Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 juillet 1922 28 juillet 1922
Description : 1922/07/28 (T21,N2114). 1922/07/28 (T21,N2114).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217081k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
FINISTÈRE
r Dits
■^KES ÉTRANGÈRES
N° 2114
Vendredi 28 juillet 1922
Presse Etrange%re
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions. intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
; SOMMAIRE
ALLEMANDE. — L'admission de l'Al-
emagne dans la Société des nations
Joseph Bayer dans Berliner Bôrsen
Courier). — La politique française en
oaviëre : les motifs du jugement Leo-
frechting (Otto Hoetzsch dans Kreuz-
t ltung, Mûnchen Neueste Nachrich-
ten).
P ntsSE:
E AMÉRICAINE. — Le prix de la vie aux
I ftlats-Unis (New York Evening Post).
ntSSE ANGLAISE. — Le voyage de M. Poin-
té a Londres (Times, Daily Tele-
dNews, Daily Mail). - La
tte de la France envers la Grande
retagne (Daily Herald). — Les résul-
s de la conférence de La Haye
JrQtfV Chronicle. — Le conflit entre la
avière et le Reich (Times).
'-----
POLITIQUE GENERALE
*
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
1
f'1 DE L'ALLEMAGNE. -
la lesse, Il d
e a^emande continue à s'occuper de
Q 9»/edc/-°n de l'entrée de l'Allemagne dans
Soc w des nations, tantôt l'envisageant
me Ca esirablei ■ tantôt l'ajournant, met-
c üuzo. >' D ,
«H toi,-°Ul's pour condition qu'une place
e le lui serait attribuée : qu'elle au-
en trée au, conseil. L'article suivant du
il -..jOr Courier représente bien la
moyenne de l'opinion. II
On e J de l'opinion.
1 opinion.
de Londres qu'à la réunion pro-
l- e
?U CO Londres qu'à la réunion pro.
~~sion d nS;Il de la Société, la question de
ession ell Allemagne à la Société sera po-
des Q'r p A n, non officiellement, mais par
leterre non ôfficiellement rnais Par
Ileci ri;!fns confidentielles. La question est
gus le dans la presse anglaise et
re Que de Cette accession. On sait en An-
D Ue Perspective n'éveille pas beau-
F>ortJmsme eu Allemagne, car, disait
'enau1' \n„mc?gne avec la Société « n'ont été
MiaVci qu'im^ longue suite d'injustices et d hu-
VmSat*e d se souvient d'Eupen, Malmédy,
111 v r cecler à la politique, et pour les
Vu^tes il est ërave que des hommes com-
^^PaM^te Rnstorff' Schacking et Dernburg
Sller'nent , et Dernburg
appartiennent à a K ligue allemande pour la
le e es rLELtions » qui travaille à préparer
Le Illrée, IOns») qui travaille à préparer
point de v atiquel ils se placeiit est
t^ j l' qeeessio VUe auquel ils se placent est
û).. ~cees 11 de l'Allemagne doit se pro-
duire dans des conditions qui lui assurent
une situation digne à l'intérieur de cet or-
ganisme et ceci donne l'assurance qu'une
influence capitale sur les futures décisions
de la Société lui sera reconnue dans les af-
faires qui nous intéressent. On compte sur-
tout, dans ces milieux, que l'Allemagne
aura çtiisvi'ôà un siège dans le conseil de la
Société, ce qui est très important parce
que, d'après l'article 6 des statuts, l'unani-
mité est nécessaire dans les décisions du
conseil comme dans celles de l'assemblée.
Il n'y a que deux objections à cette
exception : d'abord l'octroi immédiat d'un
siège au conseil n'est nullement assuré,
ensuite il est douteux que la situation in-
ternationale de l'Allemagne soit véritable-
ment fortifiée par le rôle d'opposant qu'elle
devrait forcément prendre. Des politiques
d'esprit rassis se demandent d'ailleurs si
l'Allemagne ne ferait pas mieux de voir se
dérouler les choses avant de prendre une
décision.
Il faudrait attendre la transformation de
la Société actuelle grâce à l'accession des
Etats qui y manquent : Etats-Unis, Russie,
Argentine. Il y a encore une autre consi-
dération : une requête allemande d'admis-
sion suppose la certitude d'un consente-
ment. Il faut pour cela le consentement des
deux tiers de l'assemblée et qu'il soit acquis
que la puissance admise offre une garantie
efficace de ses intentions d'observer ses
obligations internationales. Or il est connu
que la France reste hostile à l'admission de
l'Allemagne, et l'on peut s'imaginer que le
gouvernement français qui ne pense qu'à
établir le manquement volontaire de l'Alle-
magne, cherchera à exploiter les clauses
sus-nommées. On peut donc rester d'opi-
nion différente sur l'opportunité d'ouvrir
ces discussions. Notre attitude jusqu'ici et
la logique des choses parlent pour une réu-
nion bienveillante de l'assemblée de la So-
ciété, mais quelles preuves de bienveillance
nous a "Î>M ées jusqu'ici la, Société des na-
tions. — Joseph Bayer.
BERLINER BOERSEN COURIER,
25.7 soir.
——— ———
LES RÉPARATIONS
LE VOYAGE DE M. POINCARE A LON-
DRES. — De Paris, 25 juillet : Bien qu'on
admette que, dans une certaine mesure, la
date exacte de la visite de M. Poincaré à
Londres dépende de la crise ministérielle
italienne, on estime à Paris que, dans le
cas même où la discussion des questions
dans laquelle l'Italie est directement inté-
ressée ne pourrait pas être immédiatement
abordée, des conversations devraient néan-
moins utilement s'engager entre M. Lloyd
George et M. Poincaré.
La commission des réparations paraît dis-
posée à attendre le résultat des entretiens
de Londres, conformément au point de vue
britannique, que les Français sont disposés
à accepter.
L'opinion française considère comme de
plus en plus indispensable le recours à des
opérations de crédit. Il est grand temps que
la France puisse envisager le moment où
elle sera soulagée des charges financières
dont on ne soupçonne pas, même à l'heure
actuelle, du côté britannique, tout le poids.
Les travaux du comité des banquiers
n'ont pas été inutiles puisqu'ils ont fait
ressortir, avec une clarté suffisante, les
conditions préliminaires d'un emprunt. Par-
mi ces conditions, figurent la réduction des
obligations de l'Allemagne et l'annulation
des dettes interalliées. Il est bon de se rap-
peler qu'il s'agit là de termes commodes,
mais seulement approximatifs. Il n'est pas
nécessaire que les charges de l'Allemagne,
en capital, soient réduites ; la réduction des
versements annuels, durant une période
d'années suffisante, peut, procurer le même
résultat. Ce n'est pas non plus une revision
des dettes que la France a nécessairement
en vue. Avec un plus grand souci des nuan-
ces, l'acceptation par la Grande-Bretagne
de bons C en paiement, ne se confondrait
pas, du point de vue de la France, avec une
annulation de sa dette accordée par charité.
L'espoir, l'objectif ultime de la France
est. de recueillir la plus large part du pro-
duit d'un emprunt international, assis sur
es ressources de l'Allemagne ; tout le reste,
— le moratorium, l'annulation des dettes, la
réduction, et le contrôle des finances, —
n'est pour elle qu'un moyen d'atteindre une
fin, l'emprunt. Il importe donc de ne jamais
perdre de vue l'emprunt, et de lui réserver
la première place dans toutes les discus-
sions ; sans lui, tout l'édifice s'écroule. La
première chose qu'il convienne, peut-être,
de faire est de rechercher si l'emprunt est
réalisable et quelle part reviendra à la
France. Si la France ne doit pas recueillir
des sommes importantes toutes les combi-
naisons envisagées des deux côtés du Dé-
troit sont vaines et trompeuses. — (Du cor-
respondant particulier).
TIMES, 26.7.
f ■
- De Paris, 25 juillet : Il est très diffi-
cile d'exposer en termes précis l'attitude
que M. Poincaré prendra à la conférence de
Londres, à propos du problème des répara-
tions. On s'est récemment efforcé de cher-
cher sa pensée dans les instructions adres-
sées à M. Dubois, délégué français à la
commission des réparations. Mais il serait
erroné sans doute de tirer des conclusions
r Dits
■^KES ÉTRANGÈRES
N° 2114
Vendredi 28 juillet 1922
Presse Etrange%re
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions. intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
; SOMMAIRE
ALLEMANDE. — L'admission de l'Al-
emagne dans la Société des nations
Joseph Bayer dans Berliner Bôrsen
Courier). — La politique française en
oaviëre : les motifs du jugement Leo-
frechting (Otto Hoetzsch dans Kreuz-
t ltung, Mûnchen Neueste Nachrich-
ten).
P ntsSE:
E AMÉRICAINE. — Le prix de la vie aux
I ftlats-Unis (New York Evening Post).
ntSSE ANGLAISE. — Le voyage de M. Poin-
té a Londres (Times, Daily Tele-
dNews, Daily Mail). - La
tte de la France envers la Grande
retagne (Daily Herald). — Les résul-
s de la conférence de La Haye
JrQtfV Chronicle. — Le conflit entre la
avière et le Reich (Times).
'-----
POLITIQUE GENERALE
*
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
1
f'1 DE L'ALLEMAGNE. -
la lesse, Il d
e a^emande continue à s'occuper de
Q 9»/edc/-°n de l'entrée de l'Allemagne dans
Soc w des nations, tantôt l'envisageant
me Ca esirablei ■ tantôt l'ajournant, met-
c üuzo. >' D ,
«H toi,-°Ul's pour condition qu'une place
e le lui serait attribuée : qu'elle au-
en trée au, conseil. L'article suivant du
il -..jOr Courier représente bien la
moyenne de l'opinion. II
On e J de l'opinion.
1 opinion.
de Londres qu'à la réunion pro-
l- e
?U CO Londres qu'à la réunion pro.
~~sion d nS;Il de la Société, la question de
ession ell Allemagne à la Société sera po-
des Q'r p A n, non officiellement, mais par
leterre non ôfficiellement rnais Par
Ileci ri;!fns confidentielles. La question est
gus le dans la presse anglaise et
re Que de Cette accession. On sait en An-
D Ue Perspective n'éveille pas beau-
F>ortJmsme eu Allemagne, car, disait
'enau
MiaVci qu'im^ longue suite d'injustices et d hu-
VmSat*e d se souvient d'Eupen, Malmédy,
Vu^tes il est ërave que des hommes com-
^^PaM^te Rnstorff' Schacking et Dernburg
Sller'nent , et Dernburg
appartiennent à a K ligue allemande pour la
le e es rLELtions » qui travaille à préparer
Le Illrée, IOns») qui travaille à préparer
point de v atiquel ils se placeiit est
t^ j l' qeeessio VUe auquel ils se placent est
û).. ~cees 11 de l'Allemagne doit se pro-
duire dans des conditions qui lui assurent
une situation digne à l'intérieur de cet or-
ganisme et ceci donne l'assurance qu'une
influence capitale sur les futures décisions
de la Société lui sera reconnue dans les af-
faires qui nous intéressent. On compte sur-
tout, dans ces milieux, que l'Allemagne
aura çtiisvi'ôà un siège dans le conseil de la
Société, ce qui est très important parce
que, d'après l'article 6 des statuts, l'unani-
mité est nécessaire dans les décisions du
conseil comme dans celles de l'assemblée.
Il n'y a que deux objections à cette
exception : d'abord l'octroi immédiat d'un
siège au conseil n'est nullement assuré,
ensuite il est douteux que la situation in-
ternationale de l'Allemagne soit véritable-
ment fortifiée par le rôle d'opposant qu'elle
devrait forcément prendre. Des politiques
d'esprit rassis se demandent d'ailleurs si
l'Allemagne ne ferait pas mieux de voir se
dérouler les choses avant de prendre une
décision.
Il faudrait attendre la transformation de
la Société actuelle grâce à l'accession des
Etats qui y manquent : Etats-Unis, Russie,
Argentine. Il y a encore une autre consi-
dération : une requête allemande d'admis-
sion suppose la certitude d'un consente-
ment. Il faut pour cela le consentement des
deux tiers de l'assemblée et qu'il soit acquis
que la puissance admise offre une garantie
efficace de ses intentions d'observer ses
obligations internationales. Or il est connu
que la France reste hostile à l'admission de
l'Allemagne, et l'on peut s'imaginer que le
gouvernement français qui ne pense qu'à
établir le manquement volontaire de l'Alle-
magne, cherchera à exploiter les clauses
sus-nommées. On peut donc rester d'opi-
nion différente sur l'opportunité d'ouvrir
ces discussions. Notre attitude jusqu'ici et
la logique des choses parlent pour une réu-
nion bienveillante de l'assemblée de la So-
ciété, mais quelles preuves de bienveillance
nous a "Î>M ées jusqu'ici la, Société des na-
tions. — Joseph Bayer.
BERLINER BOERSEN COURIER,
25.7 soir.
——— ———
LES RÉPARATIONS
LE VOYAGE DE M. POINCARE A LON-
DRES. — De Paris, 25 juillet : Bien qu'on
admette que, dans une certaine mesure, la
date exacte de la visite de M. Poincaré à
Londres dépende de la crise ministérielle
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cas même où la discussion des questions
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ressée ne pourrait pas être immédiatement
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moins utilement s'engager entre M. Lloyd
George et M. Poincaré.
La commission des réparations paraît dis-
posée à attendre le résultat des entretiens
de Londres, conformément au point de vue
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à accepter.
L'opinion française considère comme de
plus en plus indispensable le recours à des
opérations de crédit. Il est grand temps que
la France puisse envisager le moment où
elle sera soulagée des charges financières
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actuelle, du côté britannique, tout le poids.
Les travaux du comité des banquiers
n'ont pas été inutiles puisqu'ils ont fait
ressortir, avec une clarté suffisante, les
conditions préliminaires d'un emprunt. Par-
mi ces conditions, figurent la réduction des
obligations de l'Allemagne et l'annulation
des dettes interalliées. Il est bon de se rap-
peler qu'il s'agit là de termes commodes,
mais seulement approximatifs. Il n'est pas
nécessaire que les charges de l'Allemagne,
en capital, soient réduites ; la réduction des
versements annuels, durant une période
d'années suffisante, peut, procurer le même
résultat. Ce n'est pas non plus une revision
des dettes que la France a nécessairement
en vue. Avec un plus grand souci des nuan-
ces, l'acceptation par la Grande-Bretagne
de bons C en paiement, ne se confondrait
pas, du point de vue de la France, avec une
annulation de sa dette accordée par charité.
L'espoir, l'objectif ultime de la France
est. de recueillir la plus large part du pro-
duit d'un emprunt international, assis sur
es ressources de l'Allemagne ; tout le reste,
— le moratorium, l'annulation des dettes, la
réduction, et le contrôle des finances, —
n'est pour elle qu'un moyen d'atteindre une
fin, l'emprunt. Il importe donc de ne jamais
perdre de vue l'emprunt, et de lui réserver
la première place dans toutes les discus-
sions ; sans lui, tout l'édifice s'écroule. La
première chose qu'il convienne, peut-être,
de faire est de rechercher si l'emprunt est
réalisable et quelle part reviendra à la
France. Si la France ne doit pas recueillir
des sommes importantes toutes les combi-
naisons envisagées des deux côtés du Dé-
troit sont vaines et trompeuses. — (Du cor-
respondant particulier).
TIMES, 26.7.
f ■
- De Paris, 25 juillet : Il est très diffi-
cile d'exposer en termes précis l'attitude
que M. Poincaré prendra à la conférence de
Londres, à propos du problème des répara-
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