Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 avril 1922 26 avril 1922
Description : 1922/04/26 (T20,N2038). 1922/04/26 (T20,N2038).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62534078
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
ministère
bas
"'AlitES étrangères
1
N° 2038
Mercredi 26 avril 1922
i Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
i
NOTA. — n est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
- traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
})nESSE -ALLEMANDE. — L'échéance du 31 mai
Jaximilian Harden. dans Zuli, ii,nlt;Fraitie-
lurter Zeitung). — La réplique des puis-
sances invitantes à la délégation alle-
mande : l'interprétation de la note du
23 avril (dépêche N,
23 avril (dépêche Wolff ; Frankfurter
Zeitung).
PRESSE ANGLAISE. — Le discours de M.
Poincaré à Bar-le-Duc (Times, Daily
( hronicle, Daily Telegraph, Daily News,
Daily Herald). — France et Grande-Bre-
tagne (Yorksire Post, Wickham Steed
dans Times ; colonel Repington dans
Daily Telegraph ; Morning Post).
PRESSE AUTRICHIENNE. — France et Grande-
Bretagne (Neue Freie Presse).
POLITIQUE GENERALE
, L'EXÉCUTION
DU TRAITÉ DE VERSAILLES
B LE DISCOURS DE M. POINCARE A
R^a*R-LE-DUC.. — PRESSE ANGLAISE. — Il faut
ePtver sincèrement que la gravité du dis-
Ua's- prononcé hier par le premier minis-
e lançais sera comprise par de public en
huerai. Il est vrai que M. Poincaré ne dit
d de nouveau quant aux principes fon-
Mentaux de la politique française. Il
'l' ajOute, rien à ces principes tels qu'ils
g 0lH énoncés dans le mémorandum rédigé
T lui au moment de son arrivée au pou-
v 0lr et dans sa déclaration du 1er avril
al la Chambre. Mais ces principes, il les
affi 1110 une fois de plus avec une fermeté
im ^ïiuabiLe, avec une netteté qui n'admet
^CUn malentendu sincère, aucune équivo-
a. e SpecIeuse, et il indique en même temps
avec. virilité de quelle façon il saurait les
aPUquer si certaines éventualités venaient
s Se produire. La mesure, la sobriété de
Des Paroles en rehaussent singulièrement la
poée- On ne trouve dans son discours ni
fe ne rhétorique, ni menaces, mais il ren-
ferrne l'avertissement solennel et réfléchi
qu la France a la ferme intention de s'en
teir lr à la politique constamment poursui-
Vj elle. Le traité germano-bolcheviste
a un fait nouveau que devront
si arnIner les alliés, ainsi que les répercus-
si0s qu'il peut avoir sur le traité de Ver-
t.1 es et sur la paix future de l'Europe.
La nOUveHe situation qui en résulte est
P 1ble de compromettre, et même de
détruire « l'équilibre de l'Europe ». Pour
réparer le mal qui a été fait, il convient
que les alliés agissent ensemble d'après les
grands principes pour lesquels ils ont com-
battu — les principes du droit, de la liberté,
tout l'esprit de la civilisation moderne.
M. Lloyd George, nous sommes heureux
de le constater, a déclaré hier que la confé-
rence aura fait faillite si elle ne rapproche
pas étroitement la France et la Grande-
Bretagne. Voilà la note juste, la voix du
véritable homme d'Etat, la voix de la sa-
gesse réalisatrice et prévoyante. Il ne peut
y avoir en Europe ni reconstruction ni paix
assurée sans le concours actif et cordial de
nos alliés français. En cette matière, les
tentatives d'intimidation, les grands mots
sont voués à l'insuccès et risqueraient de
provoquer chez un peuple fier et ombra-
geux une réaction très dangereuse. Les
Français, nous en avons la conviction, sont
entièrement et sincèrement désireux de
maintenir la paix. Mais ils ne peuvent ni
ne veulent, renoncer à leurs droits légi-
times aux réparations, ils ne peuvent ni
ne veulent s'en remettre pour la sécurité
de leurs foyers à des « chiffons de pa-
pier » — quel que soit le nombre de sceaux
que ceux-ci puissent porter — sans la ga-
rantie du « gros bâton ». Ils trouvent le
fardeau des armements très lourd ; ils se-
saient enchantés d'en être débarrassés ;
mais ils ne se fient nullement aux promes-
ses de gens qui ont constamment cherché
à se soustraire aux obligations de toute
nature qui leur incombent aux termes du
traité de Versailles, ni aux promesses des
bolcheviks, qui offrent à l'Europe des con-
cessions à condition qu'elle consente à ré-
duire le chiffre de leurs dettes, à fermer
les yeux sur la confiscation des biens pri-
vés, à leur avancer une somme rondelette
comme fonds de roulement et à leur, accor-
der la reconnaissance diplomatique entière
et formelle à laquelle ils aspirent. — (Ed.).
TIMES, 25.4.
— La curieuse action, samedi dernier, de
la délégation française à Gênes, qui cher-
chait à créer une nouvelle crise à propos
de vieilles affaires que tout le monde espé-
rait réglées, fut attribuée par les person-
nes qui sont sur place à une intervention
télégraphique de M. Poincaré. Cette im-
pression est confirmée par le discours qu'il
a fait aujourd'hui à Dar-le-Dur. C'est un dis-
sours malheureux, tant dans son contenu
que dans l'occasion où il a été prononcé.
Naturellement nous ne discutons pas le
droit qu'a M. Poincaré, en tant que premier
ministre d'une grande nation, d'exposer son
point de vue. Mais tandis qu'une conférence
de l'importance de celle de Gênes tient des
séances critiques sur les questions dont il
traite, c'est là, et nulle part ailleurs, qu'il
devrait s'expliquer — j'entends au cas où
sa prétendue intention de collaborer serait
véritable. Il peut aisément le faire d'une
ou de deux manières — soit en allant lui-
même à Gênes (la France est le seul des
principaux états européens à n'être repré-
senté à la conférence ni par son premier mi-
nistre, ni par son ministre des affaires étran-
gères) soit en donnant toute autorité à sa
délégation. Un point de vue affirmé à la
conférence peut y être étudié, discuté, mis
au point et, en somme, accepté par conci-
liation. Mais un discours comme celui
d'hier, fait en dehors de la conférence par
un non-participant, ressemble à une pièce
de fer introduite du dehors dans un méca-
nisme délicat. Cette opération implique de
la part de son auteur non pas le désir de
collaborer au travail, mais celui de briser
la machine.
La France, a déclaré M. Poincaré, a l'in-
tention,, dans le cas où l'Allemagne ne rem-
plirait pas le 31 mai le programme de la
commission des réparations, de recourir à
des mesures coercitivès, avec ou sans le *
consentement des alliés. C'est encore l'an-
cienne menace que la France ne tiendra pas
compte de ses alliés et brandira le sabre,
comme elle l'a fait à Francfort. Les alliés
de la France n'ont qu'une réponse à oppo-
ser : si la France entend régler à sa guise
ses rapports avec l'Allemagne, elle ne doit
plus compter sur notre assistance ; mais, si
elle désire que nous l'aidions (comme nous
y serons tout disposés, à faire respecter les
droits qu'elle tient du traité, elle doit nous
consulter et agir d'accord avec nous. Nous
ajouterons une remarque : la France à deux
reprises déjà a agi sans s'entendre avec
ses alliés : elle a envahi Francfort et elle
a conclu, derrière notre des et au mépris
de sa promesse formelle, le traité perfide
d'Angora. Si elle devait renouveler l'expé-
rience une troisième fois, il est douteux que
le désir britannique de coopérer avec elle
puissé survivre.
A ce morceau de bravoure, M. Poincaré
a ajouté la nouvelle que la France ne reste-
rait à Gênes qu'à la condition que les al-
liés « ne feraient aucune concession à
l'Allemagne et à la Russie et adhéreraient
fermement » à son mémorandum. Si cette
phrase répondait dans l'esprit de son au-
teur à une manière de censure -de la lovauté
générale et réelle de la Grande-Bretagne et
de l'Italie à l'égard des résolutions de Can-
nes, elle etait superflue, si d'autre part elle
devait avoir le sens d'un veto à toute négo-
ciation raisonnable, elle créait de l'obstruc-
tion. On a peine à comprendre qu'elle soit
de nature à faire prévaloir la paix et la
bonne volonté en Europe, en quelque sens,
qu'on l'entende. — (Ed.).
DAILY CHRONICLE, 25.4.
bas
"'AlitES étrangères
1
N° 2038
Mercredi 26 avril 1922
i Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
i
NOTA. — n est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
- traduits intégralement sont précédés d'un asterisque.
SOMMAIRE
})nESSE -ALLEMANDE. — L'échéance du 31 mai
Jaximilian Harden. dans Zuli, ii,nlt;Fraitie-
lurter Zeitung). — La réplique des puis-
sances invitantes à la délégation alle-
mande : l'interprétation de la note du
23 avril (dépêche N,
23 avril (dépêche Wolff ; Frankfurter
Zeitung).
PRESSE ANGLAISE. — Le discours de M.
Poincaré à Bar-le-Duc (Times, Daily
( hronicle, Daily Telegraph, Daily News,
Daily Herald). — France et Grande-Bre-
tagne (Yorksire Post, Wickham Steed
dans Times ; colonel Repington dans
Daily Telegraph ; Morning Post).
PRESSE AUTRICHIENNE. — France et Grande-
Bretagne (Neue Freie Presse).
POLITIQUE GENERALE
, L'EXÉCUTION
DU TRAITÉ DE VERSAILLES
B LE DISCOURS DE M. POINCARE A
R^a*R-LE-DUC.. — PRESSE ANGLAISE. — Il faut
ePtver sincèrement que la gravité du dis-
Ua's- prononcé hier par le premier minis-
e lançais sera comprise par de public en
huerai. Il est vrai que M. Poincaré ne dit
d de nouveau quant aux principes fon-
Mentaux de la politique française. Il
'l' ajOute, rien à ces principes tels qu'ils
g 0lH énoncés dans le mémorandum rédigé
T lui au moment de son arrivée au pou-
v 0lr et dans sa déclaration du 1er avril
al la Chambre. Mais ces principes, il les
affi 1110 une fois de plus avec une fermeté
im ^ïiuabiLe, avec une netteté qui n'admet
^CUn malentendu sincère, aucune équivo-
a. e SpecIeuse, et il indique en même temps
avec. virilité de quelle façon il saurait les
aPUquer si certaines éventualités venaient
s Se produire. La mesure, la sobriété de
Des Paroles en rehaussent singulièrement la
poée- On ne trouve dans son discours ni
fe ne rhétorique, ni menaces, mais il ren-
ferrne l'avertissement solennel et réfléchi
qu la France a la ferme intention de s'en
teir lr à la politique constamment poursui-
Vj elle. Le traité germano-bolcheviste
a un fait nouveau que devront
si arnIner les alliés, ainsi que les répercus-
si0s qu'il peut avoir sur le traité de Ver-
t.1 es et sur la paix future de l'Europe.
La nOUveHe situation qui en résulte est
P 1ble de compromettre, et même de
détruire « l'équilibre de l'Europe ». Pour
réparer le mal qui a été fait, il convient
que les alliés agissent ensemble d'après les
grands principes pour lesquels ils ont com-
battu — les principes du droit, de la liberté,
tout l'esprit de la civilisation moderne.
M. Lloyd George, nous sommes heureux
de le constater, a déclaré hier que la confé-
rence aura fait faillite si elle ne rapproche
pas étroitement la France et la Grande-
Bretagne. Voilà la note juste, la voix du
véritable homme d'Etat, la voix de la sa-
gesse réalisatrice et prévoyante. Il ne peut
y avoir en Europe ni reconstruction ni paix
assurée sans le concours actif et cordial de
nos alliés français. En cette matière, les
tentatives d'intimidation, les grands mots
sont voués à l'insuccès et risqueraient de
provoquer chez un peuple fier et ombra-
geux une réaction très dangereuse. Les
Français, nous en avons la conviction, sont
entièrement et sincèrement désireux de
maintenir la paix. Mais ils ne peuvent ni
ne veulent, renoncer à leurs droits légi-
times aux réparations, ils ne peuvent ni
ne veulent s'en remettre pour la sécurité
de leurs foyers à des « chiffons de pa-
pier » — quel que soit le nombre de sceaux
que ceux-ci puissent porter — sans la ga-
rantie du « gros bâton ». Ils trouvent le
fardeau des armements très lourd ; ils se-
saient enchantés d'en être débarrassés ;
mais ils ne se fient nullement aux promes-
ses de gens qui ont constamment cherché
à se soustraire aux obligations de toute
nature qui leur incombent aux termes du
traité de Versailles, ni aux promesses des
bolcheviks, qui offrent à l'Europe des con-
cessions à condition qu'elle consente à ré-
duire le chiffre de leurs dettes, à fermer
les yeux sur la confiscation des biens pri-
vés, à leur avancer une somme rondelette
comme fonds de roulement et à leur, accor-
der la reconnaissance diplomatique entière
et formelle à laquelle ils aspirent. — (Ed.).
TIMES, 25.4.
— La curieuse action, samedi dernier, de
la délégation française à Gênes, qui cher-
chait à créer une nouvelle crise à propos
de vieilles affaires que tout le monde espé-
rait réglées, fut attribuée par les person-
nes qui sont sur place à une intervention
télégraphique de M. Poincaré. Cette im-
pression est confirmée par le discours qu'il
a fait aujourd'hui à Dar-le-Dur. C'est un dis-
sours malheureux, tant dans son contenu
que dans l'occasion où il a été prononcé.
Naturellement nous ne discutons pas le
droit qu'a M. Poincaré, en tant que premier
ministre d'une grande nation, d'exposer son
point de vue. Mais tandis qu'une conférence
de l'importance de celle de Gênes tient des
séances critiques sur les questions dont il
traite, c'est là, et nulle part ailleurs, qu'il
devrait s'expliquer — j'entends au cas où
sa prétendue intention de collaborer serait
véritable. Il peut aisément le faire d'une
ou de deux manières — soit en allant lui-
même à Gênes (la France est le seul des
principaux états européens à n'être repré-
senté à la conférence ni par son premier mi-
nistre, ni par son ministre des affaires étran-
gères) soit en donnant toute autorité à sa
délégation. Un point de vue affirmé à la
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au point et, en somme, accepté par conci-
liation. Mais un discours comme celui
d'hier, fait en dehors de la conférence par
un non-participant, ressemble à une pièce
de fer introduite du dehors dans un méca-
nisme délicat. Cette opération implique de
la part de son auteur non pas le désir de
collaborer au travail, mais celui de briser
la machine.
La France, a déclaré M. Poincaré, a l'in-
tention,, dans le cas où l'Allemagne ne rem-
plirait pas le 31 mai le programme de la
commission des réparations, de recourir à
des mesures coercitivès, avec ou sans le *
consentement des alliés. C'est encore l'an-
cienne menace que la France ne tiendra pas
compte de ses alliés et brandira le sabre,
comme elle l'a fait à Francfort. Les alliés
de la France n'ont qu'une réponse à oppo-
ser : si la France entend régler à sa guise
ses rapports avec l'Allemagne, elle ne doit
plus compter sur notre assistance ; mais, si
elle désire que nous l'aidions (comme nous
y serons tout disposés, à faire respecter les
droits qu'elle tient du traité, elle doit nous
consulter et agir d'accord avec nous. Nous
ajouterons une remarque : la France à deux
reprises déjà a agi sans s'entendre avec
ses alliés : elle a envahi Francfort et elle
a conclu, derrière notre des et au mépris
de sa promesse formelle, le traité perfide
d'Angora. Si elle devait renouveler l'expé-
rience une troisième fois, il est douteux que
le désir britannique de coopérer avec elle
puissé survivre.
A ce morceau de bravoure, M. Poincaré
a ajouté la nouvelle que la France ne reste-
rait à Gênes qu'à la condition que les al-
liés « ne feraient aucune concession à
l'Allemagne et à la Russie et adhéreraient
fermement » à son mémorandum. Si cette
phrase répondait dans l'esprit de son au-
teur à une manière de censure -de la lovauté
générale et réelle de la Grande-Bretagne et
de l'Italie à l'égard des résolutions de Can-
nes, elle etait superflue, si d'autre part elle
devait avoir le sens d'un veto à toute négo-
ciation raisonnable, elle créait de l'obstruc-
tion. On a peine à comprendre qu'elle soit
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