Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 juillet 1922 21 juillet 1922
Description : 1922/07/21 (T21,N2108). 1922/07/21 (T21,N2108).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217075v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
D la f3
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N" 2108
Vendredi 21 Juillet 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article.
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
[)nESSE ALLEMANDE. — L'admission de l'Al-
lemagne dans la Société des nations
(Dl' Karl Maser dans Germania ; Dr
ritz Klein dans Deutsche Allgemeine
Zeitung ; général von Deimling dans
,1 runlilu^ler Zeitung).
IIH'SSE d 1 - S ,
ANGLAISE. — Le conseil de la Socié-
té des nations et les mandats (Times,
iïtiihj TelegrUlph). — Réparations et
dettes interalliées Westminster (;a-
zette). - Le voyage de M. Poincaré à
Londres : la note du Président du con-
s.eil à sir Milne Cheetham (Times). —
La rupture de la conférence de La
}j Haye (Times).
rU':SSE ITALIENNE. — Les .préliminaires de
la crise ministérielle (Corriere della
f.erai Secolo Stampa, Giornale d'ita-
la, Tempo.
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
ON DE L'ALLEMAGNE. -
des iournaux allemands du 19
tle
l'oeea la°ne dans 1(1 Société des Hatiuns, Ù
la de, la,
Sbcieté le la 1'l'IU/.iOlI. (//1. (,lInsl~II de la
<À ]'0nd>'cs et en prérisiop de l'As-
serribr 'e générale annuelle qui doit avoir
(iaris huit semaines.
Le Dr k
04VKarl Maser dans la Germania
(1 e les 1 S 't
les mur lesquelles la Société
"QIILie 1 ,Ii ne iouit. pas d'une grande sym-
bl' ( an.
Paihie ?ns le peuple allemand ; un l'fi. a
aleinert.1 éloigné VAllemagne, et dans
'Htp S^otls soumises à son instance, la
Sest,t ~t~t~rce «)). ~~s-!°c^é l 6*1 louiuul's montrée un inslnmwnt
ile a mains de l'Entente.
sion au.cun el , '1
Vs SUCUn- doute, dès le début, l'exclu-
N d ne llernagne et les conditions mises
"Yin "'ces" sont. apparues comme peu
accessiol-1 sont, apparues comme peu
Pit i(lue S et peu utiles à une partie des
p etIibres .e la Société. Mais maintenant,
mrv, e ql' ont collaboré à cette deci-
son -, Il ont tollabo,ré à cette l'CI-
^ouv. f!ent que l'Allemagne demande
,,¡¡SIOn Nous nous appuyons sur
Nous nous appuyons sur
anoi de Presse étl'l8ngère - notam-
q nt 6Ltlglais e- et sur des déclarations
fli et, s îouaint un rôle important
a IC% Cleté.
'C1? qu^elUcouP voient le danger qui me:
été PrIvée du concours d'Etats aussi
^ts que les Etats-Unis, la Russie et, l'Al-
Dains son discours du 25 juin, le chancelier
Wirth a rappelé qu'à Gènes Lloyd George
lui avait demandé son opinion sur la So-
ciété des nations. Il lui a répondu qu'il était
un ami de la Société, mais que si l'on vou-
lait acclimater l'idée de la Société en Alle-
magne pour le moment après la. décision
sur la Haute-Silésiia — il n'en fallait pas
parler. Par un singulière coïncidence, le
même jour. 25 juin, Lloyd, George affirmait
dans un discours à Londres qu'il souhaitait
l'accession de tous les peuples dans la So-
ciété. y compris l'Allemagne, la Russie et
les KUits-L'nis, et il ajoutait que le gouver-
nement- anglais plaiderait. ren laveur de l'ac-
cession die l'Allemagne, si celle-ci faisait
une demande.
Quelques semaines auparavant, à Lyon,
un Français tenait un discours qu'on eût
pu prendre pour l'eixpression de la pensée
officielle en France. Cet. orateur, M. Noble-
maire, qui représenta la France à la der-
nière assemblée, se prononçait pour une
entrée conditionnelle de l'Allemagne.
Mais on vit bientôt que le gouvernement
français, et en particulier M. Poincaré, ne
partageait pas les vues de M. Noblemaire.
Huit jours, après le discours de Lloyd
George, le correspondant du Times à Paris,
disait dans une dépêche à son journal qu'il
était autorisé à déclarer que l'attitude du
gouvernement français n'avait pas varié
touchant l'accession de l'Allemagne à la
Société.
L'Allemagne pourrait, réunir, sans la France,
la majorité nécessaire à son admission. Mais sa
situation dans la Société des nations ne serait
alors guère enviable.
Doit-on dans ces conditions préconiser
une demande ? L'Allemagne doit-elle faire
ce que l'Autriche;, la Hongrie et la Bulgarie
ont déjà fait l'an dernier ? Certaines consi-
dérations de politique réaliste parlent en fa-
veur de cette démarche. Insistons seule-
ment sur ce fait que l'Allemagne faisant
partie de la Société aurait là la seule possi-
bilité de demander une protection en faveur
de ses nationaux séparés définitivement ou
temporairement d'elle dans la Sarre, à Eu-
pen et Malmedy, à Dantzig, eh Haute-Silésie,
en Pologne, en Schleswig septentrional, d
de soumettre à la Société le règlement de
certaines questions pendantes entre elle et
In. Pologne, après le règlement de Haute-
Silésie ; peut-être enfin pourrait-elle récu-
pérer en tout ou partie, au titre de mandat,
ses colonies attribuées à l'Angleterre, la
France, la Belgique et le Japon.
Mais convient-il au rang de l'Allemagne
de solliciter une place accordée sans plus
aux Etats les plus petits et les plus insi-
gnifiants ?
o Le clhiffre de sa population, son dévelop-
pement économique et moral ne lui per-
mettent-ils pas de prétendre à un siège' et à
une voix dans le conseil de la Société,
bien plus important que l'Assemblée ? La
réponse à cette question est commandée par
le rôle de grande 'puissance repris par l'Al-
lemagne à Gênes.
Peut-on refuser à l'Allemagne à Genève la
place qu'on lui a donnee à Gênes ? N'est-il
pas vexatoire et illogique de réclamer de
l'Allemagne, après Gênes, qu'elle mendie
une place que Liberia et Haïti ont déjà de-
puis 3 ans ? Un peuple ne doit pas s'abais-
ser. L'Allemagne ne peut entrer dans la
Société que si elle est assurée. de devenir
membre permanent du conseil.
Il ne semble pas qu'elle ait, pour le moment.
de g,randes chances d'être acceptée en cette qua-
lité.
Dans ces conditions, l'Allemagne n'a qu'à
attendre. Le temps ne travaille pas contre
nous. Il est certainement regrettable que
notre éloignement de la Société nous empê-
che de faire quelque chose pour nos natio-
naux des pays séparés, mais ce temps vien-
dra. Si les signes ne trompent pas, les
barrières tomberont bientôt. Nous pouvons
et nous devons attendre jusque-là. —
Dr Karl Maser.
GERMANIA, 19.7, matin.
— Cette fière intransigeance est partagée
par la Deutsche Allgemeine Zeitung :
Nous ne croyons pas que le moment
soit propice à une demande d'admission.
C'est le devoir de la diplomatie de sonder
le terrain et d'éclairer l'atmosphère politi-
que. Naturellement, aucun gouvernement
allemand ne pourrait se contenter, d'une
place comme celle accordée à des « mem-
bres originaires » comme le Honduras, Li-
beria et Haïti. Nous sommes le plus grand
peuple d'Europe — si l'on considère les Rus-
ses comme un peuple asiatique — et seule'
une place d'égalité parfaite nous convient.
Notre demande ne doit être soumise à au-
cune condition ni vote. — Dr Fritz Klein.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
19.7, matin.
— La Frankfurter Zeitung, au contraire,
expose, sous la plume du général von Deim-
ling, les raisons qui militent en faveur de
Vaccession :
D'abord l'Allemagne sera mieux à même de
défendre son droit et ses intérêts.
Elle pourra parler de Dantzig, de la Sarre et
des colonies.
Mais voici la raison principale : en en-
trant dans 'la Société nous pourrons démon-
trer que la méfiance qu'on nous témoigne
est injustifiée et que nous sommes vraiment
disposés à collaborer avec le reste de l'Eu-
rope. Notre accession éveillerait la con-
fiance, nocre refus la défiance, Or noue
D la f3
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N" 2108
Vendredi 21 Juillet 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article.
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
[)nESSE ALLEMANDE. — L'admission de l'Al-
lemagne dans la Société des nations
(Dl' Karl Maser dans Germania ; Dr
ritz Klein dans Deutsche Allgemeine
Zeitung ; général von Deimling dans
,1 runlilu^ler Zeitung).
IIH'SSE d 1 - S ,
ANGLAISE. — Le conseil de la Socié-
té des nations et les mandats (Times,
iïtiihj TelegrUlph). — Réparations et
dettes interalliées Westminster (;a-
zette). - Le voyage de M. Poincaré à
Londres : la note du Président du con-
s.eil à sir Milne Cheetham (Times). —
La rupture de la conférence de La
}j Haye (Times).
rU':SSE ITALIENNE. — Les .préliminaires de
la crise ministérielle (Corriere della
f.erai Secolo Stampa, Giornale d'ita-
la, Tempo.
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
ON DE L'ALLEMAGNE. -
des iournaux allemands du 19
tle
l'oeea la°ne dans 1(1 Société des Hatiuns, Ù
la de, la,
Sbcieté le la 1'l'IU/.iOlI. (//1. (,lInsl~II de la
<À ]'0nd>'cs et en prérisiop de l'As-
serribr 'e générale annuelle qui doit avoir
(iaris huit semaines.
Le Dr k
04VKarl Maser dans la Germania
(1 e les 1 S 't
les mur lesquelles la Société
"QIILie 1 ,Ii ne iouit. pas d'une grande sym-
bl' ( an.
Paihie ?ns le peuple allemand ; un l'fi. a
aleinert.1 éloigné VAllemagne, et dans
'Htp S^otls soumises à son instance, la
Sest,t ~t~t~rce «)). ~~s-!°c^é l 6*1 louiuul's montrée un inslnmwnt
ile a mains de l'Entente.
sion au.cun el , '1
Vs SUCUn- doute, dès le début, l'exclu-
N d ne llernagne et les conditions mises
"Yin "'ces" sont. apparues comme peu
accessiol-1 sont, apparues comme peu
Pit i(lue S et peu utiles à une partie des
p etIibres .e la Société. Mais maintenant,
mrv, e ql' ont collaboré à cette deci-
son -, Il ont tollabo,ré à cette l'CI-
^ouv. f!ent que l'Allemagne demande
,,¡¡SIOn Nous nous appuyons sur
Nous nous appuyons sur
anoi de Presse étl'l8ngère - notam-
q nt 6Ltlglais e- et sur des déclarations
fli et, s îouaint un rôle important
a IC% Cleté.
'C1? qu^elUcouP voient le danger qui me:
été PrIvée du concours d'Etats aussi
^ts que les Etats-Unis, la Russie et, l'Al-
Dains son discours du 25 juin, le chancelier
Wirth a rappelé qu'à Gènes Lloyd George
lui avait demandé son opinion sur la So-
ciété des nations. Il lui a répondu qu'il était
un ami de la Société, mais que si l'on vou-
lait acclimater l'idée de la Société en Alle-
magne pour le moment après la. décision
sur la Haute-Silésiia — il n'en fallait pas
parler. Par un singulière coïncidence, le
même jour. 25 juin, Lloyd, George affirmait
dans un discours à Londres qu'il souhaitait
l'accession de tous les peuples dans la So-
ciété. y compris l'Allemagne, la Russie et
les KUits-L'nis, et il ajoutait que le gouver-
nement- anglais plaiderait. ren laveur de l'ac-
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une demande.
Quelques semaines auparavant, à Lyon,
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nière assemblée, se prononçait pour une
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Mais on vit bientôt que le gouvernement
français, et en particulier M. Poincaré, ne
partageait pas les vues de M. Noblemaire.
Huit jours, après le discours de Lloyd
George, le correspondant du Times à Paris,
disait dans une dépêche à son journal qu'il
était autorisé à déclarer que l'attitude du
gouvernement français n'avait pas varié
touchant l'accession de l'Allemagne à la
Société.
L'Allemagne pourrait, réunir, sans la France,
la majorité nécessaire à son admission. Mais sa
situation dans la Société des nations ne serait
alors guère enviable.
Doit-on dans ces conditions préconiser
une demande ? L'Allemagne doit-elle faire
ce que l'Autriche;, la Hongrie et la Bulgarie
ont déjà fait l'an dernier ? Certaines consi-
dérations de politique réaliste parlent en fa-
veur de cette démarche. Insistons seule-
ment sur ce fait que l'Allemagne faisant
partie de la Société aurait là la seule possi-
bilité de demander une protection en faveur
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pen et Malmedy, à Dantzig, eh Haute-Silésie,
en Pologne, en Schleswig septentrional, d
de soumettre à la Société le règlement de
certaines questions pendantes entre elle et
In. Pologne, après le règlement de Haute-
Silésie ; peut-être enfin pourrait-elle récu-
pérer en tout ou partie, au titre de mandat,
ses colonies attribuées à l'Angleterre, la
France, la Belgique et le Japon.
Mais convient-il au rang de l'Allemagne
de solliciter une place accordée sans plus
aux Etats les plus petits et les plus insi-
gnifiants ?
o Le clhiffre de sa population, son dévelop-
pement économique et moral ne lui per-
mettent-ils pas de prétendre à un siège' et à
une voix dans le conseil de la Société,
bien plus important que l'Assemblée ? La
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le rôle de grande 'puissance repris par l'Al-
lemagne à Gênes.
Peut-on refuser à l'Allemagne à Genève la
place qu'on lui a donnee à Gênes ? N'est-il
pas vexatoire et illogique de réclamer de
l'Allemagne, après Gênes, qu'elle mendie
une place que Liberia et Haïti ont déjà de-
puis 3 ans ? Un peuple ne doit pas s'abais-
ser. L'Allemagne ne peut entrer dans la
Société que si elle est assurée. de devenir
membre permanent du conseil.
Il ne semble pas qu'elle ait, pour le moment.
de g,randes chances d'être acceptée en cette qua-
lité.
Dans ces conditions, l'Allemagne n'a qu'à
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nous. Il est certainement regrettable que
notre éloignement de la Société nous empê-
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naux des pays séparés, mais ce temps vien-
dra. Si les signes ne trompent pas, les
barrières tomberont bientôt. Nous pouvons
et nous devons attendre jusque-là. —
Dr Karl Maser.
GERMANIA, 19.7, matin.
— Cette fière intransigeance est partagée
par la Deutsche Allgemeine Zeitung :
Nous ne croyons pas que le moment
soit propice à une demande d'admission.
C'est le devoir de la diplomatie de sonder
le terrain et d'éclairer l'atmosphère politi-
que. Naturellement, aucun gouvernement
allemand ne pourrait se contenter, d'une
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beria et Haïti. Nous sommes le plus grand
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ses comme un peuple asiatique — et seule'
une place d'égalité parfaite nous convient.
Notre demande ne doit être soumise à au-
cune condition ni vote. — Dr Fritz Klein.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
19.7, matin.
— La Frankfurter Zeitung, au contraire,
expose, sous la plume du général von Deim-
ling, les raisons qui militent en faveur de
Vaccession :
D'abord l'Allemagne sera mieux à même de
défendre son droit et ses intérêts.
Elle pourra parler de Dantzig, de la Sarre et
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Mais voici la raison principale : en en-
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trer que la méfiance qu'on nous témoigne
est injustifiée et que nous sommes vraiment
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