Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 juin 1922 14 juin 1922
Description : 1922/06/14 (T21,N2078). 1922/06/14 (T21,N2078).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217045q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
FINISTÈRE
t Dims
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2078
Mercredi 14 juin 1922
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
des ALLEMANDE. — La décision du comité
s banquiers (Frankturter Zeitung,
nische Volkszeitung).
PRESSE t l
d AMERICAINE. — Les Etats-Unis et le
dés Armement (New York Times).
Klit,
PRESSE ANGLAISE. — La décision du comité
Prp banquiers (Daily Telegraph) ; l'im-
tresSlon à Washington (Morning Post).
de , nf®rence de La Haye : La position
de France (Daily Express) : la délé-
gatilon britannique (Morning Post). —
(D s. projets d'accord italo-britanniques
Y Telegraph, Daily News). —
l'EOPlfilon américaine et les dettes de
PIlE uroPe (Times).
RESSE AUTPîr .,.
qUe u mCHIENNE. — La crise économi-
< que autrichienne et le rattachement à
lernagne (Arbeiter Zeitung).
POLITIQUE GENERALE
ià
ra LES REPARATIONS
^IÎII^^SÏON DU COMITE DES BAN
FÉCISION , ESSE ALLEMANDE. — Bien que
~i ; du COmiïé d'emprunt n'apporte
Tési h 1 positif la Franksurter Zei-
da con
tung l serve bon espoir en l'avenir et
k/Par les ^ttbéralions de Paris que la
ti îCtion ri c,larges allemandes est le
kh^°yen assainir l'économie mondiale.
eriCore dit que Ila France s'op-
1 Vr V€f1<:n'' à une réduction de la
^eitia
+e des réparations. Une ré-
*1 Purfx et simple des obligations alle-
WVu ri8 ^fW ET>TIT la France le plus dure-
rs AI,.i t)'^r^ les Causes de répartition
qeé 'p '11" 'c1oit toucher en effet 52 pour
6r Pai^f rïlents allemands. Il faudrait
les i Oonditions de répartition. Il
de répartition. Il
~e~ que les autl"BS ayants droit renon-
s' 4 leur-Part- Jusqu'ici Lloyd George
leur part. Jusqu~ici Lloyd George
ce d^ln Vi Prêt à cette éventualité
^de façon hypothétique. L'autre re-
iVéri és. M9"- ^^Pensation des dettes
ih 11" a,18 ce projet échoue devant
e^rait supporter en ce cas
'Drés Sacrtfice et qui n'a pas l'air,
ellt, de vouloir abandonner le
point de vue purement commercial. L'oppo-
sition de la France à une réduction de la
dette des réparations agit naturellement
comme une pression pour obtenir la com-
pensation internationale des dettes et l'al-
légement corrélatif des charges allemandes.
Il faut attendre maintenant l'évolution des
choses selon ces tendances. Pour les Fran-
çais, une solution de ce genre renferme
l'éventualité redoutable de perdre les
moyens que leur donne le traité de Ver-
sailles de maintenir l'Allemagne en échec.
Ils ne se résoudront que difficilement à
sacrifier leurs pensées politiques de der-
rière la tête à leur intérêt économique.
La décision du comité d'emprunt n'ap-
porte pas à l'Allemagne l'aide immédiate
dont elle a besoin, mais elle n'interdit pas
tout optimisme. Il se réunira au premier
appel. Peut-être a-t-il la conviction que ce
sera bientôt. Les délibérations de Paris
ont eu ce seul résultat, en effet, de mon-
trer au monde la vraie situation, avec auto-
rité. L'Allemagne ne trouvera de crédits
dans une mesure importante que si ses
charges sont réduites. Le comité ne cache
pas non plus que l'Allemagne doit aussi
faire son possible pour offrir des garanties
de crédit, c'est-à-dire qu'elle doit mettre
ses finances en ordre ou au moins y tendre
de tout son effort.
Provisoirement, nos obligations consis-
tent en l'exécution du plan de paiement
pour 1922 qui ne constitue pas une solu-
tion définitive. En effet, on ne nous remet
rien de l'ensemble de la dette fixée par l'ul-
timatum de Londres. Il faut ajouter à cela
les prestations en nature. Il semble qu'à
cet égard, la France veuille faire un usage
plus ample de son droit. Si la décision du
comité ou plutôt le cours des événements
à Paris nous apporte une grande désillu-
sion et laisse peser sur nous tous les paie-
ments de 1922, il n'y a cependant pas de
raison de désespérer. La situation ne s'est
pas améliorée, mais toute la discussion
fut profitable parce qu'elle a montré que
le problème des réparations constitue pour
l'économie et la politique mondiales une
entrave dont il faudra un jour ou l'autre,
d'une façon ou d'une autre, les débarrasser.
FRANKFURTER ZEITUNG,
11.6., 2e matin.
— Le correspondant à Berlin de la Kölnis-
che Volkszeitung écrit, le 12 juin que le ré-
sultat négatif des travaux du comité des
banquiers est accueilli diversement en Alle-
magne.
Les uns croient pouvoir respirer parce que
la « menace » de l'emprunt est écartée ; les
autres sont profondément désillusionnés.
Certains politiciens ne trouvent rien de
mieux à faire que d'entonner la vieille chan-
son de la dislocation définitive de la poli-
tique d'exécution, etc. Certes, la situation
actuelle de l'Allemagne est très difficile,
mais précisément pour cela rien n'est moins
opportun que de se lamenter.
Le mémoire du comité est très important
pour l'Allemagne à plusieurs égards. Il jette
enfin la lumière sur une affaire embrouil-
lée et offre une base pour la solution eu
problème des réparations. Toute la ques-
tion de l'emprunt et des réparations a été
embrouillée non seulement par la presse
française, mais aussi, dans une mesure
considérable, par les discussions auxquelles
on s'est livré en Allemagne.
Avant toute autre, ce fut la question de la
solution, définitive ou provisoire, du problè-
me des réparations, et la question de sa-
voir s'il fallait mettre un terme à tout prix
à la politique du répit, même au prix d'une
occupation de la Ruhr. Sur ce point, au
moins dans une certaine mesure, le mémo-
randum jette. la clarté. Il y est dit qu'une
courte paix est pour nous sans intérêt. Le
but à poursuivre doit être la solution défi-
nitive du problème des réparations. Défi-
nitive non pas en ce sens que tout doit être
résolu en une seule conférence par une dé-
cision unique, mais en ce sens qu'il faut
prendre une décision de principe qui per-
mette une discussion calme et sûre du pro-
blème des réparations. Cette solution défini-
tive n'est pas possible tant que l'on n'écarte
pas la menace des sanctions et que l'on
ne décide pas de fixer le montant de la dette
allemande à un taux raisonnable. La capa-
cité de prestation ne. peut être fixée par
les politiciens d'après des données politi-
ques, mais par des hommes d'affaires selon
les données de l'économie politique. Les
dettes de l'Allemange doivent être mainte-
nues dans les limites telles que les prêteurs
étrangers ne perdent pas leur confiance en
sa capacité de paiement.
On se souvient que l'Allemagne avait fait
dépendre la réalisation de ses promesses sur
le contrôle financier et la réduction de l'in-
flation, de la réalisation d'un emprunt dans
un délai opportun.
Du fait que l'emprunt a été empêché par
l'attitude de la France, les promesses al-
lemandes tombent de plein droit. Il ne sera
guère plus possible maintenant d'attribuer
une mauvaise volonté à l'Allemagne si notre
situation économique empire au point de
nous empêcher de satisfaire à nos obliga-
tions.
La politique allemande a encore la possibilité
de poursuivre pratiquemment la solution du pro-
blème des réparations en restant en contact avec
t Dims
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2078
Mercredi 14 juin 1922
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
des ALLEMANDE. — La décision du comité
s banquiers (Frankturter Zeitung,
nische Volkszeitung).
PRESSE t l
d AMERICAINE. — Les Etats-Unis et le
dés Armement (New York Times).
Klit,
PRESSE ANGLAISE. — La décision du comité
Prp banquiers (Daily Telegraph) ; l'im-
tresSlon à Washington (Morning Post).
de , nf®rence de La Haye : La position
de France (Daily Express) : la délé-
gatilon britannique (Morning Post). —
(D s. projets d'accord italo-britanniques
Y Telegraph, Daily News). —
l'EOPlfilon américaine et les dettes de
PIlE uroPe (Times).
RESSE AUTPîr .,.
qUe u mCHIENNE. — La crise économi-
< que autrichienne et le rattachement à
lernagne (Arbeiter Zeitung).
POLITIQUE GENERALE
ià
ra LES REPARATIONS
^IÎII^^SÏON DU COMITE DES BAN
FÉCISION , ESSE ALLEMANDE. — Bien que
Tési h 1 positif la Franksurter Zei-
da con
tung l serve bon espoir en l'avenir et
ti îCtion ri c,larges allemandes est le
kh^°yen assainir l'économie mondiale.
eriCore dit que Ila France s'op-
1 Vr V€f1<:n'' à une réduction de la
^eitia
+e des réparations. Une ré-
*1 Purfx et simple des obligations alle-
WVu ri8 ^fW ET>TIT la France le plus dure-
rs AI,.i t)'^r^ les Causes de répartition
qeé 'p '11" 'c1oit toucher en effet 52 pour
6r Pai^f rïlents allemands. Il faudrait
les i Oonditions de répartition. Il
de répartition. Il
~e~ que les autl"BS ayants droit renon-
s' 4 leur-Part- Jusqu'ici Lloyd George
leur part. Jusqu~ici Lloyd George
ce d^ln Vi Prêt à cette éventualité
^de façon hypothétique. L'autre re-
iVéri és. M9"- ^^Pensation des dettes
ih 11" a,18 ce projet échoue devant
e^rait supporter en ce cas
'Drés Sacrtfice et qui n'a pas l'air,
ellt, de vouloir abandonner le
point de vue purement commercial. L'oppo-
sition de la France à une réduction de la
dette des réparations agit naturellement
comme une pression pour obtenir la com-
pensation internationale des dettes et l'al-
légement corrélatif des charges allemandes.
Il faut attendre maintenant l'évolution des
choses selon ces tendances. Pour les Fran-
çais, une solution de ce genre renferme
l'éventualité redoutable de perdre les
moyens que leur donne le traité de Ver-
sailles de maintenir l'Allemagne en échec.
Ils ne se résoudront que difficilement à
sacrifier leurs pensées politiques de der-
rière la tête à leur intérêt économique.
La décision du comité d'emprunt n'ap-
porte pas à l'Allemagne l'aide immédiate
dont elle a besoin, mais elle n'interdit pas
tout optimisme. Il se réunira au premier
appel. Peut-être a-t-il la conviction que ce
sera bientôt. Les délibérations de Paris
ont eu ce seul résultat, en effet, de mon-
trer au monde la vraie situation, avec auto-
rité. L'Allemagne ne trouvera de crédits
dans une mesure importante que si ses
charges sont réduites. Le comité ne cache
pas non plus que l'Allemagne doit aussi
faire son possible pour offrir des garanties
de crédit, c'est-à-dire qu'elle doit mettre
ses finances en ordre ou au moins y tendre
de tout son effort.
Provisoirement, nos obligations consis-
tent en l'exécution du plan de paiement
pour 1922 qui ne constitue pas une solu-
tion définitive. En effet, on ne nous remet
rien de l'ensemble de la dette fixée par l'ul-
timatum de Londres. Il faut ajouter à cela
les prestations en nature. Il semble qu'à
cet égard, la France veuille faire un usage
plus ample de son droit. Si la décision du
comité ou plutôt le cours des événements
à Paris nous apporte une grande désillu-
sion et laisse peser sur nous tous les paie-
ments de 1922, il n'y a cependant pas de
raison de désespérer. La situation ne s'est
pas améliorée, mais toute la discussion
fut profitable parce qu'elle a montré que
le problème des réparations constitue pour
l'économie et la politique mondiales une
entrave dont il faudra un jour ou l'autre,
d'une façon ou d'une autre, les débarrasser.
FRANKFURTER ZEITUNG,
11.6., 2e matin.
— Le correspondant à Berlin de la Kölnis-
che Volkszeitung écrit, le 12 juin que le ré-
sultat négatif des travaux du comité des
banquiers est accueilli diversement en Alle-
magne.
Les uns croient pouvoir respirer parce que
la « menace » de l'emprunt est écartée ; les
autres sont profondément désillusionnés.
Certains politiciens ne trouvent rien de
mieux à faire que d'entonner la vieille chan-
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actuelle de l'Allemagne est très difficile,
mais précisément pour cela rien n'est moins
opportun que de se lamenter.
Le mémoire du comité est très important
pour l'Allemagne à plusieurs égards. Il jette
enfin la lumière sur une affaire embrouil-
lée et offre une base pour la solution eu
problème des réparations. Toute la ques-
tion de l'emprunt et des réparations a été
embrouillée non seulement par la presse
française, mais aussi, dans une mesure
considérable, par les discussions auxquelles
on s'est livré en Allemagne.
Avant toute autre, ce fut la question de la
solution, définitive ou provisoire, du problè-
me des réparations, et la question de sa-
voir s'il fallait mettre un terme à tout prix
à la politique du répit, même au prix d'une
occupation de la Ruhr. Sur ce point, au
moins dans une certaine mesure, le mémo-
randum jette. la clarté. Il y est dit qu'une
courte paix est pour nous sans intérêt. Le
but à poursuivre doit être la solution défi-
nitive du problème des réparations. Défi-
nitive non pas en ce sens que tout doit être
résolu en une seule conférence par une dé-
cision unique, mais en ce sens qu'il faut
prendre une décision de principe qui per-
mette une discussion calme et sûre du pro-
blème des réparations. Cette solution défini-
tive n'est pas possible tant que l'on n'écarte
pas la menace des sanctions et que l'on
ne décide pas de fixer le montant de la dette
allemande à un taux raisonnable. La capa-
cité de prestation ne. peut être fixée par
les politiciens d'après des données politi-
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les données de l'économie politique. Les
dettes de l'Allemange doivent être mainte-
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étrangers ne perdent pas leur confiance en
sa capacité de paiement.
On se souvient que l'Allemagne avait fait
dépendre la réalisation de ses promesses sur
le contrôle financier et la réduction de l'in-
flation, de la réalisation d'un emprunt dans
un délai opportun.
Du fait que l'emprunt a été empêché par
l'attitude de la France, les promesses al-
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guère plus possible maintenant d'attribuer
une mauvaise volonté à l'Allemagne si notre
situation économique empire au point de
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La politique allemande a encore la possibilité
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