Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 02 août 1922 02 août 1922
Description : 1922/08/02 (T21,N2118). 1922/08/02 (T21,N2118).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170857
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Il MINISTÈRE
ht Das
FAInES ÉTRANGÈRES
N° 2118
Mercredi 2 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
"~SE
(V ALLEMANDE. - La chute du mark
elle nadisclie Landes zeitun g).
Les Payements de compensation
(pr n^urter Zeitung Kölnische Volks-
PI 2Pit Ung).
AINF" - Les Etats-Unis et les
dett es interalliées (Public Ledger). —
I e 0mmerce des Etats-Unis dans le
rgclie Orient. (Washington Post).
SSE A'
ittèf SE- - Les réparations et les
s i•n;U,teralliéiefs : le projet français
(fj- |es) ! la note de lord Balfour (Ti-
rnes)
4L- Impressions de Pe-
detbud et (Je Moscou (AlUr'meen Han-
K elsblacl).
SsE < 5 1-,=.
n". SlEDOISE. - Une organisation mo-
Haroh; 1S'e internationale ? (Dagens
yheter).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
ET LES DETTES
^LEES. — LE PROJET FRANÇAIS. —
juillet : L'imbroglio du Proche
A liri UVOtr détourné l'attention de
Orient 1 Oln d'avoir détourné l'~illention tle
'l. W.sti0n des rcparaitions, est considéré
,f' CO 1
Une naison de plus pour que
II}^1-eïni(lS .Histres français et britanni-
V Se rc, 'C^n^ent aussiôtt que possible.
ii C,e 6f lions contraires émises
<~tion~ 'e le, projet français quant aux r&-
Vf fUlX dettfls de guerre, élaboré
t~~(le Partie par M. de Lasteyrie, est
0 de projet nouveau, mais
V de, p-rojet mais
les teIll en ont -été exposés déjà. Ce
projet C a syri<"lll'oniser l'annulation vir-
l'i lettes interalliées et la réduction
Vi.lei^ni?- 'ailklmande. Il a trait à la réa-
t 1, Attribué à la France autant
I:Qi IJ r"ne- On ne se propose pas
ln ail 1,eis propositions fran-
V, à moin l!IUe la France ne se trouve
tQt¡ qU'elle ceSslté de se justifier et de prou-
Vf^elle esf Prête à faire des propositions
On Se.rend parfaitement compte
serait inflmir^ent préférable d'ajuster
1-s n!'l.tus c(e 110 des deux gouvernements
principalement ^téressés. Un projet com-
^mem êl]ors êlre ,communiqué au
^Urrait a'ors être communiqué au
► Maile tePSpresse et les événements
Ve 6tl(le,nt s. La commission des répara-
tions va commencer son examen du rapport
du comité des garanties dans des circons-
tances défavorables. La publication de ce
rapport que l'on s'attendait à voir s'effec-
tuer dès le retour de Berlin dudit comité,
a été ajournée à plusieurs reprises, et il cir-
cule à cet égard les bruits habituels de di-
vergences de vues. Ces divergences se se-
raient produites, croit-on, au sujet des me-
sures de contrôle nécessaires. Il est évident
que des questions de politique sont en jeu,
et si capables que soient les membres de
la commission, il serait plus juste de leur
fournir des directives sur certains points.
Le manque de toute opinion concertée du
côté des alliés rend toute la tâche difficile.
C'est pourquoi on piétine sur place comme
on le fait.
Même à l'heure actuelle, ce rapport n'a
pas été communiqué officiellement à la
commission. Je crois savoir qu'il a été dé-
cidé d'en restreindre la portée et de présen-
ter d'une manière aussi objective que pos-
sible les travaux des trois sous-comités des
recettes et des dépenses, de l'évasion des
capitaux et de la publication des statisti-
ques.. Il y a aussi une section qui s'occupe
de la proposition d'un emprunt forcé, mais,
d'une façon générale, les membres de la
commission se sont tenus strictement dans
le cadre d'un programme limité. — (Du cor-
respondant spécial.)
TIMES, 1.8.
LA NOTE DE LORD BALFOUR (1ER AOUT). —
Nous sommes en mesure de signaler ce ma-
tin deux décisions officielles importantes. Le
gouvernement a fait savoir au premier mi-
nistre français qu'il est disposé à se ren-
contrer ici, le 7 août, avec lui et avec d'au-
tres représentants des gouvernements al-
liés, en vue de discuter la question des ré-
parations telle qu'elle se présente aujour-
d'hui ; et il a décidé en même temps de pu-
blier une note diplomatique à l'adresse, sans
doute des gouvernements alliés et du gou-
vernement des Etats-Unis, note où il ex-
posa son point de vue au sujet des dettes
interalliées par rapport aux réparations et
à la dette britannique envers les Etats-Unis.
Il va sans dire qu'il faut attendre d'avoir
sous les yeux le texte complet de ce docu-
ment avant d'en tirer des conclusions pré-
cises. Par la forme et par le style la note
fera honneur, on n'en saurait douter, au
comte Balfour, ministre des affaires étran-
gères par intérim. Mais si elle doit repro-
duire quant au fond, l'argumentation dont
a fait usage le premier ministre à la Cham-
bre des communes, le 31 mai, il est à crain-
dre qu'elle ne produise une impression peu
faite pour faciliter un prompt règlement soit
du problème des réparations lui-même, soit
de la question connexe des dettes de guerre
interalliées. A ce moment-là, le premier mi-
nistre rejetait comme inadmissible l'idée
que la Grande-Bretagne pût renoncer à ses
créances sur d'autres pays, tout en payant
sa propre dette envers les Etats-Unis. En
un mot il n'admettait la remise ou la modi-
fication de nos créances qu'à la condition
qu'il nous fût concédé un « avantage au
moins égal à celui que nous sommes dis-
posés à accorder ». Si la note de lord Bal-
four maintient cette thèse, les chances
d'une amélioration de la situation risquent
fort d'être petites.
Depuis dix jours l'existence d'une « note
Balfour » n'est un secret pour personne,
dans les milieux bien informés, où l'on sait
également que la majorité, du cabinet en
avait à plusieurs reprises approuvé l'envoi.
On croyait savoir, toutefois, que certains
ministres influents envisageaient avec une
certaine inquiétude non seulement la poli-
tique définie dans la note, mais l'opportu-
nité de communiquer cette note aux gou-
vernements intéressés avant d'avoir fait un
effort sérieux en vue d'arriver tout au moins
à un accord préliminaire entre les alliés.
Cette inquiétude était partagée, d'ailleurs,
par les milieux influents de la cité de Lon-
dres, dont le cabinet n'a pu ignorer la ma-
nière de voir. Il semble néanmoins que la
décision d'envoyer la note ait été prise la
semaine dernière et confirmée hier. Il ne
reste donc qu'à attendre le texte complet de
ce document, dans l'espoir que les craintes
inspirées par les bruits qui circulent au su-
jet de son contenu ne seront pas justifiées
par les faits. Il n'est pas permis de sup-
poser que les membres du gouvernement
responsables de cette décision aient agi à la
légère et sans en peser de leur mieux les
conséquences. Mais leur responsabilité
n'en est pas moins grande pour cela. La
situation financière et économique de l'Eu-
rope est inquiétante. L'effondrement rapide
du mark constitue simplement un de ses
aspects les plus saillants. En Autriche, la
situation; telle que la décrit aujourd'hui no-
tre correspondant, est encore plus pré-
caire. Il n'est pas possible de prévoir ac-
tuellement les effets qui en résulteront pour
les. échanges britanniques, car ils dépen-
dront, en grande partie, sans doute, de l'at-
titude des Etats-Unis. Il faut espérer que la
note Balfour aura en Amérique une in-
fluence favorable et qu'en tout cas elle ne
fera pas l'objet de jugements précipités.
Mais ce serait manquer de sincérité que de
ne pas dire à quel point nous craignons que
les avertissements modérés, donnés par
nous depuis quelques semaines ne se trou-
vent en partie, sinon entièrement,. justifiés
par l'événement. (Ed.)
TIMES, 1.8.
ht Das
FAInES ÉTRANGÈRES
N° 2118
Mercredi 2 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
"~SE
(V ALLEMANDE. - La chute du mark
elle nadisclie Landes zeitun g).
Les Payements de compensation
(pr n^urter Zeitung Kölnische Volks-
PI 2Pit Ung).
AINF" - Les Etats-Unis et les
dett es interalliées (Public Ledger). —
I e 0mmerce des Etats-Unis dans le
rgclie Orient. (Washington Post).
SSE A'
ittèf SE- - Les réparations et les
s i•n;U,teralliéiefs : le projet français
(fj- |es) ! la note de lord Balfour (Ti-
rnes)
4L- Impressions de Pe-
detbud et (Je Moscou (AlUr'meen Han-
K elsblacl).
SsE < 5 1-,=.
n". SlEDOISE. - Une organisation mo-
Haroh; 1S'e internationale ? (Dagens
yheter).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
ET LES DETTES
^LEES. — LE PROJET FRANÇAIS. —
juillet : L'imbroglio du Proche
A liri UVOtr détourné l'attention de
Orient 1 Oln d'avoir détourné l'~illention tle
'l. W.sti0n des rcparaitions, est considéré
,f' CO 1
Une naison de plus pour que
II}^1-eïni(lS .Histres français et britanni-
V Se rc, 'C^n^ent aussiôtt que possible.
ii C,e 6f lions contraires émises
<~tion~ 'e le, projet français quant aux r&-
Vf fUlX dettfls de guerre, élaboré
t~~(le Partie par M. de Lasteyrie, est
0 de projet nouveau, mais
V de, p-rojet mais
les teIll en ont -été exposés déjà. Ce
projet C a syri<"lll'oniser l'annulation vir-
l'i lettes interalliées et la réduction
Vi.lei^ni?- 'ailklmande. Il a trait à la réa-
t 1, Attribué à la France autant
I:Qi IJ r"ne- On ne se propose pas
ln ail 1,eis propositions fran-
V, à moin l!IUe la France ne se trouve
tQt¡ qU'elle ceSslté de se justifier et de prou-
Vf^elle esf Prête à faire des propositions
On Se.rend parfaitement compte
serait inflmir^ent préférable d'ajuster
1-s n!'l.tus c(e 110 des deux gouvernements
principalement ^téressés. Un projet com-
^mem êl]ors êlre ,communiqué au
^Urrait a'ors être communiqué au
► Maile tePSpresse et les événements
Ve 6tl(le,nt s. La commission des répara-
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du comité des garanties dans des circons-
tances défavorables. La publication de ce
rapport que l'on s'attendait à voir s'effec-
tuer dès le retour de Berlin dudit comité,
a été ajournée à plusieurs reprises, et il cir-
cule à cet égard les bruits habituels de di-
vergences de vues. Ces divergences se se-
raient produites, croit-on, au sujet des me-
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que des questions de politique sont en jeu,
et si capables que soient les membres de
la commission, il serait plus juste de leur
fournir des directives sur certains points.
Le manque de toute opinion concertée du
côté des alliés rend toute la tâche difficile.
C'est pourquoi on piétine sur place comme
on le fait.
Même à l'heure actuelle, ce rapport n'a
pas été communiqué officiellement à la
commission. Je crois savoir qu'il a été dé-
cidé d'en restreindre la portée et de présen-
ter d'une manière aussi objective que pos-
sible les travaux des trois sous-comités des
recettes et des dépenses, de l'évasion des
capitaux et de la publication des statisti-
ques.. Il y a aussi une section qui s'occupe
de la proposition d'un emprunt forcé, mais,
d'une façon générale, les membres de la
commission se sont tenus strictement dans
le cadre d'un programme limité. — (Du cor-
respondant spécial.)
TIMES, 1.8.
LA NOTE DE LORD BALFOUR (1ER AOUT). —
Nous sommes en mesure de signaler ce ma-
tin deux décisions officielles importantes. Le
gouvernement a fait savoir au premier mi-
nistre français qu'il est disposé à se ren-
contrer ici, le 7 août, avec lui et avec d'au-
tres représentants des gouvernements al-
liés, en vue de discuter la question des ré-
parations telle qu'elle se présente aujour-
d'hui ; et il a décidé en même temps de pu-
blier une note diplomatique à l'adresse, sans
doute des gouvernements alliés et du gou-
vernement des Etats-Unis, note où il ex-
posa son point de vue au sujet des dettes
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à la dette britannique envers les Etats-Unis.
Il va sans dire qu'il faut attendre d'avoir
sous les yeux le texte complet de ce docu-
ment avant d'en tirer des conclusions pré-
cises. Par la forme et par le style la note
fera honneur, on n'en saurait douter, au
comte Balfour, ministre des affaires étran-
gères par intérim. Mais si elle doit repro-
duire quant au fond, l'argumentation dont
a fait usage le premier ministre à la Cham-
bre des communes, le 31 mai, il est à crain-
dre qu'elle ne produise une impression peu
faite pour faciliter un prompt règlement soit
du problème des réparations lui-même, soit
de la question connexe des dettes de guerre
interalliées. A ce moment-là, le premier mi-
nistre rejetait comme inadmissible l'idée
que la Grande-Bretagne pût renoncer à ses
créances sur d'autres pays, tout en payant
sa propre dette envers les Etats-Unis. En
un mot il n'admettait la remise ou la modi-
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qu'il nous fût concédé un « avantage au
moins égal à celui que nous sommes dis-
posés à accorder ». Si la note de lord Bal-
four maintient cette thèse, les chances
d'une amélioration de la situation risquent
fort d'être petites.
Depuis dix jours l'existence d'une « note
Balfour » n'est un secret pour personne,
dans les milieux bien informés, où l'on sait
également que la majorité, du cabinet en
avait à plusieurs reprises approuvé l'envoi.
On croyait savoir, toutefois, que certains
ministres influents envisageaient avec une
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nité de communiquer cette note aux gou-
vernements intéressés avant d'avoir fait un
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à un accord préliminaire entre les alliés.
Cette inquiétude était partagée, d'ailleurs,
par les milieux influents de la cité de Lon-
dres, dont le cabinet n'a pu ignorer la ma-
nière de voir. Il semble néanmoins que la
décision d'envoyer la note ait été prise la
semaine dernière et confirmée hier. Il ne
reste donc qu'à attendre le texte complet de
ce document, dans l'espoir que les craintes
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par les faits. Il n'est pas permis de sup-
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responsables de cette décision aient agi à la
légère et sans en peser de leur mieux les
conséquences. Mais leur responsabilité
n'en est pas moins grande pour cela. La
situation financière et économique de l'Eu-
rope est inquiétante. L'effondrement rapide
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aspects les plus saillants. En Autriche, la
situation; telle que la décrit aujourd'hui no-
tre correspondant, est encore plus pré-
caire. Il n'est pas possible de prévoir ac-
tuellement les effets qui en résulteront pour
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dront, en grande partie, sans doute, de l'at-
titude des Etats-Unis. Il faut espérer que la
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fera pas l'objet de jugements précipités.
Mais ce serait manquer de sincérité que de
ne pas dire à quel point nous craignons que
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