Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 02 juin 1922 02 juin 1922
Description : 1922/06/02 (T21,N2069). 1922/06/02 (T21,N2069).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217036r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Ministère
DES
*PPaikes étrangères
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
l
N° 2069
Vendredi 2 juin 1922
1 ¡ Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
)JnESSE ALLEMANDE. — Les réparations : la
note Willem an de du 28 mai (Deuts-
° Tageszeitu,ng, München Aügsburger
ih endzeitung, Erich Dombrowski dans
eriiner Tageblatt ; Deutsche Allge-
rreine Zeitung). — L'accord germano-
POlonais sur la Haute-Silésie (Tag,
? Franklurter Zeitung).
SE AMÉRICAINE. — L'opinion américaine
i !a France : contre l'accusation de
1 lïnf^^nie (New York Tribune). — Les
ambitions politiques de M. Hearst (New
York Tribune).
litsSE ANGLAISE. '- Le discours de M. Lloyd
«orge aux Communes, le 31 mai (Daily
■^tyrapii^ Westminster Gazette). —
J Etats-Unis et la Russie : avant la
p~ er'enc.e de La Haye (Times).
1'E: ITALIENNE" -,- L'accord Schanzer-
\:Olt.cherine (Giornale d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
LES REPARATIONS
~ss~ ALLEMANDE DU 28 MAI. —
DEMANDE. — « Retraite sur toute la
Se N 'tr°c'flme lu Deutsche Tageszeitung
r¡ICelle t en titre d'un article fort pessimiste
A." errnlne par ces mots :
4Vec
M^Vnfî6 note la France a obtenu ce
S~ A~ et au delà. On nei sait ce qu'iil
Q e 'l'emprunt , extérieur. Mais quel
t le résultat, la réponse allemande
tr e-uvee une clarté suffisante que la
politique d'exécution pratiquée de cette fa-
W est une Véritable politique de catas-
estUne vé-ritable politique de catas-
-*Ç
Le jugement de la München Augsburger
"e'4d,eit Ung (31.5) sur la conduite du gou-
sQble : ont du Reich n'est guère plus favo-
Qlet on a il Paris sans tenter de se
lr des dzsPOSitions favorables de l'An.
chancelier ne se déclare point
des négociations de son mi-
es fi ^e,ç négociations de son mi-
finances, mais il était le chef, il
devrait faire sentir Son auUmlë et conserver
^hqu«e rna SUr les négociations.
gfibv 4%nellt du Reich a exécuté une
Irt~l'f\lr l oute la ligne, bien qu'il dût
le ^°llVe;rnement britannique
~e ^°*in 91 Pas son plein agrément à
la solution obtenue par Poincaré. Les An-
glais s'en tiennent à cette conception, qui
n'est pas injustifiée, que l'emprunt ne peut
apporter qu'une solution temporaire des
difficultés, ce qui est dépourvu d'intérêt ;
il faudrait, au lieu de cela, envisager le pro-
blème des réparations dans son ensemble.
Le Dr Hermes ne s'est pas soucié à Paris
de ce point de vue anglais ; il s'est placé
carrément sur le terrain des revendications
françaises.
On a dit que le chancelier lui-même, qui,
après Gênes et étant donné la cherté de la
vie rapidement croissante avait changé d'o-
pinion sur la politique d'exécution, ne s'était
point décilaré satisfait des accords du Dr
Hermes. Le Dr Wirth doit bien se rendre
compte de ceci, qu'une divergence de vues
théorique ne sert de rien, ni pour lui, ni
pour nous. Il eût dû se faire instruire,
même à Gênes, des principes et du cours
des négociations menées à Paris par le mi-
nistre des finances du Reich ; c'était son
devoir de freiner ou de rappeler le Dr Her-
mes au moment où l'orientation fâcheuse
devenait évidente. A Berlin même, on pou-
vait encore désavouer le ministre des fi-
nuances si, comme on en a répandu la nou-
velle, le cabinet, avait dans son ensemble la
conviction qu'il avait fait trop de conces-
sions aux Français. Il n'y a rien eu de sem-
blable, le peuple allemand doit une fois do
plus payer les frais. Combien de temps
encore ? Jusqu'à ce que ses derniers biens
lui aient été enlevés par la haine des
Français ? Cela doit-il durer longtemps ?
Arriverons-nous là ?.
MUENCHEN AUGSBURGER
ABEN ZEITUNG, 31.5. soir.
— E. Dombrowski, dans le Berliner
Tageblatt redoute surtout l'exercice du con-
trôle financier interallié en Allemagne.
Le contrôle financier prend une large
place et il semble qu'à cet égard le Dr Her-
mes soit allé très' loin dans la voie des
concessions. Le gouvernement déclare bien
que la souveraineté de l'Allemagne ne se
trouve nullement atteinte, mais il a adopté
tout de même le principe du contrôle fi-
nancier tel qu'il était réclamé par la com-
mission des réparations dans sa note de
la fin de mars. Il fait seulement cette ré-
serve que le contrôle ne doit pas troubler
la marche régulière de l'administration ni
s'introduire dans les affaires des contri-
buables en particulier, protégés par le se-
cret fiscal. Il nous semble que, malgré
cette réserve platonique et générale on a
donné à la commission des réparations
ou à ses représentants un blanc-seing qui
leur permet de s'introduire dans toutes les
branches. de notre administration des finan-
ces. Il y a là la source de toutes sortes de
conflits et de complications.
Nous ne pouvons enregistrer l'ensemble
de la note qu'avec des sentiments très mé-
langés. Ce n'est que si l'octroi d'un em-
prunt extérieur nous donne en nuéme temps
l'occasion d'une révision fondamentale de
l'ensemble des obligations des réparations
que nous y pourrons voir le moindre mal.
Nous n'insisterons, pas ici sur les suites
économiques d'une fixation définitive du
budget et du bilan des paiements. Mais si
l'emprunt nous est consenti pour un long
terme et nous offre la possibilité de stabi-
liser effectivement le mark, la crise sera
promiptement surmontée. — Erich Dom-
browski.
BERLINER TAGEBLATT, 31.5, matin.
— Le contrôle financier inspire les
mêmes craintes à la Deutsche Allgemeine
Zeitung. Elle y voit la perte de l'indépen-
dance financière et en même temps de la
souveraineté de l'Etat.
On accorde à la commission des répara-
tions !ie droit d'examen sur nos finances,
à la condition que cet examen ne portera
pas atteinte à la souveraineté de l'Allema-
gne, au jeu régulier de l'administration et
au secret fiscal qui protège les particu-
liers. Sur ce point comme dans l'ensemble
de la note nous battons en retraite, mais
il faut insister sur ce fait que les conces-
sions faites par l'Allemagne au sujet du
contrôle financier apparaissent comme ex-
trêmement dangereuses à cause de leur
caractère très général. Si l'on accorde à
des juridictions étrangères le droit d'en-
quêter sur les finances allemandes, on ne
peut guère plus parler d'une souveraineté
véritable du Reich allemand. L'indépen-
dance financière est l'un des attributs prin-
cipaux de la souveraineté et si nous n'a-
vons plus l'indépendance financière, nous
n'avons plus la souveraineté.
Il y a une obligation que le peuple al-
lemand ne peut supporter. Nous l'avons
déjà dit : un Etat pourvu d'une adminis-
tration notoirement capable et du corps
d'organisateurs le plus capable qui soit n'a
pas à faire de ces concessions.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
31.5. matin.
LE DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE
AUX COMMUNES (LE 31 MAI). — PRESSE AN-
GLAISE (DU 1ER JUIN). — S'il faut en juger par
le petit nombre des commentaires qui lui
sont consacrés, le discours de M. Lloyd
George ne paraît pas avoir fait grande im-
pression; en revanche, les déclarations
faites par M. Churchill - au début de la
séance des Communes - sur la situation
irlandaise retiennent l'attention de tous les
journaux.
— Le Daily Telegraph se félicite de Vutile
intervention de M. Lloyd George :
DES
*PPaikes étrangères
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
l
N° 2069
Vendredi 2 juin 1922
1 ¡ Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
)JnESSE ALLEMANDE. — Les réparations : la
note Willem an de du 28 mai (Deuts-
° Tageszeitu,ng, München Aügsburger
ih endzeitung, Erich Dombrowski dans
eriiner Tageblatt ; Deutsche Allge-
rreine Zeitung). — L'accord germano-
POlonais sur la Haute-Silésie (Tag,
? Franklurter Zeitung).
SE AMÉRICAINE. — L'opinion américaine
i !a France : contre l'accusation de
1 lïnf^^nie (New York Tribune). — Les
ambitions politiques de M. Hearst (New
York Tribune).
litsSE ANGLAISE. '- Le discours de M. Lloyd
«orge aux Communes, le 31 mai (Daily
■^tyrapii^ Westminster Gazette). —
J Etats-Unis et la Russie : avant la
p~ er'enc.e de La Haye (Times).
1'E: ITALIENNE" -,- L'accord Schanzer-
\:Olt.cherine (Giornale d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
LES REPARATIONS
~ss~ ALLEMANDE DU 28 MAI. —
DEMANDE. — « Retraite sur toute la
Se N 'tr°c'flme lu Deutsche Tageszeitung
r¡ICelle t en titre d'un article fort pessimiste
A." errnlne par ces mots :
4Vec
M^Vnfî6 note la France a obtenu ce
S~ A~ et au delà. On nei sait ce qu'iil
Q e 'l'emprunt , extérieur. Mais quel
t le résultat, la réponse allemande
tr e-uvee une clarté suffisante que la
politique d'exécution pratiquée de cette fa-
W est une Véritable politique de catas-
estUne vé-ritable politique de catas-
-*Ç
Le jugement de la München Augsburger
"e'4d,eit Ung (31.5) sur la conduite du gou-
sQble : ont du Reich n'est guère plus favo-
Qlet on a il Paris sans tenter de se
lr des dzsPOSitions favorables de l'An.
chancelier ne se déclare point
des négociations de son mi-
es fi ^e,ç négociations de son mi-
finances, mais il était le chef, il
devrait faire sentir Son auUmlë et conserver
^hqu«e rna SUr les négociations.
gfibv 4%nellt du Reich a exécuté une
Irt~l'f\lr l oute la ligne, bien qu'il dût
le ^°llVe;rnement britannique
~e ^°*in 91 Pas son plein agrément à
la solution obtenue par Poincaré. Les An-
glais s'en tiennent à cette conception, qui
n'est pas injustifiée, que l'emprunt ne peut
apporter qu'une solution temporaire des
difficultés, ce qui est dépourvu d'intérêt ;
il faudrait, au lieu de cela, envisager le pro-
blème des réparations dans son ensemble.
Le Dr Hermes ne s'est pas soucié à Paris
de ce point de vue anglais ; il s'est placé
carrément sur le terrain des revendications
françaises.
On a dit que le chancelier lui-même, qui,
après Gênes et étant donné la cherté de la
vie rapidement croissante avait changé d'o-
pinion sur la politique d'exécution, ne s'était
point décilaré satisfait des accords du Dr
Hermes. Le Dr Wirth doit bien se rendre
compte de ceci, qu'une divergence de vues
théorique ne sert de rien, ni pour lui, ni
pour nous. Il eût dû se faire instruire,
même à Gênes, des principes et du cours
des négociations menées à Paris par le mi-
nistre des finances du Reich ; c'était son
devoir de freiner ou de rappeler le Dr Her-
mes au moment où l'orientation fâcheuse
devenait évidente. A Berlin même, on pou-
vait encore désavouer le ministre des fi-
nuances si, comme on en a répandu la nou-
velle, le cabinet, avait dans son ensemble la
conviction qu'il avait fait trop de conces-
sions aux Français. Il n'y a rien eu de sem-
blable, le peuple allemand doit une fois do
plus payer les frais. Combien de temps
encore ? Jusqu'à ce que ses derniers biens
lui aient été enlevés par la haine des
Français ? Cela doit-il durer longtemps ?
Arriverons-nous là ?.
MUENCHEN AUGSBURGER
ABEN ZEITUNG, 31.5. soir.
— E. Dombrowski, dans le Berliner
Tageblatt redoute surtout l'exercice du con-
trôle financier interallié en Allemagne.
Le contrôle financier prend une large
place et il semble qu'à cet égard le Dr Her-
mes soit allé très' loin dans la voie des
concessions. Le gouvernement déclare bien
que la souveraineté de l'Allemagne ne se
trouve nullement atteinte, mais il a adopté
tout de même le principe du contrôle fi-
nancier tel qu'il était réclamé par la com-
mission des réparations dans sa note de
la fin de mars. Il fait seulement cette ré-
serve que le contrôle ne doit pas troubler
la marche régulière de l'administration ni
s'introduire dans les affaires des contri-
buables en particulier, protégés par le se-
cret fiscal. Il nous semble que, malgré
cette réserve platonique et générale on a
donné à la commission des réparations
ou à ses représentants un blanc-seing qui
leur permet de s'introduire dans toutes les
branches. de notre administration des finan-
ces. Il y a là la source de toutes sortes de
conflits et de complications.
Nous ne pouvons enregistrer l'ensemble
de la note qu'avec des sentiments très mé-
langés. Ce n'est que si l'octroi d'un em-
prunt extérieur nous donne en nuéme temps
l'occasion d'une révision fondamentale de
l'ensemble des obligations des réparations
que nous y pourrons voir le moindre mal.
Nous n'insisterons, pas ici sur les suites
économiques d'une fixation définitive du
budget et du bilan des paiements. Mais si
l'emprunt nous est consenti pour un long
terme et nous offre la possibilité de stabi-
liser effectivement le mark, la crise sera
promiptement surmontée. — Erich Dom-
browski.
BERLINER TAGEBLATT, 31.5, matin.
— Le contrôle financier inspire les
mêmes craintes à la Deutsche Allgemeine
Zeitung. Elle y voit la perte de l'indépen-
dance financière et en même temps de la
souveraineté de l'Etat.
On accorde à la commission des répara-
tions !ie droit d'examen sur nos finances,
à la condition que cet examen ne portera
pas atteinte à la souveraineté de l'Allema-
gne, au jeu régulier de l'administration et
au secret fiscal qui protège les particu-
liers. Sur ce point comme dans l'ensemble
de la note nous battons en retraite, mais
il faut insister sur ce fait que les conces-
sions faites par l'Allemagne au sujet du
contrôle financier apparaissent comme ex-
trêmement dangereuses à cause de leur
caractère très général. Si l'on accorde à
des juridictions étrangères le droit d'en-
quêter sur les finances allemandes, on ne
peut guère plus parler d'une souveraineté
véritable du Reich allemand. L'indépen-
dance financière est l'un des attributs prin-
cipaux de la souveraineté et si nous n'a-
vons plus l'indépendance financière, nous
n'avons plus la souveraineté.
Il y a une obligation que le peuple al-
lemand ne peut supporter. Nous l'avons
déjà dit : un Etat pourvu d'une adminis-
tration notoirement capable et du corps
d'organisateurs le plus capable qui soit n'a
pas à faire de ces concessions.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
31.5. matin.
LE DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE
AUX COMMUNES (LE 31 MAI). — PRESSE AN-
GLAISE (DU 1ER JUIN). — S'il faut en juger par
le petit nombre des commentaires qui lui
sont consacrés, le discours de M. Lloyd
George ne paraît pas avoir fait grande im-
pression; en revanche, les déclarations
faites par M. Churchill - au début de la
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