Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 août 1922 18 août 1922
Description : 1922/08/18 (T21,N2130). 1922/08/18 (T21,N2130).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217097f
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE ,.
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
k
V 2130
Vendredi 18 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
; SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Les réparations : les
f. divergences franco-britanniques (Ger-
mania, Deutsche Allgemeine Zeitung,
Berliner Bôrsen Courier).
PRESSE ANGLAISE. - Le vote de la commis-
sion des réparations sur le moratorium.
, la voix du président (Daily Telegraph).
— Les réparations : une déclaration de
M. Clynes (Daily Herald). — L'action
isolée de la France : bruits d'avances
françaises faites à l'Allemagne (corres-
pondance de Berlin au Daily News). -
Les Etats-Unis et les dettes de guerre
une interview de M. W. G. Abbot
(Times).
PRESSE ITALIENNE. - Les réparations : les
divergences franco-britanniques (Stam-
pa, Corriere della Serai.
PRESSE SUISSE. — Les réparations : les di-
vergences franco-britanniques (Berner
1 Tai] blatf, National Zeitung).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES DIVERGENCES FRANCO-BRITAN-
NIQUES. — PRESSE ALLEMANDE. — Sous le
titre : « RAISON ET DÉRAISON ». - La eonfé-
rence de Londres vers laquelle l'Europe
tournait ses yeux comme vers le dernier
eSpQir d'un changement de la polliUque in-
ternationale de l'Entente. n'a fait que
prouver à nouveau, que, dans la lutte qui
se déroule depuis si longtemps devant nous
entre la raison politique et la déraison in-
corrigible, la dernière triomphait ■ J •••
Aujourd'hui, presque tout le monde con-
vient, tant c'est évident, qu'on ne peut tirer
de grosses sommes d'argent d'un pays qui
n'a Pas d'or et qui ne peut produire. Tous
nos adversaires, les hommes d'Etat de tous
les pays alliés ont été peu à peu acqUIS à
cette évidence et ont dû incliner vers une
revision du plan des paiements de Lon-
dres, tous sauf un, le chef du gouvernement
français, M. Poincaré. Il se maintient
comme la déplorable colonne de a
et persiste dans son attitude après
que Impossibilité est clairement établie.
M. Poincaré veut ce qu'il veut sans se son-
es, de la réalité. La haine rend aveugle.
C'est parce que les autres hommes d Etat
s Ont venus à la raison qu'ils n'ont pu s'en-
tendre avec Poincaré aveuglé par sa rage.
C'est ainsi que la conférence, de Londres
dut échouer.
écIlOner. GERMANIA. 15.8, soir.
— Sous le titre : « LES ARTIFICES D'AVOCAT
DE POINCARÉ ». — Poincaré a tort de dire qu'il
n'a fait triompher aucune de ses propositions. Il
a obtenu l'ajournement du moratorium ; il a
répété son conte de la banqueroute voulue de
l'Allemagne. C'est là un artifice démagogique
comme les projets visant la Ruhr et la rive gau-
che du Rhin. Il est faux que l'Allemagne ne
combatte pas l'exode des capitaux, mais il fau-
drait des accords entre nations. Le passage sur
les possibilités de payement attribuées par Lloyd
George à l'Allemagne est obscur et sans doute
inexact.
Nous devons avoir plus de confiance dans
la raison du premier anglais que dans
l'amour de la vérité de M. Poincaré.
Il serait singulier que l'Entente voulût saisir
l'or de la Reichsbank au moment où elle ré-
clame son autonomie. L'insistance à établir qu'on
s'est séparé avec amitié frise le grotesque. Espé-
rons que cette amitié subsistera, car l'Allemagne
est l'objet passif et douloureux de ce combat
pour l'hégémonie. Le risque est grand d'une ca-
tastrophe analogue à celle de la Russie.
GERMANIA, 16.8, matin.
— Sous le titre : « LE DOLLAR AU-DESSUS
DE 1.000 ! ». — La rupture de la conférence
de Londres provoquée par Poincaré a
exercé une action déprimante sur le mar-
ché des devises de Berlin. La dévalorisa-
tion foudroyante de la monnaie allemande
s'est poursuivie si rapidement depuis hier,
à la suite des bruits néfastes parvenus de
Londres que le dollar a atteint et dépassé
aujourd'hui le cours de 1.000. Il est plus
clair que jamais pour le monde entier que
l'absurde politique de force de Poincaré
entraîne de plus en plus l'économie alle-
mande à la banqueroute. On ne peut en-
core prévoir les répercussions économiques
sociales et politiques de. la nouvelle catas-
trophe du mark. Un nouveau chapitre des
rapports entre l'Allemagne et l'Entente
semble s'ouvrir ; l'Allemagne et la France
sont plus directement face à face que ce ne
fut le cas jusqu'à présent. La tactique an-
glaise a toujours tendu à empêcher une
explication directe entre l'Allemagne et la
France. C'est le fait politique qui se dégage
de la situation générale.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
15.8, soir.
!- Tout ce qui eût dû être réglé à Lon-
dres reste « en suspens » ; mais cette sus-
pension équivaut, principalement pour l'Al-
lemagne à l'état d'équilibre indifférent pour
un corps en chute. 50 millions de marks-or
sont en suspens, sur le sort desquels la
commission des réparations doit décider , il
en est de même des quarante millions des
paiements de compensation qui ont fait à
Londres l'objet de plusieurs propositions des
experts mais sur lesquels on n'a pu pren-
dre encore de décision. Car la commission
des réparations est incompétente en cette
affaire et les membres du Conseil suprême
se sont « entendus pour ne pas s'entendre ».
Indirectement, les décisions et les avis de
la commission des réparations influeront
sur la question des paiements de compen-
sation : ceci explique la tentative faite par
la France pour paralyser la commission en
réclamant que ses décisions soient prises
à l'unanimité.
Du point de vue allemand, la question
des paiements a déjà reçu une réponse en
ce sens que le Reich n'est pas en mesure de
pourvoir pleinement aux payements de com-
pensation et moins encore aux réparations.
C'est ce qu'il a exprimé en envoyant sa note
et en expédiant 500.000 livres au lieu de
deux millions .- H. F.
BERLINER BŒRSEN-COURIER, 16.8.
PRESSE SUISSE. — Une crevasse s'est ou-
verte dans l'Entente, une crevasse telle
qu'on ne pourra plus guère mettre un pont
dessus. La faute en revient à Poincaré, qui
a trop exagéré ses exigences. La résistance
énergique de Lloyd George, la crise d'opi-
nion qui provoqua une excitation insup-
portable dans l'atmosphère de Londres eus-
sent dû être un avertissement pour le plé-
nipotentiaire français. Il ne l'a pas entendu
ou pas voulu l'entendre. Lui et ceux qui
le soutiennent n'ont pas su comprendre que
les temps sont changés, depuis Versailles,
que les joyeuses fanfares de la guerre sont
loin, bien loin derrière. Il n'ont pas pris
garde que d'autres facteurs priment main-
tenant de par le monde et que l'on doit
compter avec certains rapports que l'on
pouvait négliger alors. La France officielle
vit encore dans la rumeur victorieuse de
1918 et ne peut tenir compte des événements
qui ont eu lieu depuis lors, tandis que l'An-
glais, pratique et froid, a déjà saisi depuis
longtemps les conditions nouvelles de la
politique européenne.
BERNER TAGBLATT, 17.8.
— La rupture de la conférence de Lon-
dres et le départ de la délégation fran-
çaise a fait sensation. On s'attendait à
un compromis et il semble que des événe-
ments mystérieux se soient déroulés dans
la coulisse, provoquant la rupture. Lloyd
George avait cédé sur maints points impor-
tants, avait consenti à la confiscation des
Douanes, à la taxe sur l'exportation et n'a-
vait demandé pour contre-partie d'une con-
cession si importante que l'assentiment de
la France à un moratorium plus étendu
pour l'Allemagne. Mais Poincaré n'a pas
CIll pouvoir l'accorder bien que le conseil
des ministres lui eût laissé toute liberté
d action. Sans aucun doute, la dislocation
de la conférence de Londres constitue un
événement très important qui aura des con-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
k
V 2130
Vendredi 18 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
; SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Les réparations : les
f. divergences franco-britanniques (Ger-
mania, Deutsche Allgemeine Zeitung,
Berliner Bôrsen Courier).
PRESSE ANGLAISE. - Le vote de la commis-
sion des réparations sur le moratorium.
, la voix du président (Daily Telegraph).
— Les réparations : une déclaration de
M. Clynes (Daily Herald). — L'action
isolée de la France : bruits d'avances
françaises faites à l'Allemagne (corres-
pondance de Berlin au Daily News). -
Les Etats-Unis et les dettes de guerre
une interview de M. W. G. Abbot
(Times).
PRESSE ITALIENNE. - Les réparations : les
divergences franco-britanniques (Stam-
pa, Corriere della Serai.
PRESSE SUISSE. — Les réparations : les di-
vergences franco-britanniques (Berner
1 Tai] blatf, National Zeitung).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES DIVERGENCES FRANCO-BRITAN-
NIQUES. — PRESSE ALLEMANDE. — Sous le
titre : « RAISON ET DÉRAISON ». - La eonfé-
rence de Londres vers laquelle l'Europe
tournait ses yeux comme vers le dernier
eSpQir d'un changement de la polliUque in-
ternationale de l'Entente. n'a fait que
prouver à nouveau, que, dans la lutte qui
se déroule depuis si longtemps devant nous
entre la raison politique et la déraison in-
corrigible, la dernière triomphait ■ J •••
Aujourd'hui, presque tout le monde con-
vient, tant c'est évident, qu'on ne peut tirer
de grosses sommes d'argent d'un pays qui
n'a Pas d'or et qui ne peut produire. Tous
nos adversaires, les hommes d'Etat de tous
les pays alliés ont été peu à peu acqUIS à
cette évidence et ont dû incliner vers une
revision du plan des paiements de Lon-
dres, tous sauf un, le chef du gouvernement
français, M. Poincaré. Il se maintient
comme la déplorable colonne de a
et persiste dans son attitude après
que Impossibilité est clairement établie.
M. Poincaré veut ce qu'il veut sans se son-
es, de la réalité. La haine rend aveugle.
C'est parce que les autres hommes d Etat
s Ont venus à la raison qu'ils n'ont pu s'en-
tendre avec Poincaré aveuglé par sa rage.
C'est ainsi que la conférence, de Londres
dut échouer.
écIlOner. GERMANIA. 15.8, soir.
— Sous le titre : « LES ARTIFICES D'AVOCAT
DE POINCARÉ ». — Poincaré a tort de dire qu'il
n'a fait triompher aucune de ses propositions. Il
a obtenu l'ajournement du moratorium ; il a
répété son conte de la banqueroute voulue de
l'Allemagne. C'est là un artifice démagogique
comme les projets visant la Ruhr et la rive gau-
che du Rhin. Il est faux que l'Allemagne ne
combatte pas l'exode des capitaux, mais il fau-
drait des accords entre nations. Le passage sur
les possibilités de payement attribuées par Lloyd
George à l'Allemagne est obscur et sans doute
inexact.
Nous devons avoir plus de confiance dans
la raison du premier anglais que dans
l'amour de la vérité de M. Poincaré.
Il serait singulier que l'Entente voulût saisir
l'or de la Reichsbank au moment où elle ré-
clame son autonomie. L'insistance à établir qu'on
s'est séparé avec amitié frise le grotesque. Espé-
rons que cette amitié subsistera, car l'Allemagne
est l'objet passif et douloureux de ce combat
pour l'hégémonie. Le risque est grand d'une ca-
tastrophe analogue à celle de la Russie.
GERMANIA, 16.8, matin.
— Sous le titre : « LE DOLLAR AU-DESSUS
DE 1.000 ! ». — La rupture de la conférence
de Londres provoquée par Poincaré a
exercé une action déprimante sur le mar-
ché des devises de Berlin. La dévalorisa-
tion foudroyante de la monnaie allemande
s'est poursuivie si rapidement depuis hier,
à la suite des bruits néfastes parvenus de
Londres que le dollar a atteint et dépassé
aujourd'hui le cours de 1.000. Il est plus
clair que jamais pour le monde entier que
l'absurde politique de force de Poincaré
entraîne de plus en plus l'économie alle-
mande à la banqueroute. On ne peut en-
core prévoir les répercussions économiques
sociales et politiques de. la nouvelle catas-
trophe du mark. Un nouveau chapitre des
rapports entre l'Allemagne et l'Entente
semble s'ouvrir ; l'Allemagne et la France
sont plus directement face à face que ce ne
fut le cas jusqu'à présent. La tactique an-
glaise a toujours tendu à empêcher une
explication directe entre l'Allemagne et la
France. C'est le fait politique qui se dégage
de la situation générale.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
15.8, soir.
!- Tout ce qui eût dû être réglé à Lon-
dres reste « en suspens » ; mais cette sus-
pension équivaut, principalement pour l'Al-
lemagne à l'état d'équilibre indifférent pour
un corps en chute. 50 millions de marks-or
sont en suspens, sur le sort desquels la
commission des réparations doit décider , il
en est de même des quarante millions des
paiements de compensation qui ont fait à
Londres l'objet de plusieurs propositions des
experts mais sur lesquels on n'a pu pren-
dre encore de décision. Car la commission
des réparations est incompétente en cette
affaire et les membres du Conseil suprême
se sont « entendus pour ne pas s'entendre ».
Indirectement, les décisions et les avis de
la commission des réparations influeront
sur la question des paiements de compen-
sation : ceci explique la tentative faite par
la France pour paralyser la commission en
réclamant que ses décisions soient prises
à l'unanimité.
Du point de vue allemand, la question
des paiements a déjà reçu une réponse en
ce sens que le Reich n'est pas en mesure de
pourvoir pleinement aux payements de com-
pensation et moins encore aux réparations.
C'est ce qu'il a exprimé en envoyant sa note
et en expédiant 500.000 livres au lieu de
deux millions .- H. F.
BERLINER BŒRSEN-COURIER, 16.8.
PRESSE SUISSE. — Une crevasse s'est ou-
verte dans l'Entente, une crevasse telle
qu'on ne pourra plus guère mettre un pont
dessus. La faute en revient à Poincaré, qui
a trop exagéré ses exigences. La résistance
énergique de Lloyd George, la crise d'opi-
nion qui provoqua une excitation insup-
portable dans l'atmosphère de Londres eus-
sent dû être un avertissement pour le plé-
nipotentiaire français. Il ne l'a pas entendu
ou pas voulu l'entendre. Lui et ceux qui
le soutiennent n'ont pas su comprendre que
les temps sont changés, depuis Versailles,
que les joyeuses fanfares de la guerre sont
loin, bien loin derrière. Il n'ont pas pris
garde que d'autres facteurs priment main-
tenant de par le monde et que l'on doit
compter avec certains rapports que l'on
pouvait négliger alors. La France officielle
vit encore dans la rumeur victorieuse de
1918 et ne peut tenir compte des événements
qui ont eu lieu depuis lors, tandis que l'An-
glais, pratique et froid, a déjà saisi depuis
longtemps les conditions nouvelles de la
politique européenne.
BERNER TAGBLATT, 17.8.
— La rupture de la conférence de Lon-
dres et le départ de la délégation fran-
çaise a fait sensation. On s'attendait à
un compromis et il semble que des événe-
ments mystérieux se soient déroulés dans
la coulisse, provoquant la rupture. Lloyd
George avait cédé sur maints points impor-
tants, avait consenti à la confiscation des
Douanes, à la taxe sur l'exportation et n'a-
vait demandé pour contre-partie d'une con-
cession si importante que l'assentiment de
la France à un moratorium plus étendu
pour l'Allemagne. Mais Poincaré n'a pas
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