Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 septembre 1922 01 septembre 1922
Description : 1922/09/01 (T22,N2142). 1922/09/01 (T22,N2142).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252440k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
7
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
>
N° 2142
Vendredi 1er septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
: PRESSE ALLEMANDE. — La participation
franco-britannique à l'industrie alle-
mande (Arnold Rechberg dans Berliner
Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les dettes des alliés :
l'opinion de M. Otto Kahn (New York
Times) ; le retour de la mission fran-
çaise (Albert W. Fox dans Washington
Post).
PRESSE ANGLAISE. — La politique britannique
en 1815 : « Un grand exemple » (Times).
- La Grèce et les alliés (Daily Tele-
graph).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'INDUSTRIE ALLEMANDE. — LA PAR-
TICIPATION FRANCO-BRITANNIQUE. — Le Berliner
Tageblatt publie un article du grand indus-
triel Arnold Rechberg sur la question de la
participation de l'Angleterre et de la France
à l'industrie allemande. A. Rechberg y voit
la solution du problème financier.
i. La politique de la France envers l'Allema-
gne et envers tout le continent européen est
déterminée, depuis la fin de la guerre, par
deux mobiles principaux. D'abord et avant
tout, la France a voulu obtenir des garan-
ties absolues contre le retour d'une guerre
franco-allemande. En même temps, la
France a voulu faire réparer par l'Allema-
gne les dommages de guerre. Les deux cho-
ses sont difficiles à concilier, si bien que la
politique française est arrivée, de plus en
plus nettement, à une contradiction inté-
rieure. Pour s'assurer contre le retour
d'une guerre franco-allemande, la France
a occupé la rive gauche du Rhin. La politi-
que française a, d'autre part, désarmé com-
plètement l'Allemagne et entouré le Reich
! allemand d'un cercle de petits états mili-
taires liés à la France.
Mais cette politique de sécurité a sensi-
blement diminué, en même temps, les chan-
ces de la France d'être indemnisée des
dommages de guerre : l'occupation de la
rive gauche du Rhin grève lourdement l'éco-
nomie allemande. Tout cela a conduit à un
t°l chaos dans les finances allemandes que
l'Allemagne est maintenant absolument in-
capable d'effectuer envers la France aucun
paiement considérable pour les réparations.
hus comme les exigences de la France en-
vers l'Allemagne constituent un chapitre
important de l'actif des finances françaises,
l'incapacité de paiement de l'Allemagne nuit
extraordinairement à la richesse nationale
de la France. Le désarroi des finances alle-
mandes a eu aussi pour conséquence la
chute perpétuelle du mark allemand. La
chute du mark n'est pas la conséquence de
l'émission perpétuelle de papier-monnaie,
mais bien le signe extérieur de la surcharge-
imposée aux finances allemandes, sur-
charge qui a rendu nécessaire l'émission
du papier-monnaie. Un arrêt dans l'im-
pression des billets n'arrêterait pas la chute
du mark tant que les finances allemandes
continuent d'être surchargées.
La chute perpétuelle du mark a eu encore
ce résultat que le coût de production dans
l'industrie allemande est sensiblement
moins élevé que dans l'industrie française
et cela aussi nuit à la richesse nationale de
la France. Pour toutes ces raisons, la poli-
tique suivie jusqu'ici par la France impose
au peuple français des charges qui dépas-
sent ses forces.
Il est donc naturel qu'en France on cher-
che à sortir de cette situation défavorable.
Mais l'issue est difficile à trouver parce que
la capacité de paiement de l'Allemagne ne
pourra être rétablie sans un affermissement
de l'Etat allemand. Or une politique de ce
genre serait en contradiction avec le désir
de la France de tenir l'Allemagne abaissée,
dans la crainte du retour d'une guerre
franco-allemande. Je suis convaincu que
l'idée d'un relèvement de l'Allemagne ap-
paraît redoutable aux hommes d'Etat fran-
çais. La population allemande est plus nom-
breuse que la population française. Les Alle-
mands ont fait preuve de qualités extraor-
dinaires pendant la guerre et accompli des
efforts inouïs jusqu'alors.
A mon avis, il n'y a qu'une solution ca-
pable de transformer l'hostilité absolue pra-
tiquée jusqu'ici par la politique française
envers les Allemands en une amitié par-
faite. Il faut établir entre la France et l'Al-
lemagne une alliance qui permette à la
France de supporter et de provoquer même
le rétablissement de l'Allemagne sans souci
pour elle-même. Cette alliance ne peut s'éta-
blir qu'en unissant les intérêts vitaux des
deux pays. Cette union doit être si profonde
et si étroite que toute possibilité d'une
guerre future entre les deux grands, peuples
voisins soit écartée absolument. Il est donc
nécessaire d'estimer et de peser sans pas-
sion les intérêts des deux pays. L'alliance
doit, d'une part, assurer à l'Allemagne la
possibilité de se relever et en même temps
être plus avantageuse pour la France que la
politique suivie jusqu'à maintenant. A mon
avis, les conditions d'une telle transforma-
tion existent. Le conseiller intime Witting,
président de la Banque nationale pour l'Al-
lemagne, n'a pas indiqué en vain que Lay
France possède l'acier et l'Allemagne le
charbon, et qu'ainsi la nature a tracé elle-
même, dans une certaine mesure, la voie
où doivent se retrouver l'économie alle-
mande et l'économie française. Il serait
donc très naturel que l'industrie allemande
et l'industrie française unissent étroitement
leurs intérêts pour le bénéfice égal des deux
peuples. Il paraît nécessaire de poursuivre,
dans les limites du possible, la solution du
problème des réparations en même temps
que cette collaboration.
C'est un élément favorable que l'industrie
allemande n'ait pas été entraînée dans le
désastre des finances allemandes et à l'ap-
pauvrissement qui a sévi sur des millions
d'Allemands. L'industrie allemande a fait la
richesse de l'Allemagne avant la guerre.
Car, tant que l'Allemagne resta un Etat agri-
cole, ce fut toujours un pays pauvre. Elle
n'est pas sensiblement affectée par le dé-
sarroi des finances allemandes, parce que,
comme on l'a dit, la chute du change alle-
mand a fait baisser le coût de production de
l'industrie allemande et parce qu'en même
temps elle avait de bons débouchés
Après la signature du traité de Versailles,
déjà, j'ai proposé que les réparations alle-
mandes fussent transformées à l'égard des
deux principaux créanciers de l'Allemagne,
la France et l'Angleterre, en participations
des industries françaises et anglaises dans
l'industrie allemande. J'ai proposé que l'Al-
lemagne donnât 30 du capital-actions in-
vesti dans la grande industrie à ses princi-
paux créanciers : les gouvernements fran-
çais et anglais. 1
Aujourd'hui, trois ans après, la chute du
change allemand rend plus facile encore
l'exécution technique de ce projet.
J'ai eu la satisfaction de voir d'éminents
Américains envisager la possibilité de sou-
tenir activement mes propositions. La
grande finance américaine, à ce que l'on m'a
assuré, ne fera crédit ni à la France ni à
l'Allemagne tant que l'inimitié qui subsiste
entre les deux Etats n'aura pas été enterrée.
On m'a affirmé que la haute finance améri-
caine voyait dans les projets le seul moyen,
peut-être, de stabiliser les rapports franco-
allemands. — A. Rechberg.
BERLINER TAGEBLATT, 30.8, matin.
LA POLITIQUE BRITANNIQUE EN 1815.
- Sous le titre : « UN GRAND EXEMPLE ». —
* Dans nos commentaires récents au sujet
du problème des réparations, nous avons
fait allusion à la sage modération dont fi-
rent preuve les hommes d'Etat britanni-
ques dans la situation, non entièrement dé-
pourvue de ressemblance à la situation ac-
tuelle, où ils se trouvèrent placés au cours
de l'été de 1815. Les leçons à tirer de cette
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
>
N° 2142
Vendredi 1er septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
: PRESSE ALLEMANDE. — La participation
franco-britannique à l'industrie alle-
mande (Arnold Rechberg dans Berliner
Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les dettes des alliés :
l'opinion de M. Otto Kahn (New York
Times) ; le retour de la mission fran-
çaise (Albert W. Fox dans Washington
Post).
PRESSE ANGLAISE. — La politique britannique
en 1815 : « Un grand exemple » (Times).
- La Grèce et les alliés (Daily Tele-
graph).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'INDUSTRIE ALLEMANDE. — LA PAR-
TICIPATION FRANCO-BRITANNIQUE. — Le Berliner
Tageblatt publie un article du grand indus-
triel Arnold Rechberg sur la question de la
participation de l'Angleterre et de la France
à l'industrie allemande. A. Rechberg y voit
la solution du problème financier.
i. La politique de la France envers l'Allema-
gne et envers tout le continent européen est
déterminée, depuis la fin de la guerre, par
deux mobiles principaux. D'abord et avant
tout, la France a voulu obtenir des garan-
ties absolues contre le retour d'une guerre
franco-allemande. En même temps, la
France a voulu faire réparer par l'Allema-
gne les dommages de guerre. Les deux cho-
ses sont difficiles à concilier, si bien que la
politique française est arrivée, de plus en
plus nettement, à une contradiction inté-
rieure. Pour s'assurer contre le retour
d'une guerre franco-allemande, la France
a occupé la rive gauche du Rhin. La politi-
que française a, d'autre part, désarmé com-
plètement l'Allemagne et entouré le Reich
! allemand d'un cercle de petits états mili-
taires liés à la France.
Mais cette politique de sécurité a sensi-
blement diminué, en même temps, les chan-
ces de la France d'être indemnisée des
dommages de guerre : l'occupation de la
rive gauche du Rhin grève lourdement l'éco-
nomie allemande. Tout cela a conduit à un
t°l chaos dans les finances allemandes que
l'Allemagne est maintenant absolument in-
capable d'effectuer envers la France aucun
paiement considérable pour les réparations.
hus comme les exigences de la France en-
vers l'Allemagne constituent un chapitre
important de l'actif des finances françaises,
l'incapacité de paiement de l'Allemagne nuit
extraordinairement à la richesse nationale
de la France. Le désarroi des finances alle-
mandes a eu aussi pour conséquence la
chute perpétuelle du mark allemand. La
chute du mark n'est pas la conséquence de
l'émission perpétuelle de papier-monnaie,
mais bien le signe extérieur de la surcharge-
imposée aux finances allemandes, sur-
charge qui a rendu nécessaire l'émission
du papier-monnaie. Un arrêt dans l'im-
pression des billets n'arrêterait pas la chute
du mark tant que les finances allemandes
continuent d'être surchargées.
La chute perpétuelle du mark a eu encore
ce résultat que le coût de production dans
l'industrie allemande est sensiblement
moins élevé que dans l'industrie française
et cela aussi nuit à la richesse nationale de
la France. Pour toutes ces raisons, la poli-
tique suivie jusqu'ici par la France impose
au peuple français des charges qui dépas-
sent ses forces.
Il est donc naturel qu'en France on cher-
che à sortir de cette situation défavorable.
Mais l'issue est difficile à trouver parce que
la capacité de paiement de l'Allemagne ne
pourra être rétablie sans un affermissement
de l'Etat allemand. Or une politique de ce
genre serait en contradiction avec le désir
de la France de tenir l'Allemagne abaissée,
dans la crainte du retour d'une guerre
franco-allemande. Je suis convaincu que
l'idée d'un relèvement de l'Allemagne ap-
paraît redoutable aux hommes d'Etat fran-
çais. La population allemande est plus nom-
breuse que la population française. Les Alle-
mands ont fait preuve de qualités extraor-
dinaires pendant la guerre et accompli des
efforts inouïs jusqu'alors.
A mon avis, il n'y a qu'une solution ca-
pable de transformer l'hostilité absolue pra-
tiquée jusqu'ici par la politique française
envers les Allemands en une amitié par-
faite. Il faut établir entre la France et l'Al-
lemagne une alliance qui permette à la
France de supporter et de provoquer même
le rétablissement de l'Allemagne sans souci
pour elle-même. Cette alliance ne peut s'éta-
blir qu'en unissant les intérêts vitaux des
deux pays. Cette union doit être si profonde
et si étroite que toute possibilité d'une
guerre future entre les deux grands, peuples
voisins soit écartée absolument. Il est donc
nécessaire d'estimer et de peser sans pas-
sion les intérêts des deux pays. L'alliance
doit, d'une part, assurer à l'Allemagne la
possibilité de se relever et en même temps
être plus avantageuse pour la France que la
politique suivie jusqu'à maintenant. A mon
avis, les conditions d'une telle transforma-
tion existent. Le conseiller intime Witting,
président de la Banque nationale pour l'Al-
lemagne, n'a pas indiqué en vain que Lay
France possède l'acier et l'Allemagne le
charbon, et qu'ainsi la nature a tracé elle-
même, dans une certaine mesure, la voie
où doivent se retrouver l'économie alle-
mande et l'économie française. Il serait
donc très naturel que l'industrie allemande
et l'industrie française unissent étroitement
leurs intérêts pour le bénéfice égal des deux
peuples. Il paraît nécessaire de poursuivre,
dans les limites du possible, la solution du
problème des réparations en même temps
que cette collaboration.
C'est un élément favorable que l'industrie
allemande n'ait pas été entraînée dans le
désastre des finances allemandes et à l'ap-
pauvrissement qui a sévi sur des millions
d'Allemands. L'industrie allemande a fait la
richesse de l'Allemagne avant la guerre.
Car, tant que l'Allemagne resta un Etat agri-
cole, ce fut toujours un pays pauvre. Elle
n'est pas sensiblement affectée par le dé-
sarroi des finances allemandes, parce que,
comme on l'a dit, la chute du change alle-
mand a fait baisser le coût de production de
l'industrie allemande et parce qu'en même
temps elle avait de bons débouchés
Après la signature du traité de Versailles,
déjà, j'ai proposé que les réparations alle-
mandes fussent transformées à l'égard des
deux principaux créanciers de l'Allemagne,
la France et l'Angleterre, en participations
des industries françaises et anglaises dans
l'industrie allemande. J'ai proposé que l'Al-
lemagne donnât 30 du capital-actions in-
vesti dans la grande industrie à ses princi-
paux créanciers : les gouvernements fran-
çais et anglais. 1
Aujourd'hui, trois ans après, la chute du
change allemand rend plus facile encore
l'exécution technique de ce projet.
J'ai eu la satisfaction de voir d'éminents
Américains envisager la possibilité de sou-
tenir activement mes propositions. La
grande finance américaine, à ce que l'on m'a
assuré, ne fera crédit ni à la France ni à
l'Allemagne tant que l'inimitié qui subsiste
entre les deux Etats n'aura pas été enterrée.
On m'a affirmé que la haute finance améri-
caine voyait dans les projets le seul moyen,
peut-être, de stabiliser les rapports franco-
allemands. — A. Rechberg.
BERLINER TAGEBLATT, 30.8, matin.
LA POLITIQUE BRITANNIQUE EN 1815.
- Sous le titre : « UN GRAND EXEMPLE ». —
* Dans nos commentaires récents au sujet
du problème des réparations, nous avons
fait allusion à la sage modération dont fi-
rent preuve les hommes d'Etat britanni-
ques dans la situation, non entièrement dé-
pourvue de ressemblance à la situation ac-
tuelle, où ils se trouvèrent placés au cours
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