Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 septembre 1922 06 septembre 1922
Description : 1922/09/06 (T22,N2146). 1922/09/06 (T22,N2146).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524447
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DB8
CHAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2146
Mercredi 6 septembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse - Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
I
PRESSE AMÉRICAINE. -+- Les réparations : le
programme de M. Poincaré (Washing-
ton Post). — La politique franco-bri-
tannique en Orient (Washington Post).
PRESSE ANGLAISE. — L'admission de l'Alle-
magne dans la Société des nations (B.
Dernbuirg dans Contemporary Review).
— La défaite grecque (Times, Daily
News).
PRESSE ITALIENNE. — L'accord tchéco-yougo-
slave (Tribuna).
PRESSE SUISSE. — Les réparations : l'Alle-
magne après la décision de Paris
(Erich Dombrowski dans National Zei-
tung).
POLITIQUE GENERALE
I
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
L'ADMISSION DE L'ALLEMAGNE. —
uQr>s un article publié par la Contemporary
vtew, M. B. Dernburg examine dans
Welles conditions l'Allemagne devrait être
airnis, :
Il manque à la Société les éléments
e, démocratique. Le
conseil a des pouvoirs trop étendus, l'as-
Sc-rublée n'en a ipas suffisamment. Toutes
les décisions devraient émaner de l'assem-
blée ou de ses commissions, et le conseil
devrait être l'exécutif. Mais ce n'est pas
, u ement sous ce rapport qu'il y aurait
ji u de démocratiser la Société. Il faudrait
que 'ÛS membres en fussent choisis non
1 Pa par les gouvernements, mais par les
parlo-ruent des diverses nations, et choisis
danf le sein de ces parlements. Tout cela
se U^e <;l()J1s le contre-projet allemand
relatif aux articles correspondants du traité
de Paix. Puisque les Etats-Unis semblent
décidés à rester à l'écart, la Société ne sera
jamais qu'une assemblée « croupion ». Il
coriv'le d'examiner, par conséquent,
si les membres européens ne pourraient
Pas < Ambres européens ne po-urraient
ét , QI, teeréor un in-s'trument au moyen
étroite cr^er un instrument au moyen
duquel ¡es questions purement européen-
iW que la question de la Haute-Si-
lésjk .7;esen^ décidées exclusivement par
de Pi rcîféens- Nous estimons qu'à défaut
de changements la Société restera inef-
Rca~
CiOim^1611^ ces changements peuvent-ils se
lLre et comment la Société peut-elle de
venir efficace ? C'est ici que s'affirme notre
responsabilité. Sans la coopération de l'Al-
lemagne et de la Russie, la Société conser-
vera le caractère que lui a attribué M. Lan-
sing. Les Français craignent qu'elle ne
perde ce caractère, c'est pourquoi ils cher-
chent à empêcher l'Allemagne d'y entrer,
ou à lui imposer un « stage ». Lorsque des
Anglais, de mes amis, me parlaient de l'en-
trée de l'Allemagne dans la Société, ils me
faisaient remarquer que pour les affaires de
sa compétence, l'Allemagne serait mieux
placée pour défendre ses intérêts si elle en
faisait partie. C'est passible ; mais ce n'est
pas là une conception juste des fonctions
de la Société, qui doit se placer sur le ter-
rain de la vérité et de la justice pour tous,
qu'ils soient amis ou ennemis et qu'ils
soient membres ou non de la Société. Ce
n'est donc pas cette considération qui me
pousserait à demander d'en faire partie ;
mais voici ce qui m'y décide. Du moment
que les anciennes méthodes de la force et
de la brutalité sont condamnés et tenues
en horreur par la civilisation, il faut qu'il
y ait quelque chose d'autre qui puisse les
remplacer d'une manière efficace. La
Société des nations représente un effort
sérieux vers la création d'un instrument
efficace de ce genre, mais à la condition
que toutes les grandes puissances euro-
péennes en fassent partie et coopèrent de
tout cœur à en assurer le succès. Si la
Société échoue, ce sera en partie parce
qu'elle est incomplète. Je ne voudrais pas
que l'on pût reprocher cet échec à mon
pays. Malgré les expériences du passé et
la mauvaise volonté de quelques-uns des
membres les plus importants, l'Allemagne
devrait demander son admission, mais à
certaines conditions. Ces conditions se-
raient les suivantes : 1° il faut que nous
ayons une certitude raisonnable que notre
demande sera agréée à une majorité con-
sidérable, et par toutes les grandes puis-
sances, sauf peut-être la France ; 2° il faut
qu'il soit entendu qu'en adhérant au pacte
nous ne revenons pas sur les protestations
que nous avons faites contre le traité, ou
contre la décision de la Société au sujet de
la Haute-Silésie ; mais que nous avons l'in-
tention, au contraire, de nous servir de la
Société pour obtenir d'une façon ordonnée
et pacifique la révision du traité et de cel-
les d'entre ses conséquences auxquelles il
est encore possible de remédier ; 3° jusqu'à
ce que la Société soit démocratisée dans le
sens indiqué plus Haut, il faut que l'Alle-
magne soit admise d'emblée au conseil, à
titre de membre permanent, et cela en rai-
son de son étendue territoriale et de son
importance, et aussi en manière de réha-
bilitation en ce qui concerne les imputa-
tions du traite de paix ; 4° les accords in-
ternationaux conclus par l'Allemagne avant
son entrée dans la Société devront être re-
connus par la Société comme obligatoires
pour l'Allemagne comme pour le co-signa-
taire (traité de Rapallo) ; 5° pour des consi-
dérations de justice et d'égalité, ainsi que
de saine politique, il devra lui être confié
au moins un des mandats coloniaux, et la 5
Société devra se charger d'entamer des né-
gociations dans ce sens. Enfin, il devra être
entendu que l'Angleterre, en tout cas, ac-
cepte ce programme. Nous avons beaucoup
d'excellentes raisons, d'ordre politique ainsi
que sentimental, de ne pas devenir mem-
bres de la Société, mais il faut que nous
les écartions dans l'intérêt général et que
nous montrions ainsi que nous sommes
complètement imbus de l'esprit d'une véri-
table Société des nations. Sous réserve des
conditions et accords que j'ai indiqués
sommairement, et que je considère comme
nécessaires ou raisonnables, je conseille-
rais donc à mon gouvernement de faire sa
demande d'admission comme membre de
la Société aussitôt que pourra être obtenu
le consentement indispensable du Reichs-
tag. — B. Dernhurg.
CONTEMPORARY REVIElEW, septembre.
,
LES RÉPARATIONS
« L'ALLEMAGNE APRES LA DECISION
DE PARIS ». — Lorsque la Commission des
réparations, à Paris, se réunit pour rendre
sa décision sur le moratorium, la tension ¡
en Allemagne était extrême. La Bourse,
baromètre de la politique économique, était
agitée des mouvements convulsifs. Le dol-
lar faisait des bonds en haut et en bas.
D'heure en heure les cours oscillaient tan-
tôt vers le haut tantôt vers le bas des plu-
sieurs centaines de points. Miroir fidèle
de l'affolement complet. La seule chose .-\
qui guidât encore l'impression à la Bourse,
dans ces jours d'attente fiévreuse, était le
cours du mark à la Bourse de New-York.
Le cours des devises et des effets dansait
autour de ce cours une bacchanale effrénée
comme autour du veau d'or. Cette agitation
ne se limitait pas à quelques centaines de
boursiers, la fièvre gagnait toute la na-
tion, de Berlin jusqu'au village de mon-
tagne le plus reculé. Dans la conclusion des
affaires même - folie des prix. Le public
achetait furieusement.
Qui pouvait savoir ce que demain serait ?
Ne devait-on pas croire que Poincaré réa-
liserait ses menaces et occuperait la Ruhr,
si les « gages productifs » ne lui étaient
pas concédés ? Et alors, contre toute at-
tente survint l'acceptation du compromis
belge. -
Le peuple allemand soupira, délivré d'une
oppression extraordinaire. Le danger de
DB8
CHAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2146
Mercredi 6 septembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse - Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
I
PRESSE AMÉRICAINE. -+- Les réparations : le
programme de M. Poincaré (Washing-
ton Post). — La politique franco-bri-
tannique en Orient (Washington Post).
PRESSE ANGLAISE. — L'admission de l'Alle-
magne dans la Société des nations (B.
Dernbuirg dans Contemporary Review).
— La défaite grecque (Times, Daily
News).
PRESSE ITALIENNE. — L'accord tchéco-yougo-
slave (Tribuna).
PRESSE SUISSE. — Les réparations : l'Alle-
magne après la décision de Paris
(Erich Dombrowski dans National Zei-
tung).
POLITIQUE GENERALE
I
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
L'ADMISSION DE L'ALLEMAGNE. —
uQr>s un article publié par la Contemporary
vtew, M. B. Dernburg examine dans
Welles conditions l'Allemagne devrait être
airnis, :
Il manque à la Société les éléments
e, démocratique. Le
conseil a des pouvoirs trop étendus, l'as-
Sc-rublée n'en a ipas suffisamment. Toutes
les décisions devraient émaner de l'assem-
blée ou de ses commissions, et le conseil
devrait être l'exécutif. Mais ce n'est pas
, u ement sous ce rapport qu'il y aurait
ji u de démocratiser la Société. Il faudrait
que 'ÛS membres en fussent choisis non
1 Pa par les gouvernements, mais par les
parlo-ruent des diverses nations, et choisis
danf le sein de ces parlements. Tout cela
se U^e <;l()J1s le contre-projet allemand
relatif aux articles correspondants du traité
de Paix. Puisque les Etats-Unis semblent
décidés à rester à l'écart, la Société ne sera
jamais qu'une assemblée « croupion ». Il
coriv'le d'examiner, par conséquent,
si les membres européens ne pourraient
Pas < Ambres européens ne po-urraient
ét , QI, teeréor un in-s'trument au moyen
étroite cr^er un instrument au moyen
duquel ¡es questions purement européen-
iW que la question de la Haute-Si-
lésjk .7;esen^ décidées exclusivement par
de Pi rcîféens- Nous estimons qu'à défaut
de changements la Société restera inef-
Rca~
CiOim^1611^ ces changements peuvent-ils se
lLre et comment la Société peut-elle de
venir efficace ? C'est ici que s'affirme notre
responsabilité. Sans la coopération de l'Al-
lemagne et de la Russie, la Société conser-
vera le caractère que lui a attribué M. Lan-
sing. Les Français craignent qu'elle ne
perde ce caractère, c'est pourquoi ils cher-
chent à empêcher l'Allemagne d'y entrer,
ou à lui imposer un « stage ». Lorsque des
Anglais, de mes amis, me parlaient de l'en-
trée de l'Allemagne dans la Société, ils me
faisaient remarquer que pour les affaires de
sa compétence, l'Allemagne serait mieux
placée pour défendre ses intérêts si elle en
faisait partie. C'est passible ; mais ce n'est
pas là une conception juste des fonctions
de la Société, qui doit se placer sur le ter-
rain de la vérité et de la justice pour tous,
qu'ils soient amis ou ennemis et qu'ils
soient membres ou non de la Société. Ce
n'est donc pas cette considération qui me
pousserait à demander d'en faire partie ;
mais voici ce qui m'y décide. Du moment
que les anciennes méthodes de la force et
de la brutalité sont condamnés et tenues
en horreur par la civilisation, il faut qu'il
y ait quelque chose d'autre qui puisse les
remplacer d'une manière efficace. La
Société des nations représente un effort
sérieux vers la création d'un instrument
efficace de ce genre, mais à la condition
que toutes les grandes puissances euro-
péennes en fassent partie et coopèrent de
tout cœur à en assurer le succès. Si la
Société échoue, ce sera en partie parce
qu'elle est incomplète. Je ne voudrais pas
que l'on pût reprocher cet échec à mon
pays. Malgré les expériences du passé et
la mauvaise volonté de quelques-uns des
membres les plus importants, l'Allemagne
devrait demander son admission, mais à
certaines conditions. Ces conditions se-
raient les suivantes : 1° il faut que nous
ayons une certitude raisonnable que notre
demande sera agréée à une majorité con-
sidérable, et par toutes les grandes puis-
sances, sauf peut-être la France ; 2° il faut
qu'il soit entendu qu'en adhérant au pacte
nous ne revenons pas sur les protestations
que nous avons faites contre le traité, ou
contre la décision de la Société au sujet de
la Haute-Silésie ; mais que nous avons l'in-
tention, au contraire, de nous servir de la
Société pour obtenir d'une façon ordonnée
et pacifique la révision du traité et de cel-
les d'entre ses conséquences auxquelles il
est encore possible de remédier ; 3° jusqu'à
ce que la Société soit démocratisée dans le
sens indiqué plus Haut, il faut que l'Alle-
magne soit admise d'emblée au conseil, à
titre de membre permanent, et cela en rai-
son de son étendue territoriale et de son
importance, et aussi en manière de réha-
bilitation en ce qui concerne les imputa-
tions du traite de paix ; 4° les accords in-
ternationaux conclus par l'Allemagne avant
son entrée dans la Société devront être re-
connus par la Société comme obligatoires
pour l'Allemagne comme pour le co-signa-
taire (traité de Rapallo) ; 5° pour des consi-
dérations de justice et d'égalité, ainsi que
de saine politique, il devra lui être confié
au moins un des mandats coloniaux, et la 5
Société devra se charger d'entamer des né-
gociations dans ce sens. Enfin, il devra être
entendu que l'Angleterre, en tout cas, ac-
cepte ce programme. Nous avons beaucoup
d'excellentes raisons, d'ordre politique ainsi
que sentimental, de ne pas devenir mem-
bres de la Société, mais il faut que nous
les écartions dans l'intérêt général et que
nous montrions ainsi que nous sommes
complètement imbus de l'esprit d'une véri-
table Société des nations. Sous réserve des
conditions et accords que j'ai indiqués
sommairement, et que je considère comme
nécessaires ou raisonnables, je conseille-
rais donc à mon gouvernement de faire sa
demande d'admission comme membre de
la Société aussitôt que pourra être obtenu
le consentement indispensable du Reichs-
tag. — B. Dernhurg.
CONTEMPORARY REVIElEW, septembre.
,
LES RÉPARATIONS
« L'ALLEMAGNE APRES LA DECISION
DE PARIS ». — Lorsque la Commission des
réparations, à Paris, se réunit pour rendre
sa décision sur le moratorium, la tension ¡
en Allemagne était extrême. La Bourse,
baromètre de la politique économique, était
agitée des mouvements convulsifs. Le dol-
lar faisait des bonds en haut et en bas.
D'heure en heure les cours oscillaient tan-
tôt vers le haut tantôt vers le bas des plu-
sieurs centaines de points. Miroir fidèle
de l'affolement complet. La seule chose .-\
qui guidât encore l'impression à la Bourse,
dans ces jours d'attente fiévreuse, était le
cours du mark à la Bourse de New-York.
Le cours des devises et des effets dansait
autour de ce cours une bacchanale effrénée
comme autour du veau d'or. Cette agitation
ne se limitait pas à quelques centaines de
boursiers, la fièvre gagnait toute la na-
tion, de Berlin jusqu'au village de mon-
tagne le plus reculé. Dans la conclusion des
affaires même - folie des prix. Le public
achetait furieusement.
Qui pouvait savoir ce que demain serait ?
Ne devait-on pas croire que Poincaré réa-
liserait ses menaces et occuperait la Ruhr,
si les « gages productifs » ne lui étaient
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