Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 juillet 1922 19 juillet 1922
Description : 1922/07/19 (T21,N2106). 1922/07/19 (T21,N2106).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170731
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
^IRES ÉTRANGÈRES
Nn 2106
Mercredi 19 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PpIErSSE ALLEMANDE. — Le projet de travaux
de M. Le Trocquer (Ollo Hoetzsch diams
lÚe Hz -le ÏlHlI a J,
PIIESSE AMÉRICAINE. — Communistes et roya-
listes à la Chambre française (Boston
Evenina Transcript).
PnESSE g Trans crip )
ANGLAISE. - L'admission de l'Allema-
gne dans la Société des nations (Daily
News, Daily Tele graph). — Le voyage
de M. Pomcaré à Londres (Daily Tele-
?l'UPh, Times). - L'opinion de sir John
p'adbury sur 1 os réparations (Daily Te-
cgraph). — La rupture de la conférence
Ü:.- La, Haye (Daily Chronicle). — La
Cl'se ministérielle polonaise et le cabi-
"et Ko^fanly (Daily Telegraph, Times).
PJVV,„SE ITALIENNE. — Vue d'ensemble sur la
Situation européenne (Guglielmo Fer-
ero dans Secolo). — L'Italie et la dette
j^richienne (R. Forges Davanzati dans
eu Nazionale ; Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
~4'
SSION DE L'ALLEMAGNE. —
allem aIl Y News exhorte le gouvernement
allernand, à demander dès maintenant son
a^a '!^ ans la Société des nations.
entrée e ans la Société des natioùs.
veut fàat espérer que l'Allemagne, si elle
^I^a^1^'cre le monde qu'elle est ani-
V!e de désir sincère de collaborer à l'œu-
did e t- - posera officiellement sa can-
tudle afj à la Société des nations. Son atti-
® a^t Ue'^e de prudente réserve s'ex-
f bien; elle n'a pas lieu de se
^°ciét de certaines décisions prises par
%S i et des. conséquences qu'elles ont
pîuP £ u-tles intérêts allemands. Mais la
t Q.dl'>e.S de ses plaintes devraient moins
^i^ssp à la Société des nations qu'au
traité de la Société des nations qu'au
t'îlité ûe V,etrs,aJlles et il est certain qu'elle
*
beaucoup plus à perdre qu'à gagner en
¡et¡tiOll b privée de tout moyen d'inter-
v~4tio et de tout droit, de suffrage dans
des ûis^i Usions qui l'intéressent intime-
ment.
t.
fait déjà partie du bureau
international du travail ; elle est représen-
tée dans S1 ~rs commissions de la 8
ciété, Plusieurs commissions de la So-
et ell,, a accueilli chaque fois l'in-
- tir lui lu*l était faite de prendre part
aux conférences d'ordre technique. Le
moment est venu pour elle, dans son inté-
rêt comme dans celui de l'Europe, d'ac-
cepter les privilèges et les devoirs qui in-
combent aux membres de la Société. il est
certain que la majorité des nations adhé-
rentes à la Société des nations est favo-
rables à l'admission de l'Allemagne, et s'il
est désirable que les puissances, notam-
ment la France, dont les hommes d'Etat
ont professé en ces derniers temps un at-
tachement filial à la Société, donnent l'as-
surance que la demande ne sera pas reje-
tée, le gouvernement allemand s'impose-
rait au respect général et créerait l'im-
pression la plus favorable en posant rapi-
dement sa candidature, sans attendre ces
assurances. Il serait profondément regret-
table pour la Société des nations et pour
l'Europe que la prochaine assemblée prit
fin sans que l'admission de l'Allemagne
fût prononcée.
DAILY NEWS, 18.7.
— Le rédacteur diplomatique du Daily
Telegraph déclare que l'assemblée a seule
qualité pour se prononcer sur l'admission
de l'Allemagne dans la Société des nations,
mais la question fera certainement l'objet
de discussions particulières entre les mem-
bres du conseil actuellement réuni à Lon-
dres et les ministres britanniques. M. Lloyd
George a déjà fait connaître le point de
vue britannique sur ce point.
——— ———
LES RÉPARATIONS
LA SITUATION GENERALE DE L'EU-
ROPE. — Le gouvernement allemand de
1914 est responsable de la guerre, mais
l'Entente est responsable de la paix et *de la
triste situation actuelle.
Aujourd'hui l'Allemagne fait peur plus
qu'autrefois. Plusieurs de ses ennemis an-
ciens et nouveaux sont obligés de s'armer
jusqu'aux dents pour la tenir désarmée. Les
nouveaux Etats regardent avec inquiétude
autour d'eux, car ils se sentent, menacés de
tous côtés. La misère grandit ainsi que le
mécontentement des peuples daps tous les
pays, parmi les vainqueurs et parmi les
vaincus. Peu à peu tous les Etats tombent
dans le bourbier de la fausse monnaie et du
déficit incurable
Mais il est puéril d'imputer cette ruine aux
petits hommes qui ont fait la guerre et fait
la paix. Ils n'ont été que les commis, les
scribes d'une civilisation épuisée qui n'a
plus ni doctrine, ni idéal, ni règle, ni loi,
qui n'a que des engins meurtriers, qui ne
sait pas se gouverner elle-même et qui vou-
drait gouverner le monde. Notre époque a
transmis cette anémie spirituelle à tous les
partis, à toutes les écoles qu'elle a engen-
drés. La prudence conseille aux partis et
aux écoles d'opposition de ne pas reprocher
trop fièrement à leurs adversaires les
erreurs qu'eux-mêmes pourraient commet-
tre demain, et dans une plus grande me-
sure encore, s'ils devaient gouverner à la
place de ceux qui' gouvernent si mal au-
jourd'hui.
Quelle occasion immense, unique, verti-
gineuse s'offrit à l'Europe, à la fin de 1918.
Mais la force spirituelle nécessaire pour
saisir et exploiter l'occasion manquait
dans une civilisation réduite désormais à
adorer les jouets de fer qu'elle fabrique de
ses propres mains. Ce n'est pas l'heure de
Barabbas, c'est l'heure des rhéteurs, des
charlatans et des déséquilibrés.
Que ceux qui veulent vraiment s'orienter
dans le chaos présent ne s'acharnent pas
contre tel ou tel homme ; qu'ils se laissent
encore moins entraîner par les engouements
admiratifs provoqués par tel ou tel person-
nage, engouements grâce auxquels une poi-
gnée de malins et une foule d'imbéciles cher-
chent oÙ galvaniser de temps en temps ;a
sombre indifférence des masses. Il n'y a au-
jourd'hui ni fléaux, ni sauveurs. Le mal est
à l'intérieur, dans l'esprit de la civilisation
moderne. Les calamités actuelles ne sont
pas l'œuvre de tel ou tel homme, mais elles
sont un peu l'œuvre de tous. Le salut vien-
dra peu à peu, par l'œuvre de tous et par
une lente régénération dont les artisans les
plus bienfaisants seront des hommes soup-
çonnés et haïs. Certaines époques, dans
l'histoire, sont affectées d'un égarement.
qui leur fait admirer les hommes et les cho-
ses funestes, haïr les hommes et les choses
qui peuvent les guérir. Nous vivons malheu-
reusement dans une de ces époques. - Gu-
glielmo Ferrero.
1 SECOLO, 13.7.
LE PROGRAMME FRANÇAIS DE TRA-
VAUX PUBLICS. — OPINION ALLEMANDE. -
Otto Hoetzsch dovte que le projet de tra-
vaux de M. Le Trocquer puisse s'accorder
avec les stipulations du traité de Versailles,
mais se montre très heureux de la façon
dont M. Poincaré a posé dans un récent dis-
cours au Sénat le problème des réparations.
Le ministre des Travaux publics Le Troc-
quer a exposé le 27 juin à la presse pari-
sienne, tout un nouveau programme de re-
constitution économique de la France à
l'aide des. travailleurs allemands et des li-
vraisons en nature. Il compte utiliser ainsi
les forces hydrauliques de la France, pour
l'énergie électrique, il reprend la vieille
idée du tunnel sous la Manche, envisage
DES
^IRES ÉTRANGÈRES
Nn 2106
Mercredi 19 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PpIErSSE ALLEMANDE. — Le projet de travaux
de M. Le Trocquer (Ollo Hoetzsch diams
lÚe Hz -le ÏlHlI a J,
PIIESSE AMÉRICAINE. — Communistes et roya-
listes à la Chambre française (Boston
Evenina Transcript).
PnESSE g Trans crip )
ANGLAISE. - L'admission de l'Allema-
gne dans la Société des nations (Daily
News, Daily Tele graph). — Le voyage
de M. Pomcaré à Londres (Daily Tele-
?l'UPh, Times). - L'opinion de sir John
p'adbury sur 1 os réparations (Daily Te-
cgraph). — La rupture de la conférence
Ü:.- La, Haye (Daily Chronicle). — La
Cl'se ministérielle polonaise et le cabi-
"et Ko^fanly (Daily Telegraph, Times).
PJVV,„SE ITALIENNE. — Vue d'ensemble sur la
Situation européenne (Guglielmo Fer-
ero dans Secolo). — L'Italie et la dette
j^richienne (R. Forges Davanzati dans
eu Nazionale ; Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
~4'
SSION DE L'ALLEMAGNE. —
allem aIl Y News exhorte le gouvernement
allernand, à demander dès maintenant son
a^a '!^ ans la Société des nations.
entrée e ans la Société des natioùs.
veut fàat espérer que l'Allemagne, si elle
^I^a^1^'cre le monde qu'elle est ani-
V!e de désir sincère de collaborer à l'œu-
did e t- - posera officiellement sa can-
tudle afj à la Société des nations. Son atti-
® a^t Ue'^e de prudente réserve s'ex-
f bien; elle n'a pas lieu de se
^°ciét de certaines décisions prises par
%S i et des. conséquences qu'elles ont
pîuP £ u-tles intérêts allemands. Mais la
t Q.dl'>e.S de ses plaintes devraient moins
^i^ssp à la Société des nations qu'au
traité de la Société des nations qu'au
t'îlité ûe V,etrs,aJlles et il est certain qu'elle
*
beaucoup plus à perdre qu'à gagner en
¡et¡tiOll b privée de tout moyen d'inter-
v~4tio et de tout droit, de suffrage dans
des ûis^i Usions qui l'intéressent intime-
ment.
t.
fait déjà partie du bureau
international du travail ; elle est représen-
tée dans S1 ~rs commissions de la 8
ciété, Plusieurs commissions de la So-
et ell,, a accueilli chaque fois l'in-
- tir lui lu*l était faite de prendre part
aux conférences d'ordre technique. Le
moment est venu pour elle, dans son inté-
rêt comme dans celui de l'Europe, d'ac-
cepter les privilèges et les devoirs qui in-
combent aux membres de la Société. il est
certain que la majorité des nations adhé-
rentes à la Société des nations est favo-
rables à l'admission de l'Allemagne, et s'il
est désirable que les puissances, notam-
ment la France, dont les hommes d'Etat
ont professé en ces derniers temps un at-
tachement filial à la Société, donnent l'as-
surance que la demande ne sera pas reje-
tée, le gouvernement allemand s'impose-
rait au respect général et créerait l'im-
pression la plus favorable en posant rapi-
dement sa candidature, sans attendre ces
assurances. Il serait profondément regret-
table pour la Société des nations et pour
l'Europe que la prochaine assemblée prit
fin sans que l'admission de l'Allemagne
fût prononcée.
DAILY NEWS, 18.7.
— Le rédacteur diplomatique du Daily
Telegraph déclare que l'assemblée a seule
qualité pour se prononcer sur l'admission
de l'Allemagne dans la Société des nations,
mais la question fera certainement l'objet
de discussions particulières entre les mem-
bres du conseil actuellement réuni à Lon-
dres et les ministres britanniques. M. Lloyd
George a déjà fait connaître le point de
vue britannique sur ce point.
——— ———
LES RÉPARATIONS
LA SITUATION GENERALE DE L'EU-
ROPE. — Le gouvernement allemand de
1914 est responsable de la guerre, mais
l'Entente est responsable de la paix et *de la
triste situation actuelle.
Aujourd'hui l'Allemagne fait peur plus
qu'autrefois. Plusieurs de ses ennemis an-
ciens et nouveaux sont obligés de s'armer
jusqu'aux dents pour la tenir désarmée. Les
nouveaux Etats regardent avec inquiétude
autour d'eux, car ils se sentent, menacés de
tous côtés. La misère grandit ainsi que le
mécontentement des peuples daps tous les
pays, parmi les vainqueurs et parmi les
vaincus. Peu à peu tous les Etats tombent
dans le bourbier de la fausse monnaie et du
déficit incurable
Mais il est puéril d'imputer cette ruine aux
petits hommes qui ont fait la guerre et fait
la paix. Ils n'ont été que les commis, les
scribes d'une civilisation épuisée qui n'a
plus ni doctrine, ni idéal, ni règle, ni loi,
qui n'a que des engins meurtriers, qui ne
sait pas se gouverner elle-même et qui vou-
drait gouverner le monde. Notre époque a
transmis cette anémie spirituelle à tous les
partis, à toutes les écoles qu'elle a engen-
drés. La prudence conseille aux partis et
aux écoles d'opposition de ne pas reprocher
trop fièrement à leurs adversaires les
erreurs qu'eux-mêmes pourraient commet-
tre demain, et dans une plus grande me-
sure encore, s'ils devaient gouverner à la
place de ceux qui' gouvernent si mal au-
jourd'hui.
Quelle occasion immense, unique, verti-
gineuse s'offrit à l'Europe, à la fin de 1918.
Mais la force spirituelle nécessaire pour
saisir et exploiter l'occasion manquait
dans une civilisation réduite désormais à
adorer les jouets de fer qu'elle fabrique de
ses propres mains. Ce n'est pas l'heure de
Barabbas, c'est l'heure des rhéteurs, des
charlatans et des déséquilibrés.
Que ceux qui veulent vraiment s'orienter
dans le chaos présent ne s'acharnent pas
contre tel ou tel homme ; qu'ils se laissent
encore moins entraîner par les engouements
admiratifs provoqués par tel ou tel person-
nage, engouements grâce auxquels une poi-
gnée de malins et une foule d'imbéciles cher-
chent oÙ galvaniser de temps en temps ;a
sombre indifférence des masses. Il n'y a au-
jourd'hui ni fléaux, ni sauveurs. Le mal est
à l'intérieur, dans l'esprit de la civilisation
moderne. Les calamités actuelles ne sont
pas l'œuvre de tel ou tel homme, mais elles
sont un peu l'œuvre de tous. Le salut vien-
dra peu à peu, par l'œuvre de tous et par
une lente régénération dont les artisans les
plus bienfaisants seront des hommes soup-
çonnés et haïs. Certaines époques, dans
l'histoire, sont affectées d'un égarement.
qui leur fait admirer les hommes et les cho-
ses funestes, haïr les hommes et les choses
qui peuvent les guérir. Nous vivons malheu-
reusement dans une de ces époques. - Gu-
glielmo Ferrero.
1 SECOLO, 13.7.
LE PROGRAMME FRANÇAIS DE TRA-
VAUX PUBLICS. — OPINION ALLEMANDE. -
Otto Hoetzsch dovte que le projet de tra-
vaux de M. Le Trocquer puisse s'accorder
avec les stipulations du traité de Versailles,
mais se montre très heureux de la façon
dont M. Poincaré a posé dans un récent dis-
cours au Sénat le problème des réparations.
Le ministre des Travaux publics Le Troc-
quer a exposé le 27 juin à la presse pari-
sienne, tout un nouveau programme de re-
constitution économique de la France à
l'aide des. travailleurs allemands et des li-
vraisons en nature. Il compte utiliser ainsi
les forces hydrauliques de la France, pour
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