Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 mai 1922 08 mai 1922
Description : 1922/05/08 (T21,N2048). 1922/05/08 (T21,N2048).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217015k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MIN ISTÈRE
ose
AFFAIRES 9TRAbiSgagâ
N° 2048
Lundi 8 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA.. — Il est donné ci-desseus des traductions, intégrales ou par extraits.
e* des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les négociations avec
les Soviets : l'attitude des délégations
belge et française (F'rulll,:[l/rler Zei-
tuna). - Les en Ire 1-i.ems anglo-alle-
mands à Gênes (Re rimer Lokul-Anzei-
aer).
PHESSE AMÉRICAINE. - La sécurité de la
France ; les effectifs militaires et le
pacte de garantie de 1919 (New Y or I;
Tribune, New Yori; American).
PRESSE ANGLAISE. - La conférence de
Gênees ; la situation générale (Wickham
Steed dans Times).
PRESSE AUTRICHIENNE. - Les négociations
avec les Soviets ; l'attitude des délé-
gations belge, et française (Tagespost,
Neue Freie Presse).
PRESSE ,BELGE. - Les négociations avec les
Soviets; l'attitude des Régalions belge
et française (Soir, N a,lion neIge, Indé-
pendance Belge).
PRESSE ITALlEiIi:\E. Le prétendu traité
italo-turc (Filippo Sacchi dans Corriere
della Sera) ; les relations anglü-Ïta-
C. E. a Prato dans Mondo).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS AVEC LES
SOVIETS. - L'ATTITUDE DES DÉLÉGATIONS
BELGE ET FRANÇAISE. PRESSE AUTRICHIENNE.
- Après huit 'jon envoie à Tchitcherine un document conte-
riant sent [jolis que, personne n'ap-
lettre d'envois signée seulement de Facta, en
sa qualité de président de la conférence.
Dans cette lettre, on donne aux Russes ce
donne aux Russes ce
':rnseignement né,gatif que la France n'ac-
cepte aucune des sept revendications. Un ul-
aurait dû suivre le mémoire, la
manifestation d'une volonté unique. Au lieu
de l'ultimatum prévu, Tchitcherine reçoit
l'aveu public des , qu'ils ne sont pas du
tout d'accord. Jl®s qu'ils ne sont pas du
T AGESPüST [de Gratz], 3.,5 soir. •
- On est encore une fois arrivé à un
la Belgique n'est tout i déclarer que
la Belgique nest tout de même pas plus in-
téressée à l'indemnisation que l'Allemagne
avec ses pertes immenses ou bien l'Angle-
terre en la FraÙce. La Belgique doit-elle
jouer le l'('¡je de la torpille dirigée
contre la conférence ? Nous ne savons pas
comment. sont disposés les ressorts secrets
et les canaux c soutGrrninrw s- Mais il est certain
que tia n France maintient le point de vue
qu'elle a pleinement le droit d'appliquer des
sanctions a l'Allemagne, même seule et sans
l'appui des autres puissances et qu'elle ne
désire la conclusion du pacte de garantie
qu'à cette condition. Poincaré a dit qu'il
était disposé à céder dans la question des
dettes russes. A-t-on mis la Belgique en
avant pour que la France ne fût pas tou-
jours dans la pleine lumière de la rampe ?
Quoi qu'il en soit, la conférence a obtenu
très peu de résultats jusqu'ici et Lloyd
George a raison de conseiller la patience
et de montrer les graves signes d'orage à
l'horizon, la possibilité d'une collaboration
entre l'Allemagne et la Russie et la folie
d'une politique d'oppression perpétuelle.
NEUE F H El E PRESSE, 3.,5. matin.
PRESSE ALLEMANDE. - « Une nouvelle Eu. 1
rope ou la fin de l'Entente », voilà à peu près
(oimneirl Garvin dans l'Observer, caracté-
rise, du point de vue anglais, le sens de la
lutte politique de Gênes. Dans la nouvelle
Europe, dans l'Europe pacifiée, l'Angleterre
aurait la direction. Pour la France, le sens
de la lutte spirituelle de Gênes est autre :
« Hégémonie anglaise ou hégémonie fran-
çaise ». C'est par cette opposition de concep-
tions que s'expliquent les conflits qui se ré-
vèlent sans cesse au sein de la conférence.
Mais pour la crise actuelle, il s'agit d'une
divergence d'opinions sur une question fon-
damentale, sur la question de savoir si les
puissances veulent reconnaître pratique-
ment le système du « capitalisme d'Etat »
russe ou bien s'ils exigeront la restitution
effective de la propriété étrangère passée
aux mains de l'Etat. Dans cette lutte, la
Belgique constitue l'avant-giarde ; mais la
troupe de combat effective, le gros de l'ar-
mée, c'est la France. Ce ne sont pas là
toutes les forces d'opposition. Dans la ré-
serve se trouve l'Amérique officielle et le
capitalisme international, même le capita-
lisme anglais en tant qu'il est réactionnaire
et incapable de s'adapter.
La question de la propriété étrangère en
Russie soviétique constitue un problème
très délicat. Le politicien pratique qui veut
le rétablissement des relations avec la Rus-
sie doit se dire que les bolcheviks doivent
tenir au moins à conserver l'apparence du
maintien de leur système de capitalisme
d'Etat. La résolution du Conseil suprême de
Cannes, qui devait constituer la base des
conversations de Gênes, est donc très pru-
dente à cet égard. Dans son paragraphe 2,
elle pose le principe de la reconnaissance
des droits des capitalistes étrangers et dans
son paragraphe 3 elle se borne à exiger
dans une forme indéterminée ra reconnais-
sance des obligations issues de la confisca-
tion de la propriété étrangère. La résolution
de Cannes évite donc de réclamer formelle-
ment la restitution effective.
On peut craindre que les Belges et les
Français ne persévèrent dans leur attitude
parce qu'ils reçoivent l'appui de certains
facteurs. L'Amérique officielle notamment.
semble les encourager. En dehors même
des pacifistes et des idéalistes il y a cer-
tainement aux Etats-Unis des forces réalis-
tes qui craignent que l'attitude doctrinaire
du département d'Etat ne fasse perdre l'oc-
casion de faire de bonnes affaires. Pourtant,.
la grande majorité ne veut pas encore d'un
pacte avec les bolcheviks. On en trouve un
témoignage dans la déclaration fougueuse
du chef réactionnaire de la réactionnaire
Union des syndicats américains.
La lutte pour le pétrole a pris une influence
primordiale.
On sait que la Shell et la Standard Oil
luttent pour le pétrole de Bakou ; à Gênes,
la lutte a été publique, au point d'en être pé-
nible, et les journaux anglais, en dépit de
tous les démentis, ne se donnent pas la
peine de cacher ce mystère que la Shell a
gagné la partie. Peut-être l'attitude du Dé-
partement d'Etat américain serait-elle dif-
férente si le résultat avait été différent.
Ceci devrait instruire les Américains. Il
ne sert de rien de s'enfermer dans sa doc-
trine
FRANKFURTER ZEITUNG, 5.,5. soir.
PRESSE BELGE. — De Gênes, 6 mai : Une
manœuvre commence ce soir : elle consiste
à dire aux Belges que la France les a sou-
tenus, afin de pouvoir réclamer le concours
des troupes belges si l'occupation de la
Ruhr était décidée et obtenir l'aide morale
de la Belgique lors du Conseil suprême sur
les réparations.
SOIR, 7.5.
— De nombreuses dépêches, des agences
Reuter et Havas parvenues dans la journée
de samedi à Bruxelles essaient de faire
croire que la Belgique, dans le but de ne
pas faire échouer la conférence, serait
prête à certaines concessions au sujet du
mémorandum russe.
Répétons-le : ces dépêches, de source ins-
pirée, font partie d'une campagne dont le
but est d'amener la Belgique et la France
à transiger. Or, le gouvernement belge est
absolument décidé à rester irréductible. Il
défend un principe sacré : le droit de pro-
ose
AFFAIRES 9TRAbiSgagâ
N° 2048
Lundi 8 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA.. — Il est donné ci-desseus des traductions, intégrales ou par extraits.
e* des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les négociations avec
les Soviets : l'attitude des délégations
belge et française (F'rulll,:[l/rler Zei-
tuna). - Les en Ire 1-i.ems anglo-alle-
mands à Gênes (Re rimer Lokul-Anzei-
aer).
PHESSE AMÉRICAINE. - La sécurité de la
France ; les effectifs militaires et le
pacte de garantie de 1919 (New Y or I;
Tribune, New Yori; American).
PRESSE ANGLAISE. - La conférence de
Gênees ; la situation générale (Wickham
Steed dans Times).
PRESSE AUTRICHIENNE. - Les négociations
avec les Soviets ; l'attitude des délé-
gations belge, et française (Tagespost,
Neue Freie Presse).
PRESSE ,BELGE. - Les négociations avec les
Soviets; l'attitude des Régalions belge
et française (Soir, N a,lion neIge, Indé-
pendance Belge).
PRESSE ITALlEiIi:\E. Le prétendu traité
italo-turc (Filippo Sacchi dans Corriere
della Sera) ; les relations anglü-Ïta-
C. E. a Prato dans Mondo).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS AVEC LES
SOVIETS. - L'ATTITUDE DES DÉLÉGATIONS
BELGE ET FRANÇAISE. PRESSE AUTRICHIENNE.
- Après huit 'j
riant sent [jolis que, personne n'ap-
lettre d'envois signée seulement de Facta, en
sa qualité de président de la conférence.
Dans cette lettre, on donne aux Russes ce
donne aux Russes ce
':rnseignement né,gatif que la France n'ac-
cepte aucune des sept revendications. Un ul-
aurait dû suivre le mémoire, la
manifestation d'une volonté unique. Au lieu
de l'ultimatum prévu, Tchitcherine reçoit
l'aveu public des , qu'ils ne sont pas du
tout d'accord. Jl®s qu'ils ne sont pas du
T AGESPüST [de Gratz], 3.,5 soir. •
- On est encore une fois arrivé à un
la Belgique n'est tout i déclarer que
la Belgique nest tout de même pas plus in-
téressée à l'indemnisation que l'Allemagne
avec ses pertes immenses ou bien l'Angle-
terre en la FraÙce. La Belgique doit-elle
jouer le l'('¡je de la torpille dirigée
contre la conférence ? Nous ne savons pas
comment. sont disposés les ressorts secrets
et les canaux c soutGrrninrw s- Mais il est certain
que tia n France maintient le point de vue
qu'elle a pleinement le droit d'appliquer des
sanctions a l'Allemagne, même seule et sans
l'appui des autres puissances et qu'elle ne
désire la conclusion du pacte de garantie
qu'à cette condition. Poincaré a dit qu'il
était disposé à céder dans la question des
dettes russes. A-t-on mis la Belgique en
avant pour que la France ne fût pas tou-
jours dans la pleine lumière de la rampe ?
Quoi qu'il en soit, la conférence a obtenu
très peu de résultats jusqu'ici et Lloyd
George a raison de conseiller la patience
et de montrer les graves signes d'orage à
l'horizon, la possibilité d'une collaboration
entre l'Allemagne et la Russie et la folie
d'une politique d'oppression perpétuelle.
NEUE F H El E PRESSE, 3.,5. matin.
PRESSE ALLEMANDE. - « Une nouvelle Eu. 1
rope ou la fin de l'Entente », voilà à peu près
(oimneirl Garvin dans l'Observer, caracté-
rise, du point de vue anglais, le sens de la
lutte politique de Gênes. Dans la nouvelle
Europe, dans l'Europe pacifiée, l'Angleterre
aurait la direction. Pour la France, le sens
de la lutte spirituelle de Gênes est autre :
« Hégémonie anglaise ou hégémonie fran-
çaise ». C'est par cette opposition de concep-
tions que s'expliquent les conflits qui se ré-
vèlent sans cesse au sein de la conférence.
Mais pour la crise actuelle, il s'agit d'une
divergence d'opinions sur une question fon-
damentale, sur la question de savoir si les
puissances veulent reconnaître pratique-
ment le système du « capitalisme d'Etat »
russe ou bien s'ils exigeront la restitution
effective de la propriété étrangère passée
aux mains de l'Etat. Dans cette lutte, la
Belgique constitue l'avant-giarde ; mais la
troupe de combat effective, le gros de l'ar-
mée, c'est la France. Ce ne sont pas là
toutes les forces d'opposition. Dans la ré-
serve se trouve l'Amérique officielle et le
capitalisme international, même le capita-
lisme anglais en tant qu'il est réactionnaire
et incapable de s'adapter.
La question de la propriété étrangère en
Russie soviétique constitue un problème
très délicat. Le politicien pratique qui veut
le rétablissement des relations avec la Rus-
sie doit se dire que les bolcheviks doivent
tenir au moins à conserver l'apparence du
maintien de leur système de capitalisme
d'Etat. La résolution du Conseil suprême de
Cannes, qui devait constituer la base des
conversations de Gênes, est donc très pru-
dente à cet égard. Dans son paragraphe 2,
elle pose le principe de la reconnaissance
des droits des capitalistes étrangers et dans
son paragraphe 3 elle se borne à exiger
dans une forme indéterminée ra reconnais-
sance des obligations issues de la confisca-
tion de la propriété étrangère. La résolution
de Cannes évite donc de réclamer formelle-
ment la restitution effective.
On peut craindre que les Belges et les
Français ne persévèrent dans leur attitude
parce qu'ils reçoivent l'appui de certains
facteurs. L'Amérique officielle notamment.
semble les encourager. En dehors même
des pacifistes et des idéalistes il y a cer-
tainement aux Etats-Unis des forces réalis-
tes qui craignent que l'attitude doctrinaire
du département d'Etat ne fasse perdre l'oc-
casion de faire de bonnes affaires. Pourtant,.
la grande majorité ne veut pas encore d'un
pacte avec les bolcheviks. On en trouve un
témoignage dans la déclaration fougueuse
du chef réactionnaire de la réactionnaire
Union des syndicats américains.
La lutte pour le pétrole a pris une influence
primordiale.
On sait que la Shell et la Standard Oil
luttent pour le pétrole de Bakou ; à Gênes,
la lutte a été publique, au point d'en être pé-
nible, et les journaux anglais, en dépit de
tous les démentis, ne se donnent pas la
peine de cacher ce mystère que la Shell a
gagné la partie. Peut-être l'attitude du Dé-
partement d'Etat américain serait-elle dif-
férente si le résultat avait été différent.
Ceci devrait instruire les Américains. Il
ne sert de rien de s'enfermer dans sa doc-
trine
FRANKFURTER ZEITUNG, 5.,5. soir.
PRESSE BELGE. — De Gênes, 6 mai : Une
manœuvre commence ce soir : elle consiste
à dire aux Belges que la France les a sou-
tenus, afin de pouvoir réclamer le concours
des troupes belges si l'occupation de la
Ruhr était décidée et obtenir l'aide morale
de la Belgique lors du Conseil suprême sur
les réparations.
SOIR, 7.5.
— De nombreuses dépêches, des agences
Reuter et Havas parvenues dans la journée
de samedi à Bruxelles essaient de faire
croire que la Belgique, dans le but de ne
pas faire échouer la conférence, serait
prête à certaines concessions au sujet du
mémorandum russe.
Répétons-le : ces dépêches, de source ins-
pirée, font partie d'une campagne dont le
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