Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 juin 1922 05 juin 1922
Description : 1922/06/05 (T21,N2071)-1922/06/06. 1922/06/05 (T21,N2071)-1922/06/06.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217038k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
M MINISTÈRE
ijj DES
'S ÉTRANGÈRES
'&
1
N° 2071
Lundi 5-Mardi 6 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. — Les réparations : le
iseours de M. Lloyd George aux Com-
munes le 31 mai (Berliner Tageblatt); le
dJscou:rs de M. Poincaré à la Chambre
tun députés le 1er juin {Frankfurter Zei-
FTÎ:SSE ANGLAISE. — Le discours de M. Poin-
?U!'é à la Chambre des députés le 1er
j^in (Pall Mall Gazette). — Le projet
ern'Prunt ,in ter nation ail (Westminster
Gazette, Morning Post). — La Confé-
rence de La Haye : le mémorandum
^an-çais {Times Morning Post, Sunday
1W Westminster Gazette).
D~~ SE ITALIENNE. — Les incidents de Bo
~~ne (Corriere della Sera).
--,,--
POLITIQUE GENERALE
tt. LES REPARATIONS
LE DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE
COMMUNES (31 MAI). — OPINION ALLE-
Go~ - M. Lloyd George a déclaré aux
Communes qu'en corrélation avec la poli-
tique allemande d'exécution, les Alliés doi-
en une politique de modération
en tenant compte, conformément aux sti-
~pulation du traité, de la faculté de paie-
e l'Allemagne.
ent aux stipulations. Nous
~stons là-dessus. Plus importante que
N 6;rOles amicales par lesquelles Lloyd
ge T'\ecannaït la loyauté du gouverne-
Bk aneiI1'airL^ de coalition, est pour nous
le avec laquelle il a mis le doigt
stipulations du traité où sont ins-
es obligations des puissances créan-
jjWBÉk11» la question des réparations. Il
san de la politique d'exécution du
elQU- la signification modérée que
annons et qui est fondée, je le
l'essence même du traité ». C'est
~eponse à l'obstination de Poincaré
e aux attributions souveraines
ission, des réparations : elle
M la commission n'a pas seule-
BB (les sommes dont le non-paie-
le une marche sur Francfort
HWM|gie ^ngE^ais qu'elle doit aussi écouter
avec attention, estimer sa ca-
aiem,ent et qu'elle est expres-
ée à modifier de temps en
xigences. Jamais l'abandon de
de sanctions, abandon corréla-
er de la politique d'exécution
lI'rrlé aussi nettement qu'en
Cela veut dire pour nous
e la revision des stipulations
nous est ouverte par l'An-
dépend de nous — écoutez-
~Mm eric h ? .-:- de la refermer.
Si les actes de M. Lloyd George sont
aussi logiques et sensés que ce véritable
discours d'homme d'Etat — le meilleur
qu'il ait prononcé depuis longtemps — le
monde fera à nouveau un léger progrès
vers la réalisation des objestifs auxquels
on a tendu à Gènes avec un mince succès.
Il ne faut point désespérer. Car, en un
certain sens, ce discours qui renferme une
obligation visible, est déjà un acte. Il aura,
on en peut être persuadé, une influence
sur les délibérations du comité de l'em-
prunt à Paris. C'est pour la mise sur pied
de l'emprunt un facteur qui, sans être déci-
sif, est du moins favorable. — J. S.
BERLINER TAGEBLATT. 1.6, soir.
, LE DISCOURS DE M. POINCARE A LA
CHAMBRE DES DÉPUTÉS (1er JUIN). — Que doit-
on croire ? Des paroles menaçantes de M.
Poincaré à la Chambre ou la politique plus
réaliste qui semble vouloir triompher en
fait ?
M. Poincaré est un homme très sûr de
lui. Il pourrait risquer de préconiser une
politique purement réaliste, politique à la-
quelle il semble déjà se rallier en fait.
La nouvelle attitude de la commission des,
réparations a, en effet, l'assentiment même
du gouvernement français. Mais lorsque,
ces jours-ci, il tient à la Chambre des dis-
cours qui ne le cèdent pas en chauvinisme
et en autoritarisme, à celui de Bar-le-Duc,
il oblige le monde à se demander si sa po-
litique pratique est conçue loyalement.
Lorsqu'à une table verte, où siège Morgan,
on veut arriver à une décision sérieuse,
il ne faut pas se livrer à des démonstra
tions contraires devant le Parlement. L'em-
prunt qui, pour l'instant, est le problème
fondamental pour la France elle aussi, ne
peut réussir que dans une atmosphère cal-
me. Les Américains ont suffisamment fait
comprendre aux Français qu'ils considé-
raient leur goût d'aventures comme un
élément d'insécurité les incitant à ne pas
prêter leur argent. Pourquoi donc faire à
nouveau tout ce bruit pour un droit d'exé-
cution séparé, contesté par les Alliés les
plus proches ? M. Poincaré s'est encore ef-
forcé de fonder ce droit sur le texte du trai-
té. Nous ne réfuterons pas une nouvelle
fois le détail de cette construction artifi-
cielle. Nous demandons seulement : pour-
quoi les Alliés n'ont pas exprimé formel-
lement dans le traité un droit aussi consi-
dérable que le droit d'exécution séparée.
Pourquoi fallût-il, comme Poincaré l'a ra-
conté lui-même, au moyen du seul petit
mot « respectifs », l'introduire, pour ainsi
dire, en contrebande ? Un juriste aussi
consommé que M. Poincaré sait qu'on in-
terprète les passages obscurs ou amphibo-
logiques d'une loi d'après l'intention du lé-
gislateur. Il en va de même des traités.
Lorsque la p^cho lui demanda s'il pro-
jetait toujours une action isolée de la
France, Poincaré a répondu hier : « je ne
la désire pas ! » Si tout son discours avait
reposé sur ce mot, il aurait eu une influen-
ce apaisante. Mais il n'abandonne pas cette
idée que l'on doit continuer de laisser pe-
ser une menace sur l'Allemagne. Tant qu'il
persistera dans cette attitude, il ne pourra
dire qu'il souhaite des rapports satisfai-
sants avec l'Allemagne et qu'il ne poursuit
que l'exécution du traité. En effet, les me-
naces officielles françaises dans la ques-
tion des réparations se sont exercées au
moment où l'on arrivait à une discussion
raisonnable de ce problème purement éco-
nomique.
Et si réellement la France ne veut que
l'exécution du traité de paix, personne ne
comprend sa politique sur la Sarre, en ter-
ritoire rhénan occupé, à l'est de l'Europe.
Partout, en effet, chaque démarche des
Français tend à la dislocation de l'unité al-
lemande et à l'abaissement de l'Allemagne.
Puisse M. Poincaré, au lieu de toute cette
dissimulation, laisser régner la célèbre
« clarté française », et il verra combien de
choses changeront en Allemagne et dans le
monde !
FRANKFUTUR ZEITUNG, 2.6, soir.
- Le discours prononcé à la Chambre
par M. Poincaré, au sujet de l'histoire de
Gênes et des perspectives de La Haye était
rédigé en un langage modéré.
Il est assez singulier de lui voir préten-
dre que la faute n'a pas été à la France si
les résultats de là conférence n'ont pas été
plus grands — surtout lorsqu'on se rappelle
à quel point la presse française se montrait
désireuse de voir s'effondrer toute l'œuvre
de reconstruction. -
Cependant, personne chez nous. ne vou-
dra insister outre mesure sur le passé, si
M. Poincaré se propose de donner à sa
politique une orientation nouvelle. Que la
Frances y collabore, ou qu'elle se tienne
à l'écart, La politique de Gênes continue,
avec l'appui de la plus grande partie de
l'Europe.
Il n'est plus possible, désormais, à au-
cune puissance de maintenir indéfini-
ment à couteaux tirés les nations du con-
tinent.
PALL MALL GAZETTE, 2.6.
LE PROJET D'EMPRUNT INTERNA
TIONAL. — PRESSE ANGLAISE. — .La. ques-
lion des dettes interalliées et les réparations
tourne dans un cercle vicieux. La West-
minster Gazette estime que la Grande-Bre-
tagne devrait, la première, en sortir :
M. Pierpont Morgan ne vient pas en Eu-
rope afin de distribuer des secours de cha-
rité, mais afin de voir, s'il n'y aurait pas
moyen de faire quelque chose pour la re-
construction du continent européen sur des
ijj DES
'S ÉTRANGÈRES
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1
N° 2071
Lundi 5-Mardi 6 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. — Les réparations : le
iseours de M. Lloyd George aux Com-
munes le 31 mai (Berliner Tageblatt); le
dJscou:rs de M. Poincaré à la Chambre
tun députés le 1er juin {Frankfurter Zei-
FTÎ:SSE ANGLAISE. — Le discours de M. Poin-
?U!'é à la Chambre des députés le 1er
j^in (Pall Mall Gazette). — Le projet
ern'Prunt ,in ter nation ail (Westminster
Gazette, Morning Post). — La Confé-
rence de La Haye : le mémorandum
^an-çais {Times Morning Post, Sunday
1W Westminster Gazette).
D~~ SE ITALIENNE. — Les incidents de Bo
~~ne (Corriere della Sera).
--,,--
POLITIQUE GENERALE
tt. LES REPARATIONS
LE DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE
COMMUNES (31 MAI). — OPINION ALLE-
Go~ - M. Lloyd George a déclaré aux
Communes qu'en corrélation avec la poli-
tique allemande d'exécution, les Alliés doi-
en une politique de modération
en tenant compte, conformément aux sti-
~pulation du traité, de la faculté de paie-
e l'Allemagne.
ent aux stipulations. Nous
~stons là-dessus. Plus importante que
N 6;rOles amicales par lesquelles Lloyd
ge T'\ecannaït la loyauté du gouverne-
Bk aneiI1'airL^ de coalition, est pour nous
le avec laquelle il a mis le doigt
stipulations du traité où sont ins-
es obligations des puissances créan-
jjWBÉk11» la question des réparations. Il
san de la politique d'exécution du
elQU- la signification modérée que
annons et qui est fondée, je le
l'essence même du traité ». C'est
~eponse à l'obstination de Poincaré
e aux attributions souveraines
ission, des réparations : elle
M la commission n'a pas seule-
BB (les sommes dont le non-paie-
le une marche sur Francfort
HWM|gie ^ngE^ais qu'elle doit aussi écouter
avec attention, estimer sa ca-
aiem,ent et qu'elle est expres-
ée à modifier de temps en
xigences. Jamais l'abandon de
de sanctions, abandon corréla-
er de la politique d'exécution
lI'rrlé aussi nettement qu'en
Cela veut dire pour nous
e la revision des stipulations
nous est ouverte par l'An-
dépend de nous — écoutez-
~Mm eric h ? .-:- de la refermer.
Si les actes de M. Lloyd George sont
aussi logiques et sensés que ce véritable
discours d'homme d'Etat — le meilleur
qu'il ait prononcé depuis longtemps — le
monde fera à nouveau un léger progrès
vers la réalisation des objestifs auxquels
on a tendu à Gènes avec un mince succès.
Il ne faut point désespérer. Car, en un
certain sens, ce discours qui renferme une
obligation visible, est déjà un acte. Il aura,
on en peut être persuadé, une influence
sur les délibérations du comité de l'em-
prunt à Paris. C'est pour la mise sur pied
de l'emprunt un facteur qui, sans être déci-
sif, est du moins favorable. — J. S.
BERLINER TAGEBLATT. 1.6, soir.
, LE DISCOURS DE M. POINCARE A LA
CHAMBRE DES DÉPUTÉS (1er JUIN). — Que doit-
on croire ? Des paroles menaçantes de M.
Poincaré à la Chambre ou la politique plus
réaliste qui semble vouloir triompher en
fait ?
M. Poincaré est un homme très sûr de
lui. Il pourrait risquer de préconiser une
politique purement réaliste, politique à la-
quelle il semble déjà se rallier en fait.
La nouvelle attitude de la commission des,
réparations a, en effet, l'assentiment même
du gouvernement français. Mais lorsque,
ces jours-ci, il tient à la Chambre des dis-
cours qui ne le cèdent pas en chauvinisme
et en autoritarisme, à celui de Bar-le-Duc,
il oblige le monde à se demander si sa po-
litique pratique est conçue loyalement.
Lorsqu'à une table verte, où siège Morgan,
on veut arriver à une décision sérieuse,
il ne faut pas se livrer à des démonstra
tions contraires devant le Parlement. L'em-
prunt qui, pour l'instant, est le problème
fondamental pour la France elle aussi, ne
peut réussir que dans une atmosphère cal-
me. Les Américains ont suffisamment fait
comprendre aux Français qu'ils considé-
raient leur goût d'aventures comme un
élément d'insécurité les incitant à ne pas
prêter leur argent. Pourquoi donc faire à
nouveau tout ce bruit pour un droit d'exé-
cution séparé, contesté par les Alliés les
plus proches ? M. Poincaré s'est encore ef-
forcé de fonder ce droit sur le texte du trai-
té. Nous ne réfuterons pas une nouvelle
fois le détail de cette construction artifi-
cielle. Nous demandons seulement : pour-
quoi les Alliés n'ont pas exprimé formel-
lement dans le traité un droit aussi consi-
dérable que le droit d'exécution séparée.
Pourquoi fallût-il, comme Poincaré l'a ra-
conté lui-même, au moyen du seul petit
mot « respectifs », l'introduire, pour ainsi
dire, en contrebande ? Un juriste aussi
consommé que M. Poincaré sait qu'on in-
terprète les passages obscurs ou amphibo-
logiques d'une loi d'après l'intention du lé-
gislateur. Il en va de même des traités.
Lorsque la p^cho lui demanda s'il pro-
jetait toujours une action isolée de la
France, Poincaré a répondu hier : « je ne
la désire pas ! » Si tout son discours avait
reposé sur ce mot, il aurait eu une influen-
ce apaisante. Mais il n'abandonne pas cette
idée que l'on doit continuer de laisser pe-
ser une menace sur l'Allemagne. Tant qu'il
persistera dans cette attitude, il ne pourra
dire qu'il souhaite des rapports satisfai-
sants avec l'Allemagne et qu'il ne poursuit
que l'exécution du traité. En effet, les me-
naces officielles françaises dans la ques-
tion des réparations se sont exercées au
moment où l'on arrivait à une discussion
raisonnable de ce problème purement éco-
nomique.
Et si réellement la France ne veut que
l'exécution du traité de paix, personne ne
comprend sa politique sur la Sarre, en ter-
ritoire rhénan occupé, à l'est de l'Europe.
Partout, en effet, chaque démarche des
Français tend à la dislocation de l'unité al-
lemande et à l'abaissement de l'Allemagne.
Puisse M. Poincaré, au lieu de toute cette
dissimulation, laisser régner la célèbre
« clarté française », et il verra combien de
choses changeront en Allemagne et dans le
monde !
FRANKFUTUR ZEITUNG, 2.6, soir.
- Le discours prononcé à la Chambre
par M. Poincaré, au sujet de l'histoire de
Gênes et des perspectives de La Haye était
rédigé en un langage modéré.
Il est assez singulier de lui voir préten-
dre que la faute n'a pas été à la France si
les résultats de là conférence n'ont pas été
plus grands — surtout lorsqu'on se rappelle
à quel point la presse française se montrait
désireuse de voir s'effondrer toute l'œuvre
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Cependant, personne chez nous. ne vou-
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M. Poincaré se propose de donner à sa
politique une orientation nouvelle. Que la
Frances y collabore, ou qu'elle se tienne
à l'écart, La politique de Gênes continue,
avec l'appui de la plus grande partie de
l'Europe.
Il n'est plus possible, désormais, à au-
cune puissance de maintenir indéfini-
ment à couteaux tirés les nations du con-
tinent.
PALL MALL GAZETTE, 2.6.
LE PROJET D'EMPRUNT INTERNA
TIONAL. — PRESSE ANGLAISE. — .La. ques-
lion des dettes interalliées et les réparations
tourne dans un cercle vicieux. La West-
minster Gazette estime que la Grande-Bre-
tagne devrait, la première, en sortir :
M. Pierpont Morgan ne vient pas en Eu-
rope afin de distribuer des secours de cha-
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