Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 août 1922 09 août 1922
Description : 1922/08/09 (T21,N2124). 1922/08/09 (T21,N2124).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217091z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
- DES
MAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2124
Mercredi 9 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Pl{ES SE ALLEMANDE. - Le programme fran-
çais de travaux publics (Alfred Lans-
burgh dans Die Bllnk).- Les paiements
de compensation ; les mesures de ré-
torsion (Germania5 Berliner Tageblatt).
PnESSE AMÉRICAINE. - La chute du mark
(Nation). - Les, Etats-Unis et la
Grande-Bretagne (New York Evening
l'ost). — Les Vïeireck et les Germano-
Américains (World).
PnESSE ANGLAISE. - La conférence de Lon-
dres : les réunions du 7 août (Daily
Chroniclc, Daily News, Morning Post).
- La question de l'emprunt internatio-
nal : une opinion américaine (Times).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
v *
Es HEUNIuNS DU 7 AOUT. — Sous le titre
dé avenir de l'Entente », la Daily Chronicle
l' r[.a,T"e que M. Lloyd George s'ellorcera de
^Kencr l'opinion française dans la bonne
"d Ole, et de lui faire comprendre la nécessité
C sacrifices communs :
!Les ministries étaient à peu près seuls.
le f, à travailler ferme .et leurs détracteurs
les plus âpres seraient mal venus de leur
r^Proicher de nie pais s'être appliqués à leur
cfte. Mailveu-neusement les crises politi-
ses ont. La mauvaise habitude de se pré-
ter à des moments inopportuns et il
*8t.pas passible de leur montrer la porte.
j.er> M. Poincaré a exposé la thèse fran-
8e à l'égard de l'Allemagne avec beau-
ç oup de force et de logique, mais il se trou.»"
vait à la .base même de son argumentation
i6 'e,rr°ur profonde. Il a parlé comme si
logriefs à faire valoir contre l'Allemagne
t les griefs de la France plus que de toute
fLé re puissance, et comme si la France a
lui éprouvée par la guerre à un degré qui
1,1 co>nfère le. droit d'agir indépendamment
A
Î-t ses allies; Cette erreur, M. Lloyct George
'combatt.uie dans un discours qui, même
Diiv'v la. fOTTIlle1 abrégée sous laquelle il a été
~~, est d'une puissance rare. Les griefs
ftrre valoir contre l'Allemagne sont nos
DQ¡¡- g, u - touS'. Nous sommes tous éprouvés
guerre, et le chômage qui persiste
(L l'industrie anglaise constitue une ré-
Ci (IV Ill-S té plus grande encore que celles
l<'a France.
(l Publication de la note Balfour et le dé-
bat de la semaine dernière à la Chambre
des communes ont projeté la plus vive lu-
mière sur la politique de la Grande-Breta-
gne ; il ne saurait subsister de doute dans
l'esprit de personne au sujet des principes
dont elle s'inspire. Quant aux modalités de
leur application, c'est à la conférence elle-
même de les fixer, et sur ce point la Cham-
bre des Communes a fort sagement laissé
carte blanche au gouvernement. Personne
ne s'attend à un règlement définitif, mais si
nos représentants réusisissent tant soit peu
à ramener l'opinion des alliés dans la bonne
voie, nous nous déclarerons satisfaite.
C'est une conférence des plus importantes.
La France en dépit de nombreux signes de
mauvaise humeur, s'est un peu rapprochée
de la conception britannique, suivant la-
quelle les intérêts du débiteur et des créan-
ciers sie confondent et qu'il s'agit de les con-
cilier. Ajoutons comme corollaire, que si
des sacrifices immédiats doivent être faits,
ils. ne doivent pas tous retomber sur la
Grande-Bretagne, bien que nous soyons
prêts à en prendre la plus large part. Si
M. Poincaré veut reconnaître ce principe ,et
ce corollaire, nos inquiétudes disparaîtront.
Leur application ne sera pais des plus fa-
ciles, mais nous sauronsi enfin que le but
sera atteint. - (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 8.8.
— Les Daily News déclarent que la po-
litique de la France, déçue en ce qui concex-
ne sa sécurité et les réparations, serait lé-
gitime si le problème franco-allemand était
individuel et si la solution souhaitée par la
France ne devait pas amener la ruine de
l'Allemagne et de 'Autriche.
Le sujet qui domine tous les autres dans
l'esprit des hommes d'Etat qui se sont réu-
nis hier en conférence est indubitablement
la question des réparations et la haine sé-
culaire qui règne entre la France et l'Al-
lemagne. La France, assurément, ne songe
qu'à cela, et il est inutile de prétendre qu'il
y ait là de quoi nous étonner. Elle a une
cause excellente à faire valoir. Elle a été
traitée avec une grande injustice. Les deux
résultat,s substantiels qu'elle pouvait espé-
rer tirer de sa victoire ne se sont ni l'un ni
l'autre réalisés. L'abandon du pacte tripar-
tite aux termes duquel les Etats-Unis et la
Grande-Bretagne auraient garanti la France
contre toute agression allemande éventuel-
le, lui a enlevé tout sentiment de sécurité ;
aussi les efforts laborieux faits par les hom-
mes d'Etat français en vue d'élever autour
de l'Allemagne un mur pirculaire de petits
Etats hostiles, et de reprendre avec la Ba-
vière les anciennes intrigues visant à mor-
celer le Reich, n'ont-ils pas nécessairement
un caractère impérialiste, ni même peu gé-
néreux : il faut y voir simplement une ten-
tative faite pour trouver à remplacer la
Russie comme frein à l'ambition germani-
que. Il n'est nullement prouvé que si nous
vivions sous la menace constante du dan-
ger auquel leur situation géographique et
leur infériorité numérique exposent les
Français, nous ne serions pas tentés, nous
aussi, de nous en tenir à la maxime : « la
sécurité avant tout ». D'autre part, un des
droits évidents de la France, après la
guerre. était d'exiger que du moins ses ré-
gions dévastées fussent rendues à la pros-
périté aux frais de l'envahisseur. Cette re-
vendication, non plus, il n'y a pas été fait
droit La faute n'en est pas entièrement à
l'Allemagne, elle en est en partie à la Fran-
ce ; mais l'œuvre de reconstitution n'a cer-
tainement pas progressé comme les Fran-
çais étaient fondés à s'y attendre. Et voilà
qu'aujourd'hui, la crainte qu'il ne soit ja-
mais donné satisfaction à cette revendica-
tion des plus légitimes, vient s'ajouter à
l'amertume des espoirs déçus.
La difficulté est, pour l'instant, comme elle
l'est d'ailleurs depuis de longs mois, qu'il
est absolument impossible au reste de l'uni-
vers de voir dans ce problème une question
aussi individuelle et aussi simple. Le pro-
blème franco-allemand n'est pas individuel
et il n'est pas simple. Il se rattache à une
demi-douzaine d'autres' questions, qui sont
chacune d'une importance vitale pour les
peuples directement en cause.
Si la France ne devait obtenir les répara-
tions les plus complètes, une sécurité en-
tière qu'au prix de la ruine de l'Allemagne
et de l'Autriche, et du désastre commercial
qui en résulterait pour la Grande-Bretagne,
elle ne serait assurée elle-même d'ontenir ni
la (justice ni la paix, car aucun équilibre des
puissances ne suffirait à maîtriser long-
temps les feux de la haine et du désespoir
attisés par une telle politique. - (Ed.)
DAILY NEWS, 8.8
- La Morning Post croit que la note
Balfour et les récents discours de sir Ro-
bert Home et de M. Lloyd George ont créé
une ambiance défavorable pour les conver-
sations des ministres alliés; elle blâme sur-
tour l' prise par M. Lloyd George :
Tandis que M. Poincaré défendait seule-
ment la thèse française, il semblait hier
que M. Lloyd George parlait pour deux
clients, comme s'il y. avait identité entre
les intérêts de la Grande-Bretagne et de
la France. Nous nous demandons à quoi
l'on peut servir une comparaison du taux
des impôts en France et en Grande-Bre-
tagne et du préjudice respectif causé. à
la France par la dévastation des régions
envahies et à l'Angleterre par le chômage;
elle n'aidera pas à ramener l'Allemagnei
à la raison, ni à résoudre l'énigme des ré-
- DES
MAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2124
Mercredi 9 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Pl{ES SE ALLEMANDE. - Le programme fran-
çais de travaux publics (Alfred Lans-
burgh dans Die Bllnk).- Les paiements
de compensation ; les mesures de ré-
torsion (Germania5 Berliner Tageblatt).
PnESSE AMÉRICAINE. - La chute du mark
(Nation). - Les, Etats-Unis et la
Grande-Bretagne (New York Evening
l'ost). — Les Vïeireck et les Germano-
Américains (World).
PnESSE ANGLAISE. - La conférence de Lon-
dres : les réunions du 7 août (Daily
Chroniclc, Daily News, Morning Post).
- La question de l'emprunt internatio-
nal : une opinion américaine (Times).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
v *
Es HEUNIuNS DU 7 AOUT. — Sous le titre
dé avenir de l'Entente », la Daily Chronicle
l' r[.a,T"e que M. Lloyd George s'ellorcera de
^Kencr l'opinion française dans la bonne
"d Ole, et de lui faire comprendre la nécessité
C sacrifices communs :
!Les ministries étaient à peu près seuls.
le f, à travailler ferme .et leurs détracteurs
les plus âpres seraient mal venus de leur
r^Proicher de nie pais s'être appliqués à leur
cfte. Mailveu-neusement les crises politi-
ses ont. La mauvaise habitude de se pré-
ter à des moments inopportuns et il
*8t.pas passible de leur montrer la porte.
j.er> M. Poincaré a exposé la thèse fran-
8e à l'égard de l'Allemagne avec beau-
ç oup de force et de logique, mais il se trou.»"
vait à la .base même de son argumentation
i6 'e,rr°ur profonde. Il a parlé comme si
logriefs à faire valoir contre l'Allemagne
t les griefs de la France plus que de toute
fLé re puissance, et comme si la France a
lui éprouvée par la guerre à un degré qui
1,1 co>nfère le. droit d'agir indépendamment
A
Î-t ses allies; Cette erreur, M. Lloyct George
'combatt.uie dans un discours qui, même
Diiv'v la. fOTTIlle1 abrégée sous laquelle il a été
~~, est d'une puissance rare. Les griefs
ftrre valoir contre l'Allemagne sont nos
DQ¡¡- g, u - touS'. Nous sommes tous éprouvés
guerre, et le chômage qui persiste
(L l'industrie anglaise constitue une ré-
Ci (IV Ill-S té plus grande encore que celles
l<'a France.
(l Publication de la note Balfour et le dé-
bat de la semaine dernière à la Chambre
des communes ont projeté la plus vive lu-
mière sur la politique de la Grande-Breta-
gne ; il ne saurait subsister de doute dans
l'esprit de personne au sujet des principes
dont elle s'inspire. Quant aux modalités de
leur application, c'est à la conférence elle-
même de les fixer, et sur ce point la Cham-
bre des Communes a fort sagement laissé
carte blanche au gouvernement. Personne
ne s'attend à un règlement définitif, mais si
nos représentants réusisissent tant soit peu
à ramener l'opinion des alliés dans la bonne
voie, nous nous déclarerons satisfaite.
C'est une conférence des plus importantes.
La France en dépit de nombreux signes de
mauvaise humeur, s'est un peu rapprochée
de la conception britannique, suivant la-
quelle les intérêts du débiteur et des créan-
ciers sie confondent et qu'il s'agit de les con-
cilier. Ajoutons comme corollaire, que si
des sacrifices immédiats doivent être faits,
ils. ne doivent pas tous retomber sur la
Grande-Bretagne, bien que nous soyons
prêts à en prendre la plus large part. Si
M. Poincaré veut reconnaître ce principe ,et
ce corollaire, nos inquiétudes disparaîtront.
Leur application ne sera pais des plus fa-
ciles, mais nous sauronsi enfin que le but
sera atteint. - (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 8.8.
— Les Daily News déclarent que la po-
litique de la France, déçue en ce qui concex-
ne sa sécurité et les réparations, serait lé-
gitime si le problème franco-allemand était
individuel et si la solution souhaitée par la
France ne devait pas amener la ruine de
l'Allemagne et de 'Autriche.
Le sujet qui domine tous les autres dans
l'esprit des hommes d'Etat qui se sont réu-
nis hier en conférence est indubitablement
la question des réparations et la haine sé-
culaire qui règne entre la France et l'Al-
lemagne. La France, assurément, ne songe
qu'à cela, et il est inutile de prétendre qu'il
y ait là de quoi nous étonner. Elle a une
cause excellente à faire valoir. Elle a été
traitée avec une grande injustice. Les deux
résultat,s substantiels qu'elle pouvait espé-
rer tirer de sa victoire ne se sont ni l'un ni
l'autre réalisés. L'abandon du pacte tripar-
tite aux termes duquel les Etats-Unis et la
Grande-Bretagne auraient garanti la France
contre toute agression allemande éventuel-
le, lui a enlevé tout sentiment de sécurité ;
aussi les efforts laborieux faits par les hom-
mes d'Etat français en vue d'élever autour
de l'Allemagne un mur pirculaire de petits
Etats hostiles, et de reprendre avec la Ba-
vière les anciennes intrigues visant à mor-
celer le Reich, n'ont-ils pas nécessairement
un caractère impérialiste, ni même peu gé-
néreux : il faut y voir simplement une ten-
tative faite pour trouver à remplacer la
Russie comme frein à l'ambition germani-
que. Il n'est nullement prouvé que si nous
vivions sous la menace constante du dan-
ger auquel leur situation géographique et
leur infériorité numérique exposent les
Français, nous ne serions pas tentés, nous
aussi, de nous en tenir à la maxime : « la
sécurité avant tout ». D'autre part, un des
droits évidents de la France, après la
guerre. était d'exiger que du moins ses ré-
gions dévastées fussent rendues à la pros-
périté aux frais de l'envahisseur. Cette re-
vendication, non plus, il n'y a pas été fait
droit La faute n'en est pas entièrement à
l'Allemagne, elle en est en partie à la Fran-
ce ; mais l'œuvre de reconstitution n'a cer-
tainement pas progressé comme les Fran-
çais étaient fondés à s'y attendre. Et voilà
qu'aujourd'hui, la crainte qu'il ne soit ja-
mais donné satisfaction à cette revendica-
tion des plus légitimes, vient s'ajouter à
l'amertume des espoirs déçus.
La difficulté est, pour l'instant, comme elle
l'est d'ailleurs depuis de longs mois, qu'il
est absolument impossible au reste de l'uni-
vers de voir dans ce problème une question
aussi individuelle et aussi simple. Le pro-
blème franco-allemand n'est pas individuel
et il n'est pas simple. Il se rattache à une
demi-douzaine d'autres' questions, qui sont
chacune d'une importance vitale pour les
peuples directement en cause.
Si la France ne devait obtenir les répara-
tions les plus complètes, une sécurité en-
tière qu'au prix de la ruine de l'Allemagne
et de l'Autriche, et du désastre commercial
qui en résulterait pour la Grande-Bretagne,
elle ne serait assurée elle-même d'ontenir ni
la (justice ni la paix, car aucun équilibre des
puissances ne suffirait à maîtriser long-
temps les feux de la haine et du désespoir
attisés par une telle politique. - (Ed.)
DAILY NEWS, 8.8
- La Morning Post croit que la note
Balfour et les récents discours de sir Ro-
bert Home et de M. Lloyd George ont créé
une ambiance défavorable pour les conver-
sations des ministres alliés; elle blâme sur-
tour l' prise par M. Lloyd George :
Tandis que M. Poincaré défendait seule-
ment la thèse française, il semblait hier
que M. Lloyd George parlait pour deux
clients, comme s'il y. avait identité entre
les intérêts de la Grande-Bretagne et de
la France. Nous nous demandons à quoi
l'on peut servir une comparaison du taux
des impôts en France et en Grande-Bre-
tagne et du préjudice respectif causé. à
la France par la dévastation des régions
envahies et à l'Angleterre par le chômage;
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