Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 août 1922 22 août 1922
Description : 1922/08/22 (T21,N2133). 1922/08/22 (T21,N2133).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217100g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
N° 2133
Mardi 22 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
1
^sse allemande. — La demande de mora-
toi-ium : 'la décision de la commission
tics répara lions (Mûnchner Aeueste
-Vachrichten, Germania.). — Les bruits
de * négociations franco-allemandes
(Dèvtsche Allgemeine Zeitung, Neue
p Ikulische Landes zeit ung).
IlESSE américaine. — La propagande alle-
rnunde aux Etats-Unis (New York Tri-
bune)
liEsSE ANGLAISE. — Les réparations les di-
vergences franco-britanniques fthncay
p Times, Daily News, Daily Clromcle).
[¡EsSE italienne. — Les réparations - les
diverge ne 'S franco-britanniques (l'.po-
ca). - une mission syrienne à Rome :
déclarations de l'émir Chekid Arslam
(Tribun a).
(POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
JjS DIVERGENCES FRANCO-BRITAN
1iro DES. - Presse ANGLAISE. — Le Sunday
icyui cn souhaitant que la France
de preciser impartialement par quels motifs
une action se justifierait : ,1: .,,,
a seule bonne chose que l'on puisse dire
1ft Met dp ln. situation européenne est que
l;i 'r;n'K'e est en train de réfléchir avant
f1'- Une semaine s'est écoulée depuis
IW.lec (je la conférence de Londres, mais il
1 hIe lie été fait de précipite ni d'irrevotxv-
Sel'a indique que la France commence
à ce trouver en présence de3 réalités de
"(Mi. action indépendante à laquelle elle à
si s llVent menace, d'avoir recours.
Il de féliciter les autorités fran-
es et de leur être reconnaissants de la
qu'elles se sont imposée ainsi. Cette
rVottn*6 Mérite d'autant plus d'àtre louée
lorsque Ion tionl compte des points os s
t¡'~qUe 1'0 ,-"' -. --q-'
I"rlels de lient compte des points essen-
%-s , e ILI situation de la Frante Au mo-
Ht Armistice l'opinion publique et
l'opinion miliinire françaises deniamlaieiît,
l'une et l'autre que l'on fit du Mun ln, fron-
tière entre la France et l'Allemagne. C'était
solution dont on pouvait attendre, plus
, 1'!iCl1"0 autre, la sécurité. Mais c'était
tA1 à laquelle les alliés de la
ne N'ouliirent.pis consentir..
elle lne de 10 I^a'ce une garantie anglo-amé-
serait Protection et d'appui au cas où
elle Sprait une fois de plus attaquée par
l'Allemagne. Cette garantie n'a pas été ac-
cordée. Les Etats-Unis l'ont repoussée et la
Grande-Bretagne ne l'a pas appliquée.
Il est incontestable que dans cette affaire
la France est fondée à nous reprocher quel-
que chose. Elle sent qu'elle a été doublement
« lâchée ». On n'a pas voulu quelle suivît
sa propre idée de ce qui était nécessaire à sa
sécurité future, et, d'autre part, les assu-
rances dont elle a dû se contenter se sont
trouvées n'avoir aucune valeur. Elle se voit
ainsi obligée de supporter à peu près tout
le poids des dommages et des pertes de
Guerre empêchée d'arracher à l'Allemagne
aucune compensation suffisante et en même
temps entraînée à la dérive vers une situa-
tion où elle sera plus exposee, plus isolée et
relativement plus faible qu'elle ne l'était en
1914 La France est plus inquiète aujour-
d'hui au sujet de ce qui se passera dans dix
ou vingt ans d'ici qu'elle ne l'a été depuis
une génération tout entière.
Mais en même temps elle n'a jamais été
plus consciente de sa. force actuelle. En ce
moment elle est plus forte qu'elle ne l'était
même au point culminant de l'empire de Na-
poléon. Elle possède une armée qui p'om-
rait marcher d'un bout a l'autre de l'Eu-
rope. IJMlemagne est. aujourd'hui à bas,
mais avec le temps elle 80 relèvera.
Telle est la question fondamentale qui se
pose devant la - France. C'est à peu de cho-
se près la même question qui se posa devant
Bismarck lorsque les témoignages du relè-
vement de la France après la guerre fran-
VPTT16IM Ut? ici A'itvjx^v. ^r-
co-prussienne lui firent envisager sérieux
ment l'idée de provoquer un nouveau con-
flit. Et si la France se trouve aujourd'hui en
présence de ce dilemme, la faute en est
pour beaucoup, avouons-le, à la diplomatie
britannique et américaine et au fait que les
Gouvernements britannique et américain
n'ont pas fait honneur à leur signature. Elle
est très excusable si après avoir exploré en
vain d'autres voies, elle estime maintenant
que l'heure approche où s'impose une action
précise et radicale. Nous déplorerions cette
décision comme étant contraire aux vérita-
bles intèrêts de la France elle-même. Mais
il in.DO-rte que le public anglais se rende
compte des motifs et des considérations
susceptibles de rendre cette décision inévi-
table au jugement du peuple français. -
(Ed.) SUNDAY TIMES, 20.8.
- Sous le titre : « Une entente où l'on
ha s'entend pas », le correspondant à Paris
du Daily News signale les erreurs d appre-
ciation de l'opinion française sur la situa-
tion et la politique de la Grande-Bretagne :
De Paris : Il n'était guère besoin de
l'échec de la conférence de Londres pour
valoir à M. Lloyd George le reproche d'être
l'ennemi irréconciliable de la France.
On ne peut avoir séjourné tant soit peu
à Paris ou voyagé en province, comme je
viens de le faire, sans être frappé de l'ani-
mosité qui se manifeste à son égard dans
toutes les classes de la population fran-
çaise. Les mères ne se servent pas encore
de son nom pour mettre leurs enfants à
la raison quand ils sont méchants, mais
il se peut qu'il en soit bientôt en France du
nom de M. Lloyd George comme il en a
été en Angleterre, il y a plus de cent ans,
de Napoléon.
On trouve partout des gens qui ont ap-
pris à connaître les Anglais pendant la
guerre et qui en parlent chaleureusement ;
mais comme tous les autres, ils se refusent
à croire que M. Lloyd George représente
l'attitude véritable du peuple anglais en-
vers la France. Dans le Midi de la France,
j'ai parlé, une heure durant, avec un vieux
monsieur qui s'est exprimé sur le compte
du premier ministre britannique avec tant
d'aigreur que sa femme s'en émut. Elle se
tourna vers moi et me tu. d'un ton conci-
liant : « Dieu merci, monsieur, Lloyd
Geo-nge n'est pas Anglais. » Elle pensait
mettre ainsi l'étranger à son aise, mais
la phrase peut servir à mettre en lumière
une disposition tout à fait générale à dis-
tinguer la politique officielle de la Grande-
Bretagne et les désirs réels du peuple an-
glais.
La même erreur est commise en Angle-
terre par les gens qui se figurent que la
moitié de la France, pour le moins, est dis-
posée à répudier M. Poincaré. Les opinions
varient beaucoup sur le compte personnel
du président du conseil. Il y a d'un côté
ceux qui estiment que sa politique du « der-
nier sou » a fait beaucoup de mal, bien que,
d'autre part, on puisse prédire sans crainte
de se tromper que lorsqu'il perdra le pou-
voir ce sera en toute probabilité parce qu'il
n'aura pas pu pratiquer cette politique, que
le bloc national lui-même soupçonne au-
jourd'hui d'être irréalisable.
Mais si en Angleterre on ne sait pas se
placer au point, de vue français, il existe
incontestablement en France une incom-
préhension très générale de la thèse an-
glaise. Les faits qui comptent n'y sont pas
connus et cette observation s'applique éga-
lement à la période de la guerre. Comme
un Français insistait récemment sur les
pertes relativement peu élevées subies par
l'Angleterre en morts et en mutilés et qu'il
citait pour la France le chiffre de 1.500.000
morts, je répliquai que la Grande-Breta-
gne elle-même avait perdu près de 750.000
hommes. Il sembla incrédule, me dit que
je voulais plaisanter, sans doute, et ajouta,
lorsque je lui mis sous les yeux les chif-
fres officiels : « Alors ce devait être surtout
des coloniaux. »
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
N° 2133
Mardi 22 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
1
^sse allemande. — La demande de mora-
toi-ium : 'la décision de la commission
tics répara lions (Mûnchner Aeueste
-Vachrichten, Germania.). — Les bruits
de * négociations franco-allemandes
(Dèvtsche Allgemeine Zeitung, Neue
p Ikulische Landes zeit ung).
IlESSE américaine. — La propagande alle-
rnunde aux Etats-Unis (New York Tri-
bune)
liEsSE ANGLAISE. — Les réparations les di-
vergences franco-britanniques fthncay
p Times, Daily News, Daily Clromcle).
[¡EsSE italienne. — Les réparations - les
diverge ne 'S franco-britanniques (l'.po-
ca). - une mission syrienne à Rome :
déclarations de l'émir Chekid Arslam
(Tribun a).
(POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
JjS DIVERGENCES FRANCO-BRITAN
1iro DES. - Presse ANGLAISE. — Le Sunday
icyui cn souhaitant que la France
une action se justifierait : ,1: .,,,
a seule bonne chose que l'on puisse dire
1ft Met dp ln. situation européenne est que
l;i 'r;n'K'e est en train de réfléchir avant
f1'- Une semaine s'est écoulée depuis
IW.lec (je la conférence de Londres, mais il
1 hIe lie été fait de précipite ni d'irrevotxv-
Sel'a indique que la France commence
à ce trouver en présence de3 réalités de
"(Mi. action indépendante à laquelle elle à
si s llVent menace, d'avoir recours.
Il de féliciter les autorités fran-
es et de leur être reconnaissants de la
qu'elles se sont imposée ainsi. Cette
rVottn*6 Mérite d'autant plus d'àtre louée
lorsque Ion tionl compte des points os s
t¡'~qUe 1'0 ,-"' -. --q-'
I"rlels de lient compte des points essen-
%-s , e ILI situation de la Frante Au mo-
Ht Armistice l'opinion publique et
l'opinion miliinire françaises deniamlaieiît,
l'une et l'autre que l'on fit du Mun ln, fron-
tière entre la France et l'Allemagne. C'était
solution dont on pouvait attendre, plus
, 1'!iCl1"0 autre, la sécurité. Mais c'était
tA1 à laquelle les alliés de la
ne N'ouliirent.pis consentir..
elle lne de 10 I^a'ce une garantie anglo-amé-
serait Protection et d'appui au cas où
elle Sprait une fois de plus attaquée par
l'Allemagne. Cette garantie n'a pas été ac-
cordée. Les Etats-Unis l'ont repoussée et la
Grande-Bretagne ne l'a pas appliquée.
Il est incontestable que dans cette affaire
la France est fondée à nous reprocher quel-
que chose. Elle sent qu'elle a été doublement
« lâchée ». On n'a pas voulu quelle suivît
sa propre idée de ce qui était nécessaire à sa
sécurité future, et, d'autre part, les assu-
rances dont elle a dû se contenter se sont
trouvées n'avoir aucune valeur. Elle se voit
ainsi obligée de supporter à peu près tout
le poids des dommages et des pertes de
Guerre empêchée d'arracher à l'Allemagne
aucune compensation suffisante et en même
temps entraînée à la dérive vers une situa-
tion où elle sera plus exposee, plus isolée et
relativement plus faible qu'elle ne l'était en
1914 La France est plus inquiète aujour-
d'hui au sujet de ce qui se passera dans dix
ou vingt ans d'ici qu'elle ne l'a été depuis
une génération tout entière.
Mais en même temps elle n'a jamais été
plus consciente de sa. force actuelle. En ce
moment elle est plus forte qu'elle ne l'était
même au point culminant de l'empire de Na-
poléon. Elle possède une armée qui p'om-
rait marcher d'un bout a l'autre de l'Eu-
rope. IJMlemagne est. aujourd'hui à bas,
mais avec le temps elle 80 relèvera.
Telle est la question fondamentale qui se
pose devant la - France. C'est à peu de cho-
se près la même question qui se posa devant
Bismarck lorsque les témoignages du relè-
vement de la France après la guerre fran-
VPTT16IM Ut? ici A'itvjx^v. ^r-
co-prussienne lui firent envisager sérieux
ment l'idée de provoquer un nouveau con-
flit. Et si la France se trouve aujourd'hui en
présence de ce dilemme, la faute en est
pour beaucoup, avouons-le, à la diplomatie
britannique et américaine et au fait que les
Gouvernements britannique et américain
n'ont pas fait honneur à leur signature. Elle
est très excusable si après avoir exploré en
vain d'autres voies, elle estime maintenant
que l'heure approche où s'impose une action
précise et radicale. Nous déplorerions cette
décision comme étant contraire aux vérita-
bles intèrêts de la France elle-même. Mais
il in.DO-rte que le public anglais se rende
compte des motifs et des considérations
susceptibles de rendre cette décision inévi-
table au jugement du peuple français. -
(Ed.) SUNDAY TIMES, 20.8.
- Sous le titre : « Une entente où l'on
ha s'entend pas », le correspondant à Paris
du Daily News signale les erreurs d appre-
ciation de l'opinion française sur la situa-
tion et la politique de la Grande-Bretagne :
De Paris : Il n'était guère besoin de
l'échec de la conférence de Londres pour
valoir à M. Lloyd George le reproche d'être
l'ennemi irréconciliable de la France.
On ne peut avoir séjourné tant soit peu
à Paris ou voyagé en province, comme je
viens de le faire, sans être frappé de l'ani-
mosité qui se manifeste à son égard dans
toutes les classes de la population fran-
çaise. Les mères ne se servent pas encore
de son nom pour mettre leurs enfants à
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il se peut qu'il en soit bientôt en France du
nom de M. Lloyd George comme il en a
été en Angleterre, il y a plus de cent ans,
de Napoléon.
On trouve partout des gens qui ont ap-
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mais comme tous les autres, ils se refusent
à croire que M. Lloyd George représente
l'attitude véritable du peuple anglais en-
vers la France. Dans le Midi de la France,
j'ai parlé, une heure durant, avec un vieux
monsieur qui s'est exprimé sur le compte
du premier ministre britannique avec tant
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liant : « Dieu merci, monsieur, Lloyd
Geo-nge n'est pas Anglais. » Elle pensait
mettre ainsi l'étranger à son aise, mais
la phrase peut servir à mettre en lumière
une disposition tout à fait générale à dis-
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Bretagne et les désirs réels du peuple an-
glais.
La même erreur est commise en Angle-
terre par les gens qui se figurent que la
moitié de la France, pour le moins, est dis-
posée à répudier M. Poincaré. Les opinions
varient beaucoup sur le compte personnel
du président du conseil. Il y a d'un côté
ceux qui estiment que sa politique du « der-
nier sou » a fait beaucoup de mal, bien que,
d'autre part, on puisse prédire sans crainte
de se tromper que lorsqu'il perdra le pou-
voir ce sera en toute probabilité parce qu'il
n'aura pas pu pratiquer cette politique, que
le bloc national lui-même soupçonne au-
jourd'hui d'être irréalisable.
Mais si en Angleterre on ne sait pas se
placer au point, de vue français, il existe
incontestablement en France une incom-
préhension très générale de la thèse an-
glaise. Les faits qui comptent n'y sont pas
connus et cette observation s'applique éga-
lement à la période de la guerre. Comme
un Français insistait récemment sur les
pertes relativement peu élevées subies par
l'Angleterre en morts et en mutilés et qu'il
citait pour la France le chiffre de 1.500.000
morts, je répliquai que la Grande-Breta-
gne elle-même avait perdu près de 750.000
hommes. Il sembla incrédule, me dit que
je voulais plaisanter, sans doute, et ajouta,
lorsque je lui mis sous les yeux les chif-
fres officiels : « Alors ce devait être surtout
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