Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 mai 1922 16 mai 1922
Description : 1922/05/16 (T21,N2055). 1922/05/16 (T21,N2055).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217022q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
N° 2055
- U'.
Mardi 16 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
1
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La clôture de la ronfé.
;; rence de Gènes (Th. Wolff dans Berli-
?• ner Tageblatt ; Vorwarts). — Les répa-
rations (Jakob Frank dans Berliner
Bôrsen-Courier). — Le contrôle mili-
taire interallié : « l'affaire Anspach »
(Erich Dombrowski dans Berliner Ta-
geblatt, Deutsche Allgemeine Zeitung).
PRESSE ANGLAISE. — La conférence de Gênes:
la nouvelle note à la Russie (Daily
Chronicle). — Les relations franco-bri-
,i tanniques : le voyage du roi George V
(Roland Atkinson dans Sunday Times,
Westminster Gazette, Manchester Guar-
dian). — La situation en. Syrie (Morning
Post).
PRESSE BELGE. — La nouvelle note à la Rus-
sie: la nomination d'une commission
d'experts (Soir). - « L'agonie de la con-
férence de Gênes » (Nation Belge).
PRESSE ESPAGNOLE. - La conférence de Gê-
nés : la participation de l'Espagne (Ju-
lio Alvarez del Vayo dans Sol).
PRESSE ITALIENNE. — L'Italie et la conférence
de Gênes (Giornale d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA NOUVELLE NOTE A LA RUSSIE.
LA NOMINATION D'UNE COMMISSION D'EXPERTS.
- Sous le titre : « Le triomphe de M. Lloyd
Gleorge », - De Gênes 14 mai : Après les
orages d'hier matin, d'hier soir et de ce
matin, nous snTriimeiS en bonne voie d'ac-
il ~t Barthou n',est pas maître de ses actes,
Paris exposé à recevoir des ordres de
matin par tBl'éPhone:, mailS le conflit d'hier
matin était à tel p01IU de nature à com-
~rpP'italion de la France, que
M. compte lui-même doit se rendre
'oin.. m l'heure actuelle "*■ été trop
~tact qui à Gênes, est en con-
tact avec la C™S€lerice du monde l'em-
- On a et M. Poincaré. devra céder.
On a beaucoup discuté ici sur le point
ment en acceptai George a agi sage-
ment en acceptant la. PT-opos~ticn ru.&se
tendant à nommer une commission. Après
l'opposition manifestée hier par M. Bar-
thou je ..suis 'convDincou que M Lloyd
George a en raison. Un politicien dépourvu
de scrupules aurait, pu dire, à la place de
M. Lloyd George : « Très bien, si je ne puis
conclure un accord avec les Russes à vos
conditions, je le conclurai aux miennes »,
et la folie de la politique française aurait
apparu manifestement. Mais c'était la rup-
ture de l'Entente. M. Lloyd George, par sa
modération et son empire sur soi, a sauvé
Entente maigre M. Poincaré.
Quant à la note russe elle-même, je ne
partage pas l'opinion générale' à son sujet
C'est une manifestation inepte si on la con-
sidère comme avant pour but de faire
donner de l'argent à dies hommes d'affai-
res endurcis. Mais sous le rapport de l'ar-
gumentation, elle n'est dépourvue ni de no-
blesse, ni de sincérité. En acceptant cette
proposition, M. Lloyd George a empêché les
Russes d'être perdus par l'ingéniosité
même "de leurs- propres arguments, de
m ('•nie qu'en insistant pour que les Russes
fussent représentés à cette commission, il
a maintenu l'esprit et l'idéal de la confé-
rence.
Samedi matin, M. Barthou disait que la
France ne participerait aux travaux
d'aucune commission où seraient représen-
tés les Russes. C'était renier le caractère
essentiel de la conférence qui suppose
l'égalité et un front uni ; autssi lindigna-
tion des neutres a-t-elle été si grande, que
la France n'a pu maintenir cette position.
M. Barthou a prouvé samedi matin que 'R
but de M. Poincaré n'était pas tant de
servir les intérêts de la France que de
« tomber » sur M. Lloyd George. La si-
tuation était trop absurde pour pouvoir se
prolonger, et les discussions particuliers
d'aujourd'hui et d'hier soir ont grandement
modifié l'attitude de la France. M. Lloyd
George. nar sa finesse, l'a emporté sur '.a
diplomatie rigide et malveillante de Paris.
(D'un spécialiste de la politique).
DAILY CHRONICLE, 15.,5.
LES JOURNAUX BELGES du 14, publient la
note suivante de l'Agence Belga
13 mai 1922.
Ce n'est pas sans une certaine surprise
que l'on a pris connaissance ici de la « dé-
claration autorisée » exposant le point de
vue britannique.
Cette déclaration commence par expri-
mer un point de vue qui, semble-t-il, est
celui de l'unanimité des alliés : la réponse
russe est parfaitement stupide au. point
de vue des intérêts russes eux-mêmes ;
elle n'est qu'un document de propagande
oiseuse.
Mais au lieu d'adopter la seule conclu-
sion qu'imposent de pareilles prémisses,
c'est-à-dire de reconnaître l'inutilité abso-
lue qu'il y a à continuer à discuter avec
les Russes, la déclaration témoigne une
fois de plus d'une mansuétude invraisem-
blable et du désir de ne pas voir rompre
les négociations.
On reste confondu devant cette consta-
tion, si l'on songe que la conférence de
Gênes était basée sur les principes de
Cannes ; qu'il avait été formellement déci-
dé à Cannes, confirmé à Boulogne entre
M. Lloyd George et M. Poincaré,enfin répé-
té à Gênes, que la conférence ne pouvait.
s'ouvrir et se poursuivre que si les prin-
cipes de Cannes étaient d'abord acceptés
sans réserve par les Russes; et si l'on cons-
tate, d'autre part, que la réponse des
Russes est la négation éclatante de toutes
résolutions prises à Cannes. -
Cette réponse n'est, d'ailleurs, que la re-
production à peine atténuée du fameux
mémorandum Rakowsky, que les Russes
avaient été obligés de retirer il y a trois
semaines, les Alliés leur déclarant que le
maintien de ce mémorandum entraînerait
la rupture immédiate de la conférence.
Les Russes ne sont pas d'accord sur la
question des dettes. Ils ne sont pas d'ac-
cord sur la restitution des biens. M. Joffe-
n'a-t-il pas déclaré hier encore que son
pays ne pouvait renoncer à la communi-
sation soviétique, celle-ci étant l'un des
principes sur lesquels le gouvernement
russe actuel est fondé ?
Les Russes ne sont pas d'accord pour
établir un système légal et juridique sanc-
tionnant l'exécution impartiale de tous tes
contrats. Ils se refusent à la mise sur
pied des tribunaux arbitraux ; ils se re-
fusent enfin, à prendre l'engagement. de
cesser toute propagande subversive de
l'ordre et du système politique établi dans
d'autres pays.
Comment peut-on venir dire après cèla
que tout espoir d'aboutir n'est pas perdu ?
Comment peut-on dire que la troisième ré-
solution de Cannes est acceptée par les
Russes ? (Il s'agit de la résolution relative
aux ;dettes, aux biens, au respect des con-
trats et aux juridictions !) Comment peut-
on enfin proposer de faire étudier la ques-
tion par une commission dans laquelle les
Russes seront représentés ?
Pendant des semaines, on a vu l'impos-
sibilité absolue de discuter avec eux ; on
a vu que si l'un ou l'autre montrait de
faibles velléités de conciliation, immédia-
tement un mot d'ordre venu de Moscou le
rappelait au respect des principes sovié-
tiques et lui interdisait tout pas en avant :
on a vu enfin qu'à l'heure des résolutions
définitives, les Russes étaient incapables
de faire des réponses autres que des ré-
ponses négatives ou évasives.
Il faut fermer les yeux à l'évidence pour
croire ou feindre de croire que l'on puisse
aboutir à Gênes et traiter avec les Russes.
La conférence de Gênes n'a. qu'à sanction-
ner les déclarations financières et écono-
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
N° 2055
- U'.
Mardi 16 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
1
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — La clôture de la ronfé.
;; rence de Gènes (Th. Wolff dans Berli-
?• ner Tageblatt ; Vorwarts). — Les répa-
rations (Jakob Frank dans Berliner
Bôrsen-Courier). — Le contrôle mili-
taire interallié : « l'affaire Anspach »
(Erich Dombrowski dans Berliner Ta-
geblatt, Deutsche Allgemeine Zeitung).
PRESSE ANGLAISE. — La conférence de Gênes:
la nouvelle note à la Russie (Daily
Chronicle). — Les relations franco-bri-
,i tanniques : le voyage du roi George V
(Roland Atkinson dans Sunday Times,
Westminster Gazette, Manchester Guar-
dian). — La situation en. Syrie (Morning
Post).
PRESSE BELGE. — La nouvelle note à la Rus-
sie: la nomination d'une commission
d'experts (Soir). - « L'agonie de la con-
férence de Gênes » (Nation Belge).
PRESSE ESPAGNOLE. - La conférence de Gê-
nés : la participation de l'Espagne (Ju-
lio Alvarez del Vayo dans Sol).
PRESSE ITALIENNE. — L'Italie et la conférence
de Gênes (Giornale d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA NOUVELLE NOTE A LA RUSSIE.
LA NOMINATION D'UNE COMMISSION D'EXPERTS.
- Sous le titre : « Le triomphe de M. Lloyd
Gleorge », - De Gênes 14 mai : Après les
orages d'hier matin, d'hier soir et de ce
matin, nous snTriimeiS en bonne voie d'ac-
il ~t Barthou n',est pas maître de ses actes,
Paris exposé à recevoir des ordres de
matin par tBl'éPhone:, mailS le conflit d'hier
matin était à tel p01IU de nature à com-
~rpP'italion de la France, que
M. compte lui-même doit se rendre
'oin.. m l'heure actuelle "*■ été trop
~tact qui à Gênes, est en con-
tact avec la C™S€lerice du monde l'em-
- On a et M. Poincaré. devra céder.
On a beaucoup discuté ici sur le point
ment en acceptai George a agi sage-
ment en acceptant la. PT-opos~ticn ru.&se
tendant à nommer une commission. Après
l'opposition manifestée hier par M. Bar-
thou je ..suis 'convDincou que M Lloyd
George a en raison. Un politicien dépourvu
de scrupules aurait, pu dire, à la place de
M. Lloyd George : « Très bien, si je ne puis
conclure un accord avec les Russes à vos
conditions, je le conclurai aux miennes »,
et la folie de la politique française aurait
apparu manifestement. Mais c'était la rup-
ture de l'Entente. M. Lloyd George, par sa
modération et son empire sur soi, a sauvé
Entente maigre M. Poincaré.
Quant à la note russe elle-même, je ne
partage pas l'opinion générale' à son sujet
C'est une manifestation inepte si on la con-
sidère comme avant pour but de faire
donner de l'argent à dies hommes d'affai-
res endurcis. Mais sous le rapport de l'ar-
gumentation, elle n'est dépourvue ni de no-
blesse, ni de sincérité. En acceptant cette
proposition, M. Lloyd George a empêché les
Russes d'être perdus par l'ingéniosité
même "de leurs- propres arguments, de
m ('•nie qu'en insistant pour que les Russes
fussent représentés à cette commission, il
a maintenu l'esprit et l'idéal de la confé-
rence.
Samedi matin, M. Barthou disait que la
France ne participerait aux travaux
d'aucune commission où seraient représen-
tés les Russes. C'était renier le caractère
essentiel de la conférence qui suppose
l'égalité et un front uni ; autssi lindigna-
tion des neutres a-t-elle été si grande, que
la France n'a pu maintenir cette position.
M. Barthou a prouvé samedi matin que 'R
but de M. Poincaré n'était pas tant de
servir les intérêts de la France que de
« tomber » sur M. Lloyd George. La si-
tuation était trop absurde pour pouvoir se
prolonger, et les discussions particuliers
d'aujourd'hui et d'hier soir ont grandement
modifié l'attitude de la France. M. Lloyd
George. nar sa finesse, l'a emporté sur '.a
diplomatie rigide et malveillante de Paris.
(D'un spécialiste de la politique).
DAILY CHRONICLE, 15.,5.
LES JOURNAUX BELGES du 14, publient la
note suivante de l'Agence Belga
13 mai 1922.
Ce n'est pas sans une certaine surprise
que l'on a pris connaissance ici de la « dé-
claration autorisée » exposant le point de
vue britannique.
Cette déclaration commence par expri-
mer un point de vue qui, semble-t-il, est
celui de l'unanimité des alliés : la réponse
russe est parfaitement stupide au. point
de vue des intérêts russes eux-mêmes ;
elle n'est qu'un document de propagande
oiseuse.
Mais au lieu d'adopter la seule conclu-
sion qu'imposent de pareilles prémisses,
c'est-à-dire de reconnaître l'inutilité abso-
lue qu'il y a à continuer à discuter avec
les Russes, la déclaration témoigne une
fois de plus d'une mansuétude invraisem-
blable et du désir de ne pas voir rompre
les négociations.
On reste confondu devant cette consta-
tion, si l'on songe que la conférence de
Gênes était basée sur les principes de
Cannes ; qu'il avait été formellement déci-
dé à Cannes, confirmé à Boulogne entre
M. Lloyd George et M. Poincaré,enfin répé-
té à Gênes, que la conférence ne pouvait.
s'ouvrir et se poursuivre que si les prin-
cipes de Cannes étaient d'abord acceptés
sans réserve par les Russes; et si l'on cons-
tate, d'autre part, que la réponse des
Russes est la négation éclatante de toutes
résolutions prises à Cannes. -
Cette réponse n'est, d'ailleurs, que la re-
production à peine atténuée du fameux
mémorandum Rakowsky, que les Russes
avaient été obligés de retirer il y a trois
semaines, les Alliés leur déclarant que le
maintien de ce mémorandum entraînerait
la rupture immédiate de la conférence.
Les Russes ne sont pas d'accord sur la
question des dettes. Ils ne sont pas d'ac-
cord sur la restitution des biens. M. Joffe-
n'a-t-il pas déclaré hier encore que son
pays ne pouvait renoncer à la communi-
sation soviétique, celle-ci étant l'un des
principes sur lesquels le gouvernement
russe actuel est fondé ?
Les Russes ne sont pas d'accord pour
établir un système légal et juridique sanc-
tionnant l'exécution impartiale de tous tes
contrats. Ils se refusent à la mise sur
pied des tribunaux arbitraux ; ils se re-
fusent enfin, à prendre l'engagement. de
cesser toute propagande subversive de
l'ordre et du système politique établi dans
d'autres pays.
Comment peut-on venir dire après cèla
que tout espoir d'aboutir n'est pas perdu ?
Comment peut-on dire que la troisième ré-
solution de Cannes est acceptée par les
Russes ? (Il s'agit de la résolution relative
aux ;dettes, aux biens, au respect des con-
trats et aux juridictions !) Comment peut-
on enfin proposer de faire étudier la ques-
tion par une commission dans laquelle les
Russes seront représentés ?
Pendant des semaines, on a vu l'impos-
sibilité absolue de discuter avec eux ; on
a vu que si l'un ou l'autre montrait de
faibles velléités de conciliation, immédia-
tement un mot d'ordre venu de Moscou le
rappelait au respect des principes sovié-
tiques et lui interdisait tout pas en avant :
on a vu enfin qu'à l'heure des résolutions
définitives, les Russes étaient incapables
de faire des réponses autres que des ré-
ponses négatives ou évasives.
Il faut fermer les yeux à l'évidence pour
croire ou feindre de croire que l'on puisse
aboutir à Gênes et traiter avec les Russes.
La conférence de Gênes n'a. qu'à sanction-
ner les déclarations financières et écono-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/12
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6217022q/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6217022q/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6217022q/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6217022q/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6217022q
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6217022q
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6217022q/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest