Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 avril 1922 28 avril 1922
Description : 1922/04/28 (T20,N2040). 1922/04/28 (T20,N2040).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62534093
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
* '—————'
N° 2040
l
Vendredi 28 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le discours de M.
Poincaré à Bar-le-Duc (Gennania) ; dé-
claration de M. Wirth (Kölnische Zei-
tung, Vorwarts, Frankfurter Zeitung) :le
point de vue juridique allemand (Kôl-
nische Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — La conférence de Gê-
nes : l'abstention des Etats-Unis (Public
Ledger).
PRESSE ANGLAISE. — Le discours de M. Poin-
caré à Bar-le-Duc (Daily Telegraph) ; la
réunion du Conseil suprême ? (Daily
News). — « Mobilisation française ? »
(Daily Express). — La conférence de
Gènes : l'attitude de M. Lloyd George
(Evening Standard) ; le pacte de non-
agression (Morning Post) ; les contre-
propositions russes (Daily Chronicle,
Manchester Guardian, Daily Herald) ;
une offre des Soviets à la Hongrie (Daily
Telegraph).
PRESSE ITALIENNE. — La conférence de Gê-
nes : les contre-propositions russes (G.
Ferrero dans Secolo).
POLITIQUE GENERALE
L'EXÉCUTION
DU TRAITÉ DE VERSAILLES
LE DISCOURS DE M. POINCARE A BAR-
LE-DUC. — PRESSE ALLEMANDE. — L'exécu-
tion n'ira pas aussi vite que la menace de
M. Poincaré. Les discussions sont encore
en cours entre la commission des répara-
tions et le gouvernement du Reich et les
décisions de la Commission ne sont pas
dictées par la France seule. L'esprit de
Gênes ne peut manquer d'influer sur la dé-
cision du litige actuel. Quelle que soit l'in-
décisions de la commission ne sont pas
tres puissances, représentées à la commis-
sion des réparations devront se soumettre
à cet esprit si elles ne veulent pas, elles
aussi, torpiller l'œuvre de paix qui sera,
espérons-le, la conclusion de la conférence.
Et il semble très douteux que le gouver-
nement français obtienne un vote majori-
taire de cette commission pour les droits
de laquelle elle a combattu jusqu'ici com-
me une lionne. Voilà, semble-t-il, ce qu'on
se dit, même dans les milieux nationalistes
français, et on comprend alors que leur
presse présente la menace de Poincaré com-
me un engagement pris par le gouverne-
ment d'agir seul si les alliés repoussaient
les mesures de contrainte contre l'Alle-
magne. Ces efforts mêmes confirment notre
opinion que le peuple allemand doit atten-
dre les événements avec calme.
GERMANIA, 25.4, soir.
DÉCLARATIONS DE M. WIRTH. — Les jour-
naux allemands du 26.4 reproduisent, sous
forme d'une dépêche Wolff datée de Lon-
dres, une déclaration laite par le chancelier
Wirth ait, correspondant à Gênes du Daily
Express, à propos du discours de M. Poin-
caré.
Questionné au sujet de la menace de
Poincaré, Wirth a répondu que, suivant le
point de vue allemand, le traité de paix
ne permet pas à la France de prendre des
sanctions de son propre chef. Wirth a, en
outre, déclaré expressément qu'il n'exis-
tait pas de traités secrets avec la Russie,
ni de clauses secrètes du traité signé. Tout
le traité a été publié.
KOELMSCHE ZEITUNG, 26.4, soir.
— Le chancelier Wirth a également fait
aux journalistes allemands une déclaration
à propos de laquelle le correspondant du
Vorwarts écrit :
De Gênes, 25 avril : Du côté allemand, il
n'y a pas eu de polémique officielle avec
Poincaré. Le chancelier allemand a bien
convoqué, ce soir, les représentants de la
presse allemande ; mais il a déclaré qu'il
lui semblait absolument, nécessaire de res-
ter sur la réserve. Une polémique, en ce
moment, serait stérile. Toutefois, le Dr
Wirth a tenu à faire à la presse allemande
une déclaration solennelle, réfutant certai-
nes allégations répandues - dessein par la
presse française au sujet du traité de Ra-
pallo. Il a pris nettement position contre
la légende de clauses mystérieuses, de ca-
ractère politique ou même militaire. Il
n'existe aucune stipulation de caractère po-
litique ou militaire. Le chancelier a déclaré
avec force que le traité de Rapallo doit être
considéré comme un instrument de paix,
qu'il constitue même le piemier traité de
paix véritable conclu entre deux peuples
depuis la grande lutte mondiale. C'est, au
fond, un triste signe des temps que l'on soit
obligé, pour répondre aux allégations en
partie insidieuses, en partie ridicules des
journaux français et des journaux de North-
cliffe, de justifier dans la presse allemande
un accord comme celui de Rapallo. Que le
chancelier s'abstienne intentionnellement
d'engager une polémique contre Poincaré,
cela est tout à fait compréhensible si l'on
considère combien l'atmosphère de Gênes
est chargée. L'Allemagne manifeste par là
son désir sincère de contribuer à éviter
toute irritation de la situation à la confé-
rence.
D'autre part, les Anglais se sont eux-mê-
mes chargés de notre tâche en exprimant en
toute netteté le point de vue qui est le nôtre,
au sujet de la légitimité d'une action isolée
de chacun des alliés. Les mobiles qui ont
dicté la réserve de la délégation allemande
se justifient donc parfaitement. Mais il reste
néanmoins à considérer s'il n'y aura pas
lieu bientôt, et avant même de quitter
Gênes, d'entreprendre une démarche offi-
cielle auprès de l'Entente pour qu'on sache
enfin à quoi s'en tenir au sujet de l'attitude
de l'impérialisme français. — V.[ictor]
Sch. [iff],
VORWAERTS, 26.4., matin.
— La Frankfurter Zeitung félicite égale-
ment le chancelier de sa modération qui,
dit-elle, répond aux désirs, plus ou moins
exprimés, des autres membres de la con-
férence. Elle poursuit :
A l'exemple du chancelier dans sa ré-
ponse de Gênes, le peuple allemand tout
entier doit garder le calme devant l'agita-
tion française. Nous sommes bien éloignés
de vouloir présenter cette agitation comme
un pur bluff. Cependant, elle en est mé-
langée. En effet, M. Poincaré préférera tou-
jours appliquer ses « sanctions » contre
l'Allemagne avec l'assentiment du conseil
suprême. Le danger subsiste néanmoins
qu'il en aille comme du temps de Briand
pour l'occupation de Duisséldorf, Duisbourg
et Ruhrort. A la conférence de-Londres,
il força l'assentiment du conseil suprême
par la mobilisation de quelques divisions.
M. Poincaré semble avoir déjà pris quel-
ques dispositions d'ordre militaire, afin
d'éveiller à Londres l'impression qu'il est
décidé à une action indépendante. Nous
ne pouvons compter de façon absolue sur
une résistance efficace sur la Tamise. Donc,
ce doit être l'affaire de notre politique
d'ôter aux Français toute raison ou appa-
rence de raison justificative d'une action
isolée. La commission des réparations, qui
doit décider, devrait établir qu'il y a eu
de la part de l'Allemagne un « manque-
ment volontaire », une contravention déli-
bérée au traité de Versailles. Poincaré,
dans son discours de Bar-le-Duc, n'a pas
omis ce mot « volontaire ». Sans doute il ne
sera pas en peine de découvrir l'intention
mauvaise de l'Allemagne. Mais lorsqu'il
prétend à nouveau que chaque allié a, de
par le traité, le droit de prendre des me-
sures de contrainte isolément, il oublie les
discussions entamées depuis deux ans au
sujet de l'oocupation de Francfort, discus-
sions qui ont conclu à la négation absolue
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
* '—————'
N° 2040
l
Vendredi 28 avril 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le discours de M.
Poincaré à Bar-le-Duc (Gennania) ; dé-
claration de M. Wirth (Kölnische Zei-
tung, Vorwarts, Frankfurter Zeitung) :le
point de vue juridique allemand (Kôl-
nische Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — La conférence de Gê-
nes : l'abstention des Etats-Unis (Public
Ledger).
PRESSE ANGLAISE. — Le discours de M. Poin-
caré à Bar-le-Duc (Daily Telegraph) ; la
réunion du Conseil suprême ? (Daily
News). — « Mobilisation française ? »
(Daily Express). — La conférence de
Gènes : l'attitude de M. Lloyd George
(Evening Standard) ; le pacte de non-
agression (Morning Post) ; les contre-
propositions russes (Daily Chronicle,
Manchester Guardian, Daily Herald) ;
une offre des Soviets à la Hongrie (Daily
Telegraph).
PRESSE ITALIENNE. — La conférence de Gê-
nes : les contre-propositions russes (G.
Ferrero dans Secolo).
POLITIQUE GENERALE
L'EXÉCUTION
DU TRAITÉ DE VERSAILLES
LE DISCOURS DE M. POINCARE A BAR-
LE-DUC. — PRESSE ALLEMANDE. — L'exécu-
tion n'ira pas aussi vite que la menace de
M. Poincaré. Les discussions sont encore
en cours entre la commission des répara-
tions et le gouvernement du Reich et les
décisions de la Commission ne sont pas
dictées par la France seule. L'esprit de
Gênes ne peut manquer d'influer sur la dé-
cision du litige actuel. Quelle que soit l'in-
décisions de la commission ne sont pas
tres puissances, représentées à la commis-
sion des réparations devront se soumettre
à cet esprit si elles ne veulent pas, elles
aussi, torpiller l'œuvre de paix qui sera,
espérons-le, la conclusion de la conférence.
Et il semble très douteux que le gouver-
nement français obtienne un vote majori-
taire de cette commission pour les droits
de laquelle elle a combattu jusqu'ici com-
me une lionne. Voilà, semble-t-il, ce qu'on
se dit, même dans les milieux nationalistes
français, et on comprend alors que leur
presse présente la menace de Poincaré com-
me un engagement pris par le gouverne-
ment d'agir seul si les alliés repoussaient
les mesures de contrainte contre l'Alle-
magne. Ces efforts mêmes confirment notre
opinion que le peuple allemand doit atten-
dre les événements avec calme.
GERMANIA, 25.4, soir.
DÉCLARATIONS DE M. WIRTH. — Les jour-
naux allemands du 26.4 reproduisent, sous
forme d'une dépêche Wolff datée de Lon-
dres, une déclaration laite par le chancelier
Wirth ait, correspondant à Gênes du Daily
Express, à propos du discours de M. Poin-
caré.
Questionné au sujet de la menace de
Poincaré, Wirth a répondu que, suivant le
point de vue allemand, le traité de paix
ne permet pas à la France de prendre des
sanctions de son propre chef. Wirth a, en
outre, déclaré expressément qu'il n'exis-
tait pas de traités secrets avec la Russie,
ni de clauses secrètes du traité signé. Tout
le traité a été publié.
KOELMSCHE ZEITUNG, 26.4, soir.
— Le chancelier Wirth a également fait
aux journalistes allemands une déclaration
à propos de laquelle le correspondant du
Vorwarts écrit :
De Gênes, 25 avril : Du côté allemand, il
n'y a pas eu de polémique officielle avec
Poincaré. Le chancelier allemand a bien
convoqué, ce soir, les représentants de la
presse allemande ; mais il a déclaré qu'il
lui semblait absolument, nécessaire de res-
ter sur la réserve. Une polémique, en ce
moment, serait stérile. Toutefois, le Dr
Wirth a tenu à faire à la presse allemande
une déclaration solennelle, réfutant certai-
nes allégations répandues - dessein par la
presse française au sujet du traité de Ra-
pallo. Il a pris nettement position contre
la légende de clauses mystérieuses, de ca-
ractère politique ou même militaire. Il
n'existe aucune stipulation de caractère po-
litique ou militaire. Le chancelier a déclaré
avec force que le traité de Rapallo doit être
considéré comme un instrument de paix,
qu'il constitue même le piemier traité de
paix véritable conclu entre deux peuples
depuis la grande lutte mondiale. C'est, au
fond, un triste signe des temps que l'on soit
obligé, pour répondre aux allégations en
partie insidieuses, en partie ridicules des
journaux français et des journaux de North-
cliffe, de justifier dans la presse allemande
un accord comme celui de Rapallo. Que le
chancelier s'abstienne intentionnellement
d'engager une polémique contre Poincaré,
cela est tout à fait compréhensible si l'on
considère combien l'atmosphère de Gênes
est chargée. L'Allemagne manifeste par là
son désir sincère de contribuer à éviter
toute irritation de la situation à la confé-
rence.
D'autre part, les Anglais se sont eux-mê-
mes chargés de notre tâche en exprimant en
toute netteté le point de vue qui est le nôtre,
au sujet de la légitimité d'une action isolée
de chacun des alliés. Les mobiles qui ont
dicté la réserve de la délégation allemande
se justifient donc parfaitement. Mais il reste
néanmoins à considérer s'il n'y aura pas
lieu bientôt, et avant même de quitter
Gênes, d'entreprendre une démarche offi-
cielle auprès de l'Entente pour qu'on sache
enfin à quoi s'en tenir au sujet de l'attitude
de l'impérialisme français. — V.[ictor]
Sch. [iff],
VORWAERTS, 26.4., matin.
— La Frankfurter Zeitung félicite égale-
ment le chancelier de sa modération qui,
dit-elle, répond aux désirs, plus ou moins
exprimés, des autres membres de la con-
férence. Elle poursuit :
A l'exemple du chancelier dans sa ré-
ponse de Gênes, le peuple allemand tout
entier doit garder le calme devant l'agita-
tion française. Nous sommes bien éloignés
de vouloir présenter cette agitation comme
un pur bluff. Cependant, elle en est mé-
langée. En effet, M. Poincaré préférera tou-
jours appliquer ses « sanctions » contre
l'Allemagne avec l'assentiment du conseil
suprême. Le danger subsiste néanmoins
qu'il en aille comme du temps de Briand
pour l'occupation de Duisséldorf, Duisbourg
et Ruhrort. A la conférence de-Londres,
il força l'assentiment du conseil suprême
par la mobilisation de quelques divisions.
M. Poincaré semble avoir déjà pris quel-
ques dispositions d'ordre militaire, afin
d'éveiller à Londres l'impression qu'il est
décidé à une action indépendante. Nous
ne pouvons compter de façon absolue sur
une résistance efficace sur la Tamise. Donc,
ce doit être l'affaire de notre politique
d'ôter aux Français toute raison ou appa-
rence de raison justificative d'une action
isolée. La commission des réparations, qui
doit décider, devrait établir qu'il y a eu
de la part de l'Allemagne un « manque-
ment volontaire », une contravention déli-
bérée au traité de Versailles. Poincaré,
dans son discours de Bar-le-Duc, n'a pas
omis ce mot « volontaire ». Sans doute il ne
sera pas en peine de découvrir l'intention
mauvaise de l'Allemagne. Mais lorsqu'il
prétend à nouveau que chaque allié a, de
par le traité, le droit de prendre des me-
sures de contrainte isolément, il oublie les
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