Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 mai 1922 27 mai 1922
Description : 1922/05/27 (T21,N2064). 1922/05/27 (T21,N2064).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217031p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
! - ^^ÎSTËRE
b P, 8
FAll\ES- étrangères
N° 2064
Samedi 27 mai 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
,
MANUE- - Les réparations : les
frro" J^'s' 'd'emprunt international (Vor-
- ievtung 7ou- E. A. Vanderlip. dans Vossische
Zettung; Tag).
r k~Sp- ANGLAISE. — Le discours de M. Lloyd
t Ge l^6 aux Communes, de 25 mai-(jour-
nai divers). - Les Libéraux anglais et
'l'E t (Manchester Guardian, West-
(Manchester Guardian, West-
11Hnster Gazette, Daily News). — Les
t Br e ahons frànco-k-emalistes (Times).
S Le- di-sco-urs de M. Poullet
à la Chambre, le 24 mai, dans la diseur
Ion du budget des affaires étrangères
W^lhri ; ^eïl(i'Q'nce Belge, Nation Belge,
t"landre Libérale). — La situation poli-
K tiqu. économique en Russie (Nep-
NTIQUE GENERALE -
r
b- --
r
lES REPARATtONS
B Ail\oJETs, DEMPRUNT INTERNA-
0' - Tout le monde se rend compte
Portance extraordinaire des négo-
e 'en' C|Qiirs à Paris, mais l'opinion
fo a enCore reçu à Leur sujet que
oivrrw^ons confuses et contradictoi-
r n connaît que leur but général :
à l'Allemagne. à de certiaines con-
Ull eiIiPnint pout* lui accorder une
Mais on ne sait rien d'assuré
rit le Montant de cet emprunt ou les
modalités. Naturellement, on s'efforcera
un coté d'obtenir un emprunt aussi con-
- 0 lten11' un emprunt aussi con-
le .?te Possible sous les conditions
pins dOUces, t.andis. que l'autre partIe
tandis que l'autre partie
Il,, e faire, une bonne affaire avec le
,,,, garanties.
g1 obtie garantiffl.
l',e IS't]r IldTa, un succès si l'on se ren-
r Une ligne médiane. Et naturel-
SSjvi -ce^ e S116 médiane sera alors cri-
'Gtr'e presse nationaliste a déjà ses
, t. pr-êts pour montrer qu'on
MpS^ven- r '^e l'Allemagne et les ultras
c
lie erlt déjà que l'Allemagne fait
BBiM^LÎh^'a!!r'e aux dépens de la pauvre
fLis, tout cela n'est que bruit
'at~ rapports avec un jugement
■SSSI^j^ûe de l'Allemagne sera dé-
M~B~s décisions du cabinet du
, e e sejpont élaborées que lorsque
r Hernies sera revenu de
'ParÜ,g¡ et aura remis son rapport. Pour
juger ces décisions, s,euàes des raisons po-
sitives et non les sympathies ou antipathies
personnelles doivent prévaloir. Lorsqu'il
s'agit de décisions d'une telle importance,
on ne doit pas demander qui fait, mais ce
qui est fait.
Si le Dr. Hermes arrivait à conclure un
accord qui assure la pause nécessaire à
des conditions supportables, il devrait re-
cevoir pour cela l'approbation de ceux qui
l'ont combattu personnellement.
VORWAERTS, 23.5, matin.
L'AIDE AMÉRICAINE. — De Gênes, M. Frank
A. Vanderlip, président de la National City
Bank de New York, adresse les considéra-
tions suivantes à la Vossische Zeitung.
De Gênes, 20 mai : Le tâche la plus
pressée est d'établir pour la dette de guerre
allemande une formule qui affranchisse
l'Europe du spectre d'une dislocation des
finances allemandes ou d'une invasion mi-
litaire de la part de la France. L'Amérique
participe à la conférence de Ha commission
sur les réparations le 28 mai à Paris ; on y
discutera des possibilités d'un emprunt in-
ternational.
1
Il y a deux propositions touchant les in-
demnités de guerre. Sir Robert Horne pro-
pose de réduire la dette de 132 à 110 mil-
liards, d'accorder pour 65 milliards un mo-
ratorium illimité et de réclamer de l'Alle-
magne la complète reconnaissance d'une
dette de 45 milliards de marks or. Les Alle-
mands estiment ne pouvoir supporter sem-
blable charge financière. Leur contre-projet
tend à émettre des bons prenant rang avant
toutes autres créances et garantis spécia-
lement par les douanes, les monopoles
d'Etat, les impôts, les grandes entreprises
industrielles et agricoles. L'emprunt pro-
posé serait de 4 milliards de marks or,
amortissables chaque, année et affecté aux
buts suivants :
2 milliards 1/2 comme acompte aux alliés
sur les dettes de guerre pour satisfaire aux
exigences de 4W
500 millions pour stabiliser le change.
500 millions pour indemniser les proprié-
taires étrangers de biens confisqués.
500 millions pour les premières échéances
du service de l'emprunt.
Les 2 milliards 1/2 seraient répartis entre
les alliés d'après le barème déjà établi,
c'est-à-dire que 52 iraient à la France.
On espère placer une partie de cet emprunt
en Amérique. Si l'on obtient un règlement
raisonnable des dettes et principalement la
garantie pour l'emprunt projeté, les Améri-
cains s'y intéresseront volontiers.
Le premier « si » s'exprime ainsi : La
France acceptera-t-elle un règlement raison-
nable des dettes de guerre ? La première
tâche de l'Amérique est d'employer toute
son influence morale pour obtenir le règle-
ment sain des dettes. Il faut écarter rapi-
dement le conflit pour éviter la possibilité
d'une invasion française et le danger catas-
trophique d'une banqueroute allemande. —
F. A. Vanderlip.
VUSSISCHE ZEITUNG, 23.5.
LE CONFLIT ENTRE LE CHANCELIER ÉT LE
MINISTRE DES FINANCES D'ALLEMAGNE. — De-
puis deux jours une crise ministérielle se
préparait en silence. Cette crise a reçu
mardi soir une solution partielle en ce sens
que le chancelier Wirth a retardé son dé-
part jusqu'à ce qu'il ait eu un entretien
personnel avec le ministre Hermes, c'est-à-
dire jusqu'à jeudi. Entre le chancelier du
Reich et le ministre des finances Hermes
un différend grave et profond est né.
Hermès s'était déjà déclaré d'accord avec
une proposition de la commission des répa-
rations. Ce projet visait principalement à
obtenir l'équilibre du budget allemand
avant que l'on n'abordât aucune autre
question. D'après la proposition de la com-
mission des réparations, on fixerait la
somme de la dette flottante allemande au
chiffre de mars 1922. Pour tout dépasse-
ment, il faudrait trouver aussitôt une cou-
verture. Le chancelier était opposé à l'as-
sentiment donné par le ministre Hermes à
ces propositions, d'autant plus qu'il croyait
avoir reçu de Uoyd, George, à Gênes, l'as-
surance que l'emprunt international four-
nirait au gouvernement allemand les
moyens nécessaires pour équilibrer son
budget et satisfaire aux obligations des ré-
parations. Lorsque Lloyd George, en tra-
versant Paris, voulut faire des propositions
correspondantes au représentant anglais de
la commission des réparations, ce dernier
lui parla de l'assentiment du ministre Her-
mes, si bien que Lloyd George déclara que
de nouveaux efforts n'étaient naturellement
plus nécessaires. -.
Le chancelier du Redch déclara, au cours
des conseils de cabinet, qu'il ne lui était
pas possible d'accepter la proposition du
ministre Hermes. Les autres membres du
cabinet n'estimèrent pas que l'on pût désa-
vouer pour le moment le ministre Hermes.
Le chancelier exposa alors cette idée que
le ministre Hermes, ayant dépassé ses ins-
tructions, devait être rappelé tout de suite
de Paris. Mardi soir, la crise a reçu une
solution provisoire : le chancelfer retarde
son départ jusqu'à ce qu'il ait eu un entre-
tien personnel avec le ministre Hermes.
TAG, 25.5.
b P, 8
FAll\ES- étrangères
N° 2064
Samedi 27 mai 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
,
MANUE- - Les réparations : les
frro" J^'s' 'd'emprunt international (Vor-
- ievtung 7ou- E. A. Vanderlip. dans Vossische
Zettung; Tag).
r k~Sp- ANGLAISE. — Le discours de M. Lloyd
t Ge l^6 aux Communes, de 25 mai-(jour-
nai divers). - Les Libéraux anglais et
'l'E t (Manchester Guardian, West-
(Manchester Guardian, West-
11Hnster Gazette, Daily News). — Les
t Br e ahons frànco-k-emalistes (Times).
S Le- di-sco-urs de M. Poullet
à la Chambre, le 24 mai, dans la diseur
Ion du budget des affaires étrangères
W^lhri ; ^eïl(i'Q'nce Belge, Nation Belge,
t"landre Libérale). — La situation poli-
K tiqu. économique en Russie (Nep-
NTIQUE GENERALE -
r
b- --
r
lES REPARATtONS
B Ail\oJETs, DEMPRUNT INTERNA-
0' - Tout le monde se rend compte
Portance extraordinaire des négo-
e 'en' C|Qiirs à Paris, mais l'opinion
fo a enCore reçu à Leur sujet que
oivrrw^ons confuses et contradictoi-
r n connaît que leur but général :
à l'Allemagne. à de certiaines con-
Ull eiIiPnint pout* lui accorder une
Mais on ne sait rien d'assuré
rit le Montant de cet emprunt ou les
modalités. Naturellement, on s'efforcera
un coté d'obtenir un emprunt aussi con-
- 0 lten11' un emprunt aussi con-
le .?te Possible sous les conditions
pins dOUces, t.andis. que l'autre partIe
tandis que l'autre partie
Il,, e faire, une bonne affaire avec le
,,,, garanties.
g1 obtie garantiffl.
l',e IS't]r IldTa, un succès si l'on se ren-
r Une ligne médiane. Et naturel-
SSjvi -ce^ e S116 médiane sera alors cri-
'Gtr'e presse nationaliste a déjà ses
, t. pr-êts pour montrer qu'on
MpS^ven- r '^e l'Allemagne et les ultras
c
lie erlt déjà que l'Allemagne fait
BBiM^LÎh^'a!!r'e aux dépens de la pauvre
fLis, tout cela n'est que bruit
'at~ rapports avec un jugement
■SSSI^j^ûe de l'Allemagne sera dé-
M~B~s décisions du cabinet du
, e e sejpont élaborées que lorsque
r Hernies sera revenu de
'ParÜ,g¡ et aura remis son rapport. Pour
juger ces décisions, s,euàes des raisons po-
sitives et non les sympathies ou antipathies
personnelles doivent prévaloir. Lorsqu'il
s'agit de décisions d'une telle importance,
on ne doit pas demander qui fait, mais ce
qui est fait.
Si le Dr. Hermes arrivait à conclure un
accord qui assure la pause nécessaire à
des conditions supportables, il devrait re-
cevoir pour cela l'approbation de ceux qui
l'ont combattu personnellement.
VORWAERTS, 23.5, matin.
L'AIDE AMÉRICAINE. — De Gênes, M. Frank
A. Vanderlip, président de la National City
Bank de New York, adresse les considéra-
tions suivantes à la Vossische Zeitung.
De Gênes, 20 mai : Le tâche la plus
pressée est d'établir pour la dette de guerre
allemande une formule qui affranchisse
l'Europe du spectre d'une dislocation des
finances allemandes ou d'une invasion mi-
litaire de la part de la France. L'Amérique
participe à la conférence de Ha commission
sur les réparations le 28 mai à Paris ; on y
discutera des possibilités d'un emprunt in-
ternational.
1
Il y a deux propositions touchant les in-
demnités de guerre. Sir Robert Horne pro-
pose de réduire la dette de 132 à 110 mil-
liards, d'accorder pour 65 milliards un mo-
ratorium illimité et de réclamer de l'Alle-
magne la complète reconnaissance d'une
dette de 45 milliards de marks or. Les Alle-
mands estiment ne pouvoir supporter sem-
blable charge financière. Leur contre-projet
tend à émettre des bons prenant rang avant
toutes autres créances et garantis spécia-
lement par les douanes, les monopoles
d'Etat, les impôts, les grandes entreprises
industrielles et agricoles. L'emprunt pro-
posé serait de 4 milliards de marks or,
amortissables chaque, année et affecté aux
buts suivants :
2 milliards 1/2 comme acompte aux alliés
sur les dettes de guerre pour satisfaire aux
exigences de 4W
500 millions pour stabiliser le change.
500 millions pour indemniser les proprié-
taires étrangers de biens confisqués.
500 millions pour les premières échéances
du service de l'emprunt.
Les 2 milliards 1/2 seraient répartis entre
les alliés d'après le barème déjà établi,
c'est-à-dire que 52 iraient à la France.
On espère placer une partie de cet emprunt
en Amérique. Si l'on obtient un règlement
raisonnable des dettes et principalement la
garantie pour l'emprunt projeté, les Améri-
cains s'y intéresseront volontiers.
Le premier « si » s'exprime ainsi : La
France acceptera-t-elle un règlement raison-
nable des dettes de guerre ? La première
tâche de l'Amérique est d'employer toute
son influence morale pour obtenir le règle-
ment sain des dettes. Il faut écarter rapi-
dement le conflit pour éviter la possibilité
d'une invasion française et le danger catas-
trophique d'une banqueroute allemande. —
F. A. Vanderlip.
VUSSISCHE ZEITUNG, 23.5.
LE CONFLIT ENTRE LE CHANCELIER ÉT LE
MINISTRE DES FINANCES D'ALLEMAGNE. — De-
puis deux jours une crise ministérielle se
préparait en silence. Cette crise a reçu
mardi soir une solution partielle en ce sens
que le chancelier Wirth a retardé son dé-
part jusqu'à ce qu'il ait eu un entretien
personnel avec le ministre Hermes, c'est-à-
dire jusqu'à jeudi. Entre le chancelier du
Reich et le ministre des finances Hermes
un différend grave et profond est né.
Hermès s'était déjà déclaré d'accord avec
une proposition de la commission des répa-
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obtenir l'équilibre du budget allemand
avant que l'on n'abordât aucune autre
question. D'après la proposition de la com-
mission des réparations, on fixerait la
somme de la dette flottante allemande au
chiffre de mars 1922. Pour tout dépasse-
ment, il faudrait trouver aussitôt une cou-
verture. Le chancelier était opposé à l'as-
sentiment donné par le ministre Hermes à
ces propositions, d'autant plus qu'il croyait
avoir reçu de Uoyd, George, à Gênes, l'as-
surance que l'emprunt international four-
nirait au gouvernement allemand les
moyens nécessaires pour équilibrer son
budget et satisfaire aux obligations des ré-
parations. Lorsque Lloyd George, en tra-
versant Paris, voulut faire des propositions
correspondantes au représentant anglais de
la commission des réparations, ce dernier
lui parla de l'assentiment du ministre Her-
mes, si bien que Lloyd George déclara que
de nouveaux efforts n'étaient naturellement
plus nécessaires. -.
Le chancelier du Redch déclara, au cours
des conseils de cabinet, qu'il ne lui était
pas possible d'accepter la proposition du
ministre Hermes. Les autres membres du
cabinet n'estimèrent pas que l'on pût désa-
vouer pour le moment le ministre Hermes.
Le chancelier exposa alors cette idée que
le ministre Hermes, ayant dépassé ses ins-
tructions, devait être rappelé tout de suite
de Paris. Mardi soir, la crise a reçu une
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