Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-04-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 avril 1922 12 avril 1922
Description : 1922/04/12 (T20,N2028). 1922/04/12 (T20,N2028).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253397b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
FINISTÈRE -
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D 198
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
- -
N° 2028 .-
Mercredi 12 avril 1922
fiolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PI{ESSE: ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes: le programme et les chances de
"Q>accès (Anton Erkelenz dans Hilfe) ; la
^présentation de l'Allemagne et de la
i'Ussle à la commission politique (Frank-
l,urter. Zeitung). — Le rattachement de
Autriche à l'Allemagne (Kölnische
Zeztung).
p -ESSE ANGLAISE. — La conférence de Gê-
nes : la séance d'ouverture (Westmins-
er Gazette) ; la représentation de l'Al-
ehiagne et de la Russie à la commis-
sion politique (A. Beaumont dans Daily
I elegraph) ; un appel du commerce bri-
tannique (Daily News). — Un discours
de M. Churchill à Dundee, le 8 avril
Wimes).
SE ESPAGNOLE. — La conférence de Gê-
nes : le programme et les chances de
succès (Rovira y Virgili dans Publi-
^îciad ; Economista) ; déclarations de
.1. Sanchez Guerra (Epoca).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
zl"PI PROGRAMME, ET LES CHANCES
]e y, UCCES. - PRESSE ALLEMANDE. — Sous
le titre : « Que signine Gênes ? » C.
llél" (lu Point de vue anglais, la
Point de vue anglais, la victoire
tio.n ntente a été trop complète. La situa-
tion que la politique anglaise a, depuis des
çj es, poursuivant son but avec énergie
tt
bijr .r tous les moyens, empêché de s'éta-
ient Prédominance d'une puissance con-
tir, L'ritale sur le continent européen, la
-Ruer re l'a réalisée, parce que la victoire
191'" aiI'lllae russe, depuis la révolution de
1, la ruine de l'armée allemande, après
'Gr Perte de la guerre, ont enlevé à la
retagn-e les épées qui lui avaient
juSQl lci permis de tenir la France en
ec. Les conséquences sont connues.
T~ Puissance militaire du continent dans
tOPe orientale et dans l'Europe cen-
appuyée sur les millions de soldats
des états successeurs de la Russie et de
t'it}fll"1Che, la France règne sur l'Europe.
ASie Uence anglaise est paralysée jusqu'en
Asje Et la France, avec énergie et habileté
et 1SS'' — peut-on le dire sans risquer
t^tr? lnc°,rnpris, — du point de vue de la
Polit fue mondiale, avec quelque modéra-
tion ,a France se met à l'achèvement et la
fè,r- SOhdation de cette œuvre qui lui con-
situation privilégiée qu'elle n'avait
aIs rêvée. Voici où est, pour la Grande-
Bretagne, le danger vraiment sérieux du
point de vue de la puissance politique : sa
paralysie dans un territoire qui, en dépit de
tout, est encore le centre de l'activité mon-
diale. La « balance of power, humanity's
loveliest flower », comme disait en 1913
une poésie satirique anglaise, est complète-
ment brisée.
La victoire de l'Entente a été trop com-
plète. Mais le premier ministre anglais,
Lloyd George, ne paraît pas avoir reconnu
assez tôt le danger d'une telle victoire. Ou
bien il s'est fié à son habileté et à son
étoile, pensant qu'il serait à même de con-
jurer le danger quand il lui plairait de le
faire.
.L'avenir économique et politique de la
Grande-Bretagne et de tous les états qui
n'appartiennent pas au consortium dirigé
par la France, est menacé par deux dan-
gers. Un premier danger est constitué par
l'effondrement économique des nations qui,
en tant que nations industrielles et com-
merçantes, sont intéressées à un relève-
ment de l'économie mondiale. Un second
danger, plus éloigné, inquiète pourtant
déjà la Grande-Bretagne : l'hégémonie po-
litique de la France en Europe et en Asie-
Mineure. Ce danger, malgré son éloigne-
ment, deviendra à la longue plus sérieux,
parce qu'il conduira nécessairement la
Grande-Bretagne à la paralysie sur le con-
tinent européen, et un jour aussi, en fin de
compte, à une nouvelle guerre mondiale,
s'il n'est pas conjuré à temps.
Hommes d'Etat et militaires de la vieille
école diront, en présence d'une telle situa-
tion : le monde doit se préparer à une nou-
velle guerre, formons des cadres, des sol-
dats, fabriquons des armes et créons des
alliances, etc. Telle est l'attitude de la
France. Etant donné le jeu actuel des
forces, la Grande-Bretagne n'a rien à ga-
gner à cette méthode. En outre elle cherche
à éviter ce dénouement violent. L'artificieux
Ulysse de Criccieth Heath (la maison de
campagne de Lloyd George), oppose à la
politique de force, vieillie et on peut dire
aussi réactionnaire, une nouvelle politique,
une politique démocratique et libérale. Il
cherche à mobiliser l'opinion publique mon-
diale. Il cherche à réaliser une union d'in-
térêts entre les peuples fatigués de la
guerre, et qui aspirent à l'entente et à la
reconstruction, et à organiser cette union.
Il cherche à utiliser à son profit le désir
impétueux et naturel qu'a notre époque
d'une organisation des nations dépassant
le cadre des états. En un mot, Lloyd
George cherche à réparer par une violente
pression morale les fautes qu'il a commises
pendant et après la guerre, ou du moins à
les rendre plus supportables. Il fait la plus
grande tentative qui ait jamais été faite
dans le monde pour mener à terme, à l'aide
des forces morales, une lutte qui appartient
à l'histoire mondiale.
Qui peut dire si cette tentative aboutira ?
Les partisans de la vieille politique de la
force diront : cette tentative n'a aucune
chance de succès. Assurément il faut être
très réservé dans son jugement. On fera
bien d'espérer aussi peu que possible, mais
aussi de faire, avec une foi ardente, tous
ses efforts pour que cette idée aboutisse.
Il y va de notre propre intérêt.
.La conférence qui a lieu sur les bords
de la mer Ligurienne représente un effort
d'importance historique mondiale au point
de vue de la lutte entre les idées et les
armes ; cet effort, nous l'appuyons de tout
cœur. — Anton Erkelenz.
HILFE, 5.4.
PRESSE ESPAGNOLE. — L'attitude de mé-
fiance adoptée, en France, par une partie
de la presse et du Parlement au sujet de la
conférence de Gênes est en vérité peu ha-
bile, même si elle ne manque pas de fonde-
ment. Si la conférence échoue, ou si elle ne
donne que des résultats médiocres, on at-
tribuera à la France ce lamentable échec.
— A. Rovira y Virgili.
PUBLICIDAD [de Barcelone], 8.4.
- Quand M. Lloyd George fit connaître
son projet de réunir une conférence euro-
péenne où serait posé le grand problème
de la reconstitution économique de l'Eu-
rope, les Allemands conçurent de grandes
espérances. Ils voyaient, dans cette con-
férence à laquelle ils devaient être convo-
qués, un pas, non plus seulement vers l'at-
ténuation des plus dures conditions du
traité de Versailles, mais aussi vers la re-
vision de ce traité. Et il eût été possible
aux espérances allemandes de se réaliser,
au moins en partie, si le projet initial du
premier ministre anglais eût prévalu.
Mais l'idée de M. Lloyd George a subi
des modifications, dues principalement à
l'influence française.
Le discours récemment prononcé par M.
Lloyd George à la Chambre des communes
a produit en Allemagne une forte déception,
car il est venu fermer définitivement les
portes cachées par où l'Allemagne pensait
introduire la revision rêvée du traité de
Versailles.
Mais il y a lieu de se demander si la dé-
ception qu'expriment les hommes politiques
et la presse d'Allemagne est justifiée. Dès
le début, il a été déclaré qu'il ne s'agissait
pas pour les gouvernements alliés, en se
rendant à Gênes, de reviser les traités de
paix. La déception actuelle est une consé-
quence des espérances excessives que l'Al-
lemagne avait conçues, manquant ainsi une
fois de plus de psychologie. — A. Rovira
y Virgili.
PUBLICIDAD [de Barcelone], 9.4.
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N° 2028 .-
Mercredi 12 avril 1922
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NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PI{ESSE: ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes: le programme et les chances de
"Q>accès (Anton Erkelenz dans Hilfe) ; la
^présentation de l'Allemagne et de la
i'Ussle à la commission politique (Frank-
l,urter. Zeitung). — Le rattachement de
Autriche à l'Allemagne (Kölnische
Zeztung).
p -ESSE ANGLAISE. — La conférence de Gê-
nes : la séance d'ouverture (Westmins-
er Gazette) ; la représentation de l'Al-
ehiagne et de la Russie à la commis-
sion politique (A. Beaumont dans Daily
I elegraph) ; un appel du commerce bri-
tannique (Daily News). — Un discours
de M. Churchill à Dundee, le 8 avril
Wimes).
SE ESPAGNOLE. — La conférence de Gê-
nes : le programme et les chances de
succès (Rovira y Virgili dans Publi-
^îciad ; Economista) ; déclarations de
.1. Sanchez Guerra (Epoca).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
zl"PI PROGRAMME, ET LES CHANCES
]e y, UCCES. - PRESSE ALLEMANDE. — Sous
le titre : « Que signine Gênes ? » C.
llél" (lu Point de vue anglais, la
Point de vue anglais, la victoire
tio.n ntente a été trop complète. La situa-
tion que la politique anglaise a, depuis des
çj es, poursuivant son but avec énergie
tt
bijr .r tous les moyens, empêché de s'éta-
ient Prédominance d'une puissance con-
tir, L'ritale sur le continent européen, la
-Ruer re l'a réalisée, parce que la victoire
1, la ruine de l'armée allemande, après
'Gr Perte de la guerre, ont enlevé à la
retagn-e les épées qui lui avaient
juSQl lci permis de tenir la France en
ec. Les conséquences sont connues.
T~ Puissance militaire du continent dans
tOPe orientale et dans l'Europe cen-
appuyée sur les millions de soldats
des états successeurs de la Russie et de
t'it}fll"1Che, la France règne sur l'Europe.
ASie Uence anglaise est paralysée jusqu'en
Asje Et la France, avec énergie et habileté
et 1SS'' — peut-on le dire sans risquer
t^tr? lnc°,rnpris, — du point de vue de la
Polit fue mondiale, avec quelque modéra-
tion ,a France se met à l'achèvement et la
fè,r- SOhdation de cette œuvre qui lui con-
situation privilégiée qu'elle n'avait
aIs rêvée. Voici où est, pour la Grande-
Bretagne, le danger vraiment sérieux du
point de vue de la puissance politique : sa
paralysie dans un territoire qui, en dépit de
tout, est encore le centre de l'activité mon-
diale. La « balance of power, humanity's
loveliest flower », comme disait en 1913
une poésie satirique anglaise, est complète-
ment brisée.
La victoire de l'Entente a été trop com-
plète. Mais le premier ministre anglais,
Lloyd George, ne paraît pas avoir reconnu
assez tôt le danger d'une telle victoire. Ou
bien il s'est fié à son habileté et à son
étoile, pensant qu'il serait à même de con-
jurer le danger quand il lui plairait de le
faire.
.L'avenir économique et politique de la
Grande-Bretagne et de tous les états qui
n'appartiennent pas au consortium dirigé
par la France, est menacé par deux dan-
gers. Un premier danger est constitué par
l'effondrement économique des nations qui,
en tant que nations industrielles et com-
merçantes, sont intéressées à un relève-
ment de l'économie mondiale. Un second
danger, plus éloigné, inquiète pourtant
déjà la Grande-Bretagne : l'hégémonie po-
litique de la France en Europe et en Asie-
Mineure. Ce danger, malgré son éloigne-
ment, deviendra à la longue plus sérieux,
parce qu'il conduira nécessairement la
Grande-Bretagne à la paralysie sur le con-
tinent européen, et un jour aussi, en fin de
compte, à une nouvelle guerre mondiale,
s'il n'est pas conjuré à temps.
Hommes d'Etat et militaires de la vieille
école diront, en présence d'une telle situa-
tion : le monde doit se préparer à une nou-
velle guerre, formons des cadres, des sol-
dats, fabriquons des armes et créons des
alliances, etc. Telle est l'attitude de la
France. Etant donné le jeu actuel des
forces, la Grande-Bretagne n'a rien à ga-
gner à cette méthode. En outre elle cherche
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Ulysse de Criccieth Heath (la maison de
campagne de Lloyd George), oppose à la
politique de force, vieillie et on peut dire
aussi réactionnaire, une nouvelle politique,
une politique démocratique et libérale. Il
cherche à mobiliser l'opinion publique mon-
diale. Il cherche à réaliser une union d'in-
térêts entre les peuples fatigués de la
guerre, et qui aspirent à l'entente et à la
reconstruction, et à organiser cette union.
Il cherche à utiliser à son profit le désir
impétueux et naturel qu'a notre époque
d'une organisation des nations dépassant
le cadre des états. En un mot, Lloyd
George cherche à réparer par une violente
pression morale les fautes qu'il a commises
pendant et après la guerre, ou du moins à
les rendre plus supportables. Il fait la plus
grande tentative qui ait jamais été faite
dans le monde pour mener à terme, à l'aide
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à l'histoire mondiale.
Qui peut dire si cette tentative aboutira ?
Les partisans de la vieille politique de la
force diront : cette tentative n'a aucune
chance de succès. Assurément il faut être
très réservé dans son jugement. On fera
bien d'espérer aussi peu que possible, mais
aussi de faire, avec une foi ardente, tous
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Il y va de notre propre intérêt.
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— A. Rovira y Virgili.
PUBLICIDAD [de Barcelone], 8.4.
- Quand M. Lloyd George fit connaître
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espérances. Ils voyaient, dans cette con-
férence à laquelle ils devaient être convo-
qués, un pas, non plus seulement vers l'at-
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traité de Versailles, mais aussi vers la re-
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au moins en partie, si le projet initial du
premier ministre anglais eût prévalu.
Mais l'idée de M. Lloyd George a subi
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l'influence française.
Le discours récemment prononcé par M.
Lloyd George à la Chambre des communes
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car il est venu fermer définitivement les
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Versailles.
Mais il y a lieu de se demander si la dé-
ception qu'expriment les hommes politiques
et la presse d'Allemagne est justifiée. Dès
le début, il a été déclaré qu'il ne s'agissait
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paix. La déception actuelle est une consé-
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