Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 juillet 1922 18 juillet 1922
Description : 1922/07/18 (T21,N2105). 1922/07/18 (T21,N2105).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217072m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
I ^IRES ÉTRANGÈRES
N° 2105
Mardi 18 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits, -
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PREssr ALLEMANDE. - Le débat, il la Cham-
bre française sur les responsabilités
(Zeit). - Une lettre-de M. von Jagow
M. Yiviani (Deutsche Allgemeine
Zeilllng). — .,La France et la confé-
rence de La llave (Freinlaurier Zei-
tun g).
fi RF, AMÉRICAINE. - Les Ktai'.s-Unis et la
Russie (Nr-to l'fi}" Tribune). - Le ca-
hinH et les Chambres (Washinqlon
Pu ,t).
Pnr
FTESSE ANGLAISE. - Pour une conférence
onco- b r i t a nn i q u e SU,l' les réparations
(Times). — La crise ministérielle po-
lonaise et. le cahmct Korfanty (Ti-
Ineg, Westminster Gazette).
<♦- :
POLITIQUE GENERALE
0r,QIISES
ET RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
ÇjuLDEBAT A LA CHAMBRE, FRAN-
(;4/,(.. JJnKSSK AU-EMANDE. — M. pom-
caré q s'est disculpé si aisément devant
lf( "^tbre [tançai se, il il la Zcit, aurait
peur- ïle eu lilu-s ¡[:e JJ/.Il f à faire recon-
lrS°'1 ituwcet/I'(; cleranl un tribunal
Vr'(iirn 'e7, t impartial. Pourquoi le gouverne-
fii.e r'l,pntand n'en Ire prend-il pas la reri-
let t ce procès à l'nid'c des docii-
i) qwil possède ?
.,e t,., la Chambre française, Poincaré
~iL en face'd'un tribunal qui lui
1. ^cile ■ la tâche de se disculper. Il
tions °sé, pn dépit de diverses invita-
senter 11li a faites à ce :-\ujrt, se pré-
IIGlilir' 11 n'1 hii a J'ai.cs a ce sujet, se pré-
devant un corps d'historiens et de
ofltle>" , , Jn é}wnrlanls. Les communistes
commes eiiite,,
~o~ ('Gmme les rôties, sont de jeunes
'J. eonSUes fanatiques et inexpérimentés
I.rce.1 Cadhin., des girouettes
'Uent Poincaré après avoir signé
"ons belliqueuses. La reprise de
les responsabilités par le gou-
nçais devrait servir d'occa-
nnement allemand pour pro-
B N Lière des documents qui sont
siun, une révision des para-
amentaux du traité de paix,
nait pour résultat de détruire
Le peuple allemand, à lui
en liaire; il est comme un mo-
rant si le gouvernement n'a-
M ouvernement et les journaux
français considèrent comme un et-il-ne l'ac-
tion des communistes qui ont attribué à
leur gouvernement la responsabilité de la
guerre; mais c'est aussi une faute grave,
lorsqu'on est en possession des preuves qui
réfutent rie ne pas les utiliser.. -
ZEIT, 15.7.
UNE LETTRE DE M. VON JAGOW A
M. VIVIANI. - * « Dans la séance du
5 juillet, M. Poincaré a mis en scène tiin
débat sur la responsabilité de la guerre.
Le II n il de ce débat était une démonstration
à effet contre la vérité qui, invinciblement,
se fait jour sur les événements de la se-
maine noire de juillet 1914. A cette occa-
sion, vous avez, M. Viviani, proiioncÈ un
discours dans lequel non seulement vous
teniez pour l'innocellce de la France, mais
aussi revendiquiez la responsabilité de la
politique française d'alors pour couvrir vo-
tre ami et ex-chef Poincaré du reproche
d'avoir pousse à la guerre. Comme vous
vous référez a moi, je me vois forcé de
vous déclarer que les bases de votre con-
ception de l'origine de la guerre sont com-
plètement ruineuses.
Vous invoquez le mémoire au Reichstag
de 1914, duquel, comme étant alors secré-
taire d'Etat aux Affaims étrangères, j'ai
d'après vous, écrit la préface. Vous relevez
que le 31 juillet est indiqué là comme dnJlc
de la mobilisation russe : c'est vrai, mais
depuis 1914 huit ynnées oui- passé et pen-
dant ce temps la vérité a, malgré tous les
efforts contraires, fait de lents, mais sûrs
progrès. Vos anciens amis y ont essentielr
lement contribué. Vous savez que l'ambas-
sadeur français d'alors à Petersbourg, M.
Paléologue, a expressément posé que la
mobilisation russe générale a 'eu lieu le
30 juillet et ce fait. a été récemment plei-
nement confirmé par le général Dobrorolski
[Cf. Bulletin Périodique de la Presse alle-
mande vi° 216] dans une peintudé complète
des, événements. En face de deux témoigna-
ges si. graves toutes les données venant
d'ailleurs — de vous ou de nous — tombent,
Ces personnages étaient mieux renseignés
que l'Empereur allemand que, bizarrement,
vous tenez pour le mieux informé !
Je résume ici l'essentiel de ce que le
reste du monde sait, parce qu'il est dans
l'intérêt général que la vérité péniblement
acquise ne soit pas remplacée de nouveau
comme en 1919 par des fables, vieilles ou
nouvelles !
La mobilisation partielle russe (de 13
corps) a été ordonnée le 29. Le même jour
un ordre de mobilisation générale fut lancée
puis révoqué.' Le 30, l'ordre fut lancé pour
de bon : on le sut à Berlin, à Paris, à
Londres le matin du 31. Cet ordre n'était
pas justifié : la mobilisation de 16 corps
autrichiens, le 25, avait provoqué celle de
13 corps russes qui, elle-même, provoqua,
le 31 à midi, l'ordre de mobilisation des
8 corps autrichiens restants. Il n'y a pas
eu, comme vous Le dites, le 29 juillet, une
mobilisa lion partielle de 11 corps, et d'ail-
leurs ces Il corps n'existaient pas, l'Autri-
che n'en ayant que 16 en tout. Votre affir-
matiun du premier ultimatum du 29 est une
fable : il y a eu simple avertissement,
comme il en était alors remis à Londres
et. à Paris.
Outre vos affirmations fausses sur les
décisions allemandes du 29, sur l'anecdote
du Lokal-Anzeiger élucidée par le comte
Monlgelas, vous citez faussement le télé-
gramme de l'Empereur au roi d'Angle-
t('.lTO': le fait de la mobilisation russe y
est invoqué.
Vous sentez — ces inventions le prouvent
- l'importance du 29 juillet. Ce jour-là, la
Russie s'est décidée à la guerre et vous,
M. Viviani, vous avez suivi votre allié
sans objection. Même le Bloc National,
ne vous donnerait pas une pleine appro-
bation, s'il était renseigné sur la marche
des négociai!ions entre Pétersbourg et Pa-
ris, comme nous le serons par les pro-
chaines publications de Moscou. Mais sur
la base des documents connus, il est déjà
clair que votre démonstration est cons-
truite sur des affirmations inexactes. Vous
ne pouvez pas réfuter le fait que la mobi-
lisation générale en Russie qui provo-
quait la gnerre: et l'avait pour but, n'était
justifiée par rien et a été simplement dic-
tée par la volonté de la guerre.
Je me borne pour aujourd'hui à ces brè-
ves fixations de faits pour montrer com-
bien est intenaole votre démonstration, ».
— Von Jagow.
t Zinst, 14 juillet 1922.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
15.7, soir.
,
- 1
LES REPARATIONS y
POUR UNE CONFERENCE FRANCO-
BRITANNIQUE. — Le Times invite les
gouvernements britannique et français à
se metlre d'accord sans délai sur l'atti-
tude qu'ils adopteront à l'égard de f) Alle-
magne. Il est incontestable que l'Allema-
gne a éludé ses engagements, mais le pro-
blème de l'évasion des capitaux n'est pas
le plus urgent.
Il faut que les Alliés et surtout l'Angle-
terre et la France se concertent rapide-
ment, et dressent le bilan de la situation.
Le gouvernement britannique doit donner
l'exemple en réglant le problème de la
dette anglaise aux Etats-Unis ; alors la
question des dettes interalliées européen-
nes pourra être abordée dans ses rapports
avec les réparations. La crainte parait
exister dans certains milieux qu'une liqui-
DES
I ^IRES ÉTRANGÈRES
N° 2105
Mardi 18 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits, -
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PREssr ALLEMANDE. - Le débat, il la Cham-
bre française sur les responsabilités
(Zeit). - Une lettre-de M. von Jagow
M. Yiviani (Deutsche Allgemeine
Zeilllng). — .,La France et la confé-
rence de La llave (Freinlaurier Zei-
tun g).
fi RF, AMÉRICAINE. - Les Ktai'.s-Unis et la
Russie (Nr-to l'fi}" Tribune). - Le ca-
hinH et les Chambres (Washinqlon
Pu ,t).
Pnr
FTESSE ANGLAISE. - Pour une conférence
onco- b r i t a nn i q u e SU,l' les réparations
(Times). — La crise ministérielle po-
lonaise et. le cahmct Korfanty (Ti-
Ineg, Westminster Gazette).
<♦- :
POLITIQUE GENERALE
0r,QIISES
ET RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
ÇjuLDEBAT A LA CHAMBRE, FRAN-
(;4/,(.. JJnKSSK AU-EMANDE. — M. pom-
caré q s'est disculpé si aisément devant
lf( "^tbre [tançai se, il il la Zcit, aurait
peur- ïle eu lilu-s ¡[:e JJ/.Il f à faire recon-
lrS°'1 ituwcet/I'(; cleranl un tribunal
Vr'(iirn 'e7, t impartial. Pourquoi le gouverne-
fii.e r'l,pntand n'en Ire prend-il pas la reri-
let t ce procès à l'nid'c des docii-
i) qwil possède ?
.,e t,., la Chambre française, Poincaré
~iL en face'd'un tribunal qui lui
1. ^cile ■ la tâche de se disculper. Il
tions °sé, pn dépit de diverses invita-
senter 11li a faites à ce :-\ujrt, se pré-
IIGlilir' 11 n'1 hii a J'ai.cs a ce sujet, se pré-
devant un corps d'historiens et de
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commes eiiite,,
~o~ ('Gmme les rôties, sont de jeunes
'J. eonSUes fanatiques et inexpérimentés
I.rce.1 Cadhin., des girouettes
'Uent Poincaré après avoir signé
"ons belliqueuses. La reprise de
les responsabilités par le gou-
nçais devrait servir d'occa-
nnement allemand pour pro-
B N Lière des documents qui sont
siun, une révision des para-
amentaux du traité de paix,
nait pour résultat de détruire
Le peuple allemand, à lui
en liaire; il est comme un mo-
rant si le gouvernement n'a-
M ouvernement et les journaux
français considèrent comme un et-il-ne l'ac-
tion des communistes qui ont attribué à
leur gouvernement la responsabilité de la
guerre; mais c'est aussi une faute grave,
lorsqu'on est en possession des preuves qui
réfutent rie ne pas les utiliser.. -
ZEIT, 15.7.
UNE LETTRE DE M. VON JAGOW A
M. VIVIANI. - * « Dans la séance du
5 juillet, M. Poincaré a mis en scène tiin
débat sur la responsabilité de la guerre.
Le II n il de ce débat était une démonstration
à effet contre la vérité qui, invinciblement,
se fait jour sur les événements de la se-
maine noire de juillet 1914. A cette occa-
sion, vous avez, M. Viviani, proiioncÈ un
discours dans lequel non seulement vous
teniez pour l'innocellce de la France, mais
aussi revendiquiez la responsabilité de la
politique française d'alors pour couvrir vo-
tre ami et ex-chef Poincaré du reproche
d'avoir pousse à la guerre. Comme vous
vous référez a moi, je me vois forcé de
vous déclarer que les bases de votre con-
ception de l'origine de la guerre sont com-
plètement ruineuses.
Vous invoquez le mémoire au Reichstag
de 1914, duquel, comme étant alors secré-
taire d'Etat aux Affaims étrangères, j'ai
d'après vous, écrit la préface. Vous relevez
que le 31 juillet est indiqué là comme dnJlc
de la mobilisation russe : c'est vrai, mais
depuis 1914 huit ynnées oui- passé et pen-
dant ce temps la vérité a, malgré tous les
efforts contraires, fait de lents, mais sûrs
progrès. Vos anciens amis y ont essentielr
lement contribué. Vous savez que l'ambas-
sadeur français d'alors à Petersbourg, M.
Paléologue, a expressément posé que la
mobilisation russe générale a 'eu lieu le
30 juillet et ce fait. a été récemment plei-
nement confirmé par le général Dobrorolski
[Cf. Bulletin Périodique de la Presse alle-
mande vi° 216] dans une peintudé complète
des, événements. En face de deux témoigna-
ges si. graves toutes les données venant
d'ailleurs — de vous ou de nous — tombent,
Ces personnages étaient mieux renseignés
que l'Empereur allemand que, bizarrement,
vous tenez pour le mieux informé !
Je résume ici l'essentiel de ce que le
reste du monde sait, parce qu'il est dans
l'intérêt général que la vérité péniblement
acquise ne soit pas remplacée de nouveau
comme en 1919 par des fables, vieilles ou
nouvelles !
La mobilisation partielle russe (de 13
corps) a été ordonnée le 29. Le même jour
un ordre de mobilisation générale fut lancée
puis révoqué.' Le 30, l'ordre fut lancé pour
de bon : on le sut à Berlin, à Paris, à
Londres le matin du 31. Cet ordre n'était
pas justifié : la mobilisation de 16 corps
autrichiens, le 25, avait provoqué celle de
13 corps russes qui, elle-même, provoqua,
le 31 à midi, l'ordre de mobilisation des
8 corps autrichiens restants. Il n'y a pas
eu, comme vous Le dites, le 29 juillet, une
mobilisa lion partielle de 11 corps, et d'ail-
leurs ces Il corps n'existaient pas, l'Autri-
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matiun du premier ultimatum du 29 est une
fable : il y a eu simple avertissement,
comme il en était alors remis à Londres
et. à Paris.
Outre vos affirmations fausses sur les
décisions allemandes du 29, sur l'anecdote
du Lokal-Anzeiger élucidée par le comte
Monlgelas, vous citez faussement le télé-
gramme de l'Empereur au roi d'Angle-
t('.lTO': le fait de la mobilisation russe y
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Vous sentez — ces inventions le prouvent
- l'importance du 29 juillet. Ce jour-là, la
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M. Viviani, vous avez suivi votre allié
sans objection. Même le Bloc National,
ne vous donnerait pas une pleine appro-
bation, s'il était renseigné sur la marche
des négociai!ions entre Pétersbourg et Pa-
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chaines publications de Moscou. Mais sur
la base des documents connus, il est déjà
clair que votre démonstration est cons-
truite sur des affirmations inexactes. Vous
ne pouvez pas réfuter le fait que la mobi-
lisation générale en Russie qui provo-
quait la gnerre: et l'avait pour but, n'était
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bien est intenaole votre démonstration, ».
— Von Jagow.
t Zinst, 14 juillet 1922.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
15.7, soir.
,
- 1
LES REPARATIONS y
POUR UNE CONFERENCE FRANCO-
BRITANNIQUE. — Le Times invite les
gouvernements britannique et français à
se metlre d'accord sans délai sur l'atti-
tude qu'ils adopteront à l'égard de f) Alle-
magne. Il est incontestable que l'Allema-
gne a éludé ses engagements, mais le pro-
blème de l'évasion des capitaux n'est pas
le plus urgent.
Il faut que les Alliés et surtout l'Angle-
terre et la France se concertent rapide-
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Le gouvernement britannique doit donner
l'exemple en réglant le problème de la
dette anglaise aux Etats-Unis ; alors la
question des dettes interalliées européen-
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