Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 mai 1922 06 mai 1922
Description : 1922/05/06 (T21,N2047). 1922/05/06 (T21,N2047).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170145
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MINISTERE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
L -------
N* 2047
Samedi 6 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — 11 est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimes en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le pacte de non-agres-
sion (Th. Wolff dans Berliner Tage-
blatt, Frankfurter Zeitung). — Les
bruits de crise gouvernementale en Al-
lemagne (Tägliche Rundschau).
PRESSE AMÉRICAINE. — La conférence de Gê-
nes : l'abstention des Etats-Unis (Was-
hington Post). — La population de New-
York (Aeiv York Times). — Le sénateur
France à la conférence de Gênes (New
York Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — Les négociations avec
les Soviets (Westminster Gazette, Daily
News, Wickham Steed dans Times ;
Daily Chronicle). - Les réparations et
les dettes interalliées (H. Wilson Harris
dans Daily News).
PRESSE BELGE. ! Les négociations avec les
Soviets : la position de la Belgique et
de la France (Peuple, Libre Belgique).
PRESSE ESPAGNOLE. - Le voyage de M. Mil-
lerand (Epoca).
PRESSE ITALlEN;'\E. - Les négociat.Ïons avec
les Soviets (Epoca).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
S LES T NEGOCIATIONS AVEC LES
SOVIETS. LA POSITION DE LA BELGIQUE ET
DE LA FRANCE. - LA PRESSE BELGE vubUe
le compte rendu (Ila-vas) dit, conseil de cabi-
net tenu à Paris le 4 mai. Elle se réjouit de
l'unanimité qui a accueilli la décision de
M. Poincaré , et &lle partage en général
l'opinion de la Nation Belge qui écrit à ce
suj et :
De l'inaidNlt" s,i heureusement terminé,
l'amitié lrailco-bQlg,e , sortira grandie et for-
tifiée. t:I J
Le Peuple écrit:
.Ce n'est Un secret poiir, personne que
le texte voté, nw
ne re*nconftra,it Wi'9 Par tjOVS tes experts,
irréductible et 6n ^raniCe d'opposition
voir accepter.
Si la France a promis de ne point nous
abandonner, Il ,n'en f,'Iiid,rait pas -ooncluT'le
qu'elle ne souhait ^aTldrait pas conclura
qu'elle ne souhaiteo no:us voir accepter
quelque arrangement.
Le Matin, dont on connaît les attaches
avec M. Poincaré, écrit « qu'il faut faire, à
Bruxelles comme à Gènes, les plus grands
Affn,œT1,cil'lier le point de vue belge
et celui des autres puissances ».
On sait que l'amendement Seydoux a été
déposé avec l'espoir qu'il nous i~ait
et que des 'conversations act.ives et nnim{'¡es
ont eu lieu H. ce sujet entre Paris et Bru-
xelles
Certes le mémorandum ,l"'ies¡tera peut-être
un document sans pod,Óe pratique, l'aooen
tation des Soviets n'étant rien moins qu'as-
surée. Mais il importe que, si la conférence
(]oit. échouer, si la paix du monde demeure
incertaine, nous ayons tout fait pour éviter
semiblable état de choses, dont nous suppor-
terions les premiers les dures conséquences.
PEUPLE, 5.5.
- .Si la thèse belge est devenue aujour-
d'hui la thèse française, la formule de celle-
ci sera conçue peut-être de manière à faire
l'objet d'un nouvel examen de la commis-
sion russe afin de pouvoir rallier une una-
nimité qui a manqué lundi.
Des symptômes de revirement chez cer-
taines délégations n'ont pas échappé à
l'observation de M. Jaspar. L'attitude ferme
et résolue de la Belgique a ouvert bien des
yeux et a rendu en quelque sorte conscience
de la gravité de la situatiion à certains
états, tels que la Hollande et la Suisse.
Le journal dément ensuite le bruit d'un dr-
sacoord entre M. Jaspar et M. Cattier.
LIBRE BELGIQUE, 5.5.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « Gênes
bougie ! » — Gênes change d'aspect de jour
en jour. Alors que, hier matin, la rupture de
la conférence semblait une éventualité pro-
bable, avant le soir, il était permis d'affir-
mer que les délégués avaient accompli
quelque chose de positif et de pratique. En
dehors des iSéancelsl de la conférence, le mé-
morandum des alliés a été remis à la
Russie. La signature de la France est ap-
posée à ce document, mais avec une ré-
serve. M. Poincaré conserve le droit de le
répudier. Le procédé est pour le moins
étrange, mais il faut espérer qu'à la suite
de ses conversations avec M. Barthou, le
président français se laissera gagner jus-
qu'à un certain point par l'esprit qui à
Gênes anime les délégations et qu'il se
rendra compte que la sagesse lui com-
mande de ne pas désavouer ce qu'ont signé
les délégués français. On ne saurait trop
regretter que M. Poincaré n'ait pu se rendre
à Gênes en personne, et qu'il ait jugé pré-
férable de participer aux travaux de la con-
férence, tout en restant en dehors de l'at-
mosphère créée là bas par le contact in-
time des représentants des nations. — (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 4.,5.
Si la conférence de Gênes n'a rien ac-
compli d'autre. elle a montré en tout cas
où git la cause réelle des maux qui étouf-
fent l'Europe. Le public anglais envisage
avec une indifférence très justifiable les
discussions financières avec la Russie, tout
au moins en ce qui concerne la dette pu-
blique. M. Keynes a résumé probablement
la situation avec une grande exactitude
lorsqu'il déclare que toute tentative pour
faire payer la Russie ne fait qu'ajouter à
l'ensemble des dettes impossibles « un nou-
veau tas d'obligations futiles. » et que les
arguments de Tchitcherine à cet égard
« opposent simplement à nos divagations à
propos de milliards, des divagations plus
fantastiques encore sur des milliards plus
nombreux ». Quoi qu'il en soit, un règle-
ment général avec la Russie est essentiel
au rétablissement de la paix en Europe.
L'Amérique peut se permettre, à la rigueur,
de rester en dehors, mais l'Angleterre ne
le peut pas, ni l'Italie, ni la France à la
longue. Les fanatiques anti-bolchevistes qui
gémissent tous les jours sur le crime et
sur la folie d'avoir confiance dans les
bolcheviks vivent dans un monde à part,
qui n'a aucun rapport avec la réalité.
Nous n'approuvons sans doute pas plus
le bolchevisme, que nous n'approuvions
avant la guerre le tsarisme ou le kai-
serisme. Mais consacrer nos ressour-
ces nationales à une croisade contre le
bolchevisme, ce qui est la seule chose lo-
gique à faire si l'on refuse d'en reconnaî-
tre l'évidente existence, c'est abandonner
tout espoir de paix, de désarmement, de
reprise des affaires, d'économie et de toutes
les réformes qui dépendent essentiellement
de la réalisation de * ces espérances.
D'aucuns prétendent que parlementer avec
les bolcheviks, c'est trahir la civilisation.
Refuser de parlementer avec eux, c'est la
détruire. — (Ed.).
, DAILY NEWS, 4.,5.
— De Gênes, 4 mai : La Belgique a fait
plus que de refuser d'apposer sa signature
à un document; elle a rompu le charme dans
cette conférence où il y a eu tant d'équivo-
que sous prétexte de concorde, tant d'inti-
midation sous prétexte de générosité et
tant de pusillanimité sous prétexte de pru-
dence. Le courage dont la Belgique a fait
preuve, en opposant un « non » au risque
de l'isolement, a éclairci l'atmosphère, de
même qu'une averse d'été.
Les délégués belges restés à Gênes ont
reçu hier beaucoup de félicitations, ouvertes
ou cachées ; ils en recevront plus encore de-
main lorsqu'on saura que la France a dé-
cidé de ne pas abandonner son alliée et que
l'attitude de la Belgique reçoit l'approbation
des Etats-Unis. Il est impossible de prévoir
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
L -------
N* 2047
Samedi 6 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — 11 est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimes en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le pacte de non-agres-
sion (Th. Wolff dans Berliner Tage-
blatt, Frankfurter Zeitung). — Les
bruits de crise gouvernementale en Al-
lemagne (Tägliche Rundschau).
PRESSE AMÉRICAINE. — La conférence de Gê-
nes : l'abstention des Etats-Unis (Was-
hington Post). — La population de New-
York (Aeiv York Times). — Le sénateur
France à la conférence de Gênes (New
York Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — Les négociations avec
les Soviets (Westminster Gazette, Daily
News, Wickham Steed dans Times ;
Daily Chronicle). - Les réparations et
les dettes interalliées (H. Wilson Harris
dans Daily News).
PRESSE BELGE. ! Les négociations avec les
Soviets : la position de la Belgique et
de la France (Peuple, Libre Belgique).
PRESSE ESPAGNOLE. - Le voyage de M. Mil-
lerand (Epoca).
PRESSE ITALlEN;'\E. - Les négociat.Ïons avec
les Soviets (Epoca).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
S LES T NEGOCIATIONS AVEC LES
SOVIETS. LA POSITION DE LA BELGIQUE ET
DE LA FRANCE. - LA PRESSE BELGE vubUe
le compte rendu (Ila-vas) dit, conseil de cabi-
net tenu à Paris le 4 mai. Elle se réjouit de
l'unanimité qui a accueilli la décision de
M. Poincaré , et &lle partage en général
l'opinion de la Nation Belge qui écrit à ce
suj et :
De l'inaidNlt" s,i heureusement terminé,
l'amitié lrailco-bQlg,e , sortira grandie et for-
tifiée. t:I J
Le Peuple écrit:
.Ce n'est Un secret poiir, personne que
le texte voté, nw
ne re*nconftra,it Wi'9 Par tjOVS tes experts,
irréductible et 6n ^raniCe d'opposition
voir accepter.
Si la France a promis de ne point nous
abandonner, Il ,n'en f,'Iiid,rait pas -ooncluT'le
qu'elle ne souhait ^aTldrait pas conclura
qu'elle ne souhaiteo no:us voir accepter
quelque arrangement.
Le Matin, dont on connaît les attaches
avec M. Poincaré, écrit « qu'il faut faire, à
Bruxelles comme à Gènes, les plus grands
Affn,œT1,cil'lier le point de vue belge
et celui des autres puissances ».
On sait que l'amendement Seydoux a été
déposé avec l'espoir qu'il nous i~ait
et que des 'conversations act.ives et nnim{'¡es
ont eu lieu H. ce sujet entre Paris et Bru-
xelles
Certes le mémorandum ,l"'ies¡tera peut-être
un document sans pod,Óe pratique, l'aooen
tation des Soviets n'étant rien moins qu'as-
surée. Mais il importe que, si la conférence
(]oit. échouer, si la paix du monde demeure
incertaine, nous ayons tout fait pour éviter
semiblable état de choses, dont nous suppor-
terions les premiers les dures conséquences.
PEUPLE, 5.5.
- .Si la thèse belge est devenue aujour-
d'hui la thèse française, la formule de celle-
ci sera conçue peut-être de manière à faire
l'objet d'un nouvel examen de la commis-
sion russe afin de pouvoir rallier une una-
nimité qui a manqué lundi.
Des symptômes de revirement chez cer-
taines délégations n'ont pas échappé à
l'observation de M. Jaspar. L'attitude ferme
et résolue de la Belgique a ouvert bien des
yeux et a rendu en quelque sorte conscience
de la gravité de la situatiion à certains
états, tels que la Hollande et la Suisse.
Le journal dément ensuite le bruit d'un dr-
sacoord entre M. Jaspar et M. Cattier.
LIBRE BELGIQUE, 5.5.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « Gênes
bougie ! » — Gênes change d'aspect de jour
en jour. Alors que, hier matin, la rupture de
la conférence semblait une éventualité pro-
bable, avant le soir, il était permis d'affir-
mer que les délégués avaient accompli
quelque chose de positif et de pratique. En
dehors des iSéancelsl de la conférence, le mé-
morandum des alliés a été remis à la
Russie. La signature de la France est ap-
posée à ce document, mais avec une ré-
serve. M. Poincaré conserve le droit de le
répudier. Le procédé est pour le moins
étrange, mais il faut espérer qu'à la suite
de ses conversations avec M. Barthou, le
président français se laissera gagner jus-
qu'à un certain point par l'esprit qui à
Gênes anime les délégations et qu'il se
rendra compte que la sagesse lui com-
mande de ne pas désavouer ce qu'ont signé
les délégués français. On ne saurait trop
regretter que M. Poincaré n'ait pu se rendre
à Gênes en personne, et qu'il ait jugé pré-
férable de participer aux travaux de la con-
férence, tout en restant en dehors de l'at-
mosphère créée là bas par le contact in-
time des représentants des nations. — (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 4.,5.
Si la conférence de Gênes n'a rien ac-
compli d'autre. elle a montré en tout cas
où git la cause réelle des maux qui étouf-
fent l'Europe. Le public anglais envisage
avec une indifférence très justifiable les
discussions financières avec la Russie, tout
au moins en ce qui concerne la dette pu-
blique. M. Keynes a résumé probablement
la situation avec une grande exactitude
lorsqu'il déclare que toute tentative pour
faire payer la Russie ne fait qu'ajouter à
l'ensemble des dettes impossibles « un nou-
veau tas d'obligations futiles. » et que les
arguments de Tchitcherine à cet égard
« opposent simplement à nos divagations à
propos de milliards, des divagations plus
fantastiques encore sur des milliards plus
nombreux ». Quoi qu'il en soit, un règle-
ment général avec la Russie est essentiel
au rétablissement de la paix en Europe.
L'Amérique peut se permettre, à la rigueur,
de rester en dehors, mais l'Angleterre ne
le peut pas, ni l'Italie, ni la France à la
longue. Les fanatiques anti-bolchevistes qui
gémissent tous les jours sur le crime et
sur la folie d'avoir confiance dans les
bolcheviks vivent dans un monde à part,
qui n'a aucun rapport avec la réalité.
Nous n'approuvons sans doute pas plus
le bolchevisme, que nous n'approuvions
avant la guerre le tsarisme ou le kai-
serisme. Mais consacrer nos ressour-
ces nationales à une croisade contre le
bolchevisme, ce qui est la seule chose lo-
gique à faire si l'on refuse d'en reconnaî-
tre l'évidente existence, c'est abandonner
tout espoir de paix, de désarmement, de
reprise des affaires, d'économie et de toutes
les réformes qui dépendent essentiellement
de la réalisation de * ces espérances.
D'aucuns prétendent que parlementer avec
les bolcheviks, c'est trahir la civilisation.
Refuser de parlementer avec eux, c'est la
détruire. — (Ed.).
, DAILY NEWS, 4.,5.
— De Gênes, 4 mai : La Belgique a fait
plus que de refuser d'apposer sa signature
à un document; elle a rompu le charme dans
cette conférence où il y a eu tant d'équivo-
que sous prétexte de concorde, tant d'inti-
midation sous prétexte de générosité et
tant de pusillanimité sous prétexte de pru-
dence. Le courage dont la Belgique a fait
preuve, en opposant un « non » au risque
de l'isolement, a éclairci l'atmosphère, de
même qu'une averse d'été.
Les délégués belges restés à Gênes ont
reçu hier beaucoup de félicitations, ouvertes
ou cachées ; ils en recevront plus encore de-
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