Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 juin 1922 08 juin 1922
Description : 1922/06/08 (T21,N2073). 1922/06/08 (T21,N2073).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217040n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
BPF1STÈRE
DES
PAiBES ÉTRANGÈRES
N° 2073
Jeudi 8 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLEMANDE. — L'admission de l'Alle-
magne dans la Société des nations : à
Pfo du discours de M. Noblemaire
niScflG Zeitund).
t l AMÉRICAINE. — La presse Hearst et
lap191106 (New York American). — Les
l seco a-méricains à la Russie (New
i
l\Ti:ss kTHbm^
E ANCLAISE. — Les réparations : le pro-
jet emprunt international (Daily
jr^rnes)- — La conférence de La
Hàv : le mémorandum français (Daily
Le projet de Pacte
Telegraph). ) - — Le projet de pacte
! Tqi6q 0ritarHiique (Morning Post, Daily
rC egraph). — La France et les Kema-
: et w Telegraph). — La Bulgarie
l'et la. Thrace (Daily Telegraph). ■— La
p raIte de M. Bakhmetev (Morning
I Post) - Le débat sur le tarif douanier
au Sénat américain (Morning Post).
~ss
f ^SSE °LI,ANDA^SE" — La conférence de La
mémorandum français (Stam-
I U)e ltotterdarnsche courant, Algemeen
ndelsblad). C°urant, Algemeen
IT~
UllEXNE- - La conférence de La
Hays 1 memoTanùum français (Stam-
Pa). -:- Te es" rapports italo-britanniques :
K toondo?**™ *a Chambre italienne
la discussion à La Chambre italienne
(Mondo). Chambre, italienne
EDITIQUE GENERALE
lES REPARATIONS
P?JT ^'EMPRUNT INTERNATIO-
e SE ANGLAISE. — La presse libé-
Se! es Pe.ndante a toujours fondé de sé-
~es Ô e$poirs SUr les travaux du comité
^an2uipt> S' ^a Westminster Gazette
ki sur So^u^on au moins partielle
problème des réparations. par~e~e
! lp c°rresr)^n<^ant diplomatique du Daily
~ÊWSj H. diplomatique d~ Daily
~ef, H. W. Harris, manifeste moins de
échec °u^e les répercussions d'un
! A C r)m-'Ad'emp™t
d'emprunt.
Provî5^ réduction de la dette alle-
A défaut d'une réduction -de la dette a e-
LNS aUra Pas d'emprunt, l'accord
^irie clUlelu aVec l'Allemagne perdra
~F^w>te avec l'Allemagne perdra
e valeur, de même que le
er\ à. Cannes et confirmé la
4 itle l'Allemagne sera déclarée
t, et
tet 1,% question des sanctions se
E^u V au dans toute son ampleur.
~tllql) Ba.
iqu s prévoit que les délégués bri-
~~,,~~*~~t!o~ à la commission demande-
hon substantielle de l'état de i paie-
ment, tandis que la Belgique et la France in-
sisteront pour l'exécution intégrale du traité.
L'émission d'un emprunt présente cependant
pour la France un intérêt considérable. Il se
peut donc que son délégué, M. Dubois, qui s'est
entretenu hier avec M. Poincaré, présente des
propositions d'ordre pratique, au lieu de s'en
tenir à un refus pur et simple de modifier les
termes du traité.
DAILY NEWS, 7,6.
— Le Times (7.6) suppose que le comité
des banquiers recommandera, à défaut d'une ré-
duction totale de la dette, une diminution des
charges annuelles de l'Allemagne, pour une pé-
riode limitée (vingt années par exemple). Mais
cette proposition, qui est peut-être approuvée
par la majorité de la commission des répara-
tions, soulève en France des inquiétudes fort
compréhensibles.
« Il faut que les demandes légitimes de la.
France soient garanties de façon satisfaisante
et ferme. »
——— ———
1
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
L'ADMISSION DE L'ALLEMAGNE. — A
PROPOS DU DISCOURS DE M. NOBLEMAIRE. -
De Genève, 3 juin : Ce n'est plus un mystère
que dans les milieux touchant de près au se-
crétariat de la Société des nations on voudrait
faire pression sur les personnalités allemandes,
pour provoquer une demande d'admission de la
part de l'Allemagne. Ces efforts sont stimulés
surtout par cette idée que, sans l'entrée de
l'Allemagne dans la Société, celle-ci ne peut
subsister à la longue.
Moins que jamais on ne peut se dissi-
muler le fait, à Genève, que la question
« Allemagne et Société des nations » ne
constitue qu'un côté de la question « Alle-
magne et France ». Durant les négociations
de Paris en 1918 et 1919, durant la pre-
mière assemblée de la Société en 1920 et
la seconde en 1921, la France fut toujours
l'adversaire de l'accession de l'Allemagne.
Il en a été de même lors des conversations
de coulisses, à Gênes et à Genève, ces der-
niers temps. Mais comme l'ont fait re-
marquer des personnalités touchant à la
Société, l'opposition de 'la France ne doit
pas effrayer, car il suffit d'une majorité
des deux tiers pour autoriser l'accession
de l'Allemagne, majorité qui semble pou-
voir être atteinte même sans la France.
Pourtant, il ne faut guère compter qu'une
assemblée de la Société vote pour nous
contre la France. Mais même si notre ad-
mission à rencontre de la France était une
chose assurée, ce serait une solution ex-
trêmement dangereuse pour l'Allemagne
comme pour la Société ; il faudrait donc
la rejeter. La Société des nations est-elle
destinée à être l'arène d'un nouveau con-
flit franco-allemand ? On ne comprend pas
comment des pacifistes et des partisans du
rapprochement germano-français peuvent
préconiser semblable aventure !
Ajoutons à cela que du point de vue pure-
ment pratique, une entrée de l'Allemagne
dans la Société, contrairement, à la volonté
de la France, est une chose presque impos-
sible, car la miajorité des deux tiers dans
l'assemblée niel suffit pas. La Société ne
se compose pas uniquement de l'assem-
blée qui se réunit une fois par an et prend
des décisions plus ou moins platoniques,
eUe comporte encore le secrétariat général
mais surtout le conseil de la Société, puis-
sance effective. Le conseil de la Société
des nations a en mains, surtout pour les
questions touchant l'Allemagne tout le
pouvoir.
Peut-on compter dans un temps assez proche
sur l'assentiment nécessaire de la France 1
Rien ne serait plus souhaitable. Le récent dis-
cours de M. Noblemaire vient éclairer ce point.
M. Noblemaire, représentant de la France
à la dernière assemblée de la Société des
nations, l'un des députés modérés les. plus
en vue et le seul Français, considérable
peut-être qui, avec Léon Bourgeois, prenne
l'organisation de Genève au sérieux, a fait
un long discours à Lyon sur l'entrée de
l'Allemagne dans la Société des nations. En'
sa qualité de président de la commission de
contrôle de la Société des .nations. M. No-
blemaire a eu l'occasion de s'éclairer sur
l'opinion des personnalités du secrétariat
de la Société et aussi sur l'opinion publique
allemande. Il a pu apprendre ainsi qme
l'opinion allemande ne voulait à aucun prix
des conditions humiliantes posées en 1920
par la France et maintenues en 1921 pour
son accession et qu'elle réclamait al moins
une égalité juridique semblable à celle ob-
tenue à Gênes. Mais M. Noblemaire ne veut
pas d'une entrée sans conditions. Presque
triomphant, il déclare qu'il a fait échouer
la proposition argentine qui demandait l'ac-
cession sans conditions. On sait que cette
motion devait reparaître à l'assemblée de
l'automne prochain et dans certains mi-
lieux on espérait déjà que son acceptation
permettrait, cette fois, l'entrée de l'Alle-
magne dans la Société.
La déclaration de M. Noblemaire met fin
à ces espérances. La France s'en tient tou-
jours aux anciennes conditions et exige que
l'Allemagne apporte la preuve de sa volonté
de remplir loyalement ses obligations.
M. Noblemaire , qui parlait peu avant l'échéan-
ce du 31 mai, a exprimé l'espoir de voir l'Al-
lemagne se servir de cette décision pour donner
cette preuve. Mais il ne dit pas s'il veut encore
d'autres conditions et l'on ne peut donc considé-
rer sa déclaration comme un réel progrès.
IL Y A AUSSI UNE ÉQUIVOQUE. — Dans son
discours, M. Noblemaire n'envisage en fait
qu'une admission à l'assemblée. Or l'Alle-
magne, elle, songe au conseil de la Société.
1
DES
PAiBES ÉTRANGÈRES
N° 2073
Jeudi 8 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLEMANDE. — L'admission de l'Alle-
magne dans la Société des nations : à
Pfo du discours de M. Noblemaire
niScflG Zeitund).
t l AMÉRICAINE. — La presse Hearst et
lap191106 (New York American). — Les
l seco a-méricains à la Russie (New
i
l\Ti:ss kTHbm^
E ANCLAISE. — Les réparations : le pro-
jet emprunt international (Daily
jr^rnes)- — La conférence de La
Hàv : le mémorandum français (Daily
Le projet de Pacte
Telegraph). ) - — Le projet de pacte
! Tqi6q 0ritarHiique (Morning Post, Daily
rC egraph). — La France et les Kema-
: et w Telegraph). — La Bulgarie
l'et la. Thrace (Daily Telegraph). ■— La
p raIte de M. Bakhmetev (Morning
I Post) - Le débat sur le tarif douanier
au Sénat américain (Morning Post).
~ss
f ^SSE °LI,ANDA^SE" — La conférence de La
mémorandum français (Stam-
I U)e ltotterdarnsche courant, Algemeen
ndelsblad). C°urant, Algemeen
IT~
UllEXNE- - La conférence de La
Hays 1 memoTanùum français (Stam-
Pa). -:- Te es" rapports italo-britanniques :
K toondo?**™ *a Chambre italienne
la discussion à La Chambre italienne
(Mondo). Chambre, italienne
EDITIQUE GENERALE
lES REPARATIONS
P?JT ^'EMPRUNT INTERNATIO-
e SE ANGLAISE. — La presse libé-
Se! es Pe.ndante a toujours fondé de sé-
~es Ô e$poirs SUr les travaux du comité
^an2uipt> S' ^a Westminster Gazette
ki sur So^u^on au moins partielle
problème des réparations. par~e~e
! lp c°rresr)^n<^ant diplomatique du Daily
~ÊWSj H. diplomatique d~ Daily
~ef, H. W. Harris, manifeste moins de
échec °u^e les répercussions d'un
! A C r)m-'Ad'emp™t
d'emprunt.
Provî5^ réduction de la dette alle-
A défaut d'une réduction -de la dette a e-
LNS aUra Pas d'emprunt, l'accord
^irie clUlelu aVec l'Allemagne perdra
~F^w>te avec l'Allemagne perdra
e valeur, de même que le
er\ à. Cannes et confirmé la
4 itle l'Allemagne sera déclarée
t, et
tet 1,% question des sanctions se
E^u V au dans toute son ampleur.
~tllql) Ba.
iqu s prévoit que les délégués bri-
~~,,~~*~~t!o~ à la commission demande-
hon substantielle de l'état de i paie-
ment, tandis que la Belgique et la France in-
sisteront pour l'exécution intégrale du traité.
L'émission d'un emprunt présente cependant
pour la France un intérêt considérable. Il se
peut donc que son délégué, M. Dubois, qui s'est
entretenu hier avec M. Poincaré, présente des
propositions d'ordre pratique, au lieu de s'en
tenir à un refus pur et simple de modifier les
termes du traité.
DAILY NEWS, 7,6.
— Le Times (7.6) suppose que le comité
des banquiers recommandera, à défaut d'une ré-
duction totale de la dette, une diminution des
charges annuelles de l'Allemagne, pour une pé-
riode limitée (vingt années par exemple). Mais
cette proposition, qui est peut-être approuvée
par la majorité de la commission des répara-
tions, soulève en France des inquiétudes fort
compréhensibles.
« Il faut que les demandes légitimes de la.
France soient garanties de façon satisfaisante
et ferme. »
——— ———
1
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
L'ADMISSION DE L'ALLEMAGNE. — A
PROPOS DU DISCOURS DE M. NOBLEMAIRE. -
De Genève, 3 juin : Ce n'est plus un mystère
que dans les milieux touchant de près au se-
crétariat de la Société des nations on voudrait
faire pression sur les personnalités allemandes,
pour provoquer une demande d'admission de la
part de l'Allemagne. Ces efforts sont stimulés
surtout par cette idée que, sans l'entrée de
l'Allemagne dans la Société, celle-ci ne peut
subsister à la longue.
Moins que jamais on ne peut se dissi-
muler le fait, à Genève, que la question
« Allemagne et Société des nations » ne
constitue qu'un côté de la question « Alle-
magne et France ». Durant les négociations
de Paris en 1918 et 1919, durant la pre-
mière assemblée de la Société en 1920 et
la seconde en 1921, la France fut toujours
l'adversaire de l'accession de l'Allemagne.
Il en a été de même lors des conversations
de coulisses, à Gênes et à Genève, ces der-
niers temps. Mais comme l'ont fait re-
marquer des personnalités touchant à la
Société, l'opposition de 'la France ne doit
pas effrayer, car il suffit d'une majorité
des deux tiers pour autoriser l'accession
de l'Allemagne, majorité qui semble pou-
voir être atteinte même sans la France.
Pourtant, il ne faut guère compter qu'une
assemblée de la Société vote pour nous
contre la France. Mais même si notre ad-
mission à rencontre de la France était une
chose assurée, ce serait une solution ex-
trêmement dangereuse pour l'Allemagne
comme pour la Société ; il faudrait donc
la rejeter. La Société des nations est-elle
destinée à être l'arène d'un nouveau con-
flit franco-allemand ? On ne comprend pas
comment des pacifistes et des partisans du
rapprochement germano-français peuvent
préconiser semblable aventure !
Ajoutons à cela que du point de vue pure-
ment pratique, une entrée de l'Allemagne
dans la Société, contrairement, à la volonté
de la France, est une chose presque impos-
sible, car la miajorité des deux tiers dans
l'assemblée niel suffit pas. La Société ne
se compose pas uniquement de l'assem-
blée qui se réunit une fois par an et prend
des décisions plus ou moins platoniques,
eUe comporte encore le secrétariat général
mais surtout le conseil de la Société, puis-
sance effective. Le conseil de la Société
des nations a en mains, surtout pour les
questions touchant l'Allemagne tout le
pouvoir.
Peut-on compter dans un temps assez proche
sur l'assentiment nécessaire de la France 1
Rien ne serait plus souhaitable. Le récent dis-
cours de M. Noblemaire vient éclairer ce point.
M. Noblemaire, représentant de la France
à la dernière assemblée de la Société des
nations, l'un des députés modérés les. plus
en vue et le seul Français, considérable
peut-être qui, avec Léon Bourgeois, prenne
l'organisation de Genève au sérieux, a fait
un long discours à Lyon sur l'entrée de
l'Allemagne dans la Société des nations. En'
sa qualité de président de la commission de
contrôle de la Société des .nations. M. No-
blemaire a eu l'occasion de s'éclairer sur
l'opinion des personnalités du secrétariat
de la Société et aussi sur l'opinion publique
allemande. Il a pu apprendre ainsi qme
l'opinion allemande ne voulait à aucun prix
des conditions humiliantes posées en 1920
par la France et maintenues en 1921 pour
son accession et qu'elle réclamait al moins
une égalité juridique semblable à celle ob-
tenue à Gênes. Mais M. Noblemaire ne veut
pas d'une entrée sans conditions. Presque
triomphant, il déclare qu'il a fait échouer
la proposition argentine qui demandait l'ac-
cession sans conditions. On sait que cette
motion devait reparaître à l'assemblée de
l'automne prochain et dans certains mi-
lieux on espérait déjà que son acceptation
permettrait, cette fois, l'entrée de l'Alle-
magne dans la Société.
La déclaration de M. Noblemaire met fin
à ces espérances. La France s'en tient tou-
jours aux anciennes conditions et exige que
l'Allemagne apporte la preuve de sa volonté
de remplir loyalement ses obligations.
M. Noblemaire , qui parlait peu avant l'échéan-
ce du 31 mai, a exprimé l'espoir de voir l'Al-
lemagne se servir de cette décision pour donner
cette preuve. Mais il ne dit pas s'il veut encore
d'autres conditions et l'on ne peut donc considé-
rer sa déclaration comme un réel progrès.
IL Y A AUSSI UNE ÉQUIVOQUE. — Dans son
discours, M. Noblemaire n'envisage en fait
qu'une admission à l'assemblée. Or l'Alle-
magne, elle, songe au conseil de la Société.
1
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/10
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6217040n/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6217040n/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6217040n/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6217040n/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6217040n
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6217040n
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6217040n/f1.image × Aide