Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 août 1922 23 août 1922
Description : 1922/08/23 (T21,N2134). 1922/08/23 (T21,N2134).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217101w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
? MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N'D 2134
Mercredi 23 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions. intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALIJEMANDE. — Le discours de
M. Poincaré à Triaucourt (Frankfurter
Zeitung, Rheinisch Westfülische Zei-
tnny, Kölnische Volkszeitung). — Les
secours aux réfugiés originaires des
territoires cédés (Tägliche Rundschau)-
Presse américaine. — Les Etats-Unis et la
Russie (SCIl' York Tribune).
Presse anglaise. - Les discours de
M. Poincaré à Bar-le-Duc (Times,
VaUu Télégraphe "'cslmi:nst{,f Gazette,
Daifij Chronicle, Daily Express). -
L'anniversaire de M. Poincaré (Sunday
Express).
PRESSE SUISSE. — Le discours de M. Poin-
, caré à Triaucourt (Vaterland).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE M. POINCARE A
AU COURT (20 AOUT). — Presse alle-
AtANOE. — ijj, Frankfurler Zeitung et la
H.heinisch Westfälische Zeitung voient
dan* le discours de M. Poincaré devant le
Monument au.r morts de Triaucourt un ab-
s°hi démenti de fait au.r bruits d'un even-
Uel rapprochement franco-allemand :
Le Paris, 20 août: L'idée d'un rapproche-
Ue"l direct entre la France et l'Allemagne,
-,ancee nai- l'Allemagne immédiatement
après l'échec de Londres, avait reçu dans
_opiiiioii publique française un accueil plus
'Yn encourageant. : la haute finance, le com-
rn et l'industrie et la grande masse mè-
Ine (les personnes n'y ayant pas d'intérêt di-
>' applaudissaient. On se demandait
getlleluent - bien que l'ensemble de la
PrftSe crût pouvoir assurer que l'idée d'une
la 1*0 'hiiitive sur une large base entre
la pl' '"ance et l'Allemagne s'était installée
iusf. aCc.u^a't seulement comment M. Poincaré
lai«Jï rail ceUp idée. M. 'Poincaré n'a pas
ïéw longtenipS l'opinion dans le doute. La
réponse qu'il a donné
court montre toujours irréconciliable,
montre en lui l'homme qui ne connaît que
la haine et qui,
t de n"" I>ai' une politique d'entente,
cr0it i° L ^V11 devoir d'entretenir la haine et
l'animosi ité en renouvelant le souvenir de la
guerre et de ses horreurs.
Kl' t l\TEl\ ZEITUNG, 21.8. matin.
- Sous le titre : Le « rapprochement
économique » triste utopie. De Paris, 21
août : Le discours de Poincaré à Triaucourt
ne contient aucune indication d'une ten-
dance de Poincaré à une collaboration éco-
nomique franco-allemande. Comme dans
tous ses discours des derniers temps, il con-
clut en disant que l'on contraindra l'Alle-
magne à réparer. Les journaux officieux ne
contiennent aujourd'hui non plus aucune
allusion à un désir de collaboration écono-
mique avec l'Allemagne. Des colonnes du
Matin, qui fut le premier à lancer l'idée,
toute discussion sur la constitution d'un bloc
économique franco-allemand a complète-
ment disparu. On ne trouve que des infor-
mations contraires à l'idée de collaboration.
Lorsqu'on voit comment la presse fran-
caise a joué ces jours derniers avec le mot
d'ordre « entente franco-allemande », on se
souvient que la maxime « la parole a été
donnée, à l'homme pour dissimuler sa pen-
gce n vient de France.
Il faut prendre garde qu'en définitive un'.
fusion des forces industrielles de l'Allema-
gne et de la France se ferait au bénéfice de
la France et nous mettrait en opposition
avec l'Angleterre.
RHEINISC II WESTFAELISCHE
ZEITUNG, 21.8, soir.
- Raymond Poincaré qui, à trente-deux
ans était ministre de l'Instruction publique
dans son pays, homme bien doué sans con-
teste a été en son pays aussi un orateur
habile et avisé : la passion objective s'unis-
sait chez lui au sens de l'effet psychologi-
que de l'action de propagande. Il faisait
briller les feux les plus cachés de sa langue
maternelle si riche en nuances, il observait
son effet sur les auditeurs et jetait, ensuite,
avec une habileté digne de Talleyrand, un
de ces mots si utiles à « déguiser les pen-
sées )). pour les initiés il avait tout dit, mais
pouvait aussi faire croire qu'il n'avait parlé
que de sujets inoffensifs. Ainsi nous con-
naissons un discours à la distribution des
prix du collège de Commercy en Lorraine,
du '10 juillet 1896, où il se lamentait ainsi :
« Tout ce qui obscurcit la gloire de notre
pays et affaiblit sa puissance doit réagir
d'une façon dangereuse et funeste sur les
parties les plus éloignées du @ monde civi-
lisé.
Nous pouvons dire que chaque jour et
chaque nuit qui tombe, chaque heure même
qui sonne renouvelle les doctrines cruelles
de l'histoire. Déjà approche le XXe siècle,
Puisse-t-il apporter à la France l'effacement
de la honte inoubliable et la réparation de
l'injure imméritée! »
Ainsi, nous l'entendons en fin juillet 1914,
lors de sa visite à Saint-Pétersbourg, pro-
noncer sa formule de la « paix dans la
force » accueillie, d'après le témoignage de
M. Paléologue, par les grands-ducs et
grandes-duchesses présents comme un pré-
sage de la guerre. Le 4 août, le même hom-
me, parlait pathétiquement du renoncement
accepté par les Français durant plus de
quarante ans par amour de la paix.
Depuis ce jour il n'a parlé de l'Allemagne
qu'avec haine et il a, ce qui est plus grave,
continué après la paix.
Poincaré est devenu nerveux depuis Lon-
dres ; ses arguments ne portaient peut-être
plus. Les considérations économiques lui
manquant, il utilise l'artillerie lourde de
l'excitation des passions et des souvenirs
douloureux. Le niveau psychologique de
l'orateur a beaucoup baissé.
Les affirmations portées par Poincaré à
Triaucourt sur l'ancienne armée alleman-
de sont si offensantes et si fausses dans
leur généralisation qu'elles ont besoin d'une
énergique réponse. Les matériaux d'une ré-
futation ne manquent pas. Nous sommes
des amis de la vérité historique, mais nous
ne croyons pas qu'il soit juste et utile de
parler, trois ans après la paix, de compte
à régler. C'est, et cela reste, le devoir de
l'histoire.
KŒLNISCHE VOLKSZEITUNG
21.85 matin.
#
PRESSE suisse.. - En semblable cir-
constance, on parle surtout à des guer-
riers, belliqueusement ; mais était-il véri-
tablement habile de rouvrir les vier les bles-
sures, comme Poincaré l'a fait à nouveau,
aujourd'hui où l'on s'efforce de panser ces
blessures ?
On comprend pourquoi Poincaré a repris
le ton de la vieille haine : il veut défendre
et justifier l'attitude qu'il a adoptée à Lon-
dres. Cette méthode aurait encore un sens,
si elle contribuait à faire payer les mil-
liards par l'Allemagne. Mais c'est une tâ-
che bien délicate que de tenir des discours
d'agitation à un peuple déjà excité. Poin-
caré fait le contraire du « malin Werner »
il regarde toujours derrière lui au lieu de
regarder devant. Et pourtant, le sort de la
France n'est pas dans le passé, mais dans
l'avenir.
VATERLAND [de Lucerne], 21.8.
LES DISCOURS DE M. POINCARE A
BAR-LE-DUC (21 AOUT). - PRESSE ANGLAISE.
- Sous le titre : « SUR LA ROUTE DE VER-
DUN », le Times consacre son éditorial à la
pose de la première pierre de la Voie Sa-
crée, mais ses commentaires s'appliquent
au deuxième discours du président du Con-
seil, prononcé au conseil général de la
Meuse :
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N'D 2134
Mercredi 23 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions. intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALIJEMANDE. — Le discours de
M. Poincaré à Triaucourt (Frankfurter
Zeitung, Rheinisch Westfülische Zei-
tnny, Kölnische Volkszeitung). — Les
secours aux réfugiés originaires des
territoires cédés (Tägliche Rundschau)-
Presse américaine. — Les Etats-Unis et la
Russie (SCIl' York Tribune).
Presse anglaise. - Les discours de
M. Poincaré à Bar-le-Duc (Times,
VaUu Télégraphe "'cslmi:nst{,f Gazette,
Daifij Chronicle, Daily Express). -
L'anniversaire de M. Poincaré (Sunday
Express).
PRESSE SUISSE. — Le discours de M. Poin-
, caré à Triaucourt (Vaterland).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE M. POINCARE A
AU COURT (20 AOUT). — Presse alle-
AtANOE. — ijj, Frankfurler Zeitung et la
H.heinisch Westfälische Zeitung voient
dan* le discours de M. Poincaré devant le
Monument au.r morts de Triaucourt un ab-
s°hi démenti de fait au.r bruits d'un even-
Uel rapprochement franco-allemand :
Le Paris, 20 août: L'idée d'un rapproche-
Ue"l direct entre la France et l'Allemagne,
-,ancee nai- l'Allemagne immédiatement
après l'échec de Londres, avait reçu dans
_opiiiioii publique française un accueil plus
'Yn encourageant. : la haute finance, le com-
rn et l'industrie et la grande masse mè-
Ine (les personnes n'y ayant pas d'intérêt di-
>' applaudissaient. On se demandait
getlleluent - bien que l'ensemble de la
PrftSe crût pouvoir assurer que l'idée d'une
la 1*0 'hiiitive sur une large base entre
la pl' '"ance et l'Allemagne s'était installée
iusf.
lai«Jï rail ceUp idée. M. 'Poincaré n'a pas
ïéw longtenipS l'opinion dans le doute. La
réponse qu'il a donné
court montre toujours irréconciliable,
montre en lui l'homme qui ne connaît que
la haine et qui,
t de n"" I>ai' une politique d'entente,
cr0it i° L ^V11 devoir d'entretenir la haine et
l'animosi ité en renouvelant le souvenir de la
guerre et de ses horreurs.
Kl' t l\TEl\ ZEITUNG, 21.8. matin.
- Sous le titre : Le « rapprochement
économique » triste utopie. De Paris, 21
août : Le discours de Poincaré à Triaucourt
ne contient aucune indication d'une ten-
dance de Poincaré à une collaboration éco-
nomique franco-allemande. Comme dans
tous ses discours des derniers temps, il con-
clut en disant que l'on contraindra l'Alle-
magne à réparer. Les journaux officieux ne
contiennent aujourd'hui non plus aucune
allusion à un désir de collaboration écono-
mique avec l'Allemagne. Des colonnes du
Matin, qui fut le premier à lancer l'idée,
toute discussion sur la constitution d'un bloc
économique franco-allemand a complète-
ment disparu. On ne trouve que des infor-
mations contraires à l'idée de collaboration.
Lorsqu'on voit comment la presse fran-
caise a joué ces jours derniers avec le mot
d'ordre « entente franco-allemande », on se
souvient que la maxime « la parole a été
donnée, à l'homme pour dissimuler sa pen-
gce n vient de France.
Il faut prendre garde qu'en définitive un'.
fusion des forces industrielles de l'Allema-
gne et de la France se ferait au bénéfice de
la France et nous mettrait en opposition
avec l'Angleterre.
RHEINISC II WESTFAELISCHE
ZEITUNG, 21.8, soir.
- Raymond Poincaré qui, à trente-deux
ans était ministre de l'Instruction publique
dans son pays, homme bien doué sans con-
teste a été en son pays aussi un orateur
habile et avisé : la passion objective s'unis-
sait chez lui au sens de l'effet psychologi-
que de l'action de propagande. Il faisait
briller les feux les plus cachés de sa langue
maternelle si riche en nuances, il observait
son effet sur les auditeurs et jetait, ensuite,
avec une habileté digne de Talleyrand, un
de ces mots si utiles à « déguiser les pen-
sées )). pour les initiés il avait tout dit, mais
pouvait aussi faire croire qu'il n'avait parlé
que de sujets inoffensifs. Ainsi nous con-
naissons un discours à la distribution des
prix du collège de Commercy en Lorraine,
du '10 juillet 1896, où il se lamentait ainsi :
« Tout ce qui obscurcit la gloire de notre
pays et affaiblit sa puissance doit réagir
d'une façon dangereuse et funeste sur les
parties les plus éloignées du @ monde civi-
lisé.
Nous pouvons dire que chaque jour et
chaque nuit qui tombe, chaque heure même
qui sonne renouvelle les doctrines cruelles
de l'histoire. Déjà approche le XXe siècle,
Puisse-t-il apporter à la France l'effacement
de la honte inoubliable et la réparation de
l'injure imméritée! »
Ainsi, nous l'entendons en fin juillet 1914,
lors de sa visite à Saint-Pétersbourg, pro-
noncer sa formule de la « paix dans la
force » accueillie, d'après le témoignage de
M. Paléologue, par les grands-ducs et
grandes-duchesses présents comme un pré-
sage de la guerre. Le 4 août, le même hom-
me, parlait pathétiquement du renoncement
accepté par les Français durant plus de
quarante ans par amour de la paix.
Depuis ce jour il n'a parlé de l'Allemagne
qu'avec haine et il a, ce qui est plus grave,
continué après la paix.
Poincaré est devenu nerveux depuis Lon-
dres ; ses arguments ne portaient peut-être
plus. Les considérations économiques lui
manquant, il utilise l'artillerie lourde de
l'excitation des passions et des souvenirs
douloureux. Le niveau psychologique de
l'orateur a beaucoup baissé.
Les affirmations portées par Poincaré à
Triaucourt sur l'ancienne armée alleman-
de sont si offensantes et si fausses dans
leur généralisation qu'elles ont besoin d'une
énergique réponse. Les matériaux d'une ré-
futation ne manquent pas. Nous sommes
des amis de la vérité historique, mais nous
ne croyons pas qu'il soit juste et utile de
parler, trois ans après la paix, de compte
à régler. C'est, et cela reste, le devoir de
l'histoire.
KŒLNISCHE VOLKSZEITUNG
21.85 matin.
#
PRESSE suisse.. - En semblable cir-
constance, on parle surtout à des guer-
riers, belliqueusement ; mais était-il véri-
tablement habile de rouvrir les vier les bles-
sures, comme Poincaré l'a fait à nouveau,
aujourd'hui où l'on s'efforce de panser ces
blessures ?
On comprend pourquoi Poincaré a repris
le ton de la vieille haine : il veut défendre
et justifier l'attitude qu'il a adoptée à Lon-
dres. Cette méthode aurait encore un sens,
si elle contribuait à faire payer les mil-
liards par l'Allemagne. Mais c'est une tâ-
che bien délicate que de tenir des discours
d'agitation à un peuple déjà excité. Poin-
caré fait le contraire du « malin Werner »
il regarde toujours derrière lui au lieu de
regarder devant. Et pourtant, le sort de la
France n'est pas dans le passé, mais dans
l'avenir.
VATERLAND [de Lucerne], 21.8.
LES DISCOURS DE M. POINCARE A
BAR-LE-DUC (21 AOUT). - PRESSE ANGLAISE.
- Sous le titre : « SUR LA ROUTE DE VER-
DUN », le Times consacre son éditorial à la
pose de la première pierre de la Voie Sa-
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