Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 septembre 1922 05 septembre 1922
Description : 1922/09/05 (T22,N2145). 1922/09/05 (T22,N2145).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252443t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2145
Mardi 5 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les bons du Trésor
allemands :.les négociations germano-
beiges (George Bernhard dans Vossische
Zeitung). — La réponse française à la
note Balfour sur les dettes de guerre
(Rothe Fahne). — La Tchéco-Slova-
quie el l'Autriche (correspondance de
Prague au Berliner Tageblutt). — L'in-
terdiction de la Deutsche Allgemeine
Zeitung (Frankfurter Zeitung).
PHESSE ANGLAISE. — Les bons du Trésor al-
- lemands : les négociations germano-
belges (correspondance de Paris au
Times). — La réponse française à la
note Balfour sur les dettes de guerre
(Daily Express, Times, Daily Chroni-
cle, Morning Post, Daily Telegraph). —
La situation en Grèce (Daily Tele-
graph).
» ^RESSSE ITALIENNE. — La réponse française
à la note Balfour sur les dettes de
guerre (Corriere della Sera, Tribuna).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES BONS DU TRESOR ALLEMANDS.
; P -. LES NÉGOCIATIONS GERMANO-BELGES. — De
Paris, 3 septembre : Sir John'Bradbury, qui
est revenu d'Angleterre samedi soir, m'as-
re qu'il n'est guère douteux désormais
que les arrangements à conclure en vue
de la garantie des bons du Trésor allemand
seront terminés d'ici quelques jours à la
et tlsfnction des gouvernements de Berlin,
et de Bruxelles.
je crois savoir que cette question a été
scutée lors du récent voyage en Allema-
grle de la commission des réparations, et
tendant son séjour à Londres, Sir John
)Ur.v a virtuellement assuré le suc-
cès de l'opération. Lorsqu'ils ont consenti
à la proposition belge et italienne, les
Français ne savaient pas exactement
comme ^°lU'ra^en^ être escomptés les billets
projetés. A vrai dire chacun compte sur le
délégué britannique pour trouver le moyen.
U b,,it-a.nnique pour trouver le moyen.
est peut-être le seul expert financier de
l'Europe capable de mener à bonne fin une
rié(fr>'°n de ce genre et c'est ce que l'on
pensait de lui à Paris. Il avait préparé six
ou sept combinaisons différentes, toutes
•> S de rendre acceptables les bil-
i lots allemands, et j'apprends que le sys-
choisi n'exige que pour une partie
i l des banques « D ».
f
i
Ce système implique un arrangement, où
la Grande-Bretagne joue un rôle important.
La seule chose qui pourrait faire échouer
ce projet serait que l'Allemagne se montrât
récalcitrante. L'Allemagne a si souvent
choisi la mauvaise voie, elle a si souvent
résisté au mauvais moment qu'il y a lieu
peut-être de craindre qu'elle ne se comporte
une fois de plus imprudemment et qu'elle
ne cherche à marchander sur les conditions.
Après l'échec de la conférence de Lon-
dres, sir Robert Horne avait donné liberté
d'action complète à sir John Bradbury
dont on admire beaucoup l'habileté comme
négociateur. Il est donc regrettable que l'on
recommence à parler de la démission de sir
John Bradbury. Il incline à penser qu'il
pourrait se rendre plus utile en dehors de
la commission, mais cela n'est pas prouvé.
Ses intimes n'ignorent, pas qu'il désirerait
vivement pouvoir dire ce qui en est vrai-
ment des réparations et se libérer, à cette
fin, des liens officiels.
LES CHIFFRES DES RÉPARATIONS. — De
l'avis de quelques-uns de ceux qui ont étu-
dié la question, il ne suffit pas, comme le
propose M. Poincaré, de faire abstraction
des bons « C », lesquels sont considérés
depuis longtemps comme n'ayant aucune
valeur, et le rabais généreux en apparence
qui serait consenti en l'espèce n'avancerait
guère la solution du problème : il ne suffi-
rait pas à améliorer radicalement par lui-
même le crédit allemand, ni à aider à la
reconstruction générale. Quel chiffre peut-il
donc être envisagé utilement ? Il y a peu
de temps on parlait de 40 milliards de
marks-or (2 milliards de livres sterling) et
le projet Bradbury, exposé déjà dans les
colonnes du Times, projet consistant à divi-
ser la dette allemande en deux parties,
l'une payable par annuités, l'autre consi-
dérée comme un capital à amortir par anti-
cipation en bénéficiant d'un escompte lar-
gement calculé, était établi sur cette base.
Il est probable que sir Basil Blac Kett
qui est de passage à Paris, trouvera l'oc-
casion de. discuter à son tour un projet qui
se recommande dans ses grandes lignes au
Trésor britannique. La difficulté est que
dans la situation actuelle il est presque im-
possible de tabler définitivement sur aucun
chiffre. Telle autorité déclare qu'il ne serait
pas prudent de fixer actuellement le total
à plus de 25 milliards de marks-or (1.250
millions de livres sterling). Une des difficul-
tés qui s'attachent à la réunion d'une con-
férence en automne est qu'on ne peut fonder
aucun calcul sur la situation actuelle de
l'Allemagne et on craint que les Français,
tout en ayant fait une concession énorme,
n'observent encore une attitude trop rigide.
C'est pourquoi on exprime encore certains
doutes au sujet de l'opportunité d'une con-
férence immédiate. D'un côté, la question
est urgente et demanderait à être réglée
avant que les billets à six mois n'arrivent
à l'échéance. De l'autre, il manque encore
les éléments permettant d'apprécier les pos-
sibilités économiques, ainsi qu'une base so-
lide sur laquelle on pourrait construire en
Allemagne. En ce qui concerne la situation
personnelle de sir John Bradbury à cet
égard, on se demande s'il lui serait possi-
ble, tout en restant membre de la commis-
sion, de proclamer hautement quelques-unes
des, opinions qu'il serait nécessaire de faire
connaître. Ce n'est un secret pour personne
que le nom de lord Meston a été soumis au
premier ministre comme successeur éven-
tuel de sir John Bradbury. — (Du corres-
pondant particulier.)
TIMES, 4.9.
PRESSE ALLEMANDE. — La semaine pro-
chaine commenceront à Berlin les négocia-
tions avec les négociateurs belges au sujet
des garanties que le gouvernement doit
donner pour les bons avec desquels il doit
solder provisoirement les échéances de sa
dette de réparation jusqu'à la fin de l'année.
Les journaux belges annoncent tous que le
gouvernement belge est persuadé de pou-
voir escompter tout de suite ces bons. Cette
opinion concorde avec là réponse que les
membres belges de la commission des répa-
rations ont faite au membre français Du-
bois, lorsqu'il leur demandait s'ils se sen-
taient vraiment payés par la remise des
bons allemands. Il faut se persuader que la
Belgique a fermement l'intention d'escomp-
ter les bons et, par conséquent, de récla-
mer des garanties qui puissent être consi-
dérées comme telles sur le marché mon-
dial. Personne ne peut dire ce que seront
ces garanties puisqu'il ne saurait être ques-
tion de dépôts d'or.
L'obstacle principal est qu'il est difficile
de donner des gages pour un moratorium
aussi court, sans affecter Ja masse destinée
à la garantie de l'ensemble. Au contraire,
on pourrait recourir à un grand nombre de
méthodes si l'on possédait d'ores et déjà
un plan de réduction raisonnable des obli-
gations allemandes accompagné d'un em-
prunt international pour lui aider à sup-
porter ses charges.
De l'argent que l'Allemagne doit verser
d'ici à la fin de l'année, la majeure partie
va à la priorité belge. Si l'Allemagne ne paie
pas ses bons, les Belges se dédommageront
au moyen des gages. Ils réduisent par là la
masse sur laquelle la France peut ensuite
émettre ses prétentions. Dans l'ensemble,
on a l'impression que pour maintenir le
principe du refus de moratorium à l'Alle-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2145
Mardi 5 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les bons du Trésor
allemands :.les négociations germano-
beiges (George Bernhard dans Vossische
Zeitung). — La réponse française à la
note Balfour sur les dettes de guerre
(Rothe Fahne). — La Tchéco-Slova-
quie el l'Autriche (correspondance de
Prague au Berliner Tageblutt). — L'in-
terdiction de la Deutsche Allgemeine
Zeitung (Frankfurter Zeitung).
PHESSE ANGLAISE. — Les bons du Trésor al-
- lemands : les négociations germano-
belges (correspondance de Paris au
Times). — La réponse française à la
note Balfour sur les dettes de guerre
(Daily Express, Times, Daily Chroni-
cle, Morning Post, Daily Telegraph). —
La situation en Grèce (Daily Tele-
graph).
» ^RESSSE ITALIENNE. — La réponse française
à la note Balfour sur les dettes de
guerre (Corriere della Sera, Tribuna).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES BONS DU TRESOR ALLEMANDS.
; P -. LES NÉGOCIATIONS GERMANO-BELGES. — De
Paris, 3 septembre : Sir John'Bradbury, qui
est revenu d'Angleterre samedi soir, m'as-
re qu'il n'est guère douteux désormais
que les arrangements à conclure en vue
de la garantie des bons du Trésor allemand
seront terminés d'ici quelques jours à la
et tlsfnction des gouvernements de Berlin,
et de Bruxelles.
je crois savoir que cette question a été
scutée lors du récent voyage en Allema-
grle de la commission des réparations, et
tendant son séjour à Londres, Sir John
)Ur.v a virtuellement assuré le suc-
cès de l'opération. Lorsqu'ils ont consenti
à la proposition belge et italienne, les
Français ne savaient pas exactement
comme ^°lU'ra^en^ être escomptés les billets
projetés. A vrai dire chacun compte sur le
délégué britannique pour trouver le moyen.
U b,,it-a.nnique pour trouver le moyen.
est peut-être le seul expert financier de
l'Europe capable de mener à bonne fin une
rié(fr>'°n de ce genre et c'est ce que l'on
pensait de lui à Paris. Il avait préparé six
ou sept combinaisons différentes, toutes
•> S de rendre acceptables les bil-
i lots allemands, et j'apprends que le sys-
choisi n'exige que pour une partie
i l des banques « D ».
f
i
Ce système implique un arrangement, où
la Grande-Bretagne joue un rôle important.
La seule chose qui pourrait faire échouer
ce projet serait que l'Allemagne se montrât
récalcitrante. L'Allemagne a si souvent
choisi la mauvaise voie, elle a si souvent
résisté au mauvais moment qu'il y a lieu
peut-être de craindre qu'elle ne se comporte
une fois de plus imprudemment et qu'elle
ne cherche à marchander sur les conditions.
Après l'échec de la conférence de Lon-
dres, sir Robert Horne avait donné liberté
d'action complète à sir John Bradbury
dont on admire beaucoup l'habileté comme
négociateur. Il est donc regrettable que l'on
recommence à parler de la démission de sir
John Bradbury. Il incline à penser qu'il
pourrait se rendre plus utile en dehors de
la commission, mais cela n'est pas prouvé.
Ses intimes n'ignorent, pas qu'il désirerait
vivement pouvoir dire ce qui en est vrai-
ment des réparations et se libérer, à cette
fin, des liens officiels.
LES CHIFFRES DES RÉPARATIONS. — De
l'avis de quelques-uns de ceux qui ont étu-
dié la question, il ne suffit pas, comme le
propose M. Poincaré, de faire abstraction
des bons « C », lesquels sont considérés
depuis longtemps comme n'ayant aucune
valeur, et le rabais généreux en apparence
qui serait consenti en l'espèce n'avancerait
guère la solution du problème : il ne suffi-
rait pas à améliorer radicalement par lui-
même le crédit allemand, ni à aider à la
reconstruction générale. Quel chiffre peut-il
donc être envisagé utilement ? Il y a peu
de temps on parlait de 40 milliards de
marks-or (2 milliards de livres sterling) et
le projet Bradbury, exposé déjà dans les
colonnes du Times, projet consistant à divi-
ser la dette allemande en deux parties,
l'une payable par annuités, l'autre consi-
dérée comme un capital à amortir par anti-
cipation en bénéficiant d'un escompte lar-
gement calculé, était établi sur cette base.
Il est probable que sir Basil Blac Kett
qui est de passage à Paris, trouvera l'oc-
casion de. discuter à son tour un projet qui
se recommande dans ses grandes lignes au
Trésor britannique. La difficulté est que
dans la situation actuelle il est presque im-
possible de tabler définitivement sur aucun
chiffre. Telle autorité déclare qu'il ne serait
pas prudent de fixer actuellement le total
à plus de 25 milliards de marks-or (1.250
millions de livres sterling). Une des difficul-
tés qui s'attachent à la réunion d'une con-
férence en automne est qu'on ne peut fonder
aucun calcul sur la situation actuelle de
l'Allemagne et on craint que les Français,
tout en ayant fait une concession énorme,
n'observent encore une attitude trop rigide.
C'est pourquoi on exprime encore certains
doutes au sujet de l'opportunité d'une con-
férence immédiate. D'un côté, la question
est urgente et demanderait à être réglée
avant que les billets à six mois n'arrivent
à l'échéance. De l'autre, il manque encore
les éléments permettant d'apprécier les pos-
sibilités économiques, ainsi qu'une base so-
lide sur laquelle on pourrait construire en
Allemagne. En ce qui concerne la situation
personnelle de sir John Bradbury à cet
égard, on se demande s'il lui serait possi-
ble, tout en restant membre de la commis-
sion, de proclamer hautement quelques-unes
des, opinions qu'il serait nécessaire de faire
connaître. Ce n'est un secret pour personne
que le nom de lord Meston a été soumis au
premier ministre comme successeur éven-
tuel de sir John Bradbury. — (Du corres-
pondant particulier.)
TIMES, 4.9.
PRESSE ALLEMANDE. — La semaine pro-
chaine commenceront à Berlin les négocia-
tions avec les négociateurs belges au sujet
des garanties que le gouvernement doit
donner pour les bons avec desquels il doit
solder provisoirement les échéances de sa
dette de réparation jusqu'à la fin de l'année.
Les journaux belges annoncent tous que le
gouvernement belge est persuadé de pou-
voir escompter tout de suite ces bons. Cette
opinion concorde avec là réponse que les
membres belges de la commission des répa-
rations ont faite au membre français Du-
bois, lorsqu'il leur demandait s'ils se sen-
taient vraiment payés par la remise des
bons allemands. Il faut se persuader que la
Belgique a fermement l'intention d'escomp-
ter les bons et, par conséquent, de récla-
mer des garanties qui puissent être consi-
dérées comme telles sur le marché mon-
dial. Personne ne peut dire ce que seront
ces garanties puisqu'il ne saurait être ques-
tion de dépôts d'or.
L'obstacle principal est qu'il est difficile
de donner des gages pour un moratorium
aussi court, sans affecter Ja masse destinée
à la garantie de l'ensemble. Au contraire,
on pourrait recourir à un grand nombre de
méthodes si l'on possédait d'ores et déjà
un plan de réduction raisonnable des obli-
gations allemandes accompagné d'un em-
prunt international pour lui aider à sup-
porter ses charges.
De l'argent que l'Allemagne doit verser
d'ici à la fin de l'année, la majeure partie
va à la priorité belge. Si l'Allemagne ne paie
pas ses bons, les Belges se dédommageront
au moyen des gages. Ils réduisent par là la
masse sur laquelle la France peut ensuite
émettre ses prétentions. Dans l'ensemble,
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