Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 septembre 1922 11 septembre 1922
Description : 1922/09/11 (T22,N2150). 1922/09/11 (T22,N2150).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252448w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
I —————
N° 2150
Lundi 11 septembre 1922
1 Bulletin - Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions. intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE 1
PRESSE ALLEMANDE. — Les négociations ger-
mano-belges (docteur G. Schultze-Pfael-
zer dans Taegliche Rundschau). — La
défaite grecque (Deutsche Tageszei-
tung). — L'état du mark : déclaration
du ministre de l'économie Robert
Schmidt (Germania).
PRESSE ANGLAISE. — La défaite grecque (Ti-
mes ; Daily Chronicle ; Morning Post ;
i, Daily News ; lieutenant-colonel Reping-
'r; ton dans Daily Telegraph).
PRESSE ITALIENNE. — Le désarmement. de
> l'Allemagne (Virginio Gayda dans Mes-
saggcro\ — La défaite grecque :elt les
h droits de l'Italie (Roberto Forges Da-
vanzati dans Resto del Carlino; Tribu-
- na).
PRESSE SUISSE. — La défaite grecque (Na-
tional Zeitung, Berner Tagblatl).
1 POLITIQUE GENERALE
! LES RÉPARATIONS
LES NEGOCIATIONS GERMANO BEL-
GES. - La Taegliche Rundschau, qui ex-
prime les- vues de M. Stinnes pendant la
suspension de la Deutsche Allgemeine Zei-
tung, déclare préférer les négociations
d'Etat a Etat aux pourparlers avec la com-
mission des réparations. Mais la seule so-
lution An problème des réparations reste
pour elle une réduction importante des obli-
gations allemandes.
Berlin est redevenu le théâtre où se joue
Lt tragédie des réparations. Pour le mo-
ment, le rideau reste baissé et derrière les
coulisses on ne fait guère que des prépara-
tifs, des plans, des vœux, des conjectures.
Les acteurs Beumelmans et Delacroix reçoi-
vent, du gouvernement, l'offre d'experts fi-
nanciers. D' après l'aspect extérieur, ces né-
gociations ont certaines ressemblances avec
les pourparlers qui eurent lieu, il y a deux
semaines, à la chancellerie d'Empire et au
ministère des finances ; il y avait aussi
des représentants des Etats vainqueurs
opposés à Wirth, Hermes, Schröder et
Bergmann.
Mais les différences sont plus importantes
que les points de comparaison. On se trou-
vait alors en présence des envoyés de la
commission des réparations, c'est-à-dire
d'un collège superposé aux Etats, au jour-
d'hui, on reçoit a Berlin les représentants
N d'une seule puissance ; ils forment un tout
politique et économique. Lorsqu'on délibé-
rait avec MM. Bradbury et Mauclère, on
savait d'avance que derrière eux se te-
naient deux gouvernements dont les vues,
en matière de politique des réparations, dif-
féraient essentiellement.
Il apparaissait impossible de s'entendre
avec tous les deux ; le seul résultat que l'on
pût atteindre dans la meilleure hypothèse
était qu'ils s'informassent exactement de
notre situation économique et comprissent
tous les détails des exposés faits par le gou-
vernement du Reich.
Une négociation d'Etat à Etat est bien pré-
férable à une explication avec la commis-
sion des réparations. La commission doit
être principalement, d'après le traité de
paix, un instrument économique, mais jus-
qu'à présent, elle ne s'est affranchie que
très rarement des considérations de politi-
que extérieure pour se présenter comme
une véritable réunion d'experts. M. Dubois,
le président, a agi plus d'une fois comme le
porte-parole de Poincaré et les autres mem-
bres se sont préoccupés bien souvent aussi
de l'opinion du quai d'Orsay.
Les délégués belges s'efforcent manifeste-
ment de trouver pour l'Allemagne une
forme d'accord qui nous cause le minimum
de trouble. Ils sont disposés, sans aucun
doute, à tenir compte autant que possible
de la détresse allemande. Mais ils veulent
de l'argent. Et quelle que soit la courtoisie
avec laquelle ils formulent leurs demandes,
ils exigent de nous quelque chose qui nous
impose une servitude.
Il n'y a qu'un seul moyen de salut : la
réduction de la dette allemande, des crédits
et des facilités de paiement. Tout le reste
n'est que ravaudage. On peut bien s'entre-
tenir aujourd'hui de bons du Trésor, demain
de gages productifs et après-demain de ga-
ranties pour livraisons en nature, on ne
peut que donner de nouveaux noms aux
mêmes erreurs de compte. — Dr. G. Schul-
tze - Pfaelzer.
TAEGLICHE RUNDSCHAU, 8.9, matin.
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LE DESARMEMENT. — PRESSE ITA-
LIENNE. — Le directeur de Messaggero
M. Gayda, fait un voyage d'études en Alle-
magne. Sous le titre : « Une nouvelle armée
qui se prépare », il étudie les sociétés mili-
taires secrètes en Allemagne, ainsi que les
sociétés sportives ou universitaires et les
coopératives agricoles. Il conclut ainsi :
Alors que dans tous les pays, la France
exceptée, on a pris la pioche en main après
la guerre pour détruire volontairement avec
une hâte furieuse et sadique les armées
victorieuses, ainsi que leurs traditions
d'honneur et d'humanité, l'Allemagne vain-
cue, ligotée par les interdictions des traités
et par le contrôle de cent commissions, a
lentement reconstruit son armée et, la pre-
mière de tous les pays d'Europe, a recom-
mencé à cultiver chez elle une âme natio-
nale guerrière. Elle nous donne là, certes,
un nouvel exemple de virilité et d'audace
créatrice qui impose le respect ; mais dans
cette magnifique puissance, il y a l'avertis-
sement de sa réalité vivante. — Virginio
Gayda.
MESSAGGEHO, 8.9.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
LA DEFAITE GRECQUE. — PRESSE AN-
GLAISE. — Le Times envisage les consé-
quences de la victoire turque pour la
France et l'Angleterre, puissances musul-
manes. Plus spécialement, il insiste sur la
nécessité de s'opposer fermement aux de-
mandes des Turcs concernant Constanti-
nople et les Détroits.
Il paraît que le gouvernement britanni-
que a intention de déférer à l'étude de la
Société des nations le problème de la pro-
tection des minorités. Il ne peut se laver
Les mains des responsabilités encourues
par lui, ni les faire retomber sur d'autres.
Les victoires turques créent une situation
entièrement nouvelle et il faudra les efforts
réunis de la France et de l'Angleterre pour
y faire face. Elles sont l'une et l'autre de
grandes puissances musulmanes. et aucun
événement qui fait appel aux traditions de
l'Islam vainqueur ne peut manquer de leur
créer des embarras à toutes deux. Il y a
des musulmans fanatiques dans les posses-
sions africaines de la France, de même
qu'il y a des musulmans fanatiques dans
l'Irak et dans l'Inde. Les succès d'une Tur-
quie militante embrasera leur imagination
et une fois leur imagination embrasée, ils
deviennent truculents et même dangereux.
Le public accueillera avec satisfaction la
déclaration, apparemment, inspirée, suivant
laquelle le gouvernement refusera de se
prêter à aucune combinaison « pouvant
affecter- en quoi que ce soit la liberté des
Détroits », ainsi que îê langage très ferme
dans lequel elle est faite. Le débarque-
ment de troupes britanniques dans la ré-
gion de Bigha sur la rive asiatique des
Dardanelles peut être considéré, du moins
nous l'espérons, eoIn:rne une preuve que le
gouvernement est. résolu à défendre la
liberté des Détroits par. tous les moyens
dont il dispose. Moscou reconnaît que l'am-
bition bolcheviste-kémaliste est de voir
convertir la mer Noire en un lac russo-turc
inaccessible. Nous ne saurions en aucun
cas permettre que ce projet se réalise. Mais
ce n'est pas seulement sur les bords des
Détroits et en Anatolie que les kémalistes
triomphants élèveront sans doute des pré-
tentions inadmissibles. Ils réclameront pro-
bablement Constantinople ; ils réclameront
presque certainement la Thrace orientale.
Il y a lieu de s'opposer avec fermeté à
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
I —————
N° 2150
Lundi 11 septembre 1922
1 Bulletin - Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions. intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE 1
PRESSE ALLEMANDE. — Les négociations ger-
mano-belges (docteur G. Schultze-Pfael-
zer dans Taegliche Rundschau). — La
défaite grecque (Deutsche Tageszei-
tung). — L'état du mark : déclaration
du ministre de l'économie Robert
Schmidt (Germania).
PRESSE ANGLAISE. — La défaite grecque (Ti-
mes ; Daily Chronicle ; Morning Post ;
i, Daily News ; lieutenant-colonel Reping-
'r; ton dans Daily Telegraph).
PRESSE ITALIENNE. — Le désarmement. de
> l'Allemagne (Virginio Gayda dans Mes-
saggcro\ — La défaite grecque :elt les
h droits de l'Italie (Roberto Forges Da-
vanzati dans Resto del Carlino; Tribu-
- na).
PRESSE SUISSE. — La défaite grecque (Na-
tional Zeitung, Berner Tagblatl).
1 POLITIQUE GENERALE
! LES RÉPARATIONS
LES NEGOCIATIONS GERMANO BEL-
GES. - La Taegliche Rundschau, qui ex-
prime les- vues de M. Stinnes pendant la
suspension de la Deutsche Allgemeine Zei-
tung, déclare préférer les négociations
d'Etat a Etat aux pourparlers avec la com-
mission des réparations. Mais la seule so-
lution An problème des réparations reste
pour elle une réduction importante des obli-
gations allemandes.
Berlin est redevenu le théâtre où se joue
Lt tragédie des réparations. Pour le mo-
ment, le rideau reste baissé et derrière les
coulisses on ne fait guère que des prépara-
tifs, des plans, des vœux, des conjectures.
Les acteurs Beumelmans et Delacroix reçoi-
vent, du gouvernement, l'offre d'experts fi-
nanciers. D' après l'aspect extérieur, ces né-
gociations ont certaines ressemblances avec
les pourparlers qui eurent lieu, il y a deux
semaines, à la chancellerie d'Empire et au
ministère des finances ; il y avait aussi
des représentants des Etats vainqueurs
opposés à Wirth, Hermes, Schröder et
Bergmann.
Mais les différences sont plus importantes
que les points de comparaison. On se trou-
vait alors en présence des envoyés de la
commission des réparations, c'est-à-dire
d'un collège superposé aux Etats, au jour-
d'hui, on reçoit a Berlin les représentants
N d'une seule puissance ; ils forment un tout
politique et économique. Lorsqu'on délibé-
rait avec MM. Bradbury et Mauclère, on
savait d'avance que derrière eux se te-
naient deux gouvernements dont les vues,
en matière de politique des réparations, dif-
féraient essentiellement.
Il apparaissait impossible de s'entendre
avec tous les deux ; le seul résultat que l'on
pût atteindre dans la meilleure hypothèse
était qu'ils s'informassent exactement de
notre situation économique et comprissent
tous les détails des exposés faits par le gou-
vernement du Reich.
Une négociation d'Etat à Etat est bien pré-
férable à une explication avec la commis-
sion des réparations. La commission doit
être principalement, d'après le traité de
paix, un instrument économique, mais jus-
qu'à présent, elle ne s'est affranchie que
très rarement des considérations de politi-
que extérieure pour se présenter comme
une véritable réunion d'experts. M. Dubois,
le président, a agi plus d'une fois comme le
porte-parole de Poincaré et les autres mem-
bres se sont préoccupés bien souvent aussi
de l'opinion du quai d'Orsay.
Les délégués belges s'efforcent manifeste-
ment de trouver pour l'Allemagne une
forme d'accord qui nous cause le minimum
de trouble. Ils sont disposés, sans aucun
doute, à tenir compte autant que possible
de la détresse allemande. Mais ils veulent
de l'argent. Et quelle que soit la courtoisie
avec laquelle ils formulent leurs demandes,
ils exigent de nous quelque chose qui nous
impose une servitude.
Il n'y a qu'un seul moyen de salut : la
réduction de la dette allemande, des crédits
et des facilités de paiement. Tout le reste
n'est que ravaudage. On peut bien s'entre-
tenir aujourd'hui de bons du Trésor, demain
de gages productifs et après-demain de ga-
ranties pour livraisons en nature, on ne
peut que donner de nouveaux noms aux
mêmes erreurs de compte. — Dr. G. Schul-
tze - Pfaelzer.
TAEGLICHE RUNDSCHAU, 8.9, matin.
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LE DESARMEMENT. — PRESSE ITA-
LIENNE. — Le directeur de Messaggero
M. Gayda, fait un voyage d'études en Alle-
magne. Sous le titre : « Une nouvelle armée
qui se prépare », il étudie les sociétés mili-
taires secrètes en Allemagne, ainsi que les
sociétés sportives ou universitaires et les
coopératives agricoles. Il conclut ainsi :
Alors que dans tous les pays, la France
exceptée, on a pris la pioche en main après
la guerre pour détruire volontairement avec
une hâte furieuse et sadique les armées
victorieuses, ainsi que leurs traditions
d'honneur et d'humanité, l'Allemagne vain-
cue, ligotée par les interdictions des traités
et par le contrôle de cent commissions, a
lentement reconstruit son armée et, la pre-
mière de tous les pays d'Europe, a recom-
mencé à cultiver chez elle une âme natio-
nale guerrière. Elle nous donne là, certes,
un nouvel exemple de virilité et d'audace
créatrice qui impose le respect ; mais dans
cette magnifique puissance, il y a l'avertis-
sement de sa réalité vivante. — Virginio
Gayda.
MESSAGGEHO, 8.9.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
LA DEFAITE GRECQUE. — PRESSE AN-
GLAISE. — Le Times envisage les consé-
quences de la victoire turque pour la
France et l'Angleterre, puissances musul-
manes. Plus spécialement, il insiste sur la
nécessité de s'opposer fermement aux de-
mandes des Turcs concernant Constanti-
nople et les Détroits.
Il paraît que le gouvernement britanni-
que a intention de déférer à l'étude de la
Société des nations le problème de la pro-
tection des minorités. Il ne peut se laver
Les mains des responsabilités encourues
par lui, ni les faire retomber sur d'autres.
Les victoires turques créent une situation
entièrement nouvelle et il faudra les efforts
réunis de la France et de l'Angleterre pour
y faire face. Elles sont l'une et l'autre de
grandes puissances musulmanes. et aucun
événement qui fait appel aux traditions de
l'Islam vainqueur ne peut manquer de leur
créer des embarras à toutes deux. Il y a
des musulmans fanatiques dans les posses-
sions africaines de la France, de même
qu'il y a des musulmans fanatiques dans
l'Irak et dans l'Inde. Les succès d'une Tur-
quie militante embrasera leur imagination
et une fois leur imagination embrasée, ils
deviennent truculents et même dangereux.
Le public accueillera avec satisfaction la
déclaration, apparemment, inspirée, suivant
laquelle le gouvernement refusera de se
prêter à aucune combinaison « pouvant
affecter- en quoi que ce soit la liberté des
Détroits », ainsi que îê langage très ferme
dans lequel elle est faite. Le débarque-
ment de troupes britanniques dans la ré-
gion de Bigha sur la rive asiatique des
Dardanelles peut être considéré, du moins
nous l'espérons, eoIn:rne une preuve que le
gouvernement est. résolu à défendre la
liberté des Détroits par. tous les moyens
dont il dispose. Moscou reconnaît que l'am-
bition bolcheviste-kémaliste est de voir
convertir la mer Noire en un lac russo-turc
inaccessible. Nous ne saurions en aucun
cas permettre que ce projet se réalise. Mais
ce n'est pas seulement sur les bords des
Détroits et en Anatolie que les kémalistes
triomphants élèveront sans doute des pré-
tentions inadmissibles. Ils réclameront pro-
bablement Constantinople ; ils réclameront
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