Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 juin 1922 29 juin 1922
Description : 1922/06/29 (T21,N2091). 1922/06/29 (T21,N2091).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217058b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
NpsTËRE
HP ÉTRANGÈRES
N" 9Q91
Jeudi 29 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. -. Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~SE ALLEMANDE. — L'assassinat de M.
~Bathenau (Ignace Wrobel dans Welt
~n Montag; Deutsche Zeitung). — Le
discours du chancelier au Reichstag
(Paul tS ensch dans Deutsche Allgemeine
Zeitung ; Th. Wolff dans Berliner Tage-
~blatt). - La situation politique (Strese-
~Fam dans Zeit).
~SE tMÉRICAINE. — Le tarif douanier de-
~nt le Sénat américain : le sénateur
~atson et l'ambassadeur de Grande-
bretagne (New York Times). — Les
dettes interalliées (Chicago Daily Tri-
~ANGLAISE.— L'admission de l'Alle-
magne dQillS la Société des nations (Ob-
~ver; J, Spender dans Westmins-
~Gazette). — Les rapports franco-an-
~s: le débat du 27 juin à la Chambre
(Epoca).
~ESPAGNOLE. — L'assassinat de M. Ra-
(EPoca, Sol).
TALIENNE. — L'assassinat de M. Ra-
~ca). WHbuna, Giornale d'Italia,
MRipE- — La « crise de l'armée
Il (Posliednia Novosti).
~TIQUE GENERALE
CIÉTÉ DES NATIONS
~SSION DE L'ALLEMAGNE
~GLAISE. — De Genève : La ques-
~voir si l'Allemagne demandera
~ssion à la Société des nations,
prochaine assemblée, au mois
~Bt! et le problème du désarme-
~es deux sujets les plus impor-
~plus intéressants de beaucoup
~tenir actuellement l'attention
~ganisation. Il ne manque pas
~pour reconnaître que leur
~tout avantage à appartenir à
~fût-ce qu'en raison des nom-
~ons affectant ses intérêts qui
~ar l'une. ou l'autre des di-
~ssions de la Société.
~que le bassin de la Sarre est
~une commission qui relève
~des nations, et lorsque les
~e Partie du territoire alle-
~e valoir une plainte quel-
~inte doit être examinée
~de la Société. Le conseil
~de ses membres qui est
~une enquête et de présenter
un rapport sur l'affaire en question, et
quand le rapport est présenté, quelqu'un en
propose l'adoption et on n'entend plus par-
ler de l'affaire. Si l'Allemagne était repré-
sentée au sein du conseil, elle pourrait, s;
elle le jugeait bon, demander que l'affaire
fût discutée plus à fond, ou bien si elle
n'approuvait pas les conclusions du rap-
porteur, elle pourrait dire" pourquoi.
En revanche, si l'Allemagne devenait
membre de la Société, elle confirmerait en
quelque sorte, au dire de beaucoup d'Alle-
mands, le traité de Versailles, qu'elle con-
sidère comme lui ayant été imposé par la
force des armes. Beaucoup d'autres Alle-
mands affirment que les chauvins français
préféreraient que l'Allemagne ne fit pOjnt
partie de la Société, car ils espèrent que
sans l'Allemagne, la Société ne pourra pas
exister longtemps, et comme la Société et le
traité de Versailles sont inséparables, tout
l'édifice s'écroulerait du coup. Les Français
pourraient alors, pensent les extrémistes,
annexer le bassin de la Sarre ainsi que
la Ruhr, taindis que la Pologne s'empare-
rait aussitôt de Dantzig, de la partiel de
la Haute-Silisie laissée à l'Allemagne et
du port de Memel..
Je ne dis pas que les Allemands aient
raison d'attribuer ces vues aux Français,
mais c'est la croyance, juste ou fausse,
qu'il existe une fraction ayant cette opi-
nion, qui maintient l'Europe et même le
monde entier dans une incertitude cons-
tante.
OBSERVER, 25.6
- Irl importe que M. Lloyd George
fasse tous ses efforts pour surmonter l'op-
position des Français, non seulement à l'ad-
mission de l'Allemagne à la Société des na
tions, mais à son élection au conseil. Ce de-
vrait même être là une des ~stipulions de
l'arrangement qui est, ou qui devrait être en
voie de conclusion, arrangement aux termes
duquel la France obtient un soulagement
économique, alors que la Grande-Bretagne
abandonne ses créances tant sur la France
que sur l'Al'lemagnè. L'affaire sera d'autant
plus avantageuse pour nous que nous pour-
rons mieux assurer la stabilité politique et
la pierre de touche, à cet égard, sera l'adhé-
sion complète de l'Allemagne à la Société
des nations.
Dans cet ordre d'idées, il faut que le gou-
vernement britannique prenne l'initiative et
qu'il agisse énergiqnement, car aucun autre
gouvemement ne veut ni ne peut le faire. Le
temps est court -t lord Robert Cecil m'ea*
gène pas en disant que la question est
urgente. Si la prochaine assemblée de la
Société se sépare sans que l'Allemagne y
soit entrée, ce sera que les alliés et elle se
seront engagés dans des voies divergentes
et il sera porté, de ce fait, un nouveau coup
funeste aux éléments démocratiques qui, en
Allemagne, combattent la réaction prus-
sienne. Tôt ou tard, alors, le traité germano-
ruisisie prendra le caractère d'une alliance
militaire, et avant une génération l'ancien
système du groupement sera rétabli, avec
cette différence que les peuples les plus nom-
breux de beaucoup feront partie du groupé
oriental. Ce n'est pas 1ft une simple hypo-
thèse : c'est ce qui ne-peut manquer de se
produire si on laisse se perpétuer l'ancien
système. Les Français ont intérêt d'ailleurs,
plus encore que nous, à mettre fin à ce sys-
tème, car ils sont plus exposés aux attaques
et rien ne peut empêcher les populations
plus nombreuses de disposer, à la longue,
d'une force militaire supérieure si l'on doit
faire appel aux armes et au nombre. Les
Français doivent commencer à se rendre
compte que des mesures d'un autre ordre
envisagées par eux pour conjurer ce danger,
s'effondrent à vue d'œil. L'Allemagne ne
saurait être démembrée comme l'Autriche,
dont les nationalités hétérogènes visaient à
se séparer d'elle et n'attendaient pour cela
qu'une occasion favorable. Il n'est pas pos-
sible, non plus, et ce pour des raisons éco-
nomiques intrinsèques, de la ruiner en ré-
clamant d'elle des indemnités, car ce moyen
ne fait que stimuler son relèvement indus-
triel sans augmenter sa capacité dé paie-
ment. On ne saurait davantage la maintenir
en état d'infériorité par la force, si ce n'est
au prix die sacrifices énormes de la part des
alliés et plus spécialement de la France ;
encore ne serait-ce que pour un nombre
d'années relativement petit. Si le conflit se
perpétue, si l'Allemagne, boycottée par les
alliés, est réduite à chercher ailleurs des
compensations, toutes les appréhensions
françaises seront justifiées et il ne servira
à rien de pallier les faits par des mots. L'AI-
lemagae séria dangereuse : ses 'militaristes
se remettront en selle et, tôt ou tard, repren-
dront les armés. Il n'y aura aucun moyen
d'empêcher ces résultats de se produire, au-
cune précaution sûre permettant de s'en ga-
rantir. La seule ressource qui offre une
chance raisonnable d'échapper au péril est
la Société des nations, et pour 'cela l'adhé-
sion de l'Allemagne est indispensable. —
J.-A. Spender.
WESTMINSTER GAZETTE, 28.6.
-
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LE DEBAT DU 27 JUIN A LA CHAMBRE
DES LORDS. — La question qui préoccupe
actuellement la Grande-Bretagne, et l'on
peut même dire, tous les pays est de savoir
si le premier ministre a une politique étran-
gère précise, ou s'il est l'esclave du mo-
ment et le jouet des caprices et des crain-
HP ÉTRANGÈRES
N" 9Q91
Jeudi 29 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. -. Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~SE ALLEMANDE. — L'assassinat de M.
~Bathenau (Ignace Wrobel dans Welt
~n Montag; Deutsche Zeitung). — Le
discours du chancelier au Reichstag
(Paul tS ensch dans Deutsche Allgemeine
Zeitung ; Th. Wolff dans Berliner Tage-
~blatt). - La situation politique (Strese-
~Fam dans Zeit).
~SE tMÉRICAINE. — Le tarif douanier de-
~nt le Sénat américain : le sénateur
~atson et l'ambassadeur de Grande-
bretagne (New York Times). — Les
dettes interalliées (Chicago Daily Tri-
~ANGLAISE.— L'admission de l'Alle-
magne dQillS la Société des nations (Ob-
~ver; J, Spender dans Westmins-
~Gazette). — Les rapports franco-an-
~s: le débat du 27 juin à la Chambre
(Epoca).
~ESPAGNOLE. — L'assassinat de M. Ra-
(EPoca, Sol).
TALIENNE. — L'assassinat de M. Ra-
~ca). WHbuna, Giornale d'Italia,
MRipE- — La « crise de l'armée
Il (Posliednia Novosti).
~TIQUE GENERALE
CIÉTÉ DES NATIONS
~SSION DE L'ALLEMAGNE
~GLAISE. — De Genève : La ques-
~voir si l'Allemagne demandera
~ssion à la Société des nations,
prochaine assemblée, au mois
~Bt! et le problème du désarme-
~es deux sujets les plus impor-
~plus intéressants de beaucoup
~tenir actuellement l'attention
~ganisation. Il ne manque pas
~pour reconnaître que leur
~tout avantage à appartenir à
~fût-ce qu'en raison des nom-
~ons affectant ses intérêts qui
~ar l'une. ou l'autre des di-
~ssions de la Société.
~que le bassin de la Sarre est
~une commission qui relève
~des nations, et lorsque les
~e Partie du territoire alle-
~e valoir une plainte quel-
~inte doit être examinée
~de la Société. Le conseil
~de ses membres qui est
~une enquête et de présenter
un rapport sur l'affaire en question, et
quand le rapport est présenté, quelqu'un en
propose l'adoption et on n'entend plus par-
ler de l'affaire. Si l'Allemagne était repré-
sentée au sein du conseil, elle pourrait, s;
elle le jugeait bon, demander que l'affaire
fût discutée plus à fond, ou bien si elle
n'approuvait pas les conclusions du rap-
porteur, elle pourrait dire" pourquoi.
En revanche, si l'Allemagne devenait
membre de la Société, elle confirmerait en
quelque sorte, au dire de beaucoup d'Alle-
mands, le traité de Versailles, qu'elle con-
sidère comme lui ayant été imposé par la
force des armes. Beaucoup d'autres Alle-
mands affirment que les chauvins français
préféreraient que l'Allemagne ne fit pOjnt
partie de la Société, car ils espèrent que
sans l'Allemagne, la Société ne pourra pas
exister longtemps, et comme la Société et le
traité de Versailles sont inséparables, tout
l'édifice s'écroulerait du coup. Les Français
pourraient alors, pensent les extrémistes,
annexer le bassin de la Sarre ainsi que
la Ruhr, taindis que la Pologne s'empare-
rait aussitôt de Dantzig, de la partiel de
la Haute-Silisie laissée à l'Allemagne et
du port de Memel..
Je ne dis pas que les Allemands aient
raison d'attribuer ces vues aux Français,
mais c'est la croyance, juste ou fausse,
qu'il existe une fraction ayant cette opi-
nion, qui maintient l'Europe et même le
monde entier dans une incertitude cons-
tante.
OBSERVER, 25.6
- Irl importe que M. Lloyd George
fasse tous ses efforts pour surmonter l'op-
position des Français, non seulement à l'ad-
mission de l'Allemagne à la Société des na
tions, mais à son élection au conseil. Ce de-
vrait même être là une des ~stipulions de
l'arrangement qui est, ou qui devrait être en
voie de conclusion, arrangement aux termes
duquel la France obtient un soulagement
économique, alors que la Grande-Bretagne
abandonne ses créances tant sur la France
que sur l'Al'lemagnè. L'affaire sera d'autant
plus avantageuse pour nous que nous pour-
rons mieux assurer la stabilité politique et
la pierre de touche, à cet égard, sera l'adhé-
sion complète de l'Allemagne à la Société
des nations.
Dans cet ordre d'idées, il faut que le gou-
vernement britannique prenne l'initiative et
qu'il agisse énergiqnement, car aucun autre
gouvemement ne veut ni ne peut le faire. Le
temps est court -t lord Robert Cecil m'ea*
gène pas en disant que la question est
urgente. Si la prochaine assemblée de la
Société se sépare sans que l'Allemagne y
soit entrée, ce sera que les alliés et elle se
seront engagés dans des voies divergentes
et il sera porté, de ce fait, un nouveau coup
funeste aux éléments démocratiques qui, en
Allemagne, combattent la réaction prus-
sienne. Tôt ou tard, alors, le traité germano-
ruisisie prendra le caractère d'une alliance
militaire, et avant une génération l'ancien
système du groupement sera rétabli, avec
cette différence que les peuples les plus nom-
breux de beaucoup feront partie du groupé
oriental. Ce n'est pas 1ft une simple hypo-
thèse : c'est ce qui ne-peut manquer de se
produire si on laisse se perpétuer l'ancien
système. Les Français ont intérêt d'ailleurs,
plus encore que nous, à mettre fin à ce sys-
tème, car ils sont plus exposés aux attaques
et rien ne peut empêcher les populations
plus nombreuses de disposer, à la longue,
d'une force militaire supérieure si l'on doit
faire appel aux armes et au nombre. Les
Français doivent commencer à se rendre
compte que des mesures d'un autre ordre
envisagées par eux pour conjurer ce danger,
s'effondrent à vue d'œil. L'Allemagne ne
saurait être démembrée comme l'Autriche,
dont les nationalités hétérogènes visaient à
se séparer d'elle et n'attendaient pour cela
qu'une occasion favorable. Il n'est pas pos-
sible, non plus, et ce pour des raisons éco-
nomiques intrinsèques, de la ruiner en ré-
clamant d'elle des indemnités, car ce moyen
ne fait que stimuler son relèvement indus-
triel sans augmenter sa capacité dé paie-
ment. On ne saurait davantage la maintenir
en état d'infériorité par la force, si ce n'est
au prix die sacrifices énormes de la part des
alliés et plus spécialement de la France ;
encore ne serait-ce que pour un nombre
d'années relativement petit. Si le conflit se
perpétue, si l'Allemagne, boycottée par les
alliés, est réduite à chercher ailleurs des
compensations, toutes les appréhensions
françaises seront justifiées et il ne servira
à rien de pallier les faits par des mots. L'AI-
lemagae séria dangereuse : ses 'militaristes
se remettront en selle et, tôt ou tard, repren-
dront les armés. Il n'y aura aucun moyen
d'empêcher ces résultats de se produire, au-
cune précaution sûre permettant de s'en ga-
rantir. La seule ressource qui offre une
chance raisonnable d'échapper au péril est
la Société des nations, et pour 'cela l'adhé-
sion de l'Allemagne est indispensable. —
J.-A. Spender.
WESTMINSTER GAZETTE, 28.6.
-
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LE DEBAT DU 27 JUIN A LA CHAMBRE
DES LORDS. — La question qui préoccupe
actuellement la Grande-Bretagne, et l'on
peut même dire, tous les pays est de savoir
si le premier ministre a une politique étran-
gère précise, ou s'il est l'esclave du mo-
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