Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 avril 1922 29 avril 1922
Description : 1922/04/29 (T20,N2041). 1922/04/29 (T20,N2041).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253410r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTRE
DES
AFFAIRES ÉTH A NGÈKEÏ-
N° 2041
»
Samedi 29 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — 11 est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
A
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Le projet de réunion
des puissances signataires du traité de
Versailles (Vorwasiis, /• ranlifurler Zei-
tung). — La France et ia Grande-Bre-
tagne (Otto Hoetzsch dans Kreuz-Zei-
tung). — Le pacte de non-agression
(l' o rtraerts). - Un traité germano-
ukrainien (Koelnisclle Zeitung). - L'AI.
lemagne et les républiques soviétiques
(Koelnische Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - La conférence de
Gènes : l'abstension des Etats-Unis
(Times-Picayune, Public Ledger).
PRESSE ANGLAISE. — Le projet de réunion des
puissances signataires du traité de Ver-
saines (Dnilu Tclcgraph). - La France
et la Grande-Bretagne (Westminster
Gazette). — Le pacte de non-agression
ïDaihj Chronicle). - L'ultimatum aux
bolcheviks (pull Mail Gazette).
PRESSE HOLLANDAISE. — Le discours de M.
Millerand à Philippeville (Nieuwe Rot-
terdamsche Cowrant).
PRESSE ITALIENNE.La conférence de Gènes:
la position de l'Italie (Giornale d'Ilalia,
Corriere délia Sera).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LE PROJET DE CONFERENCE DES
PUISSANCES SIGNATAIRES. — PRESSE
ALLEMANDE. — De Gênes, 26 avril : Littérale-
ment interprété, le communiqué anglais
devrait signifier que l'Allemagne elle aussi,
puisqu'elle compte parmi les puissances si-
gnataires de Versailles, devrait être convo-
quée Mais telle n'est certainement pas
l'intention: Lloyd George a voulu parler des
puissances signataires à l'exclusion des an-
ciennes puissances ennemies.
Il ne saurait être actuellement question
fie faire participer l'Allemagne à une réu-
nion de ce genre qui doit e constituer une
Sorte de jugement de Poincaré. Mais l'inter-
prétation donnée par les milieux français
i1 l'exposé de Lloyd George et notamment
-i> l'expression « puissances signataires »
n'est pas moins intéressante : on est dési-
reux non seulement de rendre possible,
mais même d'obtenir la participation de
l'Amérique.
Lloyd George, estme-t-on, veut profiter
de la présence des chefs de gouvernement
à Gènes et du discours de Poincaré, qui
lui en fournit l'occasion, pour poser à
nouveau l'ensemble de la question des ré-
parations et de la légitimité de nouvelles
sanctions.
L'Amérique ayant réclamé sa part des
frais d'occupation, la discussion de ces
questions, soulevées par le discours de
Poincaré, est absolument nécessaire. Les
Français eux-mêmes ne croient pas que
Poincaré pourra s'opposer à cette demande
de la majorité des alliés. Il y a là une dis-
cussion qui, de toute façon, doit avoir lieu
une fois ou l'autre, et avant le 31 mai. Mais
on estime possible que, pour cette confé-
rence internationale, la France propose un
autre lieu de réunion que Gênes : elle
tient. absolument à ce que la question des
réparations ne soit pas discutée à Gênes
pas même au sein d'une réunion purement
interalliée, car le f.,a ^o. ',.., présence des
Allemands à Gènes lui semble trop dange-
reux.
VORWAERTS, 27.4. matin.
— De Gênes, 27 avril : La réunion des
puissances signataires (n'implique pas la
participation de l'Allemagnè. C'est dire
que cette réunion, si elle a lieu, sera pour
l'Allemagne de la plus grande gravité.
Jusqu'ici toutes les négociations entre alliés
au sujet du problème des réparations ont
abouti à un compromis entre la compré-
hension des réalités et la volonté de vio-
lence, compromis à peine supportable pour
nous, mais qui évitait les mesures extrê-
mes. Aujourd'hui, il y aurait une issue
possible : l'emprunt, qui permettrait de
souffler. C'est une solution à laquelle
devraient tendre les efforts communs.
L'Allemagne n'a aucun intérêt à voir s'rrî-
ter en ce moment les oppositions entre
l'Angleterre et la France ; car nous
courrions le danger d'y être broyés comme
entre deux meules.
FRANKFURTER ZEITUNG, 28.4. matin.
PRESSE ANGLAISE. — De Gênes, 27 avril :
Il n'a été tenu jusqu'ici que des conférences
où les vainqueurs dictaient des conditions
aux vaincus. La grande difficulté qu'il s'agit
de surmonter à Gênes est de convaincre la
France que cette situation ne saurait se pro-
longer indéfiniment et qu'il est indispensa-
ble, si l'on veut guérir les maux dont souf-
fre l'Europe, d'arriver à un accord fondé sur
d'autres bases.
Le projet d'inviter à se réunir tous les si-
gnataires du traité de Versailles est consi-
déré comme un excellent moyen de faire
comprendre cette vérité à la France. Toutes
les puissances envisagent avec une réelle
inquiétude l'action que fait présager le dis-
cours de M. Poincaré à Bar-le-Duc et la
grande majorité d'entre elles soutiennent
énergiquement la proposition tendant à
réunir cette conférence. On compté que
M. Poincaré viendra à Gênes en vue de
participer à la discussion ; cependant un
journaliste français m'a montré aujourd'hui
un télégramme de Paris indiquant que M.
Poincaré tient encore à déférer la question
non pas à une conférence des signataires de
Versailles, mais au conseil des ambassa-
deurs qui siège à Paris et auquel s'adjoin-
draient les représentants de la Petite En-
tente. La situation est trop grave pour que
l'on puisse se contenter de cette solution et
il est certain que les signataires du traité
de Versailles se réuniront à Gênes, proba-
blement vers la Fin de la semaine pre-
chaine. L'Allemagne ne sera pas représen-
tée à cette réunion, car on est d'avis que
la décision en ceue matière appartient ex-
clusivement aux puissances alliées. La
France ne peut guère refuser de s'y rendre
et la seule personne qualifiée pour parler
en son nom est M. Poincaré. On estime,
par conséquent, que M. Poincaré, quelle
que puisse être sa manière de voir actuelle,
finira par se convaincre de la nécessité de
venir à Gênes participer à la conférence ;
autrement il est certain que la France se
trouvera isolée en Europe et peut-être même
en opposition avec ses anciens alliés. Le
sentiment s'affirme de plus en plus ici que -
les droits de l'Europe doivent primer ceux
de n'importe quel état particulier et la
France ferait bien d'en tenir compte. Les
puissances neutres approuvent chaleureu-
sement la conférence projetée qu'elles con-
sidèrent comme offrant l'espoir de réaliser
une entente générale en atténuant l'âpreté
des relations franco-allemandes et d'obli-
ger le gouvernement des soviets à souscrire
à un règlement raisonnable. — (Du corres-
pondant spécial).
DAILY TELEGRAIH, 28.4. ,
LE DISCOURS DE M. MILLERAND A
PHILIPPE VILLE. — Dans un discours
prononcé à Philippeville, Millerand a ex-
posé la politique de la France vis-à-vis de
Gênes et du traité de Dapallo. Le fait seul
que le président de la République française
se soit livré à cette manifestation est quel-
que chose de tout à fait insolite et s'écarte
absolument de la ligne de conduite de ses
prédécesseurs. La conséquence extraordi-
naire pourrait être que si le gouvernement
français ne réussissait pas à faire approu-
ver par le Parlement sa politique, qui sem-
ble confonde à celle du président de la Ré-
DES
AFFAIRES ÉTH A NGÈKEÏ-
N° 2041
»
Samedi 29 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — 11 est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
A
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Le projet de réunion
des puissances signataires du traité de
Versailles (Vorwasiis, /• ranlifurler Zei-
tung). — La France et ia Grande-Bre-
tagne (Otto Hoetzsch dans Kreuz-Zei-
tung). — Le pacte de non-agression
(l' o rtraerts). - Un traité germano-
ukrainien (Koelnisclle Zeitung). - L'AI.
lemagne et les républiques soviétiques
(Koelnische Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - La conférence de
Gènes : l'abstension des Etats-Unis
(Times-Picayune, Public Ledger).
PRESSE ANGLAISE. — Le projet de réunion des
puissances signataires du traité de Ver-
saines (Dnilu Tclcgraph). - La France
et la Grande-Bretagne (Westminster
Gazette). — Le pacte de non-agression
ïDaihj Chronicle). - L'ultimatum aux
bolcheviks (pull Mail Gazette).
PRESSE HOLLANDAISE. — Le discours de M.
Millerand à Philippeville (Nieuwe Rot-
terdamsche Cowrant).
PRESSE ITALIENNE.La conférence de Gènes:
la position de l'Italie (Giornale d'Ilalia,
Corriere délia Sera).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LE PROJET DE CONFERENCE DES
PUISSANCES SIGNATAIRES. — PRESSE
ALLEMANDE. — De Gênes, 26 avril : Littérale-
ment interprété, le communiqué anglais
devrait signifier que l'Allemagne elle aussi,
puisqu'elle compte parmi les puissances si-
gnataires de Versailles, devrait être convo-
quée Mais telle n'est certainement pas
l'intention: Lloyd George a voulu parler des
puissances signataires à l'exclusion des an-
ciennes puissances ennemies.
Il ne saurait être actuellement question
fie faire participer l'Allemagne à une réu-
nion de ce genre qui doit e constituer une
Sorte de jugement de Poincaré. Mais l'inter-
prétation donnée par les milieux français
i1 l'exposé de Lloyd George et notamment
-i> l'expression « puissances signataires »
n'est pas moins intéressante : on est dési-
reux non seulement de rendre possible,
mais même d'obtenir la participation de
l'Amérique.
Lloyd George, estme-t-on, veut profiter
de la présence des chefs de gouvernement
à Gènes et du discours de Poincaré, qui
lui en fournit l'occasion, pour poser à
nouveau l'ensemble de la question des ré-
parations et de la légitimité de nouvelles
sanctions.
L'Amérique ayant réclamé sa part des
frais d'occupation, la discussion de ces
questions, soulevées par le discours de
Poincaré, est absolument nécessaire. Les
Français eux-mêmes ne croient pas que
Poincaré pourra s'opposer à cette demande
de la majorité des alliés. Il y a là une dis-
cussion qui, de toute façon, doit avoir lieu
une fois ou l'autre, et avant le 31 mai. Mais
on estime possible que, pour cette confé-
rence internationale, la France propose un
autre lieu de réunion que Gênes : elle
tient. absolument à ce que la question des
réparations ne soit pas discutée à Gênes
pas même au sein d'une réunion purement
interalliée, car le f.,a ^o. ',.., présence des
Allemands à Gènes lui semble trop dange-
reux.
VORWAERTS, 27.4. matin.
— De Gênes, 27 avril : La réunion des
puissances signataires (n'implique pas la
participation de l'Allemagnè. C'est dire
que cette réunion, si elle a lieu, sera pour
l'Allemagne de la plus grande gravité.
Jusqu'ici toutes les négociations entre alliés
au sujet du problème des réparations ont
abouti à un compromis entre la compré-
hension des réalités et la volonté de vio-
lence, compromis à peine supportable pour
nous, mais qui évitait les mesures extrê-
mes. Aujourd'hui, il y aurait une issue
possible : l'emprunt, qui permettrait de
souffler. C'est une solution à laquelle
devraient tendre les efforts communs.
L'Allemagne n'a aucun intérêt à voir s'rrî-
ter en ce moment les oppositions entre
l'Angleterre et la France ; car nous
courrions le danger d'y être broyés comme
entre deux meules.
FRANKFURTER ZEITUNG, 28.4. matin.
PRESSE ANGLAISE. — De Gênes, 27 avril :
Il n'a été tenu jusqu'ici que des conférences
où les vainqueurs dictaient des conditions
aux vaincus. La grande difficulté qu'il s'agit
de surmonter à Gênes est de convaincre la
France que cette situation ne saurait se pro-
longer indéfiniment et qu'il est indispensa-
ble, si l'on veut guérir les maux dont souf-
fre l'Europe, d'arriver à un accord fondé sur
d'autres bases.
Le projet d'inviter à se réunir tous les si-
gnataires du traité de Versailles est consi-
déré comme un excellent moyen de faire
comprendre cette vérité à la France. Toutes
les puissances envisagent avec une réelle
inquiétude l'action que fait présager le dis-
cours de M. Poincaré à Bar-le-Duc et la
grande majorité d'entre elles soutiennent
énergiquement la proposition tendant à
réunir cette conférence. On compté que
M. Poincaré viendra à Gênes en vue de
participer à la discussion ; cependant un
journaliste français m'a montré aujourd'hui
un télégramme de Paris indiquant que M.
Poincaré tient encore à déférer la question
non pas à une conférence des signataires de
Versailles, mais au conseil des ambassa-
deurs qui siège à Paris et auquel s'adjoin-
draient les représentants de la Petite En-
tente. La situation est trop grave pour que
l'on puisse se contenter de cette solution et
il est certain que les signataires du traité
de Versailles se réuniront à Gênes, proba-
blement vers la Fin de la semaine pre-
chaine. L'Allemagne ne sera pas représen-
tée à cette réunion, car on est d'avis que
la décision en ceue matière appartient ex-
clusivement aux puissances alliées. La
France ne peut guère refuser de s'y rendre
et la seule personne qualifiée pour parler
en son nom est M. Poincaré. On estime,
par conséquent, que M. Poincaré, quelle
que puisse être sa manière de voir actuelle,
finira par se convaincre de la nécessité de
venir à Gênes participer à la conférence ;
autrement il est certain que la France se
trouvera isolée en Europe et peut-être même
en opposition avec ses anciens alliés. Le
sentiment s'affirme de plus en plus ici que -
les droits de l'Europe doivent primer ceux
de n'importe quel état particulier et la
France ferait bien d'en tenir compte. Les
puissances neutres approuvent chaleureu-
sement la conférence projetée qu'elles con-
sidèrent comme offrant l'espoir de réaliser
une entente générale en atténuant l'âpreté
des relations franco-allemandes et d'obli-
ger le gouvernement des soviets à souscrire
à un règlement raisonnable. — (Du corres-
pondant spécial).
DAILY TELEGRAIH, 28.4. ,
LE DISCOURS DE M. MILLERAND A
PHILIPPE VILLE. — Dans un discours
prononcé à Philippeville, Millerand a ex-
posé la politique de la France vis-à-vis de
Gênes et du traité de Dapallo. Le fait seul
que le président de la République française
se soit livré à cette manifestation est quel-
que chose de tout à fait insolite et s'écarte
absolument de la ligne de conduite de ses
prédécesseurs. La conséquence extraordi-
naire pourrait être que si le gouvernement
français ne réussissait pas à faire approu-
ver par le Parlement sa politique, qui sem-
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