Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 août 1922 17 août 1922
Description : 1922/08/17 (T21,N2129). 1922/08/17 (T21,N2129).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170961
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2129
Jeudi 17 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articly
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^ESSE ALLEMANDE. — Les réparations : les
! divergences franco-britanniques (Paul
Scheffer dans Berliner Tageblatt). —
Les paiements de compensation : l'ex-
pulsion des Allemands d'Alsace-Lor-
raine (Deutsche Allgemeine Zeitung).
^ESSE ANGLAISE. — Les réparations : les
l. divergences franco-britanniques (Times,
> Morning Post, Daily Telegraph, West-
, rnÏ1lster Gazette, Daily Chronicle, Daily
News).'
K ESSE SUISSE. — Les réparations : les di-
vergences franco-britanniques (Bund).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
DIVERGENCES FRANCO BRITAN-
, QU'ES. — PRESSE ANGLAISE. — « ECHEC
^E.NTABLE », tel est le titre et la condu-
is n f un éditorial du Times, qui rappelle
rei^Cessité d'un prompt redressement des
fions entre les deux grands pays :
(IvOi la conférence se sépare après
lr moins que rien, sinon pis encore.
,
Part ûlt été présenté, ostensiblement de la
pa de l'Italie, une suggestion tendant à
ç6 0'1' en novembre une nouvelle conféren-
'5ù Pourrait, être examinée la question
die s Oettes interalliées après que les diver-
-
s6s dissions européennes aux Etats-Unis
aierit rédigé leurs rapports sur les chan-
il' - existent de consolider les dettes de
gu erre des alliés envers l'Amérique. Quelle
Soit l'origine, cette proposition ne
Serïi.hi le pas avoir été agréée par M. Poin-
gOllv qUel semble avoir réservé pour le
go français liberté entière d'exa-
Haine).a situation dans son ensemble. La
s~~ "on n'en est pas moins significative.
Il
WjW qu'elle indique la direction dans
gouJe s'oriente la politique de certains
ements alliés y compris le nôtre.
b'IrnPOrt-ant es élections auront lieu aux
~h"'s dans les premiers jours de no-
VeW>. e' La question des dettes de guerre
^Ur0n.Grines' y jouera un rôle de première
PenJ~ce. Les hommes politiques qui ne
Petisc,nt Wen termes d'élections estiment
Ida.tion e que la situation, quant à la conso-
dQute 1 ^es. dettes de guerre, sera sans
le P Us favorable qu'elle ne l'est à pré-
h , au P
Irit d Point de vue de l'Europe, ou au
par cr e a Grande-Bretagne; e qu ,
lque d equent, c'eût été une faute de tac-
qYartt 1 e consentir « le grand sacrifice »
\t, élections, alors que peut-être « un
Ce beaucoup moindre » assurerait
quelque avantage après les élections. Si un
calcul de ce genre se dissimule dans la
pensée des hommes d'Etat britanniques,-
nous le considérons comme dangereuse-
ment mesquin et borné ; si c'est ce calcul
ou toute autre arrière-pensée du même gen-
re, qui ont inspiré la note Balfour à laquelle
est imputable avant tout l'échec de la con-
férence de Downing Street, ils trahissent
une conception singulièrement étroite et in-
suffisante de la dignité de la Grande-Breta-
gne et des véritables intérêts britanni-
ques.
Si nous pensions que le fiasco de Dow-
ning Street pût déterminer une brouille per-
manente entre le peuple français et le peu-
ple britannique, nous le considérerions
comme encore plus déplorable qu'il ne
semble l'être dès à présent. Nous aimons
à croire, au contraire, qu'il inspirera aux
nations alliées un sentiment plus juste des
dangers qui les menacent à bref délai, si
elles ne se hâtent pas de réprimer, par des
manifestations non équivoques de leurs
sentiments les écarts des administrateurs
qui dirigent si mal leurs affaires. De quel-
que façon que le peuple français puisse en-
visager les actes et l'attitude de ses repré-
sentants, nous serions très surpris si le
peuple britannique ne voyait pas dans
l'échec lamentable d'hier une preuve de
plus que le gouvernement de la coalition a
survécu à son mandat. et qu'il faut des
hommes nouveaux pour faire face à une
situation que les ministres actuels ont com-
promise sans nécessité, sinon sans qu'il
reste aucun espoir de la rétablir. C'est avec
un poignant regret que nous voyons, le
jour de la mort de lord Nortcliffe, une
conférence alliée se terminer par un désac-
cord dont les origines et les conséquences
peuvent tendre, les unes et les autres, à
mettre en danger les deux gages les plus
solides de la prospérité et de la sécurité de
la Grande-Bretagne, l'amitié de la France
et la bonne volonté des Etats-Unis. - (Ed.)
TIMES, 15.8.
- Le correspondant du Times à Paris
relève l'éventualité, qui aurait été envisa-
gés dans certains journaux français, d'un
bloc continental : De Paris, 15 août. .Le
mot isolement évoque l'idée contraire
d'un bloc européen. Ce nouvel alignement
des nations continentales a été discuté déjà.
Il est certainement IVIrai que, M. Poincaré
est désireux de ranger aux côtés de la
France les pays de la Petite Entente, y com-
pris la Pologne et quel sa diplomatie, com-
me le ferait la diplomatie de tout autre
premier ministre français, tend à consoli-
der toutes les alliances possibles en Eu-
Mais autre chose est de parler d'un bloc
européen, comme d'une alliance destinée à
isoler la Grande-Bretagne. Il a été fait à
ce sujet quelques déclarations sensation-
nelles qui ne peuvent signifier qu'un rap-
prochement franco-allemand. En ¡Un
de compte, sans doute, il faut ad-
mettre la possibilité d'un rappoehement
franco-allemand et la Grande-Bretagne
n'eruvisageraàt paIS d'^Lin mauvais oai-l
ce rapprochement s'il avait pour objet
d'assurer la concorde en Europe. Mais la
conception d'une telle combinaison organi-
sée en vue de combattre la politique., bri-
tannique est une tout autre affaire. Puis-
qu'il lui a été donné une certaine publicité,
même dans de grands journaux français, il
est permis, toutefois, et même désirable,
de faire observer que ce serait pour la
France, une politique à bien courte vue que
de se précipiter dans les bras d'une Allema-
gne amie (par dépit de ne pas se voir soute-
nue dans son dessein d'exercer une pression
sur l'Allemagne. Il faut chasser ces idées-
là. Le danger véritable est, bien entendu,
que la, France soit amenée à réclamer avec
plus d'insistance que jamais les mesures les
plus sévères à l'égard de l'Allemagne. Une
politique d'apaisement doit nécessairement
comprendre une réduction de l'indemnité al-
lemande, en même temps que l'annulation
des dettes françaises.- (Du correspondant
spécial).
TIMES, 16.8.
— La Morning Post, sous le titre : « LA
SUPRÊME ERREUR » estime qu'aucune faute
ne fut aussi grave que de n'avoir pas con-
clu le pacte défensif franco-britannique ;
de là ont procédé les autres divergences :
Le désaccord définitif entre les gouver-
nements français et britannique sur lequel
a pris fin la treizième conférence alliée est
peut-être l'événement le plus grave qui se
soit produit depuis le mois d'août. 1914.
C'est le commencement d'une rupture avec
nos amis et compagnons d'armes français,
rupture qui, si l'on n'y met bon ordre, peut
engendrer les plus funestes conséquences.
En ne s'arrangeant pas à conclure un
accord avec la France, nous estimons que
le premier ministre a commis la suprême
erreur de sa carrière. Le pays ne peut ju-
ger la diplomatie de M. Lloyd George que
d'après ses résultats et d'après les témoi-
gnages dont il dispose ; et il n'y a, dans
les propositions publiées, aucune clause
dont l'importance suffirait à justifier la
conduite du gouvernement britannique en
laissant rompre les négociations. Nous di-
sons le gouvernement, car fle public sait
que M. Lloyd George a consulté ses collè-
gues et a reçu leur approbation. Quels
que soient les mobiles auxquels obéit
M. Lloyd George en matière de politique
extérieure, cette politique a du moins été
caractérisée par un certain esprit de suite'
car pendant toute la série des conférences
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2129
Jeudi 17 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articly
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^ESSE ALLEMANDE. — Les réparations : les
! divergences franco-britanniques (Paul
Scheffer dans Berliner Tageblatt). —
Les paiements de compensation : l'ex-
pulsion des Allemands d'Alsace-Lor-
raine (Deutsche Allgemeine Zeitung).
^ESSE ANGLAISE. — Les réparations : les
l. divergences franco-britanniques (Times,
> Morning Post, Daily Telegraph, West-
, rnÏ1lster Gazette, Daily Chronicle, Daily
News).'
K ESSE SUISSE. — Les réparations : les di-
vergences franco-britanniques (Bund).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
DIVERGENCES FRANCO BRITAN-
, QU'ES. — PRESSE ANGLAISE. — « ECHEC
^E.NTABLE », tel est le titre et la condu-
is n f un éditorial du Times, qui rappelle
rei^Cessité d'un prompt redressement des
fions entre les deux grands pays :
(IvOi la conférence se sépare après
lr moins que rien, sinon pis encore.
,
Part ûlt été présenté, ostensiblement de la
pa de l'Italie, une suggestion tendant à
ç6 0'1' en novembre une nouvelle conféren-
'5ù Pourrait, être examinée la question
die s Oettes interalliées après que les diver-
-
s6s dissions européennes aux Etats-Unis
aierit rédigé leurs rapports sur les chan-
il' - existent de consolider les dettes de
gu erre des alliés envers l'Amérique. Quelle
Soit l'origine, cette proposition ne
Serïi.hi le pas avoir été agréée par M. Poin-
gOllv qUel semble avoir réservé pour le
go français liberté entière d'exa-
Haine).a situation dans son ensemble. La
s~~ "on n'en est pas moins significative.
Il
WjW qu'elle indique la direction dans
gouJe s'oriente la politique de certains
ements alliés y compris le nôtre.
b'IrnPOrt-ant es élections auront lieu aux
~h"'s dans les premiers jours de no-
VeW>. e' La question des dettes de guerre
^Ur0n.Grines' y jouera un rôle de première
PenJ~ce. Les hommes politiques qui ne
Petisc,nt Wen termes d'élections estiment
Ida.tion e que la situation, quant à la conso-
dQute 1 ^es. dettes de guerre, sera sans
le P Us favorable qu'elle ne l'est à pré-
h , au P
Irit d Point de vue de l'Europe, ou au
par cr e a Grande-Bretagne; e qu ,
lque d equent, c'eût été une faute de tac-
qYartt 1 e consentir « le grand sacrifice »
\t, élections, alors que peut-être « un
Ce beaucoup moindre » assurerait
quelque avantage après les élections. Si un
calcul de ce genre se dissimule dans la
pensée des hommes d'Etat britanniques,-
nous le considérons comme dangereuse-
ment mesquin et borné ; si c'est ce calcul
ou toute autre arrière-pensée du même gen-
re, qui ont inspiré la note Balfour à laquelle
est imputable avant tout l'échec de la con-
férence de Downing Street, ils trahissent
une conception singulièrement étroite et in-
suffisante de la dignité de la Grande-Breta-
gne et des véritables intérêts britanni-
ques.
Si nous pensions que le fiasco de Dow-
ning Street pût déterminer une brouille per-
manente entre le peuple français et le peu-
ple britannique, nous le considérerions
comme encore plus déplorable qu'il ne
semble l'être dès à présent. Nous aimons
à croire, au contraire, qu'il inspirera aux
nations alliées un sentiment plus juste des
dangers qui les menacent à bref délai, si
elles ne se hâtent pas de réprimer, par des
manifestations non équivoques de leurs
sentiments les écarts des administrateurs
qui dirigent si mal leurs affaires. De quel-
que façon que le peuple français puisse en-
visager les actes et l'attitude de ses repré-
sentants, nous serions très surpris si le
peuple britannique ne voyait pas dans
l'échec lamentable d'hier une preuve de
plus que le gouvernement de la coalition a
survécu à son mandat. et qu'il faut des
hommes nouveaux pour faire face à une
situation que les ministres actuels ont com-
promise sans nécessité, sinon sans qu'il
reste aucun espoir de la rétablir. C'est avec
un poignant regret que nous voyons, le
jour de la mort de lord Nortcliffe, une
conférence alliée se terminer par un désac-
cord dont les origines et les conséquences
peuvent tendre, les unes et les autres, à
mettre en danger les deux gages les plus
solides de la prospérité et de la sécurité de
la Grande-Bretagne, l'amitié de la France
et la bonne volonté des Etats-Unis. - (Ed.)
TIMES, 15.8.
- Le correspondant du Times à Paris
relève l'éventualité, qui aurait été envisa-
gés dans certains journaux français, d'un
bloc continental : De Paris, 15 août. .Le
mot isolement évoque l'idée contraire
d'un bloc européen. Ce nouvel alignement
des nations continentales a été discuté déjà.
Il est certainement IVIrai que, M. Poincaré
est désireux de ranger aux côtés de la
France les pays de la Petite Entente, y com-
pris la Pologne et quel sa diplomatie, com-
me le ferait la diplomatie de tout autre
premier ministre français, tend à consoli-
der toutes les alliances possibles en Eu-
Mais autre chose est de parler d'un bloc
européen, comme d'une alliance destinée à
isoler la Grande-Bretagne. Il a été fait à
ce sujet quelques déclarations sensation-
nelles qui ne peuvent signifier qu'un rap-
prochement franco-allemand. En ¡Un
de compte, sans doute, il faut ad-
mettre la possibilité d'un rappoehement
franco-allemand et la Grande-Bretagne
n'eruvisageraàt paIS d'^Lin mauvais oai-l
ce rapprochement s'il avait pour objet
d'assurer la concorde en Europe. Mais la
conception d'une telle combinaison organi-
sée en vue de combattre la politique., bri-
tannique est une tout autre affaire. Puis-
qu'il lui a été donné une certaine publicité,
même dans de grands journaux français, il
est permis, toutefois, et même désirable,
de faire observer que ce serait pour la
France, une politique à bien courte vue que
de se précipiter dans les bras d'une Allema-
gne amie (par dépit de ne pas se voir soute-
nue dans son dessein d'exercer une pression
sur l'Allemagne. Il faut chasser ces idées-
là. Le danger véritable est, bien entendu,
que la, France soit amenée à réclamer avec
plus d'insistance que jamais les mesures les
plus sévères à l'égard de l'Allemagne. Une
politique d'apaisement doit nécessairement
comprendre une réduction de l'indemnité al-
lemande, en même temps que l'annulation
des dettes françaises.- (Du correspondant
spécial).
TIMES, 16.8.
— La Morning Post, sous le titre : « LA
SUPRÊME ERREUR » estime qu'aucune faute
ne fut aussi grave que de n'avoir pas con-
clu le pacte défensif franco-britannique ;
de là ont procédé les autres divergences :
Le désaccord définitif entre les gouver-
nements français et britannique sur lequel
a pris fin la treizième conférence alliée est
peut-être l'événement le plus grave qui se
soit produit depuis le mois d'août. 1914.
C'est le commencement d'une rupture avec
nos amis et compagnons d'armes français,
rupture qui, si l'on n'y met bon ordre, peut
engendrer les plus funestes conséquences.
En ne s'arrangeant pas à conclure un
accord avec la France, nous estimons que
le premier ministre a commis la suprême
erreur de sa carrière. Le pays ne peut ju-
ger la diplomatie de M. Lloyd George que
d'après ses résultats et d'après les témoi-
gnages dont il dispose ; et il n'y a, dans
les propositions publiées, aucune clause
dont l'importance suffirait à justifier la
conduite du gouvernement britannique en
laissant rompre les négociations. Nous di-
sons le gouvernement, car fle public sait
que M. Lloyd George a consulté ses collè-
gues et a reçu leur approbation. Quels
que soient les mobiles auxquels obéit
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