Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 mai 1922 19 mai 1922
Description : 1922/05/19 (T21,N2058). 1922/05/19 (T21,N2058).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217025z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
Il -———
N 2958
Vendredi 19 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère ,
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
, et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
r SOMMAIRE
RESSE ALLEMANDE. - La conférence de Gê-
nes : la clôture des travaux (G.
Bernhard dans Vossische Zeitung; Maxi-
milian Harden dans Zukunft ; Köln-
sche Zeitung). — Les l'épal'atiQnlSl : les
projet d'emprunt (Kreuz-Zeitung). - Le
statut des pays rhénans : bruits de neu-
tralisation (Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - La conférence de Gê-
fies : ln non-pal'ticipatioll des Etats-
Unis (New York Times).
PRESSE ANGLAISE. - La Grande-Bretagne et
1. les résultats de la conférence de Gênes :
t une lettre de Lard Grey (Daily News,
D(lil!! Chronicle): un discours de M.
Frederic Harrison (Daily Herald). -
Deux discours de M. Hoover sur la
Russie (Times).
PRESSE BELGE. 7 La conté'-™e de Gênes :
la clôture des travaux (Peuple, jour-
naux divers).
PRESSE ESPAGNOLE. - La conférence de Gê-
14. nes : la clôture des travaux (Epoca).
PRESSE ITALIENNE. - La conférence de Gê-
nes : Il Clôture des travaux (Messag-
lions et les n j - Les. répara-
tions et des dettes interalliées (G. Fer-
rerpo dans Secolo).
-
l' POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
lA 'CLOTURE, DES TRAVAUX. -
PRESSE ITALIENNE. - La presse italienne du
16 mai se montrait optimiste. Elle considé-
rait L'acceptation de se rendre à La Haye
de la part de l'Amérique comme assuree,
Les journauV l^ érique COmrrw assuré^
Les journaux du 17 mai enregistrent la ré-
ponse négative de M. Hughes et se deman-
dent si la France acceptera de se rendre
à La Haye
Les commentaires portent surtout sur
l'ensemble de la conférence. Les journaux
commencent à se demander si la conférence
de Gênes a été un échec ou si elle a obtenu
des résuitats e ncOur"eants.Le Messaggero
est nettement pessimiste ; la Stampa et le
Mondo ont une opinion plus mitigée, mais
plutôt pessimiste. L'un et l'autre préco-
nisent des accords séparés.
nous croyons b ence de Gênes — que
nous croyons bOIl d,- souligner tout de
mIte pour bien C?1^ la situation — a
été provoqué par l'accord
précisement par l'a.CCOrd anglo-franco-ita-
1.
f-
lien. Malgré les menaces de Lloyd George,
l'Italie et l'Angleterre ont choisi de retar-
der l'accord avec la Russie afin de main-
tenir l'accord avec la France.
Certainement les journaux parisiens ne
souligneront pas cette vérité. Ils parleront
seulement Il il" ie. pd-rjerom
en vérité, la solution de la conférence peut
approximativement être considérée comme
celle que désirait la politique française.
Lentement, M. Barthou. a arrêté la
marche en avant de l'Angleterre et de l'Ita-
lie et les a ralliées à sa thèse. Il a employé
une tactique habile, obstructionniste et
conciliante à la fois, il s'est opposé à toutes
les manœuvres anglaises et italiennes qui
menaçaient d'aboutir à un accord européen
avec la Russie, dont la France aurait été
exclue, et il a cédé sur des questions de
détail pour engager progressivement l'An-
gleterre et l'Italie dans des formules tou-
jours plus rigides envers les Russes, afin
qu'un jour l'Angleterre et l'Italie se trou-
vassent liées (comme il arrive aujourd'nui)
sans pouvoir se dégager.
La France a réussi à obliger l'Angleterre
et l'Italie à ne pas conclure d'accord séparé
avec la Russie pendant cinq mois, tandis
qu'elle-même se réserve toute liberté d'a-
dhérer ou de ne pas adhérer à la confé-
rence de La Haye.
Quel bénéfice nous apportera cette fidé-
lité que nous montrons à la France au prix
d'un accord avec la Russie, c'est ce que
nous verrons. Nous voulons espérer que
la France saura apprécier cette nouvelle
preuve de fidélité.
MESSAGGERO, 17.,5
- Si l'on veut évaluer les résultats con-
crets de la conférence de Gênes, il ne faut
pêcher ni par optimisme exagéré, ni par
un pessimisme intempestif.
La conférence, tant au point de vue poli-
tique que financier, ne se solde pas par uti.
actif.
.Mais il faut prendre acte avec satis-
faction que la conférence a rompu le cercle
d'isolement qui entourait les vaincus et a
marqué la reprise des relations internatio-
nales européennes.
M. Lloyd George, qui sort les mains vides
de Gênes, rapporte cependant en Angleterre
un prestige politique renforcé et une effi-
cacité politique réelle.
L'Italie a des raisons particulières de se
tenir pour modestement satisfaite. Les re-
présentants du monde entier ont pu obser-
ver et admirer le développement discipliné
de notre vie politique et économique, et en
même temps constater l'esprit d'équité et
de tempérance qui guide notre action di-
plomatique.
La conférence de Gênes a-t-elle servi à
acheminer l'Europe vers la pacification gé
nérale ou au contraire à mettre en relief
les désaccords qui mettent les intérêts poli-
tiques et économiques de chaque Etat en
opposition avec une entente générale entre
tous les peuples ? Telle est la question qu'on
doit se poser en définitive. Si la seconde
hypothèse était la bonne, la conférence
aurait démontré aux nations, et en parti-
culier à l'Italie, que chocunes d'elles, doit
pourvoir à son existence, à l'aide d'accords,
spéciaux destinés à sauvegarder ses inté-
rêts particuliers et à servir indirectement la
paix générale.
Mais, s'il en était ainsi, une revision des
méthodes tendant à réaliser la paix euro-
péenne ne serait-elle pas nécessaire ?
Au point de vue diplomatique, la confé-
rence finit par un compromis entre ses par-
tisans et ses adversaires. Elle se clôt sans
conclure à la grande joie des seconds, après
avoir eu lieu, selon le désir des premiers.
Mais le désaccord n'est pas résolu à l'avan-
tage de l'une ou de l'autre partie, il nest
qu'ajourné.
Au point de vue de la substance lc-z, pro-
blèmes politiques que la conférence affron-
tait étaient au nombre de trois : reprise des
rapports avec la Russie, retour de l'Allema-
gne dans le concert européen ; pacte de non-
agression.
Moralement, on a eu la sensation précise
que l'Allemagne était de nouveau considérée
comme l'égale des autres puissances; maté-
riellement, elle n'a participé qu'en partie
aux travaux de la conférence.
La question russe est renvoyée aux dis-
cussions de La Haye. Le pacte de non-
agression subit le même sort : il est ajourné.
Comment juger ces résultas de la con-
férence ? Cela dépend du point de vue. Si
l'on assigne comme objectif principal à La
politique européenne le maintien de l'En-
tente, on peut conclure que la conférence
n'a pas bien, mais n'a pas mal fini. Si
l'on considère l'Ententé comme une chose
importante, mais non pas la plus impor-
tante, si l'on estime que l'essentiel, c'est la
restauration graduelle de l'Europe et non
pas les constellations diplomatiques qui con-
tribueront à la réaliser, si l'on estime qu'un
accord partiel ou séparé qui aboutit à quel-
que chose vaut mieux qu'un accord intégral
qui n'aboutit à rien : on portera sur la con-
férence un jugement tout différent. Si le
problème russe est encore ajourné, ce n'est
la faute ni de l'intransigeance bolcheviste,
ni de l'opposition française ; c'est la faute
du mythe toujours vivant de l'unanimité.
L on obtenir à tput prix sur certains
problèmes la collaboration de gens qui ne
veulent pas collaborer (et qui ont. d'ailleurs
parfaitement le droit de ne pas vouloir col-
laborer).
Si on veut cette unanimité, il y a qu'à ---
pas traiter les problèmes sur lesquels on
n'est pas d'accord ; si l'on croit plus indis-
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
Il -———
N 2958
Vendredi 19 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère ,
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
, et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
r SOMMAIRE
RESSE ALLEMANDE. - La conférence de Gê-
nes : la clôture des travaux (G.
Bernhard dans Vossische Zeitung; Maxi-
milian Harden dans Zukunft ; Köln-
sche Zeitung). — Les l'épal'atiQnlSl : les
projet d'emprunt (Kreuz-Zeitung). - Le
statut des pays rhénans : bruits de neu-
tralisation (Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - La conférence de Gê-
fies : ln non-pal'ticipatioll des Etats-
Unis (New York Times).
PRESSE ANGLAISE. - La Grande-Bretagne et
1. les résultats de la conférence de Gênes :
t une lettre de Lard Grey (Daily News,
D(lil!! Chronicle): un discours de M.
Frederic Harrison (Daily Herald). -
Deux discours de M. Hoover sur la
Russie (Times).
PRESSE BELGE. 7 La conté'-™e de Gênes :
la clôture des travaux (Peuple, jour-
naux divers).
PRESSE ESPAGNOLE. - La conférence de Gê-
14. nes : la clôture des travaux (Epoca).
PRESSE ITALIENNE. - La conférence de Gê-
nes : Il Clôture des travaux (Messag-
lions et les n j - Les. répara-
tions et des dettes interalliées (G. Fer-
rerpo dans Secolo).
-
l' POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
lA 'CLOTURE, DES TRAVAUX. -
PRESSE ITALIENNE. - La presse italienne du
16 mai se montrait optimiste. Elle considé-
rait L'acceptation de se rendre à La Haye
de la part de l'Amérique comme assuree,
Les journauV l^ érique COmrrw assuré^
Les journaux du 17 mai enregistrent la ré-
ponse négative de M. Hughes et se deman-
dent si la France acceptera de se rendre
à La Haye
Les commentaires portent surtout sur
l'ensemble de la conférence. Les journaux
commencent à se demander si la conférence
de Gênes a été un échec ou si elle a obtenu
des résuitats e ncOur"eants.Le Messaggero
est nettement pessimiste ; la Stampa et le
Mondo ont une opinion plus mitigée, mais
plutôt pessimiste. L'un et l'autre préco-
nisent des accords séparés.
nous croyons b ence de Gênes — que
nous croyons bOIl d,- souligner tout de
mIte pour bien C?1^ la situation — a
été provoqué par l'accord
précisement par l'a.CCOrd anglo-franco-ita-
1.
f-
lien. Malgré les menaces de Lloyd George,
l'Italie et l'Angleterre ont choisi de retar-
der l'accord avec la Russie afin de main-
tenir l'accord avec la France.
Certainement les journaux parisiens ne
souligneront pas cette vérité. Ils parleront
seulement Il il" ie. pd-rjerom
en vérité, la solution de la conférence peut
approximativement être considérée comme
celle que désirait la politique française.
Lentement, M. Barthou. a arrêté la
marche en avant de l'Angleterre et de l'Ita-
lie et les a ralliées à sa thèse. Il a employé
une tactique habile, obstructionniste et
conciliante à la fois, il s'est opposé à toutes
les manœuvres anglaises et italiennes qui
menaçaient d'aboutir à un accord européen
avec la Russie, dont la France aurait été
exclue, et il a cédé sur des questions de
détail pour engager progressivement l'An-
gleterre et l'Italie dans des formules tou-
jours plus rigides envers les Russes, afin
qu'un jour l'Angleterre et l'Italie se trou-
vassent liées (comme il arrive aujourd'nui)
sans pouvoir se dégager.
La France a réussi à obliger l'Angleterre
et l'Italie à ne pas conclure d'accord séparé
avec la Russie pendant cinq mois, tandis
qu'elle-même se réserve toute liberté d'a-
dhérer ou de ne pas adhérer à la confé-
rence de La Haye.
Quel bénéfice nous apportera cette fidé-
lité que nous montrons à la France au prix
d'un accord avec la Russie, c'est ce que
nous verrons. Nous voulons espérer que
la France saura apprécier cette nouvelle
preuve de fidélité.
MESSAGGERO, 17.,5
- Si l'on veut évaluer les résultats con-
crets de la conférence de Gênes, il ne faut
pêcher ni par optimisme exagéré, ni par
un pessimisme intempestif.
La conférence, tant au point de vue poli-
tique que financier, ne se solde pas par uti.
actif.
.Mais il faut prendre acte avec satis-
faction que la conférence a rompu le cercle
d'isolement qui entourait les vaincus et a
marqué la reprise des relations internatio-
nales européennes.
M. Lloyd George, qui sort les mains vides
de Gênes, rapporte cependant en Angleterre
un prestige politique renforcé et une effi-
cacité politique réelle.
L'Italie a des raisons particulières de se
tenir pour modestement satisfaite. Les re-
présentants du monde entier ont pu obser-
ver et admirer le développement discipliné
de notre vie politique et économique, et en
même temps constater l'esprit d'équité et
de tempérance qui guide notre action di-
plomatique.
La conférence de Gênes a-t-elle servi à
acheminer l'Europe vers la pacification gé
nérale ou au contraire à mettre en relief
les désaccords qui mettent les intérêts poli-
tiques et économiques de chaque Etat en
opposition avec une entente générale entre
tous les peuples ? Telle est la question qu'on
doit se poser en définitive. Si la seconde
hypothèse était la bonne, la conférence
aurait démontré aux nations, et en parti-
culier à l'Italie, que chocunes d'elles, doit
pourvoir à son existence, à l'aide d'accords,
spéciaux destinés à sauvegarder ses inté-
rêts particuliers et à servir indirectement la
paix générale.
Mais, s'il en était ainsi, une revision des
méthodes tendant à réaliser la paix euro-
péenne ne serait-elle pas nécessaire ?
Au point de vue diplomatique, la confé-
rence finit par un compromis entre ses par-
tisans et ses adversaires. Elle se clôt sans
conclure à la grande joie des seconds, après
avoir eu lieu, selon le désir des premiers.
Mais le désaccord n'est pas résolu à l'avan-
tage de l'une ou de l'autre partie, il nest
qu'ajourné.
Au point de vue de la substance lc-z, pro-
blèmes politiques que la conférence affron-
tait étaient au nombre de trois : reprise des
rapports avec la Russie, retour de l'Allema-
gne dans le concert européen ; pacte de non-
agression.
Moralement, on a eu la sensation précise
que l'Allemagne était de nouveau considérée
comme l'égale des autres puissances; maté-
riellement, elle n'a participé qu'en partie
aux travaux de la conférence.
La question russe est renvoyée aux dis-
cussions de La Haye. Le pacte de non-
agression subit le même sort : il est ajourné.
Comment juger ces résultas de la con-
férence ? Cela dépend du point de vue. Si
l'on assigne comme objectif principal à La
politique européenne le maintien de l'En-
tente, on peut conclure que la conférence
n'a pas bien, mais n'a pas mal fini. Si
l'on considère l'Ententé comme une chose
importante, mais non pas la plus impor-
tante, si l'on estime que l'essentiel, c'est la
restauration graduelle de l'Europe et non
pas les constellations diplomatiques qui con-
tribueront à la réaliser, si l'on estime qu'un
accord partiel ou séparé qui aboutit à quel-
que chose vaut mieux qu'un accord intégral
qui n'aboutit à rien : on portera sur la con-
férence un jugement tout différent. Si le
problème russe est encore ajourné, ce n'est
la faute ni de l'intransigeance bolcheviste,
ni de l'opposition française ; c'est la faute
du mythe toujours vivant de l'unanimité.
L on obtenir à tput prix sur certains
problèmes la collaboration de gens qui ne
veulent pas collaborer (et qui ont. d'ailleurs
parfaitement le droit de ne pas vouloir col-
laborer).
Si on veut cette unanimité, il y a qu'à ---
pas traiter les problèmes sur lesquels on
n'est pas d'accord ; si l'on croit plus indis-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/12
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6217025z/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6217025z/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6217025z/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6217025z/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6217025z
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6217025z
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6217025z/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest