Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 mai 1922 20 mai 1922
Description : 1922/05/20 (T21,N2059). 1922/05/20 (T21,N2059).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217026c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
À l'il E , DES 'N 6 È RES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2059 ,- -
Samedi 20 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes : la clôture des travaux (Frankfur-
ter Zeitung) ; le Pape et la conférence
(Dr Hans Barth dans Berliner Tage-
blatt). — Les réparations : les projets
d'emprunt (Kreuz-Zeitung, Deutsche
Allgemeine Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les banques des
- Etats-Unis et la reconstruction de l'Eu-
rope (New York Tribune). — M. Hylan
et la presse de New-York (New York
Eveninq Post). — La publicité des con-
férences internationales (New York Tri-
o~). — Les Etats-Unis et la Russie
-{New York Tribune).
ESSE ANGLAISE. - La conférence de Gê-
nes : la clôture des travaux (Daily
News, Westminster Gazette). — Les
atrocités turques en Asie Mineure
.Dany Telegraph). — Le budget français
d 1923 (Westminster Gazette).
,,,j (Wesiminster Gazette).
PRESSE BELGE. — La conférence de Gênes :
,la clôtu.re des travau'x (Indépendance
la Clôtu.re -de~s trav,-iiix (In dépendance
Belge, Neptune). ,
PRESSE ITALIENNE. — La conférence de Gê-
l1o~. l (1\1 1".
G' « la clôture des travaux (Mussolini
dans Popolo d'italia ; Rastignac dans
Tribuna ; Luigi Einaudi dans Corriere
della Sera).
e-
L.
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
CLOTURE DES TRAVAUX. -
IT Lienne- — La conférence a échoué,
coins en qui concerne la reconstruc-
de a 1 telle est la note générale.
le Popolo 'Italia, c'est le traité de Ra-
qui a « torpillé» conférence; il est,
après ce traité, d'essayer de conclure
d d'ensemble avec la Russie, mieux
conclure des accords séparés. Pour la
c'est obstination française et le
le M. Schanzer et de M. Lloyd George
rompre l'entente qui ont empêché
'Dur le Corrier della Sera une
~tion de la Russie ne sera possible
~où elle renoncera à ses principes
~stes et Reconnaîtra la propriété
avait, selon moi, qu'une route à
ont donnée l'intangibilité du « fait
de KaP,alîo : c'était laisser une
té aux autres états d'en faire
autant et de se retirer en bon ordre de la
conférence. Il est puéril au fond de pretendre
niveler, au moyen d'une conférence, des
divergences fondamentales d'intérêts. Pre
noins, par exemple, l'Italie et la France, ou
la France et l'Angleterre, et l'on constatera
l'exactitude de ce que j'affirme. Il est évi-
dent que la France, créancière de la Russie,
lui posera des conditions très différentes des
conditions qu'exigera l'Italie qui n'a pas un
rouble de créance à recouvrer. L'Angleterre,
qui a besoin d'exporter en Russie ses pro-
duits et qui a des millions d'ouvriers sans
travail, ne peut suivre la France où le chô-
mage n'existe pas. Après le traité de Ra-
pallo, il fallait laisser la liberté à chaque
état de conclure des accords analogues avec
la Russie et la conférence, si on ne voulait
pas se résigner à la dissoudre, devait se
borner à la mission de contrôler, d'harmo-
niser et d'équilibrer dans la mesure du pos-
sible ces divers traités.
Aucun résultat concret n'a été obtenu
au point de vue économique. Et au point de
vue moral ? Ce mois de conférence a-t-il aug-
menté les « impondérables » dans le sens le
la paix ? A cette question , il faut répondre
non. L'alliance russo-allemande, même si
elle n'a pas de codicilles militaires, pèse sur
les esprits. Gênes a. plutôt éloigné la détente
des âmes, a plutôt exaspéré les inquiétudes
du lendemain. -
*** Il est tempe d'en finir avec la chimère
de la solidarité universlelle. Les peuples sont
désormais convaincus que moins on fera de
conférences, plus vite on arrivera à la res-
tauration économique de l'Europe. -
Mussolini. -,
POPOLO D'ITALIA; 18.5.
- La conférence qui vient d'échouer avait
été précédée par de claires déclarations de
M. Poincaré et par des manifetations de la
Chambre et de la presse française, favo-
rables à cet échec. Il n'était pas possible de
se faire la moindre illusion sur les buts et
sur les méthodes de la délégation présidée
par Barthou. Ces buts étaient au nombre de
trois : 1° humilier et tenir pollitiquement en
tutelle les Allemands pour les empêcher
d'acquérir l'autorité et la sympathie néces-
saires pour leur permettre de remettre sur le
tapis, sans répugnance de la part des autres
nations, le problème des réparations; 2° em-
pêcher les Russes d'acquérir assez de force
et d'audace pour remettre sur le tapis le pro-
blème des créances de la guerre civile;
3° enfin, provoquer l'insuccès de Lloyd
George pour qu'il fût renversé par la
Chambre des Communes ou par les élec-
tions.
.Lloyd George et Schanzer pë sont en
revanche efforcés de trouver constamment
de nouveaux accomimodements pour que
leur allié français n'abandonnât pas la con-
férence, ils ont cherché à résoudre le pro-
blème de la quadrature de l'Entente dans le
cercle de la conférence.
Lloyd George et Schanzer consentaient
à tout subir pour '- ne pas supprimer cette
conférence d'où pouvait dériver la reprise
des relations commerciales européennes
Barthou était hostile à la conférence parce
qu'il craignait qu'elle dénonçât les raisons
véritables du désastre matériel et moral de
l'Europe : à savoir le traité de Versailles
et les réparations que réclame la Franoe
sans réductions ni révisions. Pouvait-il
sortir de desseins si contraires des solu-
tions concordantes? Le nœud tragique de la
vie européenne s'est encore resserré. On
peut dire désormais qu'il n'y a plus deux
puissances en Europe — sauf l'Italie et
l'Angleterre — qui puissent vivre en paix.
— Rastignac. -
TRIBUNA, 18.5.
Les Français et les Belges ont raison. M.
Hoover vient de se ranger à leurs côtés. La re-
connaissance de la propriété privée par la Rus-
sie est la condition première d'un accord écono-
mique avec les Russes. Cette restauration inté-
resse très peu le monde entier, car la Russie
n'était qu'un élément négligeable dans les
échanges internationaux en 1914 et ne pourrait
devenir que très lentement un élément de pros-
périté pour l'Europe.
Mais les bolcheviks ne sont pas du tout
disposés à renoncer à leurs principes. 11$
étaient venus à Gênes dans l'unique des-
sein d'obtenir un prêt des autres états,
dont ils se seraient servis, non pas pour
nourrir les moribonds, reconstruire les
voies ferrées ou remettre les mines en ex-
ploitation, mais pour payer leur armée
mercenaire de Lettons, de Chinois, d'offi-
ciers prussiens, qui est la seule arme qui
leur permette de se maintenir au pouvoir.
Par bonheur, ce prêt ne leur a pas été ac-
cordé.
.Mais que l'on affirme à nouveau le
principe de la propriété privée et de la
sainteté des contrats, et l'argent viendra
tout seul, de l'étranger et de l'intérieur.
Il importe peu de savoir qui remettra en
vigueur ces principes éternels de vie so-
ciale. En France, l'ordre fut rétabli par le
grand fils de la révolution, Napoléon, au
profit des nouvelles classes de proprié-
taires. Que les bolehevistes en fassent au-
tant ; personne en Europe ne demande que
la propriété de la terre soit rendue par les
paysans à la vielle noblesse russe. Cela
se produira fatalement en partie lorsqu'il
sera démontré que c'est seulement en re-
constituant les anciennes grandes entre-
prises rurales que la Russie pourra recom-
mencer à exporter. Mais l'Europe doit de-
mander énergiquement que les Européens
non Russes soient respectés, qu'on leur
À l'il E , DES 'N 6 È RES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2059 ,- -
Samedi 20 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes : la clôture des travaux (Frankfur-
ter Zeitung) ; le Pape et la conférence
(Dr Hans Barth dans Berliner Tage-
blatt). — Les réparations : les projets
d'emprunt (Kreuz-Zeitung, Deutsche
Allgemeine Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les banques des
- Etats-Unis et la reconstruction de l'Eu-
rope (New York Tribune). — M. Hylan
et la presse de New-York (New York
Eveninq Post). — La publicité des con-
férences internationales (New York Tri-
o~). — Les Etats-Unis et la Russie
-{New York Tribune).
ESSE ANGLAISE. - La conférence de Gê-
nes : la clôture des travaux (Daily
News, Westminster Gazette). — Les
atrocités turques en Asie Mineure
.Dany Telegraph). — Le budget français
d 1923 (Westminster Gazette).
,,,j (Wesiminster Gazette).
PRESSE BELGE. — La conférence de Gênes :
,la clôtu.re des travau'x (Indépendance
la Clôtu.re -de~s trav,-iiix (In dépendance
Belge, Neptune). ,
PRESSE ITALIENNE. — La conférence de Gê-
l1o~. l (1\1 1".
G' « la clôture des travaux (Mussolini
dans Popolo d'italia ; Rastignac dans
Tribuna ; Luigi Einaudi dans Corriere
della Sera).
e-
L.
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
CLOTURE DES TRAVAUX. -
IT Lienne- — La conférence a échoué,
coins en qui concerne la reconstruc-
de a 1 telle est la note générale.
le Popolo 'Italia, c'est le traité de Ra-
qui a « torpillé» conférence; il est,
après ce traité, d'essayer de conclure
d d'ensemble avec la Russie, mieux
conclure des accords séparés. Pour la
c'est obstination française et le
le M. Schanzer et de M. Lloyd George
rompre l'entente qui ont empêché
'Dur le Corrier della Sera une
~tion de la Russie ne sera possible
~où elle renoncera à ses principes
~stes et Reconnaîtra la propriété
avait, selon moi, qu'une route à
ont donnée l'intangibilité du « fait
de KaP,alîo : c'était laisser une
té aux autres états d'en faire
autant et de se retirer en bon ordre de la
conférence. Il est puéril au fond de pretendre
niveler, au moyen d'une conférence, des
divergences fondamentales d'intérêts. Pre
noins, par exemple, l'Italie et la France, ou
la France et l'Angleterre, et l'on constatera
l'exactitude de ce que j'affirme. Il est évi-
dent que la France, créancière de la Russie,
lui posera des conditions très différentes des
conditions qu'exigera l'Italie qui n'a pas un
rouble de créance à recouvrer. L'Angleterre,
qui a besoin d'exporter en Russie ses pro-
duits et qui a des millions d'ouvriers sans
travail, ne peut suivre la France où le chô-
mage n'existe pas. Après le traité de Ra-
pallo, il fallait laisser la liberté à chaque
état de conclure des accords analogues avec
la Russie et la conférence, si on ne voulait
pas se résigner à la dissoudre, devait se
borner à la mission de contrôler, d'harmo-
niser et d'équilibrer dans la mesure du pos-
sible ces divers traités.
Aucun résultat concret n'a été obtenu
au point de vue économique. Et au point de
vue moral ? Ce mois de conférence a-t-il aug-
menté les « impondérables » dans le sens le
la paix ? A cette question , il faut répondre
non. L'alliance russo-allemande, même si
elle n'a pas de codicilles militaires, pèse sur
les esprits. Gênes a. plutôt éloigné la détente
des âmes, a plutôt exaspéré les inquiétudes
du lendemain. -
*** Il est tempe d'en finir avec la chimère
de la solidarité universlelle. Les peuples sont
désormais convaincus que moins on fera de
conférences, plus vite on arrivera à la res-
tauration économique de l'Europe. -
Mussolini. -,
POPOLO D'ITALIA; 18.5.
- La conférence qui vient d'échouer avait
été précédée par de claires déclarations de
M. Poincaré et par des manifetations de la
Chambre et de la presse française, favo-
rables à cet échec. Il n'était pas possible de
se faire la moindre illusion sur les buts et
sur les méthodes de la délégation présidée
par Barthou. Ces buts étaient au nombre de
trois : 1° humilier et tenir pollitiquement en
tutelle les Allemands pour les empêcher
d'acquérir l'autorité et la sympathie néces-
saires pour leur permettre de remettre sur le
tapis, sans répugnance de la part des autres
nations, le problème des réparations; 2° em-
pêcher les Russes d'acquérir assez de force
et d'audace pour remettre sur le tapis le pro-
blème des créances de la guerre civile;
3° enfin, provoquer l'insuccès de Lloyd
George pour qu'il fût renversé par la
Chambre des Communes ou par les élec-
tions.
.Lloyd George et Schanzer pë sont en
revanche efforcés de trouver constamment
de nouveaux accomimodements pour que
leur allié français n'abandonnât pas la con-
férence, ils ont cherché à résoudre le pro-
blème de la quadrature de l'Entente dans le
cercle de la conférence.
Lloyd George et Schanzer consentaient
à tout subir pour '- ne pas supprimer cette
conférence d'où pouvait dériver la reprise
des relations commerciales européennes
Barthou était hostile à la conférence parce
qu'il craignait qu'elle dénonçât les raisons
véritables du désastre matériel et moral de
l'Europe : à savoir le traité de Versailles
et les réparations que réclame la Franoe
sans réductions ni révisions. Pouvait-il
sortir de desseins si contraires des solu-
tions concordantes? Le nœud tragique de la
vie européenne s'est encore resserré. On
peut dire désormais qu'il n'y a plus deux
puissances en Europe — sauf l'Italie et
l'Angleterre — qui puissent vivre en paix.
— Rastignac. -
TRIBUNA, 18.5.
Les Français et les Belges ont raison. M.
Hoover vient de se ranger à leurs côtés. La re-
connaissance de la propriété privée par la Rus-
sie est la condition première d'un accord écono-
mique avec les Russes. Cette restauration inté-
resse très peu le monde entier, car la Russie
n'était qu'un élément négligeable dans les
échanges internationaux en 1914 et ne pourrait
devenir que très lentement un élément de pros-
périté pour l'Europe.
Mais les bolcheviks ne sont pas du tout
disposés à renoncer à leurs principes. 11$
étaient venus à Gênes dans l'unique des-
sein d'obtenir un prêt des autres états,
dont ils se seraient servis, non pas pour
nourrir les moribonds, reconstruire les
voies ferrées ou remettre les mines en ex-
ploitation, mais pour payer leur armée
mercenaire de Lettons, de Chinois, d'offi-
ciers prussiens, qui est la seule arme qui
leur permette de se maintenir au pouvoir.
Par bonheur, ce prêt ne leur a pas été ac-
cordé.
.Mais que l'on affirme à nouveau le
principe de la propriété privée et de la
sainteté des contrats, et l'argent viendra
tout seul, de l'étranger et de l'intérieur.
Il importe peu de savoir qui remettra en
vigueur ces principes éternels de vie so-
ciale. En France, l'ordre fut rétabli par le
grand fils de la révolution, Napoléon, au
profit des nouvelles classes de proprié-
taires. Que les bolehevistes en fassent au-
tant ; personne en Europe ne demande que
la propriété de la terre soit rendue par les
paysans à la vielle noblesse russe. Cela
se produira fatalement en partie lorsqu'il
sera démontré que c'est seulement en re-
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