Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 août 1922 07 août 1922
Description : 1922/08/07 (T21,N2122). 1922/08/07 (T21,N2122).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217089w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1
,1 MINISTÈRE
DES
'MRES ÉTRANGÈRES
N° 2122
Lundi 7 août 1922
Bolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ESSE ALLEMANDE. — Le discours de M.
Lloyd George à la Chambre des Com-
munes le 3 août (Frankfurter Zeitung).
— Les conversations de Londres (Zeit).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et
l'Europe (Chicago Tribune). — A Pro-
Pos d'un discours du Dr Michaëlis à
Chicago, le 6 juillet (New York Tri-
bune). — La question des dettes inter-
alliées (New Yorlc American).
({ESSE ANGLAISE. — Les conversations de
Londres (Times). — La question des
dettes interalliées (Daily News). — Le
discours de .M. Lloyd George aux Com-
munes sur le Proche Orient, le 4 août
p (DaHy Chronicle). '*
TTESSE ESPAGNOLE. — Vente de biens alle-
mands à Tanger (Epoca). — Le traité
commercial hispano-britannique (Au-
gusto Barcia dans Lnbertad).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
K DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE
* CHAMBRE DES COMMUNES, LE 3 AOÛT. —
¡(1 eu!X faits sont bien établis : d'abord que
char<,e clfS réparations excède de beau-
queP no,s forces et doit être allégée, ensuite
OM. nous sommes incapables pour l'instant
payer et qu'il nous faut un délai !
n
, el nous avions affaire à un seul créancier
ît e bonne volonté, il serait possible de
tirer raisonnablement les conséquences de
ces ,dlsunnablement. les conséquences de
n0, Qlts. Le malheur, non seulement pour
Q\1eu' In,,is pour l'Europe, est que les vain-
sont nombreux, sont débiteurs entre
dit-f - de sommes énormes et séparés par la
.., etlerlee de leurs idées, de leur situation
et de leurs intéréls. Hier aux Communes,
tr-jj,. George a insisté sur ce fait que le
1lt¡ de Versailles n'était pas seulement
un traité avec l'Allemagne, mais encore
f l'fi, Il' /"! , f t
alliés - le traité avec l'Allemagne fut
facile le traité a'
lç tr .d conclure, car on put le dicter, mais
mire alliés fut très difficile. Telle
f situation il y a trois ans, telle elle
reste 1 Peu près aujourd'hui. Et le danger
Rlaj ~„ anl} qu'elle persiste. La politique an-
gÉn S(î^nrce de substituer une solution
^n'f' 1Ve au régime provisoire. Et aucun
î^v J1'0' Se réjouirait plus que l'Allemagne
de sa réussite. Mais v a-t-il actuellement
tû.ble]}ersPC'('tive de solution définitive accep-
^bie P"ar n
Il est évident qu'ill est de première nécessité
de procéder a une remise des dettes entre hiUiis,
mais les Anvéri-oains tiennent la clef •j-.' cette
solution et il ne semble oas qu'ils soient peu:*
l'instant disposés à la donner.
M. Lloyd George a déclaré que « si les
alliés exerçaient une pression trop forte sur
l'Allemagne, ils l'amèneraient au désespoir
et la soumettraient à la réaction ou au com-
munisme ». Espérons que M. Lloyd George
n'abandonnera pas cette conception — qui
n'est que trop juste — dans ses entretiens
avec M. Poincaré.
FRANKFURTER ZEITUNG, 4.8, soir.
LES CONVERSATIONS DE LONDRES.
- PRESSE ALLEMANDE. — La parole est don-
née à la conférence de Londres, la « plus
importante depuis Versailles », à ce aue
prétendent les journaux parisiens eux-mê-
mes. Lloyd George et ses collègues belge et
italien auront à décider s'ils veulent ou
non se laisser entraîner par la France dans
la catastrophe européenne. Jusqu'ici leur
force d'opposition était faible. On a parlé
de raison, et laissé faire la folie. Cette mé-
thode n'est plus praticable parce que l'Alle-
magne est au bout de ses forces. L'Allema-
gne ne peut tout simplement plus exécuter.
Un compromis ne ferait dons que sanc-
tionner notre détresse, L'Allemagne a
exécuté jusqu'à m être ruinée, et,
selon la volonté du gouvernement actuel,
elle a prouvé que la politique de sanctions
comportait en elle-même sa propre limita-
tion, car nous - nous sommes épuisés au
poiJi/J qu'il ne nous reste plus rien pour
exécuter nos engagements. Il est indifférent
dans la situation actuelle que le gouverne-
ment allemand continue d'avoir la volonté
d'exécuter, ou, au contraire, reconnaisse
l'erreur de sa politique. Il ne peut pas exé-
cuter et il est indifférent que la chancelle-
rie soit occupée par un indépendant ou un
nationaliste : ils arriveront à la même con-
clusion. Il n'y a pas de salut hors la revi-
sion de l'acte de haine et d'anéantissement
imposé à Versailles.
Le gouvernement allemand doit donc de-
mander que l'on reprenne l'ensemble du
problème des réparations. Un ravaudage
ne peut que nuire et provoquer la crise en
permanence. Si l'Angleterre et ses alliés
n'arrivent pas en fin de compte à placer la
France devant ce dilemme, le maintien de
l'acte de Versailles ou le triomphe de la
raison et du sens pratique du moyen de
modifications, les pourparlers de Londres
n'ont aucun sens.
Les nouvelles sanctions que Poincaré
veut mettre en vigueur samedi et qui doi-
vent lui donner dans les conversations de
Londres l'attitude de l'homme fort, placent
d'emblée les puissances alliées devant des
questions captieuses. La confiscation des
biens privés contredit au sens de la pro-
priété anglais et aussi aux termes du Trai-
té de Versailles.
Si la France établissait des impôts en
territoire occupé, ce serait une forme dé-
guisée de prise de possession du territoire
rhénatn, contre laquelle l'Angleterre et l'A-
mérique se sont élevées. Si la France triom-
phe à Londres et impose sa volonté des-
tructrice, tout emprunt est impossible. Les
journaux français triomphent en ce moment
en pensant que la tournure des événements
actuels mine les projets du comité des ban-
quiers et du chancelier de l'Echiquier an-
glais.Mais si la saine raison de Lloyd
George dispose de quelque énergie, le terri-
ble coup qui menace l'Europe peut être dé-
tourné. - H. R.
ZEIT, 4.8.
PRESSE ANGLAISE. — De Paris, 4 août : Si
la réalisation d'un accord fondé sur les con-
ditions généreuses qui avaient été offertes
est reconnu impossible, la France s'esti-
mera libre de chercher à enrayer la dé-
bâcle en assumant sous une forme ou sous
une autre un contrôle actif sur l'Allemagne.
Il peut se faire que les gouvernements fran-
çais et britannique entrent en désaccord
à ce sujet. Dans ce cas, si mes renseigne-
ments sont exacts, M. Poincaré réunirait
les Chambres à son retour et prendrait les
mesures qu'il jugera utiles.
Il est possible d'autre part que dans l'in-
tervalle éclate une bombe lancée par la
commission des réparations. Bien que cette
commission ne puisse, peut-être, prendre
une décision définitive au sujet du mora-
toire que postérieurement à la réunion des
premiers ministres, il y a de grandes chan-
ces pour qu'elle trouve moyen, malgré tout,
de faire connaître son avis. Si d'ici lundi il
était communiqué de ce côté une recom-
mandation quelconque, les délibérations des
minisires s'en ressentiraient peut-être con-
sidérablement. Sans insister davantage sur
ce point, il convient de répéter que les mi-
lieux bien informés considèrent la situation
actuelle comme étant beaucoup plus sé-
rieuse qu'on ne s'en rend compte générale-
ment.
La vérité est que nous approchons rapi-
dement de la période où aucun remède ne
sera efficace. Les financiers attirent l'atten-
tion sur le fait que, à aucun moment, la
valeur de la couronne autrichienne ne s'est
effondrée avec la même rapidité que ne le
fait actuellement la valeur du mark alle-
mand. Il ne semble guère probablement que
le mouvement puisse être enrayé, et si l'on
se figure qu'il ne se produira pas de réper-
cussions dans d'autres pays, c'est que vrai-
ment ceux qui sont responsables de la di-
,1 MINISTÈRE
DES
'MRES ÉTRANGÈRES
N° 2122
Lundi 7 août 1922
Bolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ESSE ALLEMANDE. — Le discours de M.
Lloyd George à la Chambre des Com-
munes le 3 août (Frankfurter Zeitung).
— Les conversations de Londres (Zeit).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et
l'Europe (Chicago Tribune). — A Pro-
Pos d'un discours du Dr Michaëlis à
Chicago, le 6 juillet (New York Tri-
bune). — La question des dettes inter-
alliées (New Yorlc American).
({ESSE ANGLAISE. — Les conversations de
Londres (Times). — La question des
dettes interalliées (Daily News). — Le
discours de .M. Lloyd George aux Com-
munes sur le Proche Orient, le 4 août
p (DaHy Chronicle). '*
TTESSE ESPAGNOLE. — Vente de biens alle-
mands à Tanger (Epoca). — Le traité
commercial hispano-britannique (Au-
gusto Barcia dans Lnbertad).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
K DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE
* CHAMBRE DES COMMUNES, LE 3 AOÛT. —
¡(1 eu!X faits sont bien établis : d'abord que
char<,e clfS réparations excède de beau-
queP no,s forces et doit être allégée, ensuite
OM. nous sommes incapables pour l'instant
payer et qu'il nous faut un délai !
n
, el nous avions affaire à un seul créancier
ît e bonne volonté, il serait possible de
tirer raisonnablement les conséquences de
ces ,dlsunnablement. les conséquences de
n0, Qlts. Le malheur, non seulement pour
Q\1eu' In,,is pour l'Europe, est que les vain-
sont nombreux, sont débiteurs entre
dit-f - de sommes énormes et séparés par la
.., etlerlee de leurs idées, de leur situation
et de leurs intéréls. Hier aux Communes,
tr-jj,. George a insisté sur ce fait que le
1lt¡ de Versailles n'était pas seulement
un traité avec l'Allemagne, mais encore
f l'fi, Il' /"! , f t
alliés - le traité avec l'Allemagne fut
facile le traité a'
lç tr .d conclure, car on put le dicter, mais
mire alliés fut très difficile. Telle
f situation il y a trois ans, telle elle
reste 1 Peu près aujourd'hui. Et le danger
Rlaj ~„ anl} qu'elle persiste. La politique an-
gÉn S(î^nrce de substituer une solution
^n'f' 1Ve au régime provisoire. Et aucun
î^v J1'0' Se réjouirait plus que l'Allemagne
de sa réussite. Mais v a-t-il actuellement
tû.ble]}ersPC'('tive de solution définitive accep-
^bie P"ar n
Il est évident qu'ill est de première nécessité
de procéder a une remise des dettes entre hiUiis,
mais les Anvéri-oains tiennent la clef •j-.' cette
solution et il ne semble oas qu'ils soient peu:*
l'instant disposés à la donner.
M. Lloyd George a déclaré que « si les
alliés exerçaient une pression trop forte sur
l'Allemagne, ils l'amèneraient au désespoir
et la soumettraient à la réaction ou au com-
munisme ». Espérons que M. Lloyd George
n'abandonnera pas cette conception — qui
n'est que trop juste — dans ses entretiens
avec M. Poincaré.
FRANKFURTER ZEITUNG, 4.8, soir.
LES CONVERSATIONS DE LONDRES.
- PRESSE ALLEMANDE. — La parole est don-
née à la conférence de Londres, la « plus
importante depuis Versailles », à ce aue
prétendent les journaux parisiens eux-mê-
mes. Lloyd George et ses collègues belge et
italien auront à décider s'ils veulent ou
non se laisser entraîner par la France dans
la catastrophe européenne. Jusqu'ici leur
force d'opposition était faible. On a parlé
de raison, et laissé faire la folie. Cette mé-
thode n'est plus praticable parce que l'Alle-
magne est au bout de ses forces. L'Allema-
gne ne peut tout simplement plus exécuter.
Un compromis ne ferait dons que sanc-
tionner notre détresse, L'Allemagne a
exécuté jusqu'à m être ruinée, et,
selon la volonté du gouvernement actuel,
elle a prouvé que la politique de sanctions
comportait en elle-même sa propre limita-
tion, car nous - nous sommes épuisés au
poiJi/J qu'il ne nous reste plus rien pour
exécuter nos engagements. Il est indifférent
dans la situation actuelle que le gouverne-
ment allemand continue d'avoir la volonté
d'exécuter, ou, au contraire, reconnaisse
l'erreur de sa politique. Il ne peut pas exé-
cuter et il est indifférent que la chancelle-
rie soit occupée par un indépendant ou un
nationaliste : ils arriveront à la même con-
clusion. Il n'y a pas de salut hors la revi-
sion de l'acte de haine et d'anéantissement
imposé à Versailles.
Le gouvernement allemand doit donc de-
mander que l'on reprenne l'ensemble du
problème des réparations. Un ravaudage
ne peut que nuire et provoquer la crise en
permanence. Si l'Angleterre et ses alliés
n'arrivent pas en fin de compte à placer la
France devant ce dilemme, le maintien de
l'acte de Versailles ou le triomphe de la
raison et du sens pratique du moyen de
modifications, les pourparlers de Londres
n'ont aucun sens.
Les nouvelles sanctions que Poincaré
veut mettre en vigueur samedi et qui doi-
vent lui donner dans les conversations de
Londres l'attitude de l'homme fort, placent
d'emblée les puissances alliées devant des
questions captieuses. La confiscation des
biens privés contredit au sens de la pro-
priété anglais et aussi aux termes du Trai-
té de Versailles.
Si la France établissait des impôts en
territoire occupé, ce serait une forme dé-
guisée de prise de possession du territoire
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mérique se sont élevées. Si la France triom-
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tructrice, tout emprunt est impossible. Les
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George dispose de quelque énergie, le terri-
ble coup qui menace l'Europe peut être dé-
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ZEIT, 4.8.
PRESSE ANGLAISE. — De Paris, 4 août : Si
la réalisation d'un accord fondé sur les con-
ditions généreuses qui avaient été offertes
est reconnu impossible, la France s'esti-
mera libre de chercher à enrayer la dé-
bâcle en assumant sous une forme ou sous
une autre un contrôle actif sur l'Allemagne.
Il peut se faire que les gouvernements fran-
çais et britannique entrent en désaccord
à ce sujet. Dans ce cas, si mes renseigne-
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Il est possible d'autre part que dans l'in-
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commission ne puisse, peut-être, prendre
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toire que postérieurement à la réunion des
premiers ministres, il y a de grandes chan-
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de faire connaître son avis. Si d'ici lundi il
était communiqué de ce côté une recom-
mandation quelconque, les délibérations des
minisires s'en ressentiraient peut-être con-
sidérablement. Sans insister davantage sur
ce point, il convient de répéter que les mi-
lieux bien informés considèrent la situation
actuelle comme étant beaucoup plus sé-
rieuse qu'on ne s'en rend compte générale-
ment.
La vérité est que nous approchons rapi-
dement de la période où aucun remède ne
sera efficace. Les financiers attirent l'atten-
tion sur le fait que, à aucun moment, la
valeur de la couronne autrichienne ne s'est
effondrée avec la même rapidité que ne le
fait actuellement la valeur du mark alle-
mand. Il ne semble guère probablement que
le mouvement puisse être enrayé, et si l'on
se figure qu'il ne se produira pas de réper-
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