Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 juillet 1922 13 juillet 1922
Description : 1922/07/13 (T21,N2103)-1922/07/15. 1922/07/13 (T21,N2103)-1922/07/15.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217070s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
^NlSTÈRE
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
N° 2103
Jeudi 13 - Samedi 15 juillet 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
ALLEMANDE. — La chute du mark
^y^urter Zcitung, Prof. C. Ballod
j)|s Freiheit). — La nouvelle crise mi-
,^lle polonaise (Franklurter Zei-
:\~ AMÉRICAINE. — I .es intérêts améri-
lris au Mexique (New York Times,
'Y(,lv York Tribune).
<
tsspANGLAISE. - La chute du mark (Ti-
Daity Telcgraph). — La Grande
e et les dettes interalliées (West-
1,,^ ^er Gazette). — Le prochain voyage
i]e j- Poincaré à Londres (Daily Tele-
U fjra Daily (-'hroniclc, Daily News). —
/'PI p rari('e et le droit de visite (Dm.lU
elegraph).
CI AlJTriIcniENN''E. — Le débat à la
bi]j^bre française sur - les responsa-
1 e'
es (.'1 fbeiter Zeitung).
-—-—— —————————————
P°UïIQUE GENERALE
~.N~
r* RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
BAT A LA CHAMBRE FRAN-
i ; 1NI°N AUTRICHIENNE. — Poin-
St Pas. trompé en déclarant que
ri e la Chambre ne devait pas
close avant Texamen du désaccord
ij les P S?0nsabilités de la guerre : la
!u Ùll v. a lIa Chambre s'est terminée
et "'ta le triomphe du nationalis-
p^Périalisme jfrançais. La vic-
fa-ibl6 ! C"Lrc, fut facdiitée par l'attl-
)0 e:s; ~1 e Ses (( agresseurs » commu-
ciel Caicliin, en particulier, s'est
1 communiqué Havas n'est
A t e communiqué Havas n'est
(jp ^e de mentionner tou-
('k faits accablants pour la politi-
de' :aancieux, de mentionner tou-
Ik ft'Í1llç.' s accablants pour la politi-
ÇIipe d'avant-guerre. Et il est
1^11 qui placé à l'extrême-
.111 ha t. ,
V;iit Parti, s'est déclaré partisan con-
,d guerre et de la politique
Pi^^ &rpe 'e '^a France, n'était pas pré-
^tqu France, n'était pas pré-
f\i6 te ualflé pour le rôle d'accusateur
IIPA t 'que de guerre. Ainsi, la dis-
S'est *erminée par le triomphe de
'l q e plus grave défaut de l'or-
]o\jr est certainement, qu'il invo-
a t'at.i~ )) .de l'Allemagne; cet ,iveil
l ~ti ^tion du traité de Versail-
les, extorquée par l'Entente au moyen des
plus fortes menaces militaires. Voilà ce
qu'ils appellent un aveu !
Les déclarations de M. Poincaré et de M. Pain-
levé sur les négociations du prince Sixte de
Parme sont particulièrement intéressantes pour
l'Autriche : le président du conseil montre qu'el-
les ne pouvaient pas être acceptées parce
qu'elles n'étaient pas approuvées par l'Allema-
gne et qu'elles ne contenaient aucun avantage
pour l'Italie.
Lorsque fut connue l'offre de paix trans-
mise par Sixte, nous avons déjà signalé
à cette époque que Charles ne voulait rien
sacrifier — il rejetait les sacrifices sur
l'Allemagne — et qu'en particulier son re-
fus de faire à l'Italie des concessions qui
auraient pui rester en deçà du protocole
de 1915 devait nécessairement amener
l'échec des négociations de paix, ce qui
arriva. Il résulte clairement des remar-
ques de Painlevé qu'il en fut vraiment
ainsi et que l'hostilité de l'Italie fit échouer
les négociations. Si la Cour de Vienne
avait agi loyalement en tenant compte du
fait que l'Italie était entrée en guerre, la
paix aurait pu sans doute être obtenue dès
l'année 1917.
ARBEITER-ZEITUNG,
[de Vienne], 8.7.
—— ——-
LES REPARATIONS
LA CHUTE DU MARK. — PRESSE ALLE
MANDE. - La nouvelle et terrible chute du
mark a pour résultat que nous ne pou-
vons plus effectuer les paiements réduits
qui nous ont été accordés à Cannes. Le
créancier le plus enragé parmi l'Entente
devra s'en rendre compte. Il faut prévoir
une nouvelle demande de moratorium de
la part de l'Allemagne. Déjà des émissaires
du gouvernement allemand sont entrés en
conversation à ce sujet avec les autorités
compétentes à Paris. Dans les milieux in-
téresses des capitales de l'Entente règne
une grande agitation à ce sujet. On parle
d'une prochaine réunion des premiers mi-
nistres en séance au Conseil suprême d'une
assemblée des ministres des Finances. Les
hommes d'Etat de l'Entende vont avoir à
prendre en tout cas une décision capitale.
Il est évident qu'elle ne peut se présenter
autrement que comme une nouvelle revi-
sion des charges allemandes. Ce sera sans
doute amer pour ceux qui ont pris pour
base de leurs calculs les chiffres fantasti-
ques des réparations. Nous comprenons
parfaitement la situation de la France. Cette
situation est très mauvaise et nous cOIllt
prenons très bien que la ruine allemande
est une calamité pour la politique finan-
cière de la France. Mais la faute en revient
pour une grande partie à la France. Si, dès
le début, elle avait limité ses exigences 0
au possible, les choses eussent pris une
tout autre tournure. Dans l'état actuel il
est oiseux de discuter dans le détail cette
question de responsabilité, si ce n'est pour
s'instruire des fautes passées.
Lorsque l'Allemagne se plaint d'en être
réduite où elle est par suite du manque
de mesure de la France, les Français ré-
pondent volontiers qu ils ont déjà abandon-
né beaucoup. C'est vrai, mais ils l'ont fait
toujours trop tard et dans une mesure in-
suffisante, par crainte de l'opinion publi-
que dans leur pays.
A l'étranger on nous reproche souvent
de nous lamenter toujours, mais de né-
gliger de présenter des projets. Est-ce réel-
lement vrai ? Si les vainqueurs par exem-
ple avaient accepté à Versailles l'offre très
raisonnable des Allemands, la situation de
la France et de l'Europe serait beaucoup
plus favorable. Quels projets pouvons-nous
présenter maintenant ? Nous sommes dans
la situation de celui qui se noie ayant
un poids de cent kilos au cou et qui a déjà
de l'eau jusqu'aux yeux. « Enlevez le poids,
nous pourrons nous remonter », voilà la
seule proposition que nous ayons à faire.
Il y a quelques semaines, le comité des
banquiers, réuni à Paris, a rendu un ju-
gement objectif. Il demandait une réduction
de la charge allemande et la suspension
de la politique de menaces. Ce jugement
n'a pas trouvé l'oreille des hommes d'Etat
de l'Entente. Ce fut le coup qui provoqua
la nouvedle chute du mark. C'est ainsi
qu'en quelques semaines on a commis un
dommage irréparable. Seule une conception
objective peut indiquer le chemin qui nous
fera sortir du chaos financier. Si les hom-
mes d'Etat, par crainte de la rue, n'ont
pas le courage d'être objectifs, qu'on leur
substitue une commission d'hommes d'af-
faires dont chacun devrait accepter le ju-
gement.
FRANKFURTER ZEITUNG, 11.7 soir.
« LA NÉCESSITÉ D'UNE STABILISATION DU
MARK » [sous ce titre] : Pourquoi la baisse
du change, pourquoi la hausse des prix ?
La Presse nationale allemande répond :
« C'est la faute des Alliés, nos ennemis! Ils
ont imposé à l'Allemagne des paiements si
élevés qu'elle ne peut les effectuer ; l'obli-
gation permanente d'acheter des devises ot
conduit l'Allemagne à la faillite. » Ce n'est
pas inexact, mais ce n'est pas toute la vé-
rité. En Autriche, le change est complète-
ment ruiné sans que ce pays ait fait au-
cun paiement à l'Entente. En Allemagne
comme en Autriche. les classes les plus in-
fluentes de la société, avant comme après
la guerre, c'est-à-dire les gros industriels
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
N° 2103
Jeudi 13 - Samedi 15 juillet 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
ALLEMANDE. — La chute du mark
^y^urter Zcitung, Prof. C. Ballod
j)|s Freiheit). — La nouvelle crise mi-
,^lle polonaise (Franklurter Zei-
:\~ AMÉRICAINE. — I .es intérêts améri-
lris au Mexique (New York Times,
'Y(,lv York Tribune).
<
tsspANGLAISE. - La chute du mark (Ti-
Daity Telcgraph). — La Grande
e et les dettes interalliées (West-
1,,^ ^er Gazette). — Le prochain voyage
i]e j- Poincaré à Londres (Daily Tele-
U fjra Daily (-'hroniclc, Daily News). —
/'PI p rari('e et le droit de visite (Dm.lU
elegraph).
CI AlJTriIcniENN''E. — Le débat à la
bi]j^bre française sur - les responsa-
1 e'
es (.'1 fbeiter Zeitung).
-—-—— —————————————
P°UïIQUE GENERALE
~.N~
r* RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
BAT A LA CHAMBRE FRAN-
i ; 1NI°N AUTRICHIENNE. — Poin-
St Pas. trompé en déclarant que
ri e la Chambre ne devait pas
close avant Texamen du désaccord
ij les P S?0nsabilités de la guerre : la
!u Ùll v. a lIa Chambre s'est terminée
et "'ta le triomphe du nationalis-
p^Périalisme jfrançais. La vic-
fa-ibl6 ! C"Lrc, fut facdiitée par l'attl-
)0 e:s; ~1 e Ses (( agresseurs » commu-
ciel Caicliin, en particulier, s'est
1 communiqué Havas n'est
A t e communiqué Havas n'est
(jp ^e de mentionner tou-
('k faits accablants pour la politi-
de' :aancieux, de mentionner tou-
Ik ft'Í1llç.' s accablants pour la politi-
ÇIipe d'avant-guerre. Et il est
1^11 qui placé à l'extrême-
.111 ha t. ,
V;iit Parti, s'est déclaré partisan con-
,d guerre et de la politique
Pi^^ &rpe 'e '^a France, n'était pas pré-
^tqu France, n'était pas pré-
f\i6 te ualflé pour le rôle d'accusateur
IIPA t 'que de guerre. Ainsi, la dis-
S'est *erminée par le triomphe de
'l q e plus grave défaut de l'or-
]o\jr est certainement, qu'il invo-
a t'at.i~ )) .de l'Allemagne; cet ,iveil
l ~ti ^tion du traité de Versail-
les, extorquée par l'Entente au moyen des
plus fortes menaces militaires. Voilà ce
qu'ils appellent un aveu !
Les déclarations de M. Poincaré et de M. Pain-
levé sur les négociations du prince Sixte de
Parme sont particulièrement intéressantes pour
l'Autriche : le président du conseil montre qu'el-
les ne pouvaient pas être acceptées parce
qu'elles n'étaient pas approuvées par l'Allema-
gne et qu'elles ne contenaient aucun avantage
pour l'Italie.
Lorsque fut connue l'offre de paix trans-
mise par Sixte, nous avons déjà signalé
à cette époque que Charles ne voulait rien
sacrifier — il rejetait les sacrifices sur
l'Allemagne — et qu'en particulier son re-
fus de faire à l'Italie des concessions qui
auraient pui rester en deçà du protocole
de 1915 devait nécessairement amener
l'échec des négociations de paix, ce qui
arriva. Il résulte clairement des remar-
ques de Painlevé qu'il en fut vraiment
ainsi et que l'hostilité de l'Italie fit échouer
les négociations. Si la Cour de Vienne
avait agi loyalement en tenant compte du
fait que l'Italie était entrée en guerre, la
paix aurait pu sans doute être obtenue dès
l'année 1917.
ARBEITER-ZEITUNG,
[de Vienne], 8.7.
—— ——-
LES REPARATIONS
LA CHUTE DU MARK. — PRESSE ALLE
MANDE. - La nouvelle et terrible chute du
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vons plus effectuer les paiements réduits
qui nous ont été accordés à Cannes. Le
créancier le plus enragé parmi l'Entente
devra s'en rendre compte. Il faut prévoir
une nouvelle demande de moratorium de
la part de l'Allemagne. Déjà des émissaires
du gouvernement allemand sont entrés en
conversation à ce sujet avec les autorités
compétentes à Paris. Dans les milieux in-
téresses des capitales de l'Entente règne
une grande agitation à ce sujet. On parle
d'une prochaine réunion des premiers mi-
nistres en séance au Conseil suprême d'une
assemblée des ministres des Finances. Les
hommes d'Etat de l'Entende vont avoir à
prendre en tout cas une décision capitale.
Il est évident qu'elle ne peut se présenter
autrement que comme une nouvelle revi-
sion des charges allemandes. Ce sera sans
doute amer pour ceux qui ont pris pour
base de leurs calculs les chiffres fantasti-
ques des réparations. Nous comprenons
parfaitement la situation de la France. Cette
situation est très mauvaise et nous cOIllt
prenons très bien que la ruine allemande
est une calamité pour la politique finan-
cière de la France. Mais la faute en revient
pour une grande partie à la France. Si, dès
le début, elle avait limité ses exigences 0
au possible, les choses eussent pris une
tout autre tournure. Dans l'état actuel il
est oiseux de discuter dans le détail cette
question de responsabilité, si ce n'est pour
s'instruire des fautes passées.
Lorsque l'Allemagne se plaint d'en être
réduite où elle est par suite du manque
de mesure de la France, les Français ré-
pondent volontiers qu ils ont déjà abandon-
né beaucoup. C'est vrai, mais ils l'ont fait
toujours trop tard et dans une mesure in-
suffisante, par crainte de l'opinion publi-
que dans leur pays.
A l'étranger on nous reproche souvent
de nous lamenter toujours, mais de né-
gliger de présenter des projets. Est-ce réel-
lement vrai ? Si les vainqueurs par exem-
ple avaient accepté à Versailles l'offre très
raisonnable des Allemands, la situation de
la France et de l'Europe serait beaucoup
plus favorable. Quels projets pouvons-nous
présenter maintenant ? Nous sommes dans
la situation de celui qui se noie ayant
un poids de cent kilos au cou et qui a déjà
de l'eau jusqu'aux yeux. « Enlevez le poids,
nous pourrons nous remonter », voilà la
seule proposition que nous ayons à faire.
Il y a quelques semaines, le comité des
banquiers, réuni à Paris, a rendu un ju-
gement objectif. Il demandait une réduction
de la charge allemande et la suspension
de la politique de menaces. Ce jugement
n'a pas trouvé l'oreille des hommes d'Etat
de l'Entente. Ce fut le coup qui provoqua
la nouvedle chute du mark. C'est ainsi
qu'en quelques semaines on a commis un
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objective peut indiquer le chemin qui nous
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mes d'Etat, par crainte de la rue, n'ont
pas le courage d'être objectifs, qu'on leur
substitue une commission d'hommes d'af-
faires dont chacun devrait accepter le ju-
gement.
FRANKFURTER ZEITUNG, 11.7 soir.
« LA NÉCESSITÉ D'UNE STABILISATION DU
MARK » [sous ce titre] : Pourquoi la baisse
du change, pourquoi la hausse des prix ?
La Presse nationale allemande répond :
« C'est la faute des Alliés, nos ennemis! Ils
ont imposé à l'Allemagne des paiements si
élevés qu'elle ne peut les effectuer ; l'obli-
gation permanente d'acheter des devises ot
conduit l'Allemagne à la faillite. » Ce n'est
pas inexact, mais ce n'est pas toute la vé-
rité. En Autriche, le change est complète-
ment ruiné sans que ce pays ait fait au-
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comme en Autriche. les classes les plus in-
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