Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 04 août 1922 04 août 1922
Description : 1922/08/04 (T21,N2120). 1922/08/04 (T21,N2120).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170872
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE .1
r) 8 8
Pp A [ RES ÉTRANGÈRES
V 2120
Vendredi 4 août 1922
1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE!
:SSE ALLEMANDE. — Les paiements de
compensation : la lettre de M. Poincaré
du 1er août (Frankfurter Zcitung). —
L'' discours de M. Poincaré en Ar-
gonne, le 31 juillet (Frankfurter Zei-
tung).
^SSE ANGLAISE. — Les réparations et les
dettes interalliées : la note de lord Bal-
four du Ier août (Morning Post, Times,
Westminster Gazette, DaHu Chronicle).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
1~ REPARATIONS ET LES DETTES
Î04^ALLIEES. — LA NOTE DE LORD BAL-
ÎJQS H (LCR AOeT). — Le Morning Posl ne croit
tel¡ "lUe la note Balfour créera une heu-
ellese - aux Etats-Unis, sur qui
elle , eild à faire retomber la responsabilité
qe a crise actuelle :
Les Améneains ne se soucient pas
t!erltU,rnen Is-, mais bien de dollars ; ils tien-
~ul18 a entrer en possession de l'argent
4 ]S °nt prêté à l'Europe, sur la garantie
^°Uv s'»,U|tuire britannique. Nous n'ap-
'Vi(i,,0ns pas nécessairement l'attitude des
t'Oty 1Cains dans cette affaire, mais nous la
r°r!0JKs- La majorité des Américains
tr'tUa3U e^'e a Né entraînée dans la guerre
'~t~ elle, et qu'elle a dégagé les alliés
(:;~é elle, et qu'elle a dégagé les - alliés
\'etrJir 'uitimn inextricable. sans que la
v^toj e lui ait apporté des bénéfices ; elle
^onc qu'elle est moralement en
t e reûlnmer à ce pays les bons dol-
8 ai,^'e a prêtés. La magnanimité de M.
J'IOJM George envers les Bolcheviks et la
/^e Hénérosité de lord Balfour pour
Aternan^lS la laissent indifférente. Ces
N^e, ,lÜliX matérialistes de New York et
Ilt\1qe (dogO, réclament leur argent. Cette at-
~de l'Amérique nous laisserons al-
I Nu Sos hommes d'Etat et à ses jour-
Nu Sos hommes d'Etat et à ses jour-
nous es le soin de la justifier ; elle ne
nous on Notre bon renom seu!
0ncernei pas. Notre bon renom seul
jrrPOrle- Nous avané emprunté de
lV nt QUx Américains, nous devons le
>r nflrfl ; plus rigoureuse s'e montre
~i~ plus stricte est pour nous
h gr lr>n d'1 rembourser. Nous sommes
û'ndc nation et la grandeur ne s'ac-
quiert qu'au prix de sacrifices. Noblesse
oblige. Nous ne sommes pas encore une na:-
fion de Trotskys &, notre honneur, comme
notre monnaie, est mieux coté que celui de
l'Allemagne. En remboursant cet argent
sans conditions et sans menaces, nous per-
dons quelque chose de tangible, mais nous
disons un gain sérieux dans le domaine
) ces impondérables qui s'appellent le cré-
dit et la confiance, et nous apportent à
leor tour des commandes et des débouchés.
I or'fi Ball'o r itt prêté faire face eà note-
obligations envers l'Amérique. Il ajoute seu-
lement que si l'Amérique exieirce une pres-
sion sur nous, la Grande-Bretagne en usera
d.e même vis-à-vis de ses alliés et avant
tout de la France. Mais la comparaison ne
peut pas être poussée jusqu'au bout. Y
a-t-il un Anglais pour croire qu'il peut ob-
tenir à une date rapprochée le rembourse-
ment de l'argent, que nous avons avancé à
la France et aux autres pays appauvris
d'Europe ? De plus nous sommes convain-
cus que la masse de nos concitoyens est
profondément hostile à un traitement bien-
veillant. dont b énéficieraient par doses éga-
les la France et l'Allemagne.
Nous voyons pas la moindre raison pour
promettre à •.l'Allemagne de la. dégager ae
ses obligations envers ce pays,d'autan plus
que tous nos germanophiles s'écrieront im-
médiatement. que la France doit s'inspirer
do ce noble exempte. Malgré tout. le respect
que nous professons pour lord Balfour, nous
déplorons profondément l'envoi de sa note.
Le gouvernement devait annoncer à l'Amé-
rique qu'il était prêt à rembourser sans
conditions sa -dette, et notifier aux alliés
que nous étions prêts à leur accorder, à dé-
faut d'une remise complète, un traitement
généreux et indulgent. Cette solution peut
paraître altruiste, mais l'altruisme consti-
tue en l'espèce la meilleure politique. Des
personnes éclairées nous assurent qu'il faut
chercher la clef du salut dei l'Europe à
Washington et non à Moscou, comme M.
Lloyd George paraît le penser. S'il en était
ainsi, la note de lord Balfour est le plus
mauvais moyen d'obtenir le concours de la
puissance, qui détient la clef de la situa-
tion. Cette communication contrariera
l'Amérique et fera le désespoir de la
France. Mauvaise politique, qui pourrait
n'avoir pas même les résultats qu'on en
attend peut-êlre au point de vue électoral.
MORNING POST, 2.8.
-. Le correspondant de la Morning Post
à Washington déclare que les Etats-Unis
ne sont nullement disposés à accorder la
moindre remise de dettes, et que le cabinet
britannique, n'ignorant pas cet état d'esprit,
a voulu simplement s'adresser aux alliés :
De Washington, 2 août : L'opinion qui
prévaut dans les milieux officiels est que la
note de lord Balfour au sujet de l'annula
tion de dettes n'a pas été rédigée dans l'es-
poir que les Etats-Unis envisageraient sé-
rieusement la suggestion de participer à la
remise générale des dettes de guerre, mais
plutôt en vue de bien faire comprendre aux
alliés de la Grande-Bretagne que la dette
britannique envers les Etats-Unis devra
nécessairement être payée, quelle que soit
l'importance de la remise cor^sentie par la
Grande-Bretagne à ses alliés. On ne pense
pas ici que M. Lloyd George soit homme à
se bercer d'illusions, ni qu'il ignore 'l'état
d'esprit des Américains au sujet du paie-
ment de la dette britannique. Sir Auckland
Geddes est en effet à Londres pour être
consulté et pour donner ses conseils, et sir
Auckland Geddes, à en croiré des fonction-
naires qui tiennent en haute estime son ju-
gement et sa connaissance de l'opinion
américaine, ccmnaît à fond le point de vue
américain.
On ne saurait considérer la note Balfour
comme un ballon d'essai : la situation est
trop connue pour que de telles méthodes
présentent aucune chance de succès. L'ex-
périence a été tentée pour la première fois
il y a presque quatre ans, à Paris, lorsque
le premier ministre sonda M. Wilson à ce
sujet, sans trouver le moindre écho. Quel-
ques mois après la proposition fut renou-
velée dans une lettre formelle, mais confi-
dentielle, adressée à M. Wilson, et rejetée
nettement quoique poliment par le prési-
dent. Ces échanges de vues furent tenus
secrets ; plus, tard quand certaines indis-
crétions permirent d'en connaître la nature,
ce fut aux Etats-Unis un tolle général qui
traduisait bien le sentiment américain. De-
puis lors, à de fréquents intervalles, les
optimistes en Amérique et les ignorants en
Angleterre. ont préconisé l'annulation des
dettes, mais n'ont réussi en soulevant cette
question qu'à confirmer les Américains
dans leur résolution l'obtenir le paiement
de la dette britannique. , ,
Tout cela, M. Lloyd George ne peut man-
quer de le savoir : sir Auckland Geddes'le
lui a dit assurément. La création de la com-
mission de la dette avait un double but :
1° de fournir un mécanisme propre à faci-
liter la réalisation des créances ; 20 de lier
les mains du président et de le mettre dans
l'impossibilité de remettre tout ou partie
des dettes de l'Europe, ou de conclure au-
cun arrangement sans l'assentiment du
Congrès. Le débat qui eut lieu à ce sujet et
qui dura plusieurs jours ne laissa subsister
aucun doute quant à la tendance de l'opi-
nion publique, telle qu'elle était représentéè-
par des hommes en rapport intime avec le
pays. Il ne se manifesta aucune disposition
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V 2120
Vendredi 4 août 1922
1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE!
:SSE ALLEMANDE. — Les paiements de
compensation : la lettre de M. Poincaré
du 1er août (Frankfurter Zcitung). —
L'' discours de M. Poincaré en Ar-
gonne, le 31 juillet (Frankfurter Zei-
tung).
^SSE ANGLAISE. — Les réparations et les
dettes interalliées : la note de lord Bal-
four du Ier août (Morning Post, Times,
Westminster Gazette, DaHu Chronicle).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
1~ REPARATIONS ET LES DETTES
Î04^ALLIEES. — LA NOTE DE LORD BAL-
ÎJQS H (LCR AOeT). — Le Morning Posl ne croit
tel¡ "lUe la note Balfour créera une heu-
ellese - aux Etats-Unis, sur qui
elle , eild à faire retomber la responsabilité
qe a crise actuelle :
Les Améneains ne se soucient pas
t!erltU,rnen Is-, mais bien de dollars ; ils tien-
~ul18 a entrer en possession de l'argent
4 ]S °nt prêté à l'Europe, sur la garantie
^°Uv s'»,U|tuire britannique. Nous n'ap-
'Vi(i,,0ns pas nécessairement l'attitude des
t'Oty 1Cains dans cette affaire, mais nous la
r°r!0JKs- La majorité des Américains
tr'tUa3U e^'e a Né entraînée dans la guerre
'~t~ elle, et qu'elle a dégagé les alliés
(:;~é elle, et qu'elle a dégagé les - alliés
\'etrJir 'uitimn inextricable. sans que la
v^toj e lui ait apporté des bénéfices ; elle
^onc qu'elle est moralement en
t e reûlnmer à ce pays les bons dol-
8 ai,^'e a prêtés. La magnanimité de M.
J'IOJM George envers les Bolcheviks et la
/^e Hénérosité de lord Balfour pour
Aternan^lS la laissent indifférente. Ces
N^e, ,lÜliX matérialistes de New York et
Ilt\1qe (dogO, réclament leur argent. Cette at-
~de l'Amérique nous laisserons al-
I Nu Sos hommes d'Etat et à ses jour-
Nu Sos hommes d'Etat et à ses jour-
nous es le soin de la justifier ; elle ne
nous on Notre bon renom seu!
0ncernei pas. Notre bon renom seul
jrrPOrle- Nous avané emprunté de
lV nt QUx Américains, nous devons le
>r nflrfl ; plus rigoureuse s'e montre
~i~ plus stricte est pour nous
h gr lr>n d'1 rembourser. Nous sommes
û'ndc nation et la grandeur ne s'ac-
quiert qu'au prix de sacrifices. Noblesse
oblige. Nous ne sommes pas encore une na:-
fion de Trotskys &, notre honneur, comme
notre monnaie, est mieux coté que celui de
l'Allemagne. En remboursant cet argent
sans conditions et sans menaces, nous per-
dons quelque chose de tangible, mais nous
disons un gain sérieux dans le domaine
) ces impondérables qui s'appellent le cré-
dit et la confiance, et nous apportent à
leor tour des commandes et des débouchés.
I or'fi Ball'o r itt prêté faire face eà note-
obligations envers l'Amérique. Il ajoute seu-
lement que si l'Amérique exieirce une pres-
sion sur nous, la Grande-Bretagne en usera
d.e même vis-à-vis de ses alliés et avant
tout de la France. Mais la comparaison ne
peut pas être poussée jusqu'au bout. Y
a-t-il un Anglais pour croire qu'il peut ob-
tenir à une date rapprochée le rembourse-
ment de l'argent, que nous avons avancé à
la France et aux autres pays appauvris
d'Europe ? De plus nous sommes convain-
cus que la masse de nos concitoyens est
profondément hostile à un traitement bien-
veillant. dont b énéficieraient par doses éga-
les la France et l'Allemagne.
Nous voyons pas la moindre raison pour
promettre à •.l'Allemagne de la. dégager ae
ses obligations envers ce pays,d'autan plus
que tous nos germanophiles s'écrieront im-
médiatement. que la France doit s'inspirer
do ce noble exempte. Malgré tout. le respect
que nous professons pour lord Balfour, nous
déplorons profondément l'envoi de sa note.
Le gouvernement devait annoncer à l'Amé-
rique qu'il était prêt à rembourser sans
conditions sa -dette, et notifier aux alliés
que nous étions prêts à leur accorder, à dé-
faut d'une remise complète, un traitement
généreux et indulgent. Cette solution peut
paraître altruiste, mais l'altruisme consti-
tue en l'espèce la meilleure politique. Des
personnes éclairées nous assurent qu'il faut
chercher la clef du salut dei l'Europe à
Washington et non à Moscou, comme M.
Lloyd George paraît le penser. S'il en était
ainsi, la note de lord Balfour est le plus
mauvais moyen d'obtenir le concours de la
puissance, qui détient la clef de la situa-
tion. Cette communication contrariera
l'Amérique et fera le désespoir de la
France. Mauvaise politique, qui pourrait
n'avoir pas même les résultats qu'on en
attend peut-êlre au point de vue électoral.
MORNING POST, 2.8.
-. Le correspondant de la Morning Post
à Washington déclare que les Etats-Unis
ne sont nullement disposés à accorder la
moindre remise de dettes, et que le cabinet
britannique, n'ignorant pas cet état d'esprit,
a voulu simplement s'adresser aux alliés :
De Washington, 2 août : L'opinion qui
prévaut dans les milieux officiels est que la
note de lord Balfour au sujet de l'annula
tion de dettes n'a pas été rédigée dans l'es-
poir que les Etats-Unis envisageraient sé-
rieusement la suggestion de participer à la
remise générale des dettes de guerre, mais
plutôt en vue de bien faire comprendre aux
alliés de la Grande-Bretagne que la dette
britannique envers les Etats-Unis devra
nécessairement être payée, quelle que soit
l'importance de la remise cor^sentie par la
Grande-Bretagne à ses alliés. On ne pense
pas ici que M. Lloyd George soit homme à
se bercer d'illusions, ni qu'il ignore 'l'état
d'esprit des Américains au sujet du paie-
ment de la dette britannique. Sir Auckland
Geddes est en effet à Londres pour être
consulté et pour donner ses conseils, et sir
Auckland Geddes, à en croiré des fonction-
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gement et sa connaissance de l'opinion
américaine, ccmnaît à fond le point de vue
américain.
On ne saurait considérer la note Balfour
comme un ballon d'essai : la situation est
trop connue pour que de telles méthodes
présentent aucune chance de succès. L'ex-
périence a été tentée pour la première fois
il y a presque quatre ans, à Paris, lorsque
le premier ministre sonda M. Wilson à ce
sujet, sans trouver le moindre écho. Quel-
ques mois après la proposition fut renou-
velée dans une lettre formelle, mais confi-
dentielle, adressée à M. Wilson, et rejetée
nettement quoique poliment par le prési-
dent. Ces échanges de vues furent tenus
secrets ; plus, tard quand certaines indis-
crétions permirent d'en connaître la nature,
ce fut aux Etats-Unis un tolle général qui
traduisait bien le sentiment américain. De-
puis lors, à de fréquents intervalles, les
optimistes en Amérique et les ignorants en
Angleterre. ont préconisé l'annulation des
dettes, mais n'ont réussi en soulevant cette
question qu'à confirmer les Américains
dans leur résolution l'obtenir le paiement
de la dette britannique. , ,
Tout cela, M. Lloyd George ne peut man-
quer de le savoir : sir Auckland Geddes'le
lui a dit assurément. La création de la com-
mission de la dette avait un double but :
1° de fournir un mécanisme propre à faci-
liter la réalisation des créances ; 20 de lier
les mains du président et de le mettre dans
l'impossibilité de remettre tout ou partie
des dettes de l'Europe, ou de conclure au-
cun arrangement sans l'assentiment du
Congrès. Le débat qui eut lieu à ce sujet et
qui dura plusieurs jours ne laissa subsister
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