paix et dans
la tranquillité.
OBSERVER, 10.9.
—— ——
LE PROCHE ORIENT
PRESSE ANGLAISE. — LA NOUVELLE ME-
NACE TURQUE. — INTÉRÊTS BRITANNIQUES ET
INTÉRÊTS FRANÇAIS. — Dans quelle mesure
lies intérêts britanniques sont-ils affectés
pair l'effondrement de la Grèce et par le fait
qu'elle <81 dû évacuer l'Asie Mineure sous la
pression des Turcs et quelle est la politique
que réclament ces intérêts ? Il nous semble
que ce- sont là les questions sur lesquelles
devrait se concentrer l'attention des hom-
mes d'Etat britanniques. En d'autres
termes, ce dont nous avons besoin, c'est
uile nationale, s'inspirant des
vues les plus larges quant aux intérêts
nationaux. C'est précisément ce qui nous
manque, dans les altaàres du Proche
Orient, depuis le début de la guerre, et il
est grand temps de combler cette lacune,
de commencer à songer un peu à nous-
mêmes, d'abandonner le rôle de croisés et
de chevaliers errants pour envisager la
nouvelle situation sous un angle purement
britannique.
Laissons à l'histoire le soin de décider
lesquels, des Grecs ou de nous-mêmes, ont
le plus desservi les intérêts des autres. Le
problème immédiat qui se pose pour nous
désormais est sauver ce qu'il est encore
possible de sauver des ruines amoncelées
par l'inconstance de nos protégés et notre
propre légèreté à les encourager à entre-
prendre des tâches impossibles. Les Grecs
n'auront jamais un empire en Asie Mineu-
re. Même si les Français, et à un moin-
dre degré les Italiens, n'avaient pas mis
tous leurs soins à contrecarrer la politique
anglaise et à fortifier les Turcs, il est fort
douteux que les Grecs auraient pu se main-
tenir en Asie Mineure. Au point où en sont
les choses, ils reprennent le chemin de
l'Europe en proie à la panique et sans
aucun espoir de retour. Nous avons donné
aux Grecs notre bénédiction et nos encou-
ragements, alors que les Français don-
naient aux Turcs des canons et des chars
d'assaut. 11 en résulte une Grèce abattue,
une Turquie triomphante, une France dans
la jubilation et une Grande-Bretagne irritée
- et mécontente.
Mais ce n'est tout. Il se prépare, et
cela dans un avenir très prochain, une
réapparition de l'ancienne question turque
sous une forme nouvelle. Leurs éclatants
succès en Anatolie vont certainement en-
hardir les nationalistes turcs, leur faire
rêver, préparer la reprise de la Turquie
d'Europe, en quoi ils bénéficieront d'un
matériel considérable de la part de la Rus-
sie des soviets. Mais ils ne devraient rece-
voir d'aucun autre côté ni appui moral,
ni aide matérielle. La joie que manifestent
ouvertement les Français de la déconfiture
des Grecs nous semble un peu inconsidérée.
Il ne peut pas être de l'intérêt de la France
de voir les Turcs se réinstaller à Constan-
tinople et dans la Thrace, ni reprendre le
contrôle des Dardanelles, et cela pour trois
raisons : 1° personne n'aurait plus à crain-
dre d'une Turquie renaissante et d'esprit
belliqueux que la France en Syrie ; 20 tout
le système français de collaboration intime
avec la Petite Entente s'effondrerait si,
grâce à la connivence de la France, la
Turquie redevenait en Europe une puis-
sance redoutable ; 3° l'Empire français
comportant, comme le nôtre, des territoires
en grande partie musulmans réagirait
promptement et dangereusement en pré-
sence du rétablissement par la force des
armes de l'ancienne domination ottomane
sur les peuples chrétiens de l'Europe.
Dans ce domaine politique il ne peut exis-
1<ïr d'antagonisme entre' les intérêts fonda-
mentaux de la France et de la Grande-
Bretagne. Mais l'accord qui devrait pré-
valoir entre ces deux pays n'est pas encore
réalisé. Toute l'Europe orientale du Sud
serait condamnée à des guerres perpétuel-
les, si la discorde entre les alliés permet-
tait aux Turcs de reprendre leur situation
d'autrefois. Les intérêts britanniques ré-
clament certainement la conclusion d'un
accord avec la Turquie, mais pas à n'im-
porte quel lots conditions, ni par exemple à
des conditions qui rendraient Constantino-
pie et la Thrace aux Turcs et qui leur
permettraient - de reprendre le contrôle des
Dardanelles. Les intérêts de la France ne
sont-Hs pas vraiment et en dernière ana-
lyse les mêmes ? — (Ed.)
SUNDAY TIMES, 10.9.
« PLUS D'AVENTURES ». — Il est un fait qui
gouverne la politique anglaise par rapport
au Proche Orient. On peut l'énoncer carré-
ï DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
l -
N° 2151
Mardi 12 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
———
PRESSE ALLEMANDE. — La défaite grec-
que et la France (Taegliche Rundschau-,
Odysseus dans Deutsche Allgemeine
Zeitung ; Neue Badische Landeszei-
tung).
PRESSE ANGLAISE. — La troisième assemblée
1. de la Société des nations (Observer).
- La défaite grecque (Sunday Times ;
Sunday Express ; Observer ; J. A.
Spender dans Westminster Gazette).
PRESSE ITALIENNE. — La défaite grecque et
t liai conférence de Venise (Tribu nu.
| ! Mondo).
r
POLITIQUE GENERALE
1
1
1 LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
9 LA TROISIEME ASSEMBLEE. — « LA
1- ÎLANCE I'ELT-ELLE ,l\ESTER A L'ÉCART ? » —
Itmis un article très important sur la So-
ciété des nations, l'Observer rappelle la
peu-oie suivante de M. Lloyd George : « La
Société est un rouage essentiel du méca-
,.:.- 1 -
i~i~e ue la civilisation. Si elle réussit, la
civilisation sera sauvée. Si elle échoue — et
je parle en connaissance de cause — la civi-
lisation est vouée à la destruction. » Il cons-
tate les inferventions utiles de la Société
dans le passé, mais réclame, pour qu'elle
puisse arriver à son plein développement,
admission de la Russie et de l'Allemagne,
et compte sur l'adhésion éventuelle de
l'Amérique.
U « Mais avant que les arguments en fa-
6 la Imrtieilmlion de l'Amérique puis-
sent être présentés avec toute la force dési-
rable, il est un peuple, plus proche du
siège du mal, dont il reste à obtenir l'adhé-
sion à une organisation mondiale nouvelle.
; La France est bien membre de la Société
des nations et quelques-uns de ses hom-
mes d'Etat, les plus distingués ont même
participé à ses débats. Mais il serait oiseux
de prétendre qu'elle ait encore acquis au-
cune conviction de la valeur morale ou de
la capacité bienfaisante de cette institu-
tion. La France s'en tient à l'ordre ancien, à
l'idée atavique de ce qui constitue la « sé-
ante. » Disposant de la plus puissante
force armée du monde de l'après-guerre et
d'un système économique particulièrement
indépendant de toute autre, elle compte sur
son armement et sur sa diplomatie pour
garantir ses destinées. L'expérience l'a inti-
mement convaincue de la justesse de cette
philosophie, et quand nous venons lui de-
mander d'avoir confiance en d'autres métho-
des et en des garanties plus profondes, elle
peut répondre, non sans apparence de rai-
son, qu'elle ne remarque guère autour d'elle
d'exemples très tentants à suivre.
Aucune des grandes puissances, assuré-
ment, ne peut prétendre que son attitude
envers la Société des nations s'inspire
d'une haute moralité. Cependant nous de-
vons persister dans l'effort d'amener la
France à accepter la contre-partie morale de
sa prépondérance militaire, à faire servir à
la cause de la réconciliation et de la re-
construction son influence politique et l'in-
fluence plus grande encore de sa culture, et
à donner enfin à l'humanité la possibilité
de manger son pain dans la paix et dans
la tranquillité.
OBSERVER, 10.9.
—— ——
LE PROCHE ORIENT
PRESSE ANGLAISE. — LA NOUVELLE ME-
NACE TURQUE. — INTÉRÊTS BRITANNIQUES ET
INTÉRÊTS FRANÇAIS. — Dans quelle mesure
lies intérêts britanniques sont-ils affectés
pair l'effondrement de la Grèce et par le fait
qu'elle <81 dû évacuer l'Asie Mineure sous la
pression des Turcs et quelle est la politique
que réclament ces intérêts ? Il nous semble
que ce- sont là les questions sur lesquelles
devrait se concentrer l'attention des hom-
mes d'Etat britanniques. En d'autres
termes, ce dont nous avons besoin, c'est
uile nationale, s'inspirant des
vues les plus larges quant aux intérêts
nationaux. C'est précisément ce qui nous
manque, dans les altaàres du Proche
Orient, depuis le début de la guerre, et il
est grand temps de combler cette lacune,
de commencer à songer un peu à nous-
mêmes, d'abandonner le rôle de croisés et
de chevaliers errants pour envisager la
nouvelle situation sous un angle purement
britannique.
Laissons à l'histoire le soin de décider
lesquels, des Grecs ou de nous-mêmes, ont
le plus desservi les intérêts des autres. Le
problème immédiat qui se pose pour nous
désormais est sauver ce qu'il est encore
possible de sauver des ruines amoncelées
par l'inconstance de nos protégés et notre
propre légèreté à les encourager à entre-
prendre des tâches impossibles. Les Grecs
n'auront jamais un empire en Asie Mineu-
re. Même si les Français, et à un moin-
dre degré les Italiens, n'avaient pas mis
tous leurs soins à contrecarrer la politique
anglaise et à fortifier les Turcs, il est fort
douteux que les Grecs auraient pu se main-
tenir en Asie Mineure. Au point où en sont
les choses, ils reprennent le chemin de
l'Europe en proie à la panique et sans
aucun espoir de retour. Nous avons donné
aux Grecs notre bénédiction et nos encou-
ragements, alors que les Français don-
naient aux Turcs des canons et des chars
d'assaut. 11 en résulte une Grèce abattue,
une Turquie triomphante, une France dans
la jubilation et une Grande-Bretagne irritée
- et mécontente.
Mais ce n'est tout. Il se prépare, et
cela dans un avenir très prochain, une
réapparition de l'ancienne question turque
sous une forme nouvelle. Leurs éclatants
succès en Anatolie vont certainement en-
hardir les nationalistes turcs, leur faire
rêver, préparer la reprise de la Turquie
d'Europe, en quoi ils bénéficieront d'un
matériel considérable de la part de la Rus-
sie des soviets. Mais ils ne devraient rece-
voir d'aucun autre côté ni appui moral,
ni aide matérielle. La joie que manifestent
ouvertement les Français de la déconfiture
des Grecs nous semble un peu inconsidérée.
Il ne peut pas être de l'intérêt de la France
de voir les Turcs se réinstaller à Constan-
tinople et dans la Thrace, ni reprendre le
contrôle des Dardanelles, et cela pour trois
raisons : 1° personne n'aurait plus à crain-
dre d'une Turquie renaissante et d'esprit
belliqueux que la France en Syrie ; 20 tout
le système français de collaboration intime
avec la Petite Entente s'effondrerait si,
grâce à la connivence de la France, la
Turquie redevenait en Europe une puis-
sance redoutable ; 3° l'Empire français
comportant, comme le nôtre, des territoires
en grande partie musulmans réagirait
promptement et dangereusement en pré-
sence du rétablissement par la force des
armes de l'ancienne domination ottomane
sur les peuples chrétiens de l'Europe.
Dans ce domaine politique il ne peut exis-
1<ïr d'antagonisme entre' les intérêts fonda-
mentaux de la France et de la Grande-
Bretagne. Mais l'accord qui devrait pré-
valoir entre ces deux pays n'est pas encore
réalisé. Toute l'Europe orientale du Sud
serait condamnée à des guerres perpétuel-
les, si la discorde entre les alliés permet-
tait aux Turcs de reprendre leur situation
d'autrefois. Les intérêts britanniques ré-
clament certainement la conclusion d'un
accord avec la Turquie, mais pas à n'im-
porte quel lots conditions, ni par exemple à
des conditions qui rendraient Constantino-
pie et la Thrace aux Turcs et qui leur
permettraient - de reprendre le contrôle des
Dardanelles. Les intérêts de la France ne
sont-Hs pas vraiment et en dernière ana-
lyse les mêmes ? — (Ed.)
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