Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 août 1922 08 août 1922
Description : 1922/08/08 (T21,N2123). 1922/08/08 (T21,N2123).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217090j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
1 ,
DES
IRES ÉTRANGÈRES
h.
- - N° 2123;
Mardi 8 août 1922
rolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAI]RE
ESSE ALLEMANDE. — Les conversations de
Londres (Paul Scheifer dans Berliner
Tageblatt).
ESSE ANGLAISE. — Les conversations de
o'ndres (Times, Daily Chronicle, West-
insÍer Gazette, Daily News, Daily He-
rald). — Le discours de M.. Lloyd
eorge aux Communes, le 4 août, sur
Proche Orient (Morning Post,. Daily
~?'ap~).
ESPAGNOLE. - La politique financière
.e l'Allemagne (Ramon -de Olascoaga
dans Débats).
ITIQÏÏE GENERALE
LES RÉPARATIONS
MR CONVERSATIONS DE LONDRES.-
M E ALLEMANDE. — D'une façon générale,
~N ande-Bretagne, on est résigné au sujet
capadt-é allemande. Les réparations
MN t être enterrées, un moratorium est
j aire pour soutenir l'Allemagne. Voilà
t se rendent compte la plupart des
n trouve donc une compréhension de
on de l'Allemagne. Mais un autre
t surgit à côté : on reconnaît que l'af-
li,ius d'importance pour, la France
ur la Grande-Bretagne. A la résigna-
B ïhant l'incapacité de paiement de
t N agne s'ajoute la résignation touchant
j a ition de la France. Le flegme briv
~Nti .e envisages a situation et eee éven-
très froidement.
Ile souhaite une stabilisation du
t elle fait valoir s,es conceptions
Pu gouvernement ; mais elle nassu-
la responsabilité de l'exécution. Et
"est tias toute la Grande-Bretagne.
S èment, l'industrie anglaise recon-
Nécessité de fortifier l'Allemagne,
souhaite une- convalescence pour
3P réglée, 'n'allant pas jusqu'à la
Eprise de force.
e .VoùlonB pas prophétiser quelle
ude du gouvernement anglais en
mme de fer de Paris; mais quelle
on fondamentale qui a tenu le
nt britannique, en haleine
s, depuis Spa ? Ce fut toujours
r suite dos exigences exagérées
envers Y Allemagne : la
gne obtiendra-t-elle plus facP
ur à un état stable eÈ Europe,
B| la. France une preuve de force
t pour la régulariser sur
a France ? En d'autres ter-
de politique européenne doit-
Ita.t de l'action de la Grande-
la nensée directrice de la
France ou de la nTodifl-cution du point de
vue britannique par la France? La Grande-
Bretagne s'est jugée suffisamment solidaire
de l'Europe pour prendre la première
route. Din reconnaît toujours ce fait qui a
dominé les débats jusqu'ici Ma France est
la principale intéressée. f
Bien que la Grande-Bretagne aborde
cette fois les négociation© avec de forts
atouts économiques, on doit concéder que
sa situation politique n'est pas meilleure
que précédemment. Depuis l'armistice et. la
paix, la France prend connaissance de son
indépendance à l'égard de la Grande-Breta-
gne', à qui elle se sentait autrefois liée ;
son hégémonie indiscutable sur le continent
exerce aus-si sur la Grande-Bretagne une
influence .dont on se rend de mieux en
mieux compte à Paris. La France a. une
'vue plus nette qu'e la Grande-Bretagne des
conditions et des liVIites de ses forces de
combat. Dans ce système eixi.raordinaire-
ment complexe de forces et de mobiles qui
doivent déterminer le résultat final, il faut
aussi tenir compte des « impondérables ».
— Paul Scheffer.
BERLINER TAGEBLATT, 5.8, matin
PRESSE ANGLAISE. - Le Times espère que
les alliés se mettront d'accord et oublie-
ront leurs divergences : * 1
C'est le Conseil suprême qui se réunit
cette semaine., On évite en cette occa-
sion, on ne sait trop pourquoi, l'em-
ploi du terme conseil suprême, peut-être
parce que les- membres de ce conseil
comprenaient que les destinées de l'Eu-
rope ne sont plus entre leurs mains.
Ce scrupule peut être considéré comme
un signe que Lai grâce les a touchés,
comme, un commencement de sagesse, une
tendance tardive à abandonner un titre
qui n'est plus depuis longtemps qu'une,
fiction. Mais cette nouvelle tendance n'est
pas sans présenter son. côté menaçant. Les
ministres alliés se réunissent cette semaine
en vue de discuter, avec circonspection, il
faut" l'espérer, et dans un esprit modeste
etjûbjectif, une situation à laquelle ils ne
sauraient remédier par de simples paroles,
par des assurances qui ne seraient pas
suivies -d'effets pratiques.. L'Europe est au-
jourd'hui à la merci de forces qui échap-
pent à tout calcul purement politique. Les
résultats de la paix sont remis au creuset.
L'autorité des alliés se Jrp-uve diminuée à
la suite .d'interminables discussions, dont
l'Allemagne a. profité largement. Au mo-
ment. même où le danger alteint. son point
culminant, où nous nous voyons menacés
de nouvelles perturbations éOOIlOmiqués;
l,es divergences' de vues entre les gouver-
nements alliés s'accusent plus nettement
qu'elles1 ne l'ont jamais fait. Pour faible
■qu'il fût, l'espoir que la gravité croissante
de la situation amènerait les alliés à s'ac-
corder sur un programme large et géné-
reux a été dissipé à la veille même de la
conférence. La note Balfour ainsi que là
résolution subite des Français d'obtenir
par des mesures de rétorsion à l'égard de
(Allemagne l'exécution d'une des clauses
secondaires du traité ont suscité de nou-
veaux obstacles à la réalisation d'un vaste-
effort collectif. Du côté du Proche Orient,
dont la lamentable situation devra, faire
l'objet, de la part des premiers ministres,
d'un examen approfondi, les projets si
soigneusement élaborés au. mois de mars
par leS'- ministres des affaires étrangères
allies ont perdu, eux aussi, toute. valeur au
cours de la dernière semaine. Les pre-
miers ministres se réunissent apparem-
ment sans avoir préparé aucun projét ni
base de discussion autres que les simples
et menaçantes réalités. Il ne semble pas
que l'on soit arrivé A un accord quant au
moratoire envisagé pour l'Allemagne, -et
toute la question des dettes de guerre et
des sanctions qu'il conviendrait de pren-
dre, si l'Allemagne fait défaut, se trouve
livrée de nouveau aux caprices des tour-
billons de la controverse. Il faut espérer,
en tout état de cause, que les amères réa-
lités rapprocheront les alliés comme n'ont
jamais pu le faire jusqu'ici les illusions
longuement caressées. On doit se féliciter,
en effet, que la conférence se réunisse sans
émettre dé prétentions exagérées. C'est
une chance de plus pour que le bon sens
s'affirme. — (Ed.)
TIMES, 7.8.
- La Daily Chronicle déclare a ^nouveau
que-i la France doit choisir entre la ruine
de l'Allemagne ou des réparations raison-
nables : - ,
, Les conversations qui s'engagent à Lon-
dres aujourd'hui entre les premiers, minis-
tres britannique, français et belge et le mi-
nistre des affaires étrangères italien s'ins-
pireront, nous voulons l'espérer, d'un es
prit meilleur et plus pratique que la ten-
dance manifestée, au cours de la semaine
dernière, par les diatribes de la presse
française contre la politique et les .hommes--
d'Etat de. la Grande-Bretagne. Il se peut
très bien qu'il en soit ainsi, car l'expérience
nous a démontré maintes fois que pour la
presse française un débordement d'injures
semble être le prélude ordinaire et pour
ainsi dire habituel de toute conférence avec
un allié ; il n'y a donc pas lieu de s'émou-
voir outre mesure d'un procédé devenu si-
banal. Peut-être, au contraire, faut-il inter-
préter comme étant de bon augure le carac-
tère relativement bénin des mesures ap-
pliquées par le gouvernement français com-
me suite à son « ultimatum » à l'Allema-
gne au sujet des versements de compensa-
tion. Si l'on avait eu recours, avant la con-
férence, aux mesures plus énergiques dont
1 ,
DES
IRES ÉTRANGÈRES
h.
- - N° 2123;
Mardi 8 août 1922
rolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAI]RE
ESSE ALLEMANDE. — Les conversations de
Londres (Paul Scheifer dans Berliner
Tageblatt).
ESSE ANGLAISE. — Les conversations de
o'ndres (Times, Daily Chronicle, West-
insÍer Gazette, Daily News, Daily He-
rald). — Le discours de M.. Lloyd
eorge aux Communes, le 4 août, sur
Proche Orient (Morning Post,. Daily
~?'ap~).
ESPAGNOLE. - La politique financière
.e l'Allemagne (Ramon -de Olascoaga
dans Débats).
ITIQÏÏE GENERALE
LES RÉPARATIONS
MR CONVERSATIONS DE LONDRES.-
M E ALLEMANDE. — D'une façon générale,
~N ande-Bretagne, on est résigné au sujet
capadt-é allemande. Les réparations
MN t être enterrées, un moratorium est
j aire pour soutenir l'Allemagne. Voilà
t se rendent compte la plupart des
n trouve donc une compréhension de
on de l'Allemagne. Mais un autre
t surgit à côté : on reconnaît que l'af-
li,ius d'importance pour, la France
ur la Grande-Bretagne. A la résigna-
B ïhant l'incapacité de paiement de
t N agne s'ajoute la résignation touchant
j a ition de la France. Le flegme briv
~Nti .e envisages a situation et eee éven-
très froidement.
Ile souhaite une stabilisation du
t elle fait valoir s,es conceptions
Pu gouvernement ; mais elle nassu-
la responsabilité de l'exécution. Et
"est tias toute la Grande-Bretagne.
S èment, l'industrie anglaise recon-
Nécessité de fortifier l'Allemagne,
souhaite une- convalescence pour
3P réglée, 'n'allant pas jusqu'à la
Eprise de force.
e .VoùlonB pas prophétiser quelle
ude du gouvernement anglais en
mme de fer de Paris; mais quelle
on fondamentale qui a tenu le
nt britannique, en haleine
s, depuis Spa ? Ce fut toujours
r suite dos exigences exagérées
envers Y Allemagne : la
gne obtiendra-t-elle plus facP
ur à un état stable eÈ Europe,
B| la. France une preuve de force
t pour la régulariser sur
a France ? En d'autres ter-
de politique européenne doit-
Ita.t de l'action de la Grande-
la nensée directrice de la
France ou de la nTodifl-cution du point de
vue britannique par la France? La Grande-
Bretagne s'est jugée suffisamment solidaire
de l'Europe pour prendre la première
route. Din reconnaît toujours ce fait qui a
dominé les débats jusqu'ici Ma France est
la principale intéressée. f
Bien que la Grande-Bretagne aborde
cette fois les négociation© avec de forts
atouts économiques, on doit concéder que
sa situation politique n'est pas meilleure
que précédemment. Depuis l'armistice et. la
paix, la France prend connaissance de son
indépendance à l'égard de la Grande-Breta-
gne', à qui elle se sentait autrefois liée ;
son hégémonie indiscutable sur le continent
exerce aus-si sur la Grande-Bretagne une
influence .dont on se rend de mieux en
mieux compte à Paris. La France a. une
'vue plus nette qu'e la Grande-Bretagne des
conditions et des liVIites de ses forces de
combat. Dans ce système eixi.raordinaire-
ment complexe de forces et de mobiles qui
doivent déterminer le résultat final, il faut
aussi tenir compte des « impondérables ».
— Paul Scheffer.
BERLINER TAGEBLATT, 5.8, matin
PRESSE ANGLAISE. - Le Times espère que
les alliés se mettront d'accord et oublie-
ront leurs divergences : * 1
C'est le Conseil suprême qui se réunit
cette semaine., On évite en cette occa-
sion, on ne sait trop pourquoi, l'em-
ploi du terme conseil suprême, peut-être
parce que les- membres de ce conseil
comprenaient que les destinées de l'Eu-
rope ne sont plus entre leurs mains.
Ce scrupule peut être considéré comme
un signe que Lai grâce les a touchés,
comme, un commencement de sagesse, une
tendance tardive à abandonner un titre
qui n'est plus depuis longtemps qu'une,
fiction. Mais cette nouvelle tendance n'est
pas sans présenter son. côté menaçant. Les
ministres alliés se réunissent cette semaine
en vue de discuter, avec circonspection, il
faut" l'espérer, et dans un esprit modeste
etjûbjectif, une situation à laquelle ils ne
sauraient remédier par de simples paroles,
par des assurances qui ne seraient pas
suivies -d'effets pratiques.. L'Europe est au-
jourd'hui à la merci de forces qui échap-
pent à tout calcul purement politique. Les
résultats de la paix sont remis au creuset.
L'autorité des alliés se Jrp-uve diminuée à
la suite .d'interminables discussions, dont
l'Allemagne a. profité largement. Au mo-
ment. même où le danger alteint. son point
culminant, où nous nous voyons menacés
de nouvelles perturbations éOOIlOmiqués;
l,es divergences' de vues entre les gouver-
nements alliés s'accusent plus nettement
qu'elles1 ne l'ont jamais fait. Pour faible
■qu'il fût, l'espoir que la gravité croissante
de la situation amènerait les alliés à s'ac-
corder sur un programme large et géné-
reux a été dissipé à la veille même de la
conférence. La note Balfour ainsi que là
résolution subite des Français d'obtenir
par des mesures de rétorsion à l'égard de
(Allemagne l'exécution d'une des clauses
secondaires du traité ont suscité de nou-
veaux obstacles à la réalisation d'un vaste-
effort collectif. Du côté du Proche Orient,
dont la lamentable situation devra, faire
l'objet, de la part des premiers ministres,
d'un examen approfondi, les projets si
soigneusement élaborés au. mois de mars
par leS'- ministres des affaires étrangères
allies ont perdu, eux aussi, toute. valeur au
cours de la dernière semaine. Les pre-
miers ministres se réunissent apparem-
ment sans avoir préparé aucun projét ni
base de discussion autres que les simples
et menaçantes réalités. Il ne semble pas
que l'on soit arrivé A un accord quant au
moratoire envisagé pour l'Allemagne, -et
toute la question des dettes de guerre et
des sanctions qu'il conviendrait de pren-
dre, si l'Allemagne fait défaut, se trouve
livrée de nouveau aux caprices des tour-
billons de la controverse. Il faut espérer,
en tout état de cause, que les amères réa-
lités rapprocheront les alliés comme n'ont
jamais pu le faire jusqu'ici les illusions
longuement caressées. On doit se féliciter,
en effet, que la conférence se réunisse sans
émettre dé prétentions exagérées. C'est
une chance de plus pour que le bon sens
s'affirme. — (Ed.)
TIMES, 7.8.
- La Daily Chronicle déclare a ^nouveau
que-i la France doit choisir entre la ruine
de l'Allemagne ou des réparations raison-
nables : - ,
, Les conversations qui s'engagent à Lon-
dres aujourd'hui entre les premiers, minis-
tres britannique, français et belge et le mi-
nistre des affaires étrangères italien s'ins-
pireront, nous voulons l'espérer, d'un es
prit meilleur et plus pratique que la ten-
dance manifestée, au cours de la semaine
dernière, par les diatribes de la presse
française contre la politique et les .hommes--
d'Etat de. la Grande-Bretagne. Il se peut
très bien qu'il en soit ainsi, car l'expérience
nous a démontré maintes fois que pour la
presse française un débordement d'injures
semble être le prélude ordinaire et pour
ainsi dire habituel de toute conférence avec
un allié ; il n'y a donc pas lieu de s'émou-
voir outre mesure d'un procédé devenu si-
banal. Peut-être, au contraire, faut-il inter-
préter comme étant de bon augure le carac-
tère relativement bénin des mesures ap-
pliquées par le gouvernement français com-
me suite à son « ultimatum » à l'Allema-
gne au sujet des versements de compensa-
tion. Si l'on avait eu recours, avant la con-
férence, aux mesures plus énergiques dont
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
- Auteurs similaires Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6217090j/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6217090j/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6217090j/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6217090j/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6217090j
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6217090j
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6217090j/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest