Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 juillet 1922 27 juillet 1922
Description : 1922/07/27 (T21,N2113). 1922/07/27 (T21,N2113).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170805
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
l
l' DBS
's ÉTRANGÈRES
-
i-
N 2113
Jeudi 27 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
J{F.SSF: ALLEMANDE. - La situation de l'Eu-
rope : un air-tic-le, de M. Nitti (Berliner
TU.9 eblcltt). — Le conflit. entre la Ba-
Vlètt'e et le Rcich (Franh-furler Zeitung),
LTSSO; AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et la
reconstruclion Üe l'Europe (Chicago
Daiiy News), - La conférence de La
Paye (New^ York Tribune), -r- L'infla-
'°n mon'éUi ire en Allemagne (New Y orh
'b
tribune). 1- L'armée japonaise (Boston
J?jcnmg( Transcript).
.,
SE AISGIjAISE- - L'admission de l'Alle-
v!agne dans la Société des nations : un
^iscours de. M. Fisher, (Daily Chronicle,
estmiru;f.er Gazette).
P.Es
p~ '~SE ESPAGNOLE. - La rupture de la con-
férence de La Haye (comte de Torre-
fyp- elez dans Acc^on)- *
E HOLLANMISE. — La réunion des .ré-
P(. UbJicili. ns rhénans à Aix-la-Chapelle
btx. ypels dans Algemeeii Handels
ad). —— ——— ) ——————
'----
Po LUI QUE. GENERALE
1.
t'a OCIÉTÉ DES NATIONS
q,])ilv.[IS
ION DE L'ALLEMAGNE. -
]C¡¡l OOp,
Il' el1J.utlon':::i DE M. FISHER au 22e congrès
international de la paix {'25 juillet). - Rien
US ^'oitinie ■ que les déclarations
faite par Eisïiçr an congrès internatio-
de la paix- M. Fiellier a revend-iquépour
qq t'O ltiq el '1:1. 116 leI' a l'BVen -lqUe.,POUI
la politique britannique le mérite d'avoir
assentiel, ~-' des siècles comme objectif
6 lîUlintien de la paix ; il a ajouté
i ^'étvi1 toujours là le but principal de
joué Par et qUic lorsque, le {")le
'gl¡ arinA^1' diplomatie britan pique durant
les années IritiqLtes qui précédèrent la
e,raJt
lstoire (. examiné par l'œil impartial
t,v 6 »,' on errait, que « l'influence
Iliquo s,est constamment exercée en
faveur exercée en
tin eti ï^dération »■ ..■
\.le la. ni -- ,-,vu..,;nu.uuu,-"uv ----
Il en est des nations comme des indivi- ».',
Rations commp des i. ndi•vi-
irn^s d"après leurs paroles que
®a,ctcs qiiii faut juger de leurs
^c^oxis /.611 n'f'st plus éloquent que le
<~i~ effectua spontanément-par la
effectué spoiitanément par la
l'a dit encore (M. après la guerre. comme
1
« après. avoir créé
un instrument militaire, comparable par
de vue des Cc numh'iqt1p 'fI\' éga1 rlu point
Ce numérique rt égal du poim.
Perfectionnements techniques l:l
l'armée obligatoire la plus formidable du
cuntinent, nous l'avons délibérement réduit
en pièces, dès que notre objectif a été
atteint ». Si des mesures comparables, nous
ne disons pas identiques, aivaient été prises
sur le continent par les nations auxquelles
les traités n'imposaient pas de dés.aaTIler
nous n'assisterions pas aujourd'hui au
spectacle lamentable uun monde, qui 'con-
serve sous les armes, après la guerre,
autant d'hommes. qu'avant les hostilités.
L'attitude du gouvernement britannique
prouve au moins la parfaite sincérité de ses
intentions lorsqu'il propose, dans l'intérêt
de la paix, des mesures déterminées. C'est
le cas notamment pour le projet d'interdic-
tion complète des sous-marins, qu'il a pré-
sente à Washington et auquel il ne cesse
d'adhérer.
En ce qui concerne les règlements desti-
nés. à donner à la guerre un caractère plus
« humain », nouis nous bornerons à une re-
marque. Lorsque ces règlements prennent
la forme d'accords, internationaux que les
signataires s'engagent seulement à obser-
ver, et non pas à faire respecter, leur valeur
est purement illusoire. Il suffit d'un. seu)
belligérant déloyal pour faire effondrer le.
système à la façon d'un château de cartes,
comme l'Allemagne la fait à l'égard des
règlements de La Haye durant la der-
nière guerre. Personne, comme l'a dit. lora
Balfour, dans un discours, mémorable, n'a p
désir de renouveler l'expérience. Il fau.
donc établir des règlements que les sian-i-
taires s'engagent à la fois à. observer et à
faire respecter par ceux qui y porteraient
atteinte. Cette conception suppose dans ,3
pratique l'intervention d'une institution itva-
logue ù la Société des nations. Tous les
amis de la paix roivenf donc travailler a
consolider la Société. Nous sommes heu-
reux que M. Fisher ait déclaré expressé-
ment. au nom du gouvernement britannique
notre désir de voir l'Allemagne présenter
dès cette année sa demanda d admission
dans la Société, il serait regrettable en
effet qu'au cours de la prochaine tentative
destinée à placer les relations de l'Allema-
gne avec ses anciens ennemis sur une base
Sis pratique et plus stable, cette impor-
tante contribution à la solidarité de l'Europe
fftt omise. - (Ed.) ,.
DAILY CHRONICLE, 26.7.
- On ne peut s'empêcher de penser au
proverbe, « l'enfer est pavé de bonnes in-
tentions », lorsqu'on médit4u les admirables,
déclarations faites hier par M. Fisher au
22e congrès initernatonal de la paix. Le
conseil de la Société des nations n'a pas été
saâué à Tendres, par le premier ministre,
et le -congrès (intpnùntional de la paix a été
aussi privé de sa présence.M. Lloyd George
veut que nous connaissions .la profonde
sympathie qu'il éprouve pour ces deux ins-
titutions, maiis il est sans doute trop occu-
pé pour se rendre en personne à leurs
séances. Les paroles dignes d'éloges de M.
Fisher sur les intentions du gouvernement
britannique ne réussissent pas à nous con-
vaincre outre mesure, lorsque mous remar-
quons que le cbeif du gouvernement n'a pas
trouvé lettemps, de les prononcer lui-même.
Nous apprenons par exemple qu'il est
ci dans le désir du gouvernement britanni-
que que l'Allemagne puisse présenter dès
cette année sa demande d'admission dans
la Société des naltiops ». Notre gouverne-
ment a fini par se convaincre qu'il « n'est
pas bon que le monde soit divisé eh deux
camps, celui des vainqueurs et lëe "lui des
vaincus.» Mais cette abjuration des erreurs
de l'élection khaki vient un peu tard, et il
n'est "pas sûr encore que le gouvernement
soit disposé à payer le prix d'une politique
de réconciliation. Il-n'y a aucun doute que
l'entrée de l'Allemagne dans la Société
aurait pu, être assurée dès l'an passé, si
le premier ministre ne s'était pas engagé
aussi bien que le président du conseil, fran-
çais, à obtenir de l'Allemagne le payement
de sommes considérables. M. Lloyd George
a cherché sans doute à faire accepter par la
France une diminution importante des som-
mes réclamées à l'Allemagne ; mais il n'a
(cessé en même ,temps d'exiger de1 la
France le remboursement des avances faites
durant la guerre, ,si bien qu'en cherchant à
réduire le total des réparations, il aboutis-
sait à demander à 'la France l'abandon de
l'argent dont elle a le plus pressant, besoin.
Nous préférerions voir notre gouverne-
ment agir, plutôt que de nous convier à un
déploiement de belles paroles. L'Allemagne
pourrait être admise aisément dans la So-
ciété des nations et même recevoir un siège
au conseil si le gouvernement britannique
mettait le prix nécessaire. Les objections
de la France ne seront pas insurmontables,
si nous accordons à ses besoins l'attention
qu'ils méritent. Si nous pouvons inaugu-
rer une véritable politique de paix en sacri-
fiant des illusions financières désormais
périmées, il est déraisonnable de perdre du
temps. C'est cette initiative que nous atten-
dons de notre gouvernement, bien plus que
d'harmonieuses périodes. — (Ed,)
WESTMINSTER GAZETTE, 26.7.
——-
LES RÉPARATIONS
LA SITUATION DE L'EUROPE -
UN ARTICLE DE MI NrITf. - Sous le titre :
« Deux conception et deux systèmes dans
la politique européenne ». - Aussitôt après
la guerre apparut, le conflit de principe qui
divise les Etats, victorieux de l'Europe :
l
l' DBS
's ÉTRANGÈRES
-
i-
N 2113
Jeudi 27 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
J{F.SSF: ALLEMANDE. - La situation de l'Eu-
rope : un air-tic-le, de M. Nitti (Berliner
TU.9 eblcltt). — Le conflit. entre la Ba-
Vlètt'e et le Rcich (Franh-furler Zeitung),
LTSSO; AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et la
reconstruclion Üe l'Europe (Chicago
Daiiy News), - La conférence de La
Paye (New^ York Tribune), -r- L'infla-
'°n mon'éUi ire en Allemagne (New Y orh
'b
tribune). 1- L'armée japonaise (Boston
J?jcnmg( Transcript).
.,
SE AISGIjAISE- - L'admission de l'Alle-
v!agne dans la Société des nations : un
^iscours de. M. Fisher, (Daily Chronicle,
estmiru;f.er Gazette).
P.Es
p~ '~SE ESPAGNOLE. - La rupture de la con-
férence de La Haye (comte de Torre-
fyp- elez dans Acc^on)- *
E HOLLANMISE. — La réunion des .ré-
P(. UbJicili. ns rhénans à Aix-la-Chapelle
btx. ypels dans Algemeeii Handels
ad). —— ——— ) ——————
'----
Po LUI QUE. GENERALE
1.
t'a OCIÉTÉ DES NATIONS
q,])ilv.[IS
ION DE L'ALLEMAGNE. -
]C¡¡l OOp,
Il' el1J.utlon':::i DE M. FISHER au 22e congrès
international de la paix {'25 juillet). - Rien
US ^'oitinie ■ que les déclarations
faite par Eisïiçr an congrès internatio-
de la paix- M. Fiellier a revend-iquépour
qq t'O ltiq el '1:1. 116 leI' a l'BVen -lqUe.,POUI
la politique britannique le mérite d'avoir
assentiel, ~-' des siècles comme objectif
6 lîUlintien de la paix ; il a ajouté
i ^'étvi1 toujours là le but principal de
joué Par et qUic lorsque, le {")le
'gl¡ arinA^1' diplomatie britan pique durant
les années IritiqLtes qui précédèrent la
e,raJt
lstoire (. examiné par l'œil impartial
t,v 6 »,' on errait, que « l'influence
Iliquo s,est constamment exercée en
faveur exercée en
tin eti ï^dération »■ ..■
\.le la. ni -- ,-,vu..,;nu.uuu,-"uv ----
Il en est des nations comme des indivi- ».',
Rations commp des i. ndi•vi-
irn^s d"après leurs paroles que
®a,ctcs qiiii faut juger de leurs
^c^oxis /.611 n'f'st plus éloquent que le
<~i~ effectua spontanément-par la
effectué spoiitanément par la
l'a dit encore (M. après la guerre. comme
1
« après. avoir créé
un instrument militaire, comparable par
de vue des Cc numh'iqt1p 'fI\' éga1 rlu point
Ce numérique rt égal du poim.
Perfectionnements techniques l:l
l'armée obligatoire la plus formidable du
cuntinent, nous l'avons délibérement réduit
en pièces, dès que notre objectif a été
atteint ». Si des mesures comparables, nous
ne disons pas identiques, aivaient été prises
sur le continent par les nations auxquelles
les traités n'imposaient pas de dés.aaTIler
nous n'assisterions pas aujourd'hui au
spectacle lamentable uun monde, qui 'con-
serve sous les armes, après la guerre,
autant d'hommes. qu'avant les hostilités.
L'attitude du gouvernement britannique
prouve au moins la parfaite sincérité de ses
intentions lorsqu'il propose, dans l'intérêt
de la paix, des mesures déterminées. C'est
le cas notamment pour le projet d'interdic-
tion complète des sous-marins, qu'il a pré-
sente à Washington et auquel il ne cesse
d'adhérer.
En ce qui concerne les règlements desti-
nés. à donner à la guerre un caractère plus
« humain », nouis nous bornerons à une re-
marque. Lorsque ces règlements prennent
la forme d'accords, internationaux que les
signataires s'engagent seulement à obser-
ver, et non pas à faire respecter, leur valeur
est purement illusoire. Il suffit d'un. seu)
belligérant déloyal pour faire effondrer le.
système à la façon d'un château de cartes,
comme l'Allemagne la fait à l'égard des
règlements de La Haye durant la der-
nière guerre. Personne, comme l'a dit. lora
Balfour, dans un discours, mémorable, n'a p
désir de renouveler l'expérience. Il fau.
donc établir des règlements que les sian-i-
taires s'engagent à la fois à. observer et à
faire respecter par ceux qui y porteraient
atteinte. Cette conception suppose dans ,3
pratique l'intervention d'une institution itva-
logue ù la Société des nations. Tous les
amis de la paix roivenf donc travailler a
consolider la Société. Nous sommes heu-
reux que M. Fisher ait déclaré expressé-
ment. au nom du gouvernement britannique
notre désir de voir l'Allemagne présenter
dès cette année sa demanda d admission
dans la Société, il serait regrettable en
effet qu'au cours de la prochaine tentative
destinée à placer les relations de l'Allema-
gne avec ses anciens ennemis sur une base
Sis pratique et plus stable, cette impor-
tante contribution à la solidarité de l'Europe
fftt omise. - (Ed.) ,.
DAILY CHRONICLE, 26.7.
- On ne peut s'empêcher de penser au
proverbe, « l'enfer est pavé de bonnes in-
tentions », lorsqu'on médit4u les admirables,
déclarations faites hier par M. Fisher au
22e congrès initernatonal de la paix. Le
conseil de la Société des nations n'a pas été
saâué à Tendres, par le premier ministre,
et le -congrès (intpnùntional de la paix a été
aussi privé de sa présence.M. Lloyd George
veut que nous connaissions .la profonde
sympathie qu'il éprouve pour ces deux ins-
titutions, maiis il est sans doute trop occu-
pé pour se rendre en personne à leurs
séances. Les paroles dignes d'éloges de M.
Fisher sur les intentions du gouvernement
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vaincre outre mesure, lorsque mous remar-
quons que le cbeif du gouvernement n'a pas
trouvé lettemps, de les prononcer lui-même.
Nous apprenons par exemple qu'il est
ci dans le désir du gouvernement britanni-
que que l'Allemagne puisse présenter dès
cette année sa demande d'admission dans
la Société des naltiops ». Notre gouverne-
ment a fini par se convaincre qu'il « n'est
pas bon que le monde soit divisé eh deux
camps, celui des vainqueurs et lëe "lui des
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de l'élection khaki vient un peu tard, et il
n'est "pas sûr encore que le gouvernement
soit disposé à payer le prix d'une politique
de réconciliation. Il-n'y a aucun doute que
l'entrée de l'Allemagne dans la Société
aurait pu, être assurée dès l'an passé, si
le premier ministre ne s'était pas engagé
aussi bien que le président du conseil, fran-
çais, à obtenir de l'Allemagne le payement
de sommes considérables. M. Lloyd George
a cherché sans doute à faire accepter par la
France une diminution importante des som-
mes réclamées à l'Allemagne ; mais il n'a
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sait à demander à 'la France l'abandon de
l'argent dont elle a le plus pressant, besoin.
Nous préférerions voir notre gouverne-
ment agir, plutôt que de nous convier à un
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ciété des nations et même recevoir un siège
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mettait le prix nécessaire. Les objections
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si nous accordons à ses besoins l'attention
qu'ils méritent. Si nous pouvons inaugu-
rer une véritable politique de paix en sacri-
fiant des illusions financières désormais
périmées, il est déraisonnable de perdre du
temps. C'est cette initiative que nous atten-
dons de notre gouvernement, bien plus que
d'harmonieuses périodes. — (Ed,)
WESTMINSTER GAZETTE, 26.7.
——-
LES RÉPARATIONS
LA SITUATION DE L'EUROPE -
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la politique européenne ». - Aussitôt après
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